pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : NOSTIEEnvoyer un mail

Le : 11/07/2010 22:39

AU CANADA ET QUEBEC NOUS AVONS EU JUSQU'A 35 DE TEMPÉRATURE...COMME EN 1986

 

De : marie-jeanneEnvoyer un mail

Le : 11/07/2010 21:05

Puisque vous z'en voulé d'ote, je continue toujours sur ces "fabuleuses vacances". Manman et Lulu (la manman de l'ote couple) avaient acheté une poule, non pas celle qui fezé des z'oeufes en or (pour quoi faire ?), mais celle qui devait "bessif" nous pondre un z'ouévo chaque jour et pendant un mois (je crois que le dernier jour, elle a sûrement terminé en cocotte, ne le dites pas à Brigitte Bardot, elle me feré une choupéta de première classe !!!) que nous mangions (nous les enfants) chacun notre tour. Donc en arithmétique j'avais le droit à mon oeuf "à la coque" tous les 5 jours !!! (vous avez vu les progrès en math !!!) et en 30 jours ??? devinez !

 

De : SellamEnvoyer un mail

Le : 11/07/2010 19:44

A moi aussi de féliciter pour ton beau texte, que de beaux souvenirs vécus.
Salut Michèle Benaza, d´ou de Saint Eugène es tu, moi je suis de la rue Neuve, une rue plus haut que la rue Salvandy (crèche de la soeur Anna, de la synagogue).
Je vis en Suède depuis 63-

Amitiés á vous tous

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 11/07/2010 18:30

A MARIE-JEANNE,
Chère jeune soeur inconnue,
Félicitations pour votre écrit. Continuez de nous raconter votre vie à Bab el Oued. Dans le monde où nous vivons, rien ne peut nous atteindre avec autant d'émotion. En parlant si bien de votre vécu, vous ravivez le mien et celui de tous les gosses du quartier. Vous parlez avec les mots simples de la langue de chez nous (pataouète) et l'humour jamais égalé qui agrémentaient nos rendez-vous " en bas la rue ".
Racontez-nous vite d'autres épisodes, le temps qui nous reste se décompte de plus en plus.
Merci encore, et amitiés à tous les enfants de Bab el Oued.
VIVE L'ABEO

 

De : michele ex benazaEnvoyer un mail

Le : 11/07/2010 16:28

ce message s'adresse a Josette qui a publie une photo de classe....etes vous sur que c'est Abou Gisele?elle ressemble enormement a mon amie Gisele Alouche qui habitait a Saint Eugene

 

De : marie-jeanneEnvoyer un mail

Le : 11/07/2010 14:19

Continuons sur nos étés torrides. Je me souviens qu'en juillet 1959, nous avions loué pour un mois à deux familles un p'tit cabanon (pas plus grand qu'un mouchoir de poche) aux bains romains, au total nous étions 10 (nos amis avec leurs 3 enfants , de notre côté mes parents + 2 enfants et la mémé!!) Qu'importait le confort, les matelas étaient déroulés à même le sol le soir. Mais alors au moment de la sieste sacret "pour les parents", "pougnéta" moi et Henri (le fils des amis : 11 ans pour moi et 12 ans pour Henri) nous devions,, en guise de digestion, (puisqu'il fallait soit disant attendre à moins 3 heures) nous taper des problèmes d'arithmétique "du calcul vivant" : soit le robinet qui remplissait je ne sais combien de m3 la baignoire (alors que manman me lavait dans l'évier de la cuisine et que j'avais les fesses sur la paillasse et je ne pense pas que manman dépensait beaucoup de m3 d'eau pour me laver !!), soit les trains qui se croisaient à telle heure et à telle vitesse !!!(alors que je me déplaçais surtout à pied ou en tramway et en trolleybus !!!), soit les parcelles de champs dont on plantait par intervalles des piquets (alors que de mon 5ème de la rue suffren, je me contentais d'un balcon de peut-être 10 m de long (soyons généreux) sur à peine d'un mètre de large). Enfin, dès 3 ou 4 heures "pétant" (d'impatience) de l'après-midi, le signal était donné, nous foncions avec nos serviettes de plage sur l'épaule, "l'ambe solaire" répartie sur le corps, le "bob" enfoncé sur la calbasse, "les tchangless" dans les pieds et surtout, surtout la grosse chambre à air d'un camion, qu'Henri faisait rouler et qui nous servait de "pastéra". Nous partions pour l'aventure, les battements de nos pieds faisaient moteur (écologistes dans l'âme !!) sur un rocher à 10m du bord ! A peine 10 km de Bab el Oued, ce n'était pas le Pérou !!! mais qu'est-ce que c'était bon, j'en rêve encore !!!

 

De : Amélie Pérez- GilleronEnvoyer un mail

Le : 11/07/2010 13:26

Biensûr vous allez dire que ce n'est pas courant d'avoir chaud, dans le nord, mais en ce moment,nous nous mettons à l'ombre.Même dans la france entière nous n'aurons jamais aussi chaud qu'à Bab-El-Oued.Je me souviens au mois de septembre nous faisions les cornettes trempées dans l'amidon et qui séchaient au soleil.Nostalgie,mais jamais je ne retournerai là-bas de peur d'être déçue et surtout de revoir la tombe de mon père au cimetière de Bab-El-Oued.Est-ce que quelqu'un peut m'envoyer sur mon site l'emblème des pieds-noirs pour que je puisse le mettre dans mes documents.Salut à toute la rue Camille Douls et à celles qui ont été enclaase chez les Filles de la Charité,rue Montesquieu.

 

De : ABRAMI JosetteEnvoyer un mail

Le : 11/07/2010 13:20


Avec l'aide de Christian Timoner, j'ai ajouté une photo de classe du Lycée Savorgnan de Brazza à Alger, classe de 3ème Classique 1(latin), avec le professeur d'anglais (dont je ne me souviens plus du nom, mais que j'aimais bien...)
Pardon à celles de mes camarades dont d'une part, je ne me souviens pas du prénom, et celles dont je ne me souviens pas du nom ! (52 ans nous séparent de cette photo!)
J'espère au moins que certaines se souviendront de moi, et dans ce cas, me donneront de leurs nouvelles...
A bientôt donc, j'espère ! Grosses bises à toutes !
Josette
P.S. / J'habite Nice, et j'ai une fille de presque 26 ans, qui vit à Lyon.

 

De : Daniel AZAMEnvoyer un mail

Le : 10/07/2010 18:42

En ce qui concerne les températures je me souviens d'avoir connu 42° à l'ombre.Celà se passait en général au mois de Juillet pendant le tour de france cyliste que j'écoutais à la radio (Radio Luxembourg?).
Nos mères mettaient en place les rideaux extérieurs en toile qui protégaient les balcons des rayons brulants du soleil.
Les arroseuses passaient dans les rues pour refroidir le bitume.
On ne sortait pas avant 4 h de l'aprés midi car c'était vraiment torride.
Souvent ces vagues de chaleur s'accompagnaient d'un déferlement de nuages de criquets en provenance du Sud.Je passais le temps entre 14 h et 16 h à jouer au tour de france avec des cylistes en plastique ou en métal, sur leur vélo, que je faisais avancer avec des dés comme au jeu de l'oie.
C'était l'époque - je crois - où les garçons jouaient aux noyaux (d'abricot bien sur).

 

De : jacquesEnvoyer un mail

Le : 10/07/2010 18:33

j' habitais rue Nobel à B.E.O. jusqu'en mars 1962.
merci de votre site , j'ai reconnu mon ecole et tout
le quartier. je peux vous envoyer par mail perso
ma photo de classe Lelièvre en 1961 !
je prepare un prochain voyage au pays. Amicalement

 

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