pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : nacerEnvoyer un mail

Le : 18/11/2010 12:22

TRES CHER JEAN CLAUDE N OUBLIES PAS QUE JE SUIS NE EN 54 MALGRE MON TRES JEUNE AGE JE ME RAPPELLE DE CES MOMENTS HIER JOUR DE L AID OMAR ET MOI ON EST RESTE PLUS DE DEUX HEURES A SE REMEMORER CETTE EPOQUE OMAR TE DIT A DIMANCHE CAR IL SERA AU BUREAU ET OUVRIRA SA BOITE E MAIL. TU AS LE BONJOUR DE HASSENE BENTAYEB . AU 1 RUE PAPIN IL NE RESTE QUE LES FRERES MORGHAD MOHAMED TON COPAIN LES ATTAF IL NE RESTE QUE LEUR SOEUR OUMKHEIR LES AUTRES ONT SOIT DEMENAGES SOIT MORTS . CE QU IL Y AVAIT DE GRANDIOSE C ETAIT LE BON VOISINAGE LA SOLIDARITE ET LE PARTAGE. MOI J ETAIS EN CLASSE CHEZ ROMAGNOLLI EN CP2 ET TUR EN CM2. A BIENTOT

 

De : charletteEnvoyer un mail

Le : 18/11/2010 11:41

merci robert j'ai fais un p'tit tour avec vous que de souvenirs présents encore dans nos têtes...
ces bals sur les places, les glaces Grosolli....j'habitais rue Guy de Maupassant dans la rue Mizon

et le marché des 3 horloges j'en ai jamais retrouvé un pareil!!!!!

j'ai retrouvé Melle Serour a Marseille c'est elle qui m'a accouchée de mon fils, une fille formidable

allez j'arrete là mes souvenirs s'emballent

toutes mes amitiès

 

De : SylvianeEnvoyer un mail

Le : 18/11/2010 11:35

Je suis contente que le talent de Robert VOIRIN soit reconnu.

Pour continuer sur la lancée, un de ses derniers texte "récolté" sur un site.

HISTOIRE DE PIEDS...



Nous les pieds noirs on a voulu nous faire croire

que notre passé n'était pas inscrit dans l'Histoire,

pourtant s'il a fallu quitter notre terre il y a près de cinquante ans

on est toujours là malgré ceux qui nous poussaient dans le néant.

Rappelez vous c'était l'époque où on nous avait mis " au pied du mur ",

on était " pieds et poings liés ", c'était comme une blessure,

ne pas " partir les pieds devant " voilà ce qu'on se disait,

pourtant il fallait déguerpir " au pied levé " pour ne pas " perdre pied " .

Avoir déjà " un pied dans la tombe " c'est ce beaucoup craignaient,

surtout ne pas se " mélanger les pieds " ni " traîner des pieds "

et encore moins se " prendre les pieds dans le tapis ",

mais au contraire " garder les pieds sur terre " en arrivant ici

même si des fois on ne savait pas " sur quel pied danser ",

c'était vital de commencer à " travailler d'arrache pied ",

dans la mesure où on pouvait " trouver chaussure à son pied ".

Choisir son chemin " à pied, à cheval ou en voiture "

pour savoir où aller, c'était comme le début d'une drôle d'aventure,

avoir " bon pied bon oeil " et ne pas se faire " marcher sur les pieds "

pour cela on aurait fait " des pieds et des mains " pour y arriver,

on devait " marcher d'un bon pied " en évitant les fausses manoeuvres,

poser " le pied sur l'étrier " et se mettre de suite " à pied d'oeuvre ".

Certains disaient ironiquement qu'on " jouait comme des pieds ",

qu'on était " bêtes comme nos pieds " pareils à des " pieds nickelés "

et qu'un jour ou l'autre on allait se faire "couper l'herbe sous les pieds ".

Mais on a mis " les pieds dans le plat ", et c'est là qu'ils ont eu tort

car en prenant " les choses au pied de la lettre " on était les plus forts

et c'est " sur la pointe des pieds" qu'on leur a fait " un pied de nez "

puis qu' on les a attendus " de pied ferme " pour leur " casser les pieds ".

On disait ça " leur fera les pieds ", car ils nous prenaient pour des pantins,

aussi après avoir enfoncé " le pied au plancher " on s'imaginait enfin

qu'on pouvait un beau matin se mettre " les doigts de pied en éventail "

et rêver de " vivre sur un grand pied " , fruits de notre travail.

On avait ainsi donné " un coup de pied " dans leur certitude méprisable,

à ceux là les pieds noirs ont montré que notre mémoire était inaltérable



Robert Voirin

 

De : andree atlanEnvoyer un mail

Le : 18/11/2010 09:48

BONJOUR A TOUS
MERCI ET BRAVO A MONSIEUR ROBERT VOIRIN
POUR CETTE BELLE BALADE DANS NOS QUARTIERS
QUE DE SOUVENIRS MERCI DE CE GRAND BOL DE SOUVENIRS

POUR MARIE JOSEE
OUI C'EST VRAI LES KEMIAS DANS LES CAFE ETAIT TRES APPRECIEES
LES POICHICHES AU CUMIN LES FEVES LES TRAMOUSSES OLIVES LES VARIANTES ET J'EN PASSE....
IL Y AVAIT DANS L'AVENUE DE LA BOUZAREAH UN CAFE TRES REPUTE POUR SES KEMIAS
BONNE JOURNEE A TOUS
ANDREE

 

De : jacquelineEnvoyer un mail

Le : 18/11/2010 07:52

merci cher Mr. Voirin, votre récit est magnifique, grace à vous, nous avons sans doute tous refait, une petite ballade dans ce Bab.el.Oued si cher à nos coeurs, c´est tellement réconfortant de fermer les yeux, et réver que rien n´a changé, que nous sommes encore "là-bas" dans notre beau Pays du Soleil ou, malgré tout, la vie était douce à vivre!
Il ne nous reste plus aujourd´hui, et depuis 48 ans déjà(c´est fou comme le temps a filé entre nos doigts)que cette nostalgie, ces souvenirs d´un temps qui était, le temps de la jeunesse et du bonheur !

 

De : mathildeEnvoyer un mail

Le : 18/11/2010 07:07

JE RECTIFIE POUR ROBERT VOIRIN (ET NON PAS ALBERT)

 

De : mathildeEnvoyer un mail

Le : 18/11/2010 07:06

POUR ALBERT VOIRIN
VOTRE RECIT, UN SEUL MOT MAGNIFIQUE!!!!
J AI LES MEMES SOUVENIRS DANS MA TETE,MAIS EN SENS INVERSE.J HABITAIS
RUE MIZON,LES EUCALYPTUS.AMITIES.

 

De : soldevila jean claude Envoyer un mail

Le : 17/11/2010 21:31

a nacer frére de omar boubekeur..je me rappelle bien de omar mais pas de toi nacer..oui je suis le fils de louise Torres qui s'était remarié avec ce dernier j'ai laissé mes deux adresses courriel à omar dites moi si vous etes toujours a alger je suis beaucoup peiné de ouardillah ta mère je l'adorais je me rappelles des attaf des morghad et de tous ceux qui habitaient chez nous j'ai eu aussi beaucoup de peine pour fatma bellazzouz.....qui est ce gonzalez que cherche omar ...enfin je suis en relation tu diras à omar avec socquet claude. dura andré. serra francis.schemama lucien qui habitait au 19 de la rampe vallée en 61 comme je te l'ai dit j'ai habité vec mon épouse car je me suis marié dans cette année là a alger au 39 de la rampe vallée c'était ma mme delleci qui m'avait fait rentré dans cette appartement au rez de chaussée et la fenètre donnait sur la rue je sais qu'omar travaillé à la pharmacie à coté de chez bentayeb je lui donnerai des nouvelles des dabunto s'il s'en rappelle ils habitaient plus bas que le 39 j'espère vous lire bientot et je vous embrasse ...votre frère jean claude



 

De : boubekeur omarEnvoyer un mail

Le : 17/11/2010 19:54

salut rachid bendali j habitais au 1 rue papin je suis un ami de la famille je travaillais a la pharmacie aidane

 

De : boubekeur omarEnvoyer un mail

Le : 17/11/2010 19:48

recherche mrs jean gonzalez delleci jean guy rondine tous habitaient avant 62 a la rampe valee j habitais au 1 rue papin et je travaillais a la pharmacie aidane

 

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