Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Ne vous excusez pas Marie-Jeanne ! Cette injure, comme beaucoup d’autres faisait partie de notre quotidien. Comme toutes les injures trop employées elle perdait de sa puissance pour ne devenir qu’une simple illustration du langage.
Pour Kamal c'est surtout vers sa communauté qu'il devrait se retourner car elle est à l'origine de cette insulte et pour Fifi je conseille la lecture de l’annuaire. Là, au moins, tout est « politiquement correct »

Fifi, Je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses, car j'ignorais que dans mes propos (qui ne venait pas de mon invention), j'avais eu l'outrecuidance d'insulter "une mère" (j'ai trop de respect pour elles)et je m'en trouve moi-même étonnée.

Bonjour Christian et ses amis-es
Pour Marie Jeanne ,j'aimais bien vous lire ,mais n'oubliez pas que les lecteurs peuvent etre choqués par de tels propos disons vulgaires ,et pour les insultes celle ci est typiquement algérienne et non du pataouette ,surtout lorsqu'il s'agit d'une mère ,il y a respect .Ce genre de lecture ne fait pas rire ,mais il y a d'autres expressions de chez nous plus attrayantes .
Ne le prenez pas mal ,continuez de raconter en restant dans le politiquement correcte
Bien à vous et sans aucune polémique de ma part

Bonjour Kamal,
merci de me donner la traduction dont je ne pensais pas être une insulte, mais, quand j'étais enfant, ce genre d'expression (que j'entendais également chez moi) comme bien d'autres en espagnol ou en italien ponctuait, à tire l'arigo, notre beau langage pataouète et de ce fait me paraissait naturel. Bonne journée

Bonjour Marthe.
Effectivement les pièces de 5fr éxistaient. Moi je suis de 45, peut être plus âgé que toi, mais dans ma tendre enfance il y avait bien les pièces de 100 sous.
""Dans les années 1950, la pièce de cent sous valait 5F. En la divisant par deux, elle valait, comme le montre la chanson de Georges Brassens, 2F50, c’était le prix des chewing-gum Globo vert anis dans leur paquet vermillon; ceux à la menthe valaient 10F.""
Lorsqu'après de longues négociations j'acceptais de faire les commissions chez le Mozabite de mon quartier (Bouldoune) ou alors chez Madame Borio, la récompense suprême, c'était une pièce de 100 sous. Par la suite sont apparues les pièces de 5fr.
Suis-je donc si veux que ça ?

Bonsoir.
Je me permets d'interpeller, amicalement au demeurant, Marie-Jeanne.
En effet dans le message du 06/08/2010 18:13, l'insulte proférée par le wattman, en arabe de BEO, est assez sallasse, du genre bas fonds au sens propre comme au figuré.
Amitiés.
Kamal.

qui a connu mes cousines arlette et francette caselles car c'est bon de retrouver des personnes qui ont veku la-ba mais surtout se retrouver

marthe bonsoir la famille morel habitait a la consolation dans l'immeuble de rosette je suis heureuse de tchater avec les amis de la bas et je vois que meme en algerie nous avons toujours des amis cela fait chaud au coeur bisous a tous

AMIS PIEDS NOIR BONSOIR.lol,jean j'ai raison pour les piéces de 5f c'était des anciens francs,je me suis renseignée aupres de personnes plus agée que moi. MA pove josiane mais bien sur que je te connais.nous étions clientes de discophone.ma manman nous habillait dans ce magasin,même mon ensemble du lendemain de mon mariagevenait de ce magasin,alors tu vois pas besoin de pleurer juste demander mdr,mdr,mdr.marie josée milles excuse j'ai oublié la virgule.la famille morel,ou habitait-elle?
moi au 8 rue réaumur.je vous souhaite à tous et toutes,un tres bon dimanche,et vous dit au plaisir de vous lire. marthe


voici mon adresse mail eureka.836@hotmail.fr

bonjour Josiane,ne pleure pas ,je me permet de t ecrire ,pour te dire que moi aussi j ai travaille chez Melia en 1955 en tant de colleuse et ensuite je suis aller sur une machine qui faisait les cartouches ,ma mecanicienne etait Josette Alvado.voila un contact de plus ha oui ma maman travailler en haut a la feuille de tabacs.bisous rosette