pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : garciaEnvoyer un mail

Le : 27/04/2011 19:49

En cette fin d'avril 1962,quatre generaux valeureux se mettaient au serveice de l'Algérie Française pour essayaer de sauver botre Algérie.Ils avaient tou à perdre et ils ont tou perdu.Surpris de voir que, en ces jours de f^ete,on parle de mouna,de gateaux de galentita et de choses sans importance,m

 

De : Elisabeth EssnerEnvoyer un mail

Le : 27/04/2011 08:11

POUR MARTINE TULLIEZ/ARCHAMBAUD
Martine si tu peux lire ce message, stp prends contact avec moi via l'adresse sur l'enveloppe. Mes mails me sont revenus. Merci

 

De : Annie Hié PERINETEnvoyer un mail

Le : 26/04/2011 22:25


Serait-il possible à Lisette Munier nous parle un peu plus de ce voyage en Israel.

d'avance je l'en remercie

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 26/04/2011 16:19

La Bibliothèque des Trois Horloges est devenue grâce au travail de Christian, une rubrique passionnante où nous retrouvons les témoignages de notre vie passée, vus par les uns et les autres. C'est un patrimoine irremplaçable.
Une nouvelle suggestion : " LA LANGUE DE CHEZ NOUS ". Mon cher Christian les mots et les expressions de chez nous ne pourraient-ils pas figurer dans une rubrique qui démontrerait à coup sûr, la richesse de la diversité qui composait notre cher quartier. Le pataouète et le sabir étaient une sorte de tramway de la pensée comme nos anciens trams des T.A. qui partaient de la Place de l'Alma, bourré de Français, d'Arabes, d'Italiens, d'Espagnols, musulmans, juifs chrétiens ou athées.
Auguste Robinet dit "Musette" avec la saga des amours de Cagayous, Edmond Brua dans la célèbre "Parodie du Cid", la Famille Hernandez plus tard et Roland Bacri récemment, ont donné leurs lettres de noblesse à cette richesse perdue. Le parler et l'accent du petit peuple de BEO demeurait un véritable patrimoine commun hérité des générations précédentes; ils avaient l'avantage de nous faire appartenir à une même et belle famille, sans distinction de ses origines.
Dans le monde d'aujourd'hui lorsqu'un enfant s'agite et se roule parterre, vous lui dites : " Attention, Clément, tu vas salir ta culotte neuve." Chez nous, culotte neuve ou pas, quand on était petit, nos mères nous disaient avec l'accent : " C'est ça mon fils, pourris-toi bien, ta mère elle f'ra la bonne!"
A vos mémoires pour exhumer: caboute, baraket, zoubia, falso, falampo, calbote et autre mancaora...

 

De : Pierrette CampsEnvoyer un mail

Le : 26/04/2011 16:17

J'ai eux le plaisir de rencontrer Edgar Bentolila -pour l'anniversaire de marriage de sa cousine Maryse a' Miami, Maryse habitait comme moi rue Rochambeau au dessus de l'epicerie Apicella =malgre que nous ne sommes pas connues a'ce moment nous somme maintenant en contact grace a'l'Internet.
Un autre ami de la' bas est Gerard Toubiana que j'ai rencontrer par hasard quant il a acheter mon livre sur Amazon.. Il habite en Alabama, mais chaque fois qu'il descend ici avec sa charmante femme Joyce, ils me paye le repas dans un Resto Francais -qui s'appele "Ma Provence".Le grandpere du Proprietaire J Mourier etait marchand de bomboms a' BEO. Il se tenait devant sa porte est donner des bomboms aux enfants qui passaient la' Peut etre que l'un de vous s'en rappele encore?
PS A propos ont peut manger le Couscous chez Ma Provence mais il faut le
commender a'l'avance!

 

De : sendra yvette epouse azzopardiEnvoyer un mail

Le : 26/04/2011 13:26

je suis née et j'ai vécue 19ans au 32 bis rue leçon roche toute mon enfance et mon adolescence, ensuite a Alger plage après mon mariage la belle vie quoi. aujourd'hui je vie a Paris a Meudon la foret 92 exactement. j'ai deux enfants et cinq petits enfants de 24ans a 7mois j'ai déjà rencontrée quelques copains et copine de mon quartier et aussi de l'école des s 1/2 urs de ste joseph avec un infini bonheur si vous me reconnaissais et que vous voulez me dire un petit bonjour j'en serais très très très heureuse je n'oublie pas de vous signaler que ma s 1/2 ur Jeanine habite a deux pas de chez moi et que nous nous voyons tout les jours. elle se joint a moi pour ce petit clin d' 1/2 il et nous vous transmettons notre bon souvenir

 

De : Edgar B.Envoyer un mail

Le : 26/04/2011 06:09

Bonnes Fêtes de Pâques à tous les amis de BEO!

Vos récits sont pleins de souvenirs d'enfance qui retrouvent leur souffle en ce site.
Les quartiers, les rues, les senteurs, les galettes, les mounas, les mekrouds, le mimosa, nos amis et habitudes d'antan, y compris notre accent, ont gardé une place spéciale en notre esprit et en notre vie.

Sur une des photos de Sportifs du S.A.B.O., j'ai reconnu ANDRÉ MARQUÈZ, ami et entraineur, et en charge du Club de Culturime dans lequel je faisais partie avec mon jeune frère Paul(dcd).
Si quelqu'un(e) le connait, passez lui le bonjour de ma part, et faites lui savoir que jusqu'à ce jour je m'entraine 3/4 fois par semaine, et gardé ses bons principes.
Et je peux être contacté ici:

Edgar BENTOLILA
Edgarb2210@msn.com

 

De : claude fenollar borgEnvoyer un mail

Le : 25/04/2011 14:13

a tous de bonnes fêtes de Paques et pas trop de crise de foie avec le chocolat...... de vos enfants ou petits enfants!!!!!

 

De : andree atlanEnvoyer un mail

Le : 25/04/2011 09:55

TEXTE TROUVE SUR LE NET
ORIGINE DE LA MOUNA

La mouna ou mona étant semblable à la mona de Pascua espagnole, il est souvent affirmé que cette pâtisserie a été amenée par les Espagnols en Oranie.
Une autre hypothèse rapproche le nom du gâteau de celui du fort construit par le premier gouverneur espagnol, don Diego, marquis de Comarez, à l'endroit même du
débarquement ; ce fort fut appelé Castillo de la Mona (Château de la Guenon, devenu fort de la Moune, puis Fort Lamoune), car, dit-on, l'endroit entièrement boisé était habité par des bandes de singes (mona en
espagnol). Pour la fête de Pâques, les familles auraient fait passer aux prisonniers du fort des gâteaux, piqués sur de longues perches, qui auraient pris le nom du lieu.
Une troisième hypothèse avance que le gâteau porterait ce nom parce que les Oranais avaient l'habitude d'aller piqueniquer près de ce fort, à Pâques.
Henri Chemouilli, quant à lui, rapproche mouna de mimouna, probablement issu de l'arabe imoun (heureux), qui est le nom du dernier jour de la Pâque juive.
Selon André Lanly, « mouna » vient du valencien mona (avec un o fermé), qui dériverait de l'adjectif latin munda dans l'expression munda annona qui désignait le pain de luxe dans l'armée romaine. Il s'appuie sur le fait qu'en valencien, comme en catalan, la dentale du groupe nd s'efface. Dans le parler populaire d'Algérie, « mouna » désignait aussi un coup porté sur la joue : « Il lui a mis une mouna comme ça ! ».
Pierre Mannoni signale en tout cas que quelle que soit la forme de la mouna, l'important réside dans la tradition du piquenique où on la déguste et que cette coutume, qui se retrouve partout en Algérie, constitue une célébration du printemps, un « rite plus païen que chrétien sans doute ». Il rejoint Joëlle Hureau pour qui « faire la mouna, c'est sacrifier à un rite ».

Fabrication DE LA MOUNA

Il s'agit d'une pâte levée faite de farine,eau, lait et de levure de boulanger, à laquelle on adjoint de l’huile, le jus et le zeste d’oranges (ou de la fleur d'oranger ) et une tisane d’anis ou du rhum. La pâte est fractionnée en petites boules que l'on badigeonne de jaune d''oeuf battu avec un peu de lait, et dont on recouvre le sommet de morceaux de sucre concassés. Certaines peuvent être garnies d'un oeuf frais de poule. Les boules, posées sur un grand plateau en tôle, sont ensuite cuite au four.

Tradition

La mouna se préparait traditionnellement par la mère de famille, avec l'aide des enfants; elle pouvait être cuite à la maison, ou dans le four du boulanger. On la mangeait le jour de Pâques et le lundi lors de l'excursion traditionnelle. Ce gâteau ne s'achetait pas, il était offert aux personnes présentes lors des réunions familiales ou d'amis.
L'importance de la mouna était telle que Marc Baroli a écrit : « Pâques est seulement la veille de la Mouna »et que « faire la mouna » est devenu synonyme de « piqueniquer à Pâques ».
La dégustation de la mouna est entrée dans le midi de la France, dans les années 1960, avec le rapatriement des Pieds-Noir
BONNE MOUNA ET BONNE JOURNEE
ANDREE

 

De : Pierrette Camps KomarekEnvoyer un mail

Le : 24/04/2011 22:17

A tous mes amis de la' bas, je vous souhaite de Joyeuses Paques d'Amerique, ou' helas ils ne vendent pas la Mouna!
Pierrette du Cafe' de Cadix.Rue Rochambeau.

 

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