Liste des messages
Le : 18/12/2011 15:29
Me baladant dans les travées d’une grande surface de matériaux de construction, je vois, traînant par terre, oublié parce qu’insignifiant et d’aucune valeur cet objet anodin et désormais caduc qui servait à emballer et emprisonner avec une solidité à toute épreuve les énormes ballots de marchandises arrivant par bateaux ou plus près de nous par camions.
Ils faisaient leurs livraisons bruyantes bien avant l’aurore, au marché, notre marché et aussi chez nos moutchous et particulièrement à l’Etoile Blanche – chez Slimane- épicerie jouxtant le café de l’Olympic (angle de l’avenue des Consulats et du boulevard de Provence). Cette vaste épicerie recevait ses montagnes de marchandises venant principalement de Ghardaïa et c’était tout un spectacle qui fascinait nos regards d’enfants.
D’abord, par le fait que le déchargement avait lieu dans une cour rectangulaire en contrebas entourée par nos immeubles et que, pour y accéder, les camions surchargés devaient -sous peine de plus pouvoir en ressortir- y accéder par l’étroite rue des Messageries en marche arrière, ce qui demandait un bon quart d’heure au chauffeur suant sang et eau, saoulé par la chaleur, la fatigue des longs trajets et les clameurs contradictoires d’une dizaine de conseillers ès-man 1/2 uvres.
Ensuite, par le fait que, de notre cour située en rez-de-chaussée, nous étions à la hauteur des livreurs aux yeux atteints par le trachome, souvent porteurs de grosses lunettes de myope et vêtus immuablement de leurs blouses et sarouels traditionnels.
Mais aussi et surtout parce que nous attendions sagement et impatiemment que, après le déchargement de toutes ces marchandises mystérieusement englouties dans cet entrepôt plein à craquer et qui servait aussi d’hébergement à tous ces travailleurs mozabites, parce que nous attendions donc le moment de nous servir de cet objet mis au rebut : le feuillard métallique, long ruban de métal de 1 à 1,5cm de largeur, lien cisaillé libérant et faisant dangereusement enfler ces cartons désormais prêts à s’éclater comme des grenades trop mûres…
Et comme des moineaux attendant leur festin, nous allions au portail de cette cour et attendions que les portefaix nous donnassent (ce subjonctif imparfait - mais qui est parfait aujourd’hui ? - on l’a appris aussi à BEO, oui ! parfaitement ! avec un « d » !) des longueurs de ce machin. Les malchanceux en avaient de trop courts, ou inutilisables parce qu’ils avaient été sertis et impossibles à défaire…..
Cela n’avait d’ailleurs aucune importance car, à défaut de partager, nous nous mettions « en quatre », à deux ou à plusieurs pour réaliser nous-mêmes ce bijou qui allait nous donner un pouvoir, toujours confisqué par les adultes, nos parents, nos maîtres…
De fait, avec les moyens du bord, untel, avec des pinces subrepticement empruntées au père, un autre avec un marteau, la plupart, le plus souvent avec un caillou qui, à notre grand dam, martelait notre 1/2 uvre d’une manière indélébile, nous parvenions enfin à montrer ce dont nous étions capables.
Et c’est ainsi que nous avons été maudits par tous les chauffeurs de taxi et automobilistes qui passaient par là ; maudits et pris à partie par les joueurs de football qui nous dépouillaient de notre bien.
Bien sûr, je ne vous dis pas quel était cet objet mystérieux réalisé seulement par les garçons de l’époque. Grands-pères aujourd’hui, ils chercheront dans leur mémoire et pourront raconter et partager - pourquoi pas pour Noël ?- cette histoire vraie qui s’est passée en Alger, à Babeloued en tout cas, dans d’autres quartiers certainement aussi, il y a 100 non 60/65 ans, hier en somme…..
A celles et à ceux qui auront trouvé le nom de cet objet, je demanderai de me rappeler comment on le réalise, sachant qu’on y ajoutait un….pois chiche et que j’ai gardé ce morceau de feuillard dont Lamartine a pu écrire « Objets inanimés, avez vous donc une âme qui s'attache à notre âme et la force d'aimer ?»
Ils faisaient leurs livraisons bruyantes bien avant l’aurore, au marché, notre marché et aussi chez nos moutchous et particulièrement à l’Etoile Blanche – chez Slimane- épicerie jouxtant le café de l’Olympic (angle de l’avenue des Consulats et du boulevard de Provence). Cette vaste épicerie recevait ses montagnes de marchandises venant principalement de Ghardaïa et c’était tout un spectacle qui fascinait nos regards d’enfants.
D’abord, par le fait que le déchargement avait lieu dans une cour rectangulaire en contrebas entourée par nos immeubles et que, pour y accéder, les camions surchargés devaient -sous peine de plus pouvoir en ressortir- y accéder par l’étroite rue des Messageries en marche arrière, ce qui demandait un bon quart d’heure au chauffeur suant sang et eau, saoulé par la chaleur, la fatigue des longs trajets et les clameurs contradictoires d’une dizaine de conseillers ès-man 1/2 uvres.
Ensuite, par le fait que, de notre cour située en rez-de-chaussée, nous étions à la hauteur des livreurs aux yeux atteints par le trachome, souvent porteurs de grosses lunettes de myope et vêtus immuablement de leurs blouses et sarouels traditionnels.
Mais aussi et surtout parce que nous attendions sagement et impatiemment que, après le déchargement de toutes ces marchandises mystérieusement englouties dans cet entrepôt plein à craquer et qui servait aussi d’hébergement à tous ces travailleurs mozabites, parce que nous attendions donc le moment de nous servir de cet objet mis au rebut : le feuillard métallique, long ruban de métal de 1 à 1,5cm de largeur, lien cisaillé libérant et faisant dangereusement enfler ces cartons désormais prêts à s’éclater comme des grenades trop mûres…
Et comme des moineaux attendant leur festin, nous allions au portail de cette cour et attendions que les portefaix nous donnassent (ce subjonctif imparfait - mais qui est parfait aujourd’hui ? - on l’a appris aussi à BEO, oui ! parfaitement ! avec un « d » !) des longueurs de ce machin. Les malchanceux en avaient de trop courts, ou inutilisables parce qu’ils avaient été sertis et impossibles à défaire…..
Cela n’avait d’ailleurs aucune importance car, à défaut de partager, nous nous mettions « en quatre », à deux ou à plusieurs pour réaliser nous-mêmes ce bijou qui allait nous donner un pouvoir, toujours confisqué par les adultes, nos parents, nos maîtres…
De fait, avec les moyens du bord, untel, avec des pinces subrepticement empruntées au père, un autre avec un marteau, la plupart, le plus souvent avec un caillou qui, à notre grand dam, martelait notre 1/2 uvre d’une manière indélébile, nous parvenions enfin à montrer ce dont nous étions capables.
Et c’est ainsi que nous avons été maudits par tous les chauffeurs de taxi et automobilistes qui passaient par là ; maudits et pris à partie par les joueurs de football qui nous dépouillaient de notre bien.
Bien sûr, je ne vous dis pas quel était cet objet mystérieux réalisé seulement par les garçons de l’époque. Grands-pères aujourd’hui, ils chercheront dans leur mémoire et pourront raconter et partager - pourquoi pas pour Noël ?- cette histoire vraie qui s’est passée en Alger, à Babeloued en tout cas, dans d’autres quartiers certainement aussi, il y a 100 non 60/65 ans, hier en somme…..
A celles et à ceux qui auront trouvé le nom de cet objet, je demanderai de me rappeler comment on le réalise, sachant qu’on y ajoutait un….pois chiche et que j’ai gardé ce morceau de feuillard dont Lamartine a pu écrire « Objets inanimés, avez vous donc une âme qui s'attache à notre âme et la force d'aimer ?»
Le : 18/12/2011 14:34
joyeux noel a tous et a toutes
enfants de bab el oued
gros bisous.santé et tous le reste!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le : 17/12/2011 17:52
Bonsoir Pierre-Claude,
Alors une ride de plus, mais celle là elle s'arrose au champagne.
Au fondateur de l'ABEO, nous te souhaitons un joyeux anniversaire et que l'on puisse se réunir encore longtemps grâce à tous les bénévoles.
Grosses bises à toi et à Christiane.
Ginette et Christian
Alors une ride de plus, mais celle là elle s'arrose au champagne.
Au fondateur de l'ABEO, nous te souhaitons un joyeux anniversaire et que l'on puisse se réunir encore longtemps grâce à tous les bénévoles.
Grosses bises à toi et à Christiane.
Ginette et Christian
Le : 17/12/2011 17:28
Pour répondre à PAULO.
Non,je n'ai pas oublié Mr.BELLAICHE,on l'avait surnommé:TONTON BELLAO.C'était un brave homme et je crois que nous l'avons bien souvent < chahuté<.Mr.DARMON habitait prés de chez moi,au 30 rue Mizon et je me souvient de son chapeau mou gris qu'il portait et qu'il posait toujours au coin gauche de son bureau.A évoquer ces souvenirs,j'ai l'impression de me revoir en classe.
Mr.MENER,notre prof.de maths.phys.chimie(et je crois,sciences nat.?)c'était un prof. d'exception et j'en ai aussi gardé un bon souvenir
Amitiées et à bientot...
Non,je n'ai pas oublié Mr.BELLAICHE,on l'avait surnommé:TONTON BELLAO.C'était un brave homme et je crois que nous l'avons bien souvent < chahuté<.Mr.DARMON habitait prés de chez moi,au 30 rue Mizon et je me souvient de son chapeau mou gris qu'il portait et qu'il posait toujours au coin gauche de son bureau.A évoquer ces souvenirs,j'ai l'impression de me revoir en classe.
Mr.MENER,notre prof.de maths.phys.chimie(et je crois,sciences nat.?)c'était un prof. d'exception et j'en ai aussi gardé un bon souvenir
Amitiées et à bientot...
Le : 17/12/2011 14:03
En Pologne (Wesołych Świąt)
La veille de Noël, les enfants attendent avec impatience l'apparition de la première étoile dans le ciel : ce moment marque en effet le début du repas et de la fête.
Pour la préparation de la table de Noël, on glisse de la paille sous la nappe pour rappeler que Jésus est né dans une étable. On laisse également toujours une place libre au cas où un invité arriverait.
Selon la tradition, la période de Noël commence le 24 décembre et se termine le 6 janvier, le jour de la fête des Rois. La veille de Noël, des groupes d'enfants déguisés en Rois mages, en diables, en anges et en bergers vont de porte en porte réclamer des pièces de monnaie et des gâteaux.
Pendant cette période, les Polonais aiment se promener en traîneau à travers la campagne toute blanche.
Ils organisent aussi des pique-niques autour de grands feux.
La veille de Noël, les enfants attendent avec impatience l'apparition de la première étoile dans le ciel : ce moment marque en effet le début du repas et de la fête.
Pour la préparation de la table de Noël, on glisse de la paille sous la nappe pour rappeler que Jésus est né dans une étable. On laisse également toujours une place libre au cas où un invité arriverait.
Selon la tradition, la période de Noël commence le 24 décembre et se termine le 6 janvier, le jour de la fête des Rois. La veille de Noël, des groupes d'enfants déguisés en Rois mages, en diables, en anges et en bergers vont de porte en porte réclamer des pièces de monnaie et des gâteaux.
Pendant cette période, les Polonais aiment se promener en traîneau à travers la campagne toute blanche.
Ils organisent aussi des pique-niques autour de grands feux.
Le : 17/12/2011 14:01
En Irlande (Merry Christmas)
En Irlande, les fêtes de Noël commencent 12 jours avant Noël. On appelle cette période "little Christmas", c'est-à-dire "petit Noël".
Une bougie est déposée sur le rebord de la fenêtre le jour de Noël. Avant de partir pour l’église, on laisse un verre de whisky pour le Père Noël et des carottes pour les rennes !
Le jour de Noël, on ouvre les cadeaux et on participe au traditionnel déjeuner.
Le lendemain, le 26 décembre, est encore un jour de fête : c'est "Stephen's days".
De nombreux Irlandais assistent à des courses de chevaux et font des paris, tandis que d'autres chantent dans les rues.
À la campagne, de jeunes garçons,les "wren boys", habillés avec de vieux vêtements, chantent et font de la musique. Ils vont ainsi de maison en maison réclamer quelques pièces de monnaie.
En Irlande, les fêtes de Noël commencent 12 jours avant Noël. On appelle cette période "little Christmas", c'est-à-dire "petit Noël".
Une bougie est déposée sur le rebord de la fenêtre le jour de Noël. Avant de partir pour l’église, on laisse un verre de whisky pour le Père Noël et des carottes pour les rennes !
Le jour de Noël, on ouvre les cadeaux et on participe au traditionnel déjeuner.
Le lendemain, le 26 décembre, est encore un jour de fête : c'est "Stephen's days".
De nombreux Irlandais assistent à des courses de chevaux et font des paris, tandis que d'autres chantent dans les rues.
À la campagne, de jeunes garçons,les "wren boys", habillés avec de vieux vêtements, chantent et font de la musique. Ils vont ainsi de maison en maison réclamer quelques pièces de monnaie.
Le : 17/12/2011 09:39
BONJOUR A TOUS
NOEL EN FRANCE
Plusieurs jours avant Noël, les villes et les villages de France prennent un air de fête. On décore la façade des mairies. On dresse un immense sapin sur les grandes places. Les rues principales et les arbres sont recouverts de guirlandes lumineuses.
Les grands magasins font de très belles vitrines ou certains mettent en scène des automates.
Les enfants se font photographier en compagnie du Père Noël.
Les écoles maternelles décorent leurs classes.
Le 24 au soir les familles font un diner de réveillon composé de mets savoureux tels que des huitres et du foie gras. Les plus pratiquants vont ensuite en famille à la messe de minuit.
Le Père Noël vient déposer les cadeaux pendant la nuit et les enfants les découvrent le matin de Noël au pied su sapin.
Le jour de Noël, ils se rassemblent en famille autour de la table de Noël. Le repas de Noël est souvent composé d'une dinde ou d'un chapon roti et se termine par une bûche glacée ou en gâteau.
En Provence, dans certaines églises du bord de la mer, à la fin de la messe de minuit, une procession de pêcheurs et de poissonniers déposent au pied de l'hôtel un panier rempli de poissons, en signe d'affection et de reconnaissance envers le petit Jésus.
La tradition veut que le repas du réveillon se termine par treize desserts qui symbolisent le Christ et les douze apôtres. Ces desserts rassemblent tous les fruits et les confiseries de la région
BONNE JOURNEE A TOUS .
NOEL EN FRANCE
Plusieurs jours avant Noël, les villes et les villages de France prennent un air de fête. On décore la façade des mairies. On dresse un immense sapin sur les grandes places. Les rues principales et les arbres sont recouverts de guirlandes lumineuses.
Les grands magasins font de très belles vitrines ou certains mettent en scène des automates.
Les enfants se font photographier en compagnie du Père Noël.
Les écoles maternelles décorent leurs classes.
Le 24 au soir les familles font un diner de réveillon composé de mets savoureux tels que des huitres et du foie gras. Les plus pratiquants vont ensuite en famille à la messe de minuit.
Le Père Noël vient déposer les cadeaux pendant la nuit et les enfants les découvrent le matin de Noël au pied su sapin.
Le jour de Noël, ils se rassemblent en famille autour de la table de Noël. Le repas de Noël est souvent composé d'une dinde ou d'un chapon roti et se termine par une bûche glacée ou en gâteau.
En Provence, dans certaines églises du bord de la mer, à la fin de la messe de minuit, une procession de pêcheurs et de poissonniers déposent au pied de l'hôtel un panier rempli de poissons, en signe d'affection et de reconnaissance envers le petit Jésus.
La tradition veut que le repas du réveillon se termine par treize desserts qui symbolisent le Christ et les douze apôtres. Ces desserts rassemblent tous les fruits et les confiseries de la région
BONNE JOURNEE A TOUS .
Le : 17/12/2011 08:35
Pour CHRISTOL Serge
C'est avec plaisir que j'ai lu ton message du 14/12/2011.
J'ai retrouvé une partie des profs et instits de notre ecole FRANKLIN. Je ne me rappelle pas de M.siomei : il était dans quelle classe ? Les autres, c'est exactement ce que tu décris.
Une précision : M.Soler qui faisait classe au rez de chaussée (sa jambe ne lui permettait pas de monter les étages ) à gauche en entrant dans l'école, avait été blessé en 1940 en France . Il conduisait une Jeep et avait sauté sur une mine Il avait une jambe surement retrécie et des cicatrices sur le visage.C'est lui qui nous avait raconté son histoire.
Tu as peut-être oublié monsieur BELAÎCHE, prof de français au cc franklin et de l'éléve LORIDON qui notait sur un cahier les observations de M.BELAÎCH et aprés 3 observations nous avions une punition.
Il y avait aussi Madame MOUGENEAU (?) qui nous prenait a l'entrée en 6 eme, elle était d'une grande gentillesse.
Au cc il y avait les profs : TINEL( prof de géométrie et directeur de FRANKLIN, MENER ( Chimie, sciences ) DARMON (français) C'est les profs qui m'ont le plus marqué.
A plus et BONNES FÊTES DE NOËL A TOUS
Paulo
C'est avec plaisir que j'ai lu ton message du 14/12/2011.
J'ai retrouvé une partie des profs et instits de notre ecole FRANKLIN. Je ne me rappelle pas de M.siomei : il était dans quelle classe ? Les autres, c'est exactement ce que tu décris.
Une précision : M.Soler qui faisait classe au rez de chaussée (sa jambe ne lui permettait pas de monter les étages ) à gauche en entrant dans l'école, avait été blessé en 1940 en France . Il conduisait une Jeep et avait sauté sur une mine Il avait une jambe surement retrécie et des cicatrices sur le visage.C'est lui qui nous avait raconté son histoire.
Tu as peut-être oublié monsieur BELAÎCHE, prof de français au cc franklin et de l'éléve LORIDON qui notait sur un cahier les observations de M.BELAÎCH et aprés 3 observations nous avions une punition.
Il y avait aussi Madame MOUGENEAU (?) qui nous prenait a l'entrée en 6 eme, elle était d'une grande gentillesse.
Au cc il y avait les profs : TINEL( prof de géométrie et directeur de FRANKLIN, MENER ( Chimie, sciences ) DARMON (français) C'est les profs qui m'ont le plus marqué.
A plus et BONNES FÊTES DE NOËL A TOUS
Paulo
Le : 16/12/2011 09:24
Bonjour
La recette des roliettes se trouve dans le menu Forum, rubrique recettes et écrite par Monique cela date du 9/04/06.
Bon appetit.
La recette des roliettes se trouve dans le menu Forum, rubrique recettes et écrite par Monique cela date du 9/04/06.
Bon appetit.
Le : 15/12/2011 19:42
Bonjour ,
Je recherche une recette de petits gâteaux secs avec des grains d'anis, nous appelions cela des ROLLIETS mais je ne connais pas l'orthographe exacte.
Une recette espagnole.
Je remercie la ou les personnes qui pourront m'aider.
Merci beaucoup et JOYEUSES FÊTES A VOUS TOUS
MARIE ANGE