Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

purée, Christian ne vexe pas notre Marie-Jeanne qui nous fait remonter des bouffées de souvenirs vieux de presque 50 ans , avec le principe de précaution cher à notre époque on ne peut plus rien dire . en attendant tu as de la constance pour te retaper toute l'histoire et c'était moins drôle . Allez Marie-Jeanne continue sur ta lancée et encore merci pour tout.

Tu es bien pointilleux-
Le billet de marie-Jeanne est de veine comme tous ses billets humoristique
Que fais-tu de la famille HERNANDEZ? que je sache les porteurs de ce patronyme ne se sont pas plaints comme mes amis GARCIA ne se sont pas plaint du Sergent
Dans un esprit de conciliation,tu peux effacer mon mail,je t'y autorise

Désolée si ma réponse a été un peu vive, mais elle était spontanée. En cette période difficile, nous nous insurgeons contre tout, alors voilà. Mille excuses pour ma maladresse.

Christian, moi, je suis attristée par votre réponse. Vous n'avez pas un brin d'humour. Si les histoires de marie jeanne ne vous plaisent pas, ne les lisez pas. Allez voir ailleurs. Nous on revit au travers des anecdotes de marie jeanne. Et tout le monde avait compris qu'elle utilisait des noms bidons, sauf vous. Dommage.

Christian, le nom des personnes ne sont que des pseudonymes.

Bravo Marie-Jeanne ton récit est plein de sel et quasiment veridique
Continue a nous raconter d'aussi belles anecdotes

Bonjour
Il est tombé des pluies torrentielles -Est-ce que notre quartier a subi les mêmes inondations d'il y a quelques années?

Bonjour à vous tous,
Je viens de lire les messages concernant la fête de la Toussaint.
Les jours qui précédaient cette fête étaient, pour les enfants, bien remplis.
C'est vrai Gégé qu'avec une pierre ponce on frottait les dalles. Mais une autre tâche pour les plus habiles nous était confiée, peindre les lettres gravées sur les tombes avec un petit pinceau et de la peinture de couleur dorée ou métallique. Pour terminer il fallait raviver les entourages en fer forgé. Nous exécutions ces tâches sans rechigner, bien occupés pour toute une après midi.
Le cimetière pour les enfants était le sacro Saint lieu de promenade. Avec nos parents, nous allions nous recueillir sur les tombes de nos proches et de nos amis. Notre grande occupation étaient les batailles de boules de cyprès, au grand désespoir de nos parents.
Maintenant ils reposent loin de cette terre tant aimée, j'y pense chaque fois que je vais me recueillir sur leur tombe.
A cette époque, il nous fallait peut de chose pour nous distraire.
Les plus beaux souvenirs de ma jeunesse sont restés dans ce pays si cher à mon c 1/2 ur, époque où nous vivions heureux.

A B E O. Bonjour. Nous informons nos compatriotes qu'une messe sera dite (comme chaque année) a 15h30 en l'église du SACRE COEUR, avenue du Prado a Marseille, a la mémoire de nos défunts restés en Algerie.

C'est vré Jean-François mes parents me disé kifkif borricot !
Rampe Valée, chuis bien contente que Galoufa il n'a pas transformé ton p'tit chien en soubressade !