Liste des messages
Le : 24/08/2010 00:30
bonjour gilabert pour votre question la rue vasco de gama s'apelle maitenant rue Mohamed Berekia.
Le : 23/08/2010 20:41
Chantal ! pour fére bref : dans la cour de récréation tu mété (on parlé bocou avec les gestes) ton index et le majeur de chaque côté des tempes et tu dizé : eh you les cornes !!!!! (bis) rien que pour fére maronner l'ote !!! et ça marché, enfin ça marché ! soit elle fezé scapa, soit elle t'arrangé les cot'lettes !
Le : 23/08/2010 19:55
Heureusement que tias oublié le bonnet d'âne,Marie Jeanne.Quelle humiliation pour ceux qui défilaient de claase en classe avec le vilain bonnet.Bourreau d'enfants!!!!
Il y avait des filles qui mettaient de l'eau de cologne pour imbiber la petite éponge.
Et les jeux à la récréation : cache-cache,la marelle."un petit cochon pendu au plafond.Tirez-lui la queue ,il pondra des oeufs (un cochon qui pond,ça existait seulement là-bas).Il y en avait des comptines.Vous vous en souvenez?
Allez continuez,bizzzz
Il y avait des filles qui mettaient de l'eau de cologne pour imbiber la petite éponge.
Et les jeux à la récréation : cache-cache,la marelle."un petit cochon pendu au plafond.Tirez-lui la queue ,il pondra des oeufs (un cochon qui pond,ça existait seulement là-bas).Il y en avait des comptines.Vous vous en souvenez?
Allez continuez,bizzzz
Le : 23/08/2010 16:58
A propos des bons points, ça m'reviens yavé après les bons points des images et après tant d'images yavé des billets de satifaction et ensuite billets d'honneur...ma parole main'nant c'est plus l'billet que je d'vré avoir c'est la "légion d'honneur" !
Le : 23/08/2010 16:46
Je rebondis sur ton poste Marie-Jeanne ,Tu ne m'en voudras pas?
en 1957,a l'Ecole Bd de Verdun,en Classe d'initiation classe de Mme ABOUCAYA,en arithmetique on utilisait encore des bûchettes en bois (anciennes allumettes ayant servi)
10 bons-points on attribuait un billet de stisfaction ...puis pour X...billets de satisfaction on avait un billet d'honneur
Enfant de BEO,j'ai connu l'Ecole maternelle Rochambeau et l'Ecole des Lavandieres puis ai dû quitter le quartier clase de Mr GANTCHOULA
en 1957,a l'Ecole Bd de Verdun,en Classe d'initiation classe de Mme ABOUCAYA,en arithmetique on utilisait encore des bûchettes en bois (anciennes allumettes ayant servi)
10 bons-points on attribuait un billet de stisfaction ...puis pour X...billets de satisfaction on avait un billet d'honneur
Enfant de BEO,j'ai connu l'Ecole maternelle Rochambeau et l'Ecole des Lavandieres puis ai dû quitter le quartier clase de Mr GANTCHOULA
Le : 23/08/2010 16:45
ENFIN, le retour de MARIE JEANNE et un lundi pour bien commencer la semaine .TOUT est dis pour cette rentrée de classe ,le sac fait avec AMOUR ,la boite à images de la maîtresse lorsqu'elle l'ouvrait un parfum poudré s'en échapper , n'oublions pas le petit mouchoir (pas jetable ) je ne sais pourquoi mais j'ai toujours eu en tête les mouchoirs que nos MAMANS devaient laver à la main comme tout le reste d'ailleurs ,mais les mouchoirs !!!NOUS étions 8 à la maison ,pensez lorsqu'il y avait des rhumes ,d'ailleurs ,comme on s'était donné des surnoms l'un de mes FRERES avait hérité de ( p 'ti mouchoir ) allez savoir pourquoi !!! . MERCI MARIE JEANNE BRAVO et BIS .BISES HENRIETTE
Le : 23/08/2010 16:39
A ROSETTE
BONNE FETE
A MARIE-JEANNE
tu me remontes le moral et surtout tu me fais rire car comme a dis MICHEL je rigole devant mon ecran et je me retrouve quand tu racontes ta rentree des classes les buchettes j'ai connu ça.J'espere que ce soir j'aurai encore une anecdote je te fais de gros bisous.
BONNE FETE
A MARIE-JEANNE
tu me remontes le moral et surtout tu me fais rire car comme a dis MICHEL je rigole devant mon ecran et je me retrouve quand tu racontes ta rentree des classes les buchettes j'ai connu ça.J'espere que ce soir j'aurai encore une anecdote je te fais de gros bisous.
Le : 23/08/2010 10:32
Mon père employait beaucoup de métaphores, celle-ci me convient parfaitement : "la vie c'est une tartine de m..de, on en mange tous les jours" c'est pas faux (lui même en savé quéque chose), j'ai la mienne et tant pis pour les jaloux !
Allez gardons le moral et retournons là-bas.....
En 1953, à 100 m plus haut qu’chez moi, j’rentré à la maternelle rue suffren avec ma p’tite blouse à carreaux (voir photo école de sylvestre brunaud 1953-1954 – chuis l’playmobil en haut la 3ème en partant de la gauche !) sur ma poitrine un p’tit carré de calicot m’identifié.
Je n’ souviens pas d’avoir eu et d’avoir vu des cartables à bretelles aux vives couleurs agrémentés de nos héros d’l’époque comme : Bibi Fricotin, Fripounet et Marinette, Perlin et Pinpin, Zig et Puce, Pim, Pam et Poum, Arthur et Zoé et d’autres z’encore. Il me semble que manman m’avé confectionné un sac (qui sé si elle l’avé taillé dans une vieille camisa d’ mémé !) avec une p’tite cordelette.
A l’intérieur, j’ devé trouver mes premiers z‘outils d’écolière : l’ardoise avec son p’tit trou dans l’encadrement de bois pour « enguantcher » une p’tite ficelle reliée à un p’tit chiffon (pas d’fote goût assorti au sac !), le porte crayon ardoise et sa mine , une craie blanche,la p’tite boîte ronde avec sa p’tite éponge qui fallé arroser comme une plante tos les matins, une belle boîte de crayons d’couleurs que papa s’été cassé la nénette à fére une encoche à chaque crayon pour y inscrire mon nom et, pour les cours d’art « plastique», quelques bâtons de pâte à modeler de différentes couleurs qui, à force à force de les ploter, finissé en boule couleur gris souris. J’avé également un’ote p’tit sac (tojors assorti au grand sac si vous pli !) pour mes p’tites bûchettes vertes et rouge en bois (6 ans, après ma s 1/2 ur les z’avé en plastique c’été l’progrès !) pour les cours d’arithmétique.
C’été le début de l’apprentissage de la lecture et de la calligraphie. J’ me rappelle qu’à la lettre P nous pouvions lire : « la pipe de papa » et là, cette phrase, va me servir de transition pour ma prochaine blagounette à laquelle j’oré pu rajouter « la pipe de papa au poivre» !
Nous étions également initiés à la couture, nous fezions du picotin (des points en avant)avec une aiguille à canevas et du coton perlé sur sur le pourtour d'un simple dessin (ex : maison) reproduit sur un p'tit carton.
Chaque bon résultat au travail été récompensé par un bon point, précieusement conservé dans une p’tite boîte, car au bout de ??? bons points tiavé un beau « billet d’honneur ». Ché pas si j’en avé une collection ! déjà que la maîtresse, cette caouette, avé été dire à ma mère que, comme j’été bavarde, elle m’avé mis au fond de la classe et même au fond de la classe j’ parlé au mur !" Non mé vous vous rendez compte, pour qui elle me fezé passer, pour une jobass ou quoi!! pour un peu elle m’oré envoyé chez Rouby ! bourreau d’enfants va !
bonne journée et merci pour vos "soutiens", j'en é la "gorge" séré !
Allez gardons le moral et retournons là-bas.....
En 1953, à 100 m plus haut qu’chez moi, j’rentré à la maternelle rue suffren avec ma p’tite blouse à carreaux (voir photo école de sylvestre brunaud 1953-1954 – chuis l’playmobil en haut la 3ème en partant de la gauche !) sur ma poitrine un p’tit carré de calicot m’identifié.
Je n’ souviens pas d’avoir eu et d’avoir vu des cartables à bretelles aux vives couleurs agrémentés de nos héros d’l’époque comme : Bibi Fricotin, Fripounet et Marinette, Perlin et Pinpin, Zig et Puce, Pim, Pam et Poum, Arthur et Zoé et d’autres z’encore. Il me semble que manman m’avé confectionné un sac (qui sé si elle l’avé taillé dans une vieille camisa d’ mémé !) avec une p’tite cordelette.
A l’intérieur, j’ devé trouver mes premiers z‘outils d’écolière : l’ardoise avec son p’tit trou dans l’encadrement de bois pour « enguantcher » une p’tite ficelle reliée à un p’tit chiffon (pas d’fote goût assorti au sac !), le porte crayon ardoise et sa mine , une craie blanche,la p’tite boîte ronde avec sa p’tite éponge qui fallé arroser comme une plante tos les matins, une belle boîte de crayons d’couleurs que papa s’été cassé la nénette à fére une encoche à chaque crayon pour y inscrire mon nom et, pour les cours d’art « plastique», quelques bâtons de pâte à modeler de différentes couleurs qui, à force à force de les ploter, finissé en boule couleur gris souris. J’avé également un’ote p’tit sac (tojors assorti au grand sac si vous pli !) pour mes p’tites bûchettes vertes et rouge en bois (6 ans, après ma s 1/2 ur les z’avé en plastique c’été l’progrès !) pour les cours d’arithmétique.
C’été le début de l’apprentissage de la lecture et de la calligraphie. J’ me rappelle qu’à la lettre P nous pouvions lire : « la pipe de papa » et là, cette phrase, va me servir de transition pour ma prochaine blagounette à laquelle j’oré pu rajouter « la pipe de papa au poivre» !
Nous étions également initiés à la couture, nous fezions du picotin (des points en avant)avec une aiguille à canevas et du coton perlé sur sur le pourtour d'un simple dessin (ex : maison) reproduit sur un p'tit carton.
Chaque bon résultat au travail été récompensé par un bon point, précieusement conservé dans une p’tite boîte, car au bout de ??? bons points tiavé un beau « billet d’honneur ». Ché pas si j’en avé une collection ! déjà que la maîtresse, cette caouette, avé été dire à ma mère que, comme j’été bavarde, elle m’avé mis au fond de la classe et même au fond de la classe j’ parlé au mur !" Non mé vous vous rendez compte, pour qui elle me fezé passer, pour une jobass ou quoi!! pour un peu elle m’oré envoyé chez Rouby ! bourreau d’enfants va !
bonne journée et merci pour vos "soutiens", j'en é la "gorge" séré !