Liste des messages
Le : 25/08/2010 16:21
Bonjour ROBERT. Je suis encore en Espagne, j'ai l'occasion de faire un petit message sur l'ordi d'un Ami, j'ai lu un peu quelques messages sur le site de Christian, a qui je fais la bise, il fait trés beau ici, plage le matin et l'apres midi, nous sommes un groupe de bons vivants,et grace a Dieu cela va bien pour nous tous, j'espere que le soleil est present aussi chez toi en Suede, je fais également la bise a tous nos Ami(e)s de BAB-EL-OUED,et toute l'equipe dirigeante de notre association. A bientôt!!!!!
Le : 25/08/2010 14:43
Bonjour à tous,
j'espère que ces vacances se sont bien passées pour tous et pour ceux qui ne sont pas encore partis, qu'elles se passeront bien.
REMARQUE : à tous les nouveaux du site, sachez que le site est un site de retrouvailles et de convivialité. Les e-mail strictement personnels doivent passer par les adresses e-mail personnelles et non par le site car ils seront alors effacés. Amitiés à tous.
Le : 25/08/2010 08:06
Dans si bab el oued m'été conté : la pipe à papa !
Certains jours d’automne étaient monotones !
Un d’cé jour-là, là-haut d’en mon pigeonnier du 5ème étage, j’tourné en rond ne savant pas quoi fére des mes dix doigts, lorsque papa, complètement raplapla, installé tchala tchala dans son fauteuil « crapaud », me d'manda de lui apporter sa pipe. Une idée géniale vint chatouiller mon esprit inventif, et si j’me payé une bonne bosse de rire !
Doc’ment, doc’ment, dans la « kich’nette », j’ prends le poivrier et vinga que j’ commence à lui bourrer la pipe d’ poive, j’ la lui tends et lui, par d’ssus, complète l’ bourrage avec l’amsterdamer. En attendant la mise à feu, j’commencé à régoler tout en l’matant dans l’embrasure de la porte !
Au bout de deux/trois bouffées, oilà papa qui crachouillé d’la fumée, on oré dit le démarrage d’une locomotive, sa tête d’vené de plus z’en plus roge, comme le darrière d’un babouin !
Moi sentant qu’iallé avoir d’ l’eau dans l’gaz, ni une ni deux, j’ fé taillo dans les vatères et j’tire la targette. Mon esgourde collée à la porte, j’attendé l’extinction du feu et l’arrêt total d’la machine ! Papa à la voix poussive réclamé vein’ment, entre deux quintes de toux, un verre d’eau ! pove papa, même manman lui en voulé :
« Tias vu néné l’ tabac c’est pas bon pour ton ulcère ! tu tousse comme un poitrinaire ! Nom d’une pipe ! caboute que tié et caboute que tu restera !».
Une fois ses z’esprits retrouvés, le darrière d’babouin se transforma en « Poirot ». Hercule mena son enquête, bien sûr, il fallé un coupabe, eh ben, c’été bibi :
« Maria-Quana (c’été mové signe quant l’un de mes parents m’appelé comme ça !) viens par ici ! ».
Bon après interrogatoire (la torture se s’ra pour plus tard !), j’avé z’avoué puisqu’un proverbe à la noix disé :
- « fote avouée, fote à d’mi pardonnée », qué d’mi, j’avé la s’melle entière d’ la savate marquée au fer rouge sur ma cuisse (bourreau d’enfants !) et manman qui’en rajouté une couche :
- « ma pove fi, tias des bliblis dans la tête, la purée de nous z’otes, tu veux nous tuer à p’tit feu où quoi ? »
Moi dans mes fors intérieurs :
« Eh bin oilà ! tout s’uite les grands mots ! à p’tit feu et yalors plus ça mijote et meilleur c’est, si on peut plus régoler main’nant, tout fini bian, puisque papa n’a pas cassé ça pipe ! »
Certains jours d’automne étaient monotones !
Un d’cé jour-là, là-haut d’en mon pigeonnier du 5ème étage, j’tourné en rond ne savant pas quoi fére des mes dix doigts, lorsque papa, complètement raplapla, installé tchala tchala dans son fauteuil « crapaud », me d'manda de lui apporter sa pipe. Une idée géniale vint chatouiller mon esprit inventif, et si j’me payé une bonne bosse de rire !
Doc’ment, doc’ment, dans la « kich’nette », j’ prends le poivrier et vinga que j’ commence à lui bourrer la pipe d’ poive, j’ la lui tends et lui, par d’ssus, complète l’ bourrage avec l’amsterdamer. En attendant la mise à feu, j’commencé à régoler tout en l’matant dans l’embrasure de la porte !
Au bout de deux/trois bouffées, oilà papa qui crachouillé d’la fumée, on oré dit le démarrage d’une locomotive, sa tête d’vené de plus z’en plus roge, comme le darrière d’un babouin !
Moi sentant qu’iallé avoir d’ l’eau dans l’gaz, ni une ni deux, j’ fé taillo dans les vatères et j’tire la targette. Mon esgourde collée à la porte, j’attendé l’extinction du feu et l’arrêt total d’la machine ! Papa à la voix poussive réclamé vein’ment, entre deux quintes de toux, un verre d’eau ! pove papa, même manman lui en voulé :
« Tias vu néné l’ tabac c’est pas bon pour ton ulcère ! tu tousse comme un poitrinaire ! Nom d’une pipe ! caboute que tié et caboute que tu restera !».
Une fois ses z’esprits retrouvés, le darrière d’babouin se transforma en « Poirot ». Hercule mena son enquête, bien sûr, il fallé un coupabe, eh ben, c’été bibi :
« Maria-Quana (c’été mové signe quant l’un de mes parents m’appelé comme ça !) viens par ici ! ».
Bon après interrogatoire (la torture se s’ra pour plus tard !), j’avé z’avoué puisqu’un proverbe à la noix disé :
- « fote avouée, fote à d’mi pardonnée », qué d’mi, j’avé la s’melle entière d’ la savate marquée au fer rouge sur ma cuisse (bourreau d’enfants !) et manman qui’en rajouté une couche :
- « ma pove fi, tias des bliblis dans la tête, la purée de nous z’otes, tu veux nous tuer à p’tit feu où quoi ? »
Moi dans mes fors intérieurs :
« Eh bin oilà ! tout s’uite les grands mots ! à p’tit feu et yalors plus ça mijote et meilleur c’est, si on peut plus régoler main’nant, tout fini bian, puisque papa n’a pas cassé ça pipe ! »
Le : 24/08/2010 22:51
à mon amie rosette de la consolation il fait tres beau 30 degré la mer tres calme et deserte par les estivants cause du ramadhan.
à bientôt. saidi de bab el oued.
à bientôt. saidi de bab el oued.
Le : 24/08/2010 22:30
Et oui,Sauveur,les taches d'encre,quelle horreur!Avec nos plumes Sergent Major,nos buvards et nos cahiers,on était équipés pour la calligraphie,les pleins et les déliés.
Le : 24/08/2010 21:25
coucou m Saidi,comment allez vous? fait il très chaud dans mon pays natal?profiter vous bien de nos belles plages?bises,rosette
Le : 24/08/2010 16:08
Marie-josée ,bonjour et merci d avoir pensée a moi hier,je n ai pas pue te répondre de suite car l ordie de mon fils été en panne ,nous sommes de retour sur Toulouse et je m empresse de te répondre.Je t embrasse et j en fait de même a Mon Saidi .bises a tous
Le : 24/08/2010 12:50
A Chantal T
l'humiliation supreme,quand l'eciture à la la plume avait laisse des cochonneries sur la page-On nous suspendait dans le dos le cahier ouvert a la page sale et l'eleve passait de classe en classe
Quelle humiliation!
devant les copains, et même si tu le caczis à tes parents ils finissaient parle savoir
Il aurait fallu institurer des cette epoque des cellules psychologiques
maintenant,ils font attention nos mait' d'ecole!
l'humiliation supreme,quand l'eciture à la la plume avait laisse des cochonneries sur la page-On nous suspendait dans le dos le cahier ouvert a la page sale et l'eleve passait de classe en classe
Quelle humiliation!
devant les copains, et même si tu le caczis à tes parents ils finissaient parle savoir
Il aurait fallu institurer des cette epoque des cellules psychologiques
maintenant,ils font attention nos mait' d'ecole!
Le : 24/08/2010 08:38
quel nom porte maintenant la rue cardinal verdier?
Elle s'appelle Benaïssa Amar.
Vous pouvez trouver les noms des rues d'Alger qui ont changé sur le site
"Alger en hommage à mes parents"
Bonne journée à toutes et à tous
Elle s'appelle Benaïssa Amar.
Vous pouvez trouver les noms des rues d'Alger qui ont changé sur le site
"Alger en hommage à mes parents"
Bonne journée à toutes et à tous