Vous n'êtes pas identifié(e).
Nous habitions au n°6 de la rue Léon Roches, mon frére André et moi allions à cette école. J'ai fréquenté cette école je pense depuis l'âge de 6 ans, je suis né en 1938, car à l'époque on commencé par le CP, il n'y avait pas de maternelle! je me souvient que d'un maitre, il avait été brûlé au visage, et il avait un pied chaussant une chaussure assez bizarreà gauche, je pense c'était pour l'équilibrer! à l'époque on n'étaient pas mélangés avec les filles, mais en grimpant le mur de séparation ont pouvé les voirs, mais à nos risques et périls.
Juste une petite précision, mon pére travaillé à la Grande poste d'Alger, ensuite il a convoyé le courrier postal entre Alger et Oran et Constantine! il s'appelait Henri Domenech.
Merci de m'aider !
Michel Domenech
J'habitais moi le numéro 32 de la rue Léon Roches.Si ma mémoire est fidèle, je te revois toi est ton frère. J'étais avec Mariani un des deux "petits" de la classe en en 1948-49. Le maître dont tu parles était M.Soler; il avait été blessé pendant la Seconde guerre mondiale dans un blindé - il faisait ce qu'on appelait la-bas alors la 3° ( le CM1 ici maintenant) dans sa classe au rez-de-chaussée près de l'entrée. En "2°" (CM2) l'année suivante, j'étais chez M. Siomei (orthographe phonétique...) qui se raclait la gorge bruyamment à la fenêtre et qui avait décidé - une mode?- de nous faire changer d'écriture, en passant au scripte, l'écriture d'imprimerie. Il avait des arguments convaincants : la trique. Je n'ai pas reçu de coups mais il m'a inculqué une écriture difficile à lire! Question coups de trique c'était ainsi qu'il me reste le souvenir de la sanction des exercices de mùaths et -je ne me souviens pas lequel de vous deux, les Domenech- de la correction brutale, violente qu'il avait donné à l'un d'entre vous en faisant venir le frangin pour y assister, cul nu, en menaçant de recommencer dans la cour des filles à la récréation! Je me souviens aussi de la course sur les tables avec Valette sur les fesses duquel il a eu cassé deux triques! Le bon temps quoi! Comme on dit maintenant qua,d on arrive sur nos âges.
J'ai par contre de bien meilleurs souvenirs de Mme Germain - et de sa "grande" fille, si belle- en CP, puis de M.Poggi en CE1, élégant avec ses costumes de golf.
Ma famille n'a pas gardé de photos de l'école Franklin, mais moi j'ai gardé de nombreux souvenirs et j'ai été ému quand j'ai revu pour la prelière fois après tant d'années l'école, sa cour (je l'ai tiré sur mon imprimante).
Tiens je me souviens d'avoir appris la mort de Marcel CERDAN à 13 heures sur les marhes devant la porte où on attendait que les portes rouvrent pour le cours de l'après-midi.
Hors ligne
Pour GUY,
Juste un petit mot pour vous indiquee que moi aussi, bien plus tard à l'école CONDORCET, j'ai aussi eu comme instituteur le fameux Monsieur SIOMEI. Il avait un accent du midi et je crois que c'était un homme d'origine corse. Mais ce n'est pas tout : c'est pour la fameuse règle en bois de chêne foncé si je ne me souviens bien, j'étais à l'époque plus ou moins sage mais mes collègues l'ont connus et senti cette grosse règle en bois. Il l'a cachait précieusement dans son armoire et il l'appelait "LA ROSALIE".
VOILA.
bien a vous et bonne année.
ALEXANDRE B.
J'habitais au 28 de la Rue Montaigne
en face du cinéma le Bijou ! avec tout son folklore..
et j'ai fréquenté l'école de la Rue Franklin : primaire et collège
avec le célèbre prof "tonton Bélaïche" jusqu'en 1954
Je me souviens de tous mes camarades de classe
peuvent-ils me répondre svp .
nous entretenons des relations étroites avec un noyau dur
composé de Guy Lassale (le fils du charcutier des trois horloges)
Roger Benizri , Robert D'Urzo , Lucien Sasso , André Cohen et quelques autres. Certains nous ont déjà quittés pour rejoindre
le ciel bleu tout là haut , au dessus de N-D d'Afrique peut être !
ce qui manque le plus , ce sont des photos de ces années
car le Directeur na jamais fait venir de photographe professionnel
alors que j'ai de très beaux documents du Lycée Bugeaud
de 1955 à 1958
denisboumendil@free.fr
Je ne sais de quelle année vous êtes, mais peut-être que mon cousin Yves Ausina a fait partie de vos classes. Après Franlin et condorcet il est allé à Guillemin et Bugeaud.
Hors ligne
Salut les amis de l'école Franklin,
Je me souviens de tous les noms énumérés ici, mais c'est encore dur de mettre un visage dessus.
Guy Dahan, tu habitais au 70 av. de la Bouzaréah, et moi au 72, juste à 2 pas.
Il y avait dans ton immeuble, la famille Belloc, le docteur Pozzo di Borgo, les Bessis, mon coiffeur d'en face de l'école Franklin: Mr. Almosnino, entre autres.
Quant aux instituteurs, j'avais Marcel Timsit en CM2 et sa Valentine, pour nous taper sur les doigts ou le postérieur. Madame Germain. Vous pouvez voir ses cahiers de 6ème primaire sur le site de Bernard Venis
Je me souviens bien de Mr Polito, mon directeur d'école avant Tinel, qui fut aussi le Directeur de mon oncle, devenu plus tard prof à la Sorbonne. Il se souvient bien de Mr. Polito, surtout durant Vichy. Ce Directeur fut d'une extrème bonté et droiture avec lui, même devant les circonstances des lois antisémites où l'expulsion des élèves et profs Juifs des écoles furent de rigueur.
A plus,
Edgar BENTOLILA
Etoile et toi tu es née quand car moi je suis allée aussi à Franklin de 60 à 62
Perlette
Hors ligne
Etoile je n'ai que 57 ans donc on a pas pu aller ensemble, comme tu dis il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas alors peut être qu'un jour on se rencontrera
Perlette
Hors ligne
Bonjour à tous. Je suis un tout récent internaute et des amis pieds-noirs m'ont conseillé ce site. Bravo et merci à eux pour ce bon conseil. Je me suis inscrit hier 26.12.2007 comme membre. Comme vous, j'ai fréquenté l'école Franklin de 1946 à 1952 et j'ai reconnu l'ambiance à travers vos messages. Je me souviens très-bien des divers enseignants que vous mentionnez : Mme Bougenot, M. Poggi, la belle Mme Moreau, M. Boucherat (avec son violon), M. Siomeï (et sa règle Valentine et non Rosalie il me semble...) et M. Soler (classe au rez-de-chaussée, en rentrant à gauche). Je n'ai pratiquement pas de souvenirs des élèves ni de leur nom et si quelqu'un pouvait me rafraîchir la mémoire cela me ferait bien plaisir. Toutefois un certain Lemoelle (ortographe ?) dans la classe de M. Siomeï et qui habitait rue Mizon et un autre Mora (ortographe ?) se cachent dans un coin de ma mémoire.
Je regrette de ne retrouver aucune trace d'éventuelles photos de classe de toutes ces années. Elles existent peut-être mais comme les gens de notre génération n'ont pas la culture "informatique" et par conséquent ne sont pas ou très peu intéressés par internet nous avons du mal à nous rencontrer sur ce site.
Au plaisir de vous lire, je l'espère.
Guy Soltana
Hors ligne
BONSOIR , pour SOLTANA guy
Moi , je suis ALEXANDRE, du 45 av de la Bouzaréah,à BEO.
Oui ,moi je suis de 47,mais c'est pour te dire que j'ai été dans la classe de SIOMEI à CONDORCET, c'été un corse et il appelait bien sa grosse règle qui faisait trembler tous les élèves , "sa ROSALIE".
Bien à toi et bonne fêtes de fin d'année.
mes amitiées.
ALEXANDRE
Hors ligne
Pour Alexandre de l'avenue de la Bouzaréah.
Merci pour ta réponse et pour ta précision quant à la fameuse "Rosalie". En y réfléchissant bien, la "Valentine" pouvait être la fidèle compagne de M. Timsit comme le dit Edgar Bentolila plus haut. Toutefois, je me souviens bien de "Valentine" alors que je n'ai jamais eu M. TIMSIT comme enseignant. Ma mémoire me joue peut-être des tours... Ce n'est pas grave, l'essentiel y est et je ne peux m'empêcher de sourire en lisant les souvenirs des uns et des autres qui sont également les miens. Quel bonheur !
Je tiens à spécifier que je suis né en 1941 et que j'étais peut-être en classe avec le frère d'"étoile", Albert Chich, car le nom me dit quelque chose.
Après un séjour de quatre ans en Allemagne où mon père militaire était affecté, j'ai fréquenté l'école Condorcet de fin 1956 (novembre il me semble) au 30 juin 1957.
Je me souviens des frères Pérez de l'avenue Bouzaréah dont les parents tenaient un salon de coiffure. A la sortie du cinéma (2ème matinée) nous allions consulter le tableau des résultats du football du dimanche après midi dans un café et acheter un morceau de calentita dans une boulangerie (il me semble...) qui se trouvait en face de ce salon de coiffure. Les parties de "pikfoot" (?) dans un café qui se situait à un angle de l'avenue Bouzaréah (je ne me souviens plus du nom de la route qui donnait sur l'avenue) occupaient également nos après-midis.
Bien cordialement à toi et meilleurs voeux pour la nouvelle année.
Guy Soltana
Hors ligne