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De : DOMENECH Liliane
Le : 10/12/2010 09:05
Avec Robert Voirin, on a du se croiser au marché car nos mères avaient les mêmes fournisseurs : Agullo le boucher, Ali le marchand de légumes, le moutchou de la rue de l'Alma, Blanchette mais on ne s'arrêtait pas souvent, et enfin le boulanger Fullana.
Et le marchand de chaussures Gazo... où il fallait grimper quelques escaliers
Amitiés PN à tous.
Et j'ajoute une petite anecdote de la tante de ma mère qui ne maîtrisait pas bien le français et qui disait en entendant les poissonniers criaient : poisson, poisson, poisson frais....
Elle avait dit en revenant :
E comprado une pescado que se dice "poisson"...
Mon espagnol n'est peut-être pas très top mais je pense que tout le monde a compris.
Et le marchand de chaussures Gazo... où il fallait grimper quelques escaliers
Amitiés PN à tous.
Et j'ajoute une petite anecdote de la tante de ma mère qui ne maîtrisait pas bien le français et qui disait en entendant les poissonniers criaient : poisson, poisson, poisson frais....
Elle avait dit en revenant :
E comprado une pescado que se dice "poisson"...
Mon espagnol n'est peut-être pas très top mais je pense que tout le monde a compris.
De : etoile*
Le : 10/12/2010 08:32
Coucou Monica,je suis bien arrivée sur Bastia, et très contente de nos retrouvailles, gros bisous à bientot
De : robert voirin
Le : 09/12/2010 18:38
Bonjour à tous,
une petite promenade au marché ...
robert voirin
J'AVAIS DIX ANS AU MARCHE ( de Bab El Oued )
Le marché est très animé ce matin, ma mère me tient d'une main,
elle porte son filet et moi le couffin, mais voilà qu'on s'arrête enfin,
tout en faisant la chaîne elle choisit avec soin ses légumes et fruits
sous l'oeil bienveillant d' Ali un de ses marchands favori.
On passe devant la boulangerie, ça sent bon la calentita...
j'en mangerai bien une part mais ma mère ne s'arrête pas,
je dois la suivre de près si je ne veux pas la perdre de vue
tant bien que mal au milieu de cette joyeuse cohue.
Je cours derrière elle, elle m'entraîne à l'intérieur du marché,
il y a du monde partout, on attend son tour chez Agullo le boucher,
pendant ce temps je regarde ce qui se passe autour de moi, je me régale,
on dirait que tout Bab El Oued est là ... c'est vraiment convivial.
Pour passer les gens se bousculent un peu mais bien gentiment,
les mauresques sous leur voile blanc discutent et prennent leur temps,
chez le charcutier on fait encore la queue, c'est la grande rigolade,
après un bon moment on en repart avec un paquet de soubressade.
Une fois dehors quelle ambiance, c'est pareil il y a un monde fou,
on se faufile dans la petite rue derrière jusqu'au moutchou,
on rentre, ici peu de clients, il y règne un silence apaisant,
il flotte dans l'air des senteurs de cumin et de safran,
le mozabite est un homme gentil qui parle d'une voix douce,
il nous sert l'huile, les pois chiches, les dattes, le couscous
et les figues séches, avant de sortir il me donne un carambar,
ma mère me pousse et me dit de filer car il commence à se fait tard.
On se retrouve de nouveau à se dépêcher dans les allées,
nous nous arrêtons devant chez Rouget le poissonnier,
au milieu de son étal un énorme tas de ce succulent poisson,
on en prend un bon kilo, on va bien se régaler ce midi à la maison...
Les courses sont presque finies, le couffin commence à être plein
mais vaut mieux pas que je rale même si j'ai mal à la main,
ma mère m'apelle et me tire par le bras rue Cardinal Verdier,
on passe devant chez Blanchette, je regarde avec envie ses beignets...
Le couffin commence maintenant à être lourd mais je me suis bien amusé,
on remonte alors jusqu'à la cité Picardie et le portail passé
nous voilà de retour un peu fatigués chez nous rue Réaumur j'ai trouvé cette matinée pleine d'entrain, pourvu que ça dure...
Robert Voirin
une petite promenade au marché ...
robert voirin
J'AVAIS DIX ANS AU MARCHE ( de Bab El Oued )
Le marché est très animé ce matin, ma mère me tient d'une main,
elle porte son filet et moi le couffin, mais voilà qu'on s'arrête enfin,
tout en faisant la chaîne elle choisit avec soin ses légumes et fruits
sous l'oeil bienveillant d' Ali un de ses marchands favori.
On passe devant la boulangerie, ça sent bon la calentita...
j'en mangerai bien une part mais ma mère ne s'arrête pas,
je dois la suivre de près si je ne veux pas la perdre de vue
tant bien que mal au milieu de cette joyeuse cohue.
Je cours derrière elle, elle m'entraîne à l'intérieur du marché,
il y a du monde partout, on attend son tour chez Agullo le boucher,
pendant ce temps je regarde ce qui se passe autour de moi, je me régale,
on dirait que tout Bab El Oued est là ... c'est vraiment convivial.
Pour passer les gens se bousculent un peu mais bien gentiment,
les mauresques sous leur voile blanc discutent et prennent leur temps,
chez le charcutier on fait encore la queue, c'est la grande rigolade,
après un bon moment on en repart avec un paquet de soubressade.
Une fois dehors quelle ambiance, c'est pareil il y a un monde fou,
on se faufile dans la petite rue derrière jusqu'au moutchou,
on rentre, ici peu de clients, il y règne un silence apaisant,
il flotte dans l'air des senteurs de cumin et de safran,
le mozabite est un homme gentil qui parle d'une voix douce,
il nous sert l'huile, les pois chiches, les dattes, le couscous
et les figues séches, avant de sortir il me donne un carambar,
ma mère me pousse et me dit de filer car il commence à se fait tard.
On se retrouve de nouveau à se dépêcher dans les allées,
nous nous arrêtons devant chez Rouget le poissonnier,
au milieu de son étal un énorme tas de ce succulent poisson,
on en prend un bon kilo, on va bien se régaler ce midi à la maison...
Les courses sont presque finies, le couffin commence à être plein
mais vaut mieux pas que je rale même si j'ai mal à la main,
ma mère m'apelle et me tire par le bras rue Cardinal Verdier,
on passe devant chez Blanchette, je regarde avec envie ses beignets...
Le couffin commence maintenant à être lourd mais je me suis bien amusé,
on remonte alors jusqu'à la cité Picardie et le portail passé
nous voilà de retour un peu fatigués chez nous rue Réaumur j'ai trouvé cette matinée pleine d'entrain, pourvu que ça dure...
Robert Voirin
De : pierrot de beo
Le : 09/12/2010 18:25
salut les enfants de beo une etoile est partie (stella c etait son prenom)elle nous a quitté ce 13 novembre juste avant elle feuilletait son album de fotos sur sa vie a beo a nice et enfin lyon ou elle repose en paix )a champagne au mont d or pres de son mari dedé parti il y a 41 anslui aussi un enfant de st eugene son père maurice roi des materiaux av de la bouzareah une page se tourne avec son depart sans bruit mais je viens lui rendre hommage bientot un mois le 13 dec priez pour elle elle prie pour vous amen,,,,,,,elle avait 91ans,,,,c etait ma mère
De : ABDERRAHMANE
Le : 09/12/2010 17:40
BONJOUR JE M'APPELLE ABDERRAHMANE ET J'HABITE TOUJOURS A LA RUE NOBEL BAB EL OUED .VOUS ETES NOSTALGIQUE JE SUIS A VOTRE DISPOSITION POUR VOUS FAIRE REVER UN PEU .VOTRE VILLA AVEC DEUX ENTREES EXISTE A CE JOUR.
De : Histoire de Père NOËL
Le : 09/12/2010 13:02
C’était le soir de Noël et je me préparais à partir, les cadeaux étaient tous chargés dans mon traîneau et, Héhéhéé ! Il était vraiment très rempli ! C’était l’heure, je partis avec mon fidèle renne Douillet à travers les bois, mais au détours d’un virage, le traîneau sur un rocher se retourna ! … Tous les cadeaux étaient éparpillés autour du traîneau, qui, malheureusement était cassé ! Il m’était impossible de continuer avec !
Que faire ? Le village de Noël était bien trop loin ! et il se faisait déjà tard !
Une seule solution, envelopper tous les cadeaux dans mon grand sac et partir sur le dos de Douillet distribuer les cadeaux. Nous avions presque finit ma tournée, et nous arrivions dans la dernière ville, Douillet commençait à être vraiment très fatigué, et traversant un petit pont, mon renne glissa sur une plaque de verglas « plouf ! », Je me retrouvais à l’eau ! Mes cadeaux avaient coulé au fond de la rivière et je me retrouvais tout mouillé ! C’est alors, qu’une femme s’approcha de moi, et me demanda si j’étais bien le Père Noël… Ravie de me rencontrer pour la première fois, elle se proposa de m’aider « et son aide était bien sûr la bienvenue ! »
Elle s’appelait Piplette et elle était marchande de jouets … Piplette m’emmena chez elle, afin que je puisse me sécher et remplacer les cadeaux qui avaient coulé !
Heureusement que Piplette était là ce soir là, sinon je ne m’en serais jamais sorti !
Où en étais-je déjà ? Ah oui, le jour commençait à apparaître, il fallait faire vite, une fois les cadeaux enveloppés, je partit avec Piplette qui s’était proposé de m’aider !
Finalement nous finîmes la distribution juste à temps avant le levé du soleil, et les enfants eurent tous les cadeaux qu’ils avaient désirés, grâce à Piplette ! Quant à moi je me suis fait une très grande amie et je ne fût pas malade ….
Que faire ? Le village de Noël était bien trop loin ! et il se faisait déjà tard !
Une seule solution, envelopper tous les cadeaux dans mon grand sac et partir sur le dos de Douillet distribuer les cadeaux. Nous avions presque finit ma tournée, et nous arrivions dans la dernière ville, Douillet commençait à être vraiment très fatigué, et traversant un petit pont, mon renne glissa sur une plaque de verglas « plouf ! », Je me retrouvais à l’eau ! Mes cadeaux avaient coulé au fond de la rivière et je me retrouvais tout mouillé ! C’est alors, qu’une femme s’approcha de moi, et me demanda si j’étais bien le Père Noël… Ravie de me rencontrer pour la première fois, elle se proposa de m’aider « et son aide était bien sûr la bienvenue ! »
Elle s’appelait Piplette et elle était marchande de jouets … Piplette m’emmena chez elle, afin que je puisse me sécher et remplacer les cadeaux qui avaient coulé !
Heureusement que Piplette était là ce soir là, sinon je ne m’en serais jamais sorti !
Où en étais-je déjà ? Ah oui, le jour commençait à apparaître, il fallait faire vite, une fois les cadeaux enveloppés, je partit avec Piplette qui s’était proposé de m’aider !
Finalement nous finîmes la distribution juste à temps avant le levé du soleil, et les enfants eurent tous les cadeaux qu’ils avaient désirés, grâce à Piplette ! Quant à moi je me suis fait une très grande amie et je ne fût pas malade ….
De : Yves Jalabert
Le : 09/12/2010 00:58
Bonjour à toutes et tous. J'ai laissé un message il y a quelques jours mais qui n'a pas était compris, selon ce que l'on m'a rapporté. En recopiant le lien ci-dessous vous découvrirez 40 albums photos,avec des thèmes différents, contenant plus de 2000 photos sur Alger http://www.flickr.com/photos/yves_jalabert/sets/
J'en profite pour vous signaler le prochain séjour à Alger du 30 avril au 5 mai. Amitiés. Yves
J'en profite pour vous signaler le prochain séjour à Alger du 30 avril au 5 mai. Amitiés. Yves
De : nebbout
Le : 08/12/2010 15:20
deja 3ans QUEL HOMME SUPERBE tu sera toujours dans mon coeurs repose en paix mon cher ami grosses bises a sa famille et amiees
De : jean-pierre ROS
Le : 08/12/2010 06:54
Chere Elisabeth
merci pour ta reponse voici mon email adresse " jp35ros@tpg.com.au " j'espere que cela marchera amitie
De : Elisabeth Essner
Le : 08/12/2010 02:38
Jean Pierre Ros
As tu change ton adresse email?? laquelle est la bonne, j'en ai 3 pour toi?? je recois bien tes messages mais tu ne sembles pas recevoir mes reponses
As tu change ton adresse email?? laquelle est la bonne, j'en ai 3 pour toi?? je recois bien tes messages mais tu ne sembles pas recevoir mes reponses
