pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 
JOYEUX NOEL 2024 JOYEUX NOEL 2024 JOYEUX NOEL 2024 JOYEUX NOEL 2024 JOYEUX NOEL 2024 JOYEUX NOEL 2024

Liste des messages

De : pierre-Claude FASANOEnvoyer un mail

Le : 16/11/2021 12:13

Mon épouse Christiane et moi même présentons a toute la Famille SASSO, nos plus sincères condoléances. EMILLIENNE est partie, PAIX a son âme.

 

De : BRAHIMEnvoyer un mail

Le : 14/11/2021 09:46

Nous nous joignons a la clique des Messageries pour présenter nos sincères condoléances a la famille SASSO suite au décès d Emilienne qu' elle repose en paix

La communauté de Bab el oued a Paris

 

De : La clique des MessageriesEnvoyer un mail

Le : 13/11/2021 19:23

Repose en paix Emilienne prés de ton frére JPierre SASSO
Une autre enfant du 6rue de la Consolation ,SOLE Gracieuse 92ans nous à quittée pour rejoindre son époux FERRIGNO Mario

 

De : Robert PARCQEnvoyer un mail

Le : 13/11/2021 19:13

A la famille d'Emilienne SASSO ,
Sincères condoléances de la famille PARCQ , au quartier nos appartements se faisaient face ainsi qu'avec la famille CARANANTE .
Reposes en paix Emilienne ,tu as mérité le paradis

 

De : André TrivèsEnvoyer un mail

Le : 12/11/2021 17:33

Nous venons d'apprendre le décès à Marseille, à l'âge de 87 ans, d'Emilienne SASSO, née à Bab el Oued dans le quartier des Messageries. Elle était veuve de Roger CARANANTE ( assassiné en 1962 dans les escaliers de pêcherie à Alger ) et en 2ème noce d'Henri LUNARDELLI. Dieu, faites en sorte que son repos éternel dans le ciel apaise les souffrances qu'elle a vécues sur terre. Nos sincères condoléances à sa fille Marie Christine, ses quatre petits enfants et toute sa famille.

 

De : L'association ABEO (le Blog)Envoyer un mail

Le : 07/11/2021 10:53

Brochure finale imprimée pour Croisière Romance du 07 au 15/05/2022 L'association ABEO (le Blog)

 

De : pierre-Claude FASANOEnvoyer un mail

Le : 07/11/2021 10:14

Pour les personnes qui voudront dire AU REVOIR a notre AMI JOSE PEYRO , ils pourront venir le Mardi 9 Novembre au dépositoire du cimetiere Saint Pierre a partir de 10 H.. La céremonie religieuse se fera dans la chapelle, Nous suivrons notre Ami et sa Famille pour l'incinération. ADIEU L'AMI, repose en paix

 

De : pierre-Claude FASANOEnvoyer un mail

Le : 04/11/2021 12:11

Hier le 4 novembre 2021, est dcd, un Ami de Bab-El-Oued, Monsieur PEYRO JOSEPH a l'âge de 88 ans, il était connu pour avoir pratiqué la boxe chez nous a ALGER. toujours présents a nos manifestations avec son épouse, un beau couple rieur, tu manqueras mon cher JOSEPH . Nous présentons nos sincères condoléances a Madame PEYRO et ses enfants. Nous serons présents a ses obsèques. Repose en paix l'AMI ! ! ! .

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 30/10/2021 09:54


EPILOGUE DE "IL ETAIT UNE FOIS BAB EL OUED" DE Hubert Zakine

Bab El Oued a perdu son âme en perdant ses bâtisseurs.
Les pierres, les rues, les avenues, les places, les jardins, les plages lui survivent avec d’autres arguments, d’autres choix, d’autres sentiments. Les murs répercutent d’autres rites, d’autres voix, d’autres dialectes.
Le pataouète a coupé le son de ses haut-parleurs et rompu le lien ombilical qui le liait au faubourg. Quant aux cafés devenus maures pour l’éternité, ils ignorent les chansons de Marino MARINI, Los ALCARSON ou Enrico MACIAS.
Les immeubles demeurent muets devant les dégradations dont ils sont les victimes expiatoires du « renouveau ». Les ascenseurs ont déserté les cages, les rampes de bois se sont envolées pour d’autres usages, jusqu’aux boites aux lettres qui pourraient raconter l’histoire de l’Algérie si elles n’avaient résisté à un vent de folie inexplicable qui les a arraché de leur socle.
Bab El Oued manque aux enfants du faubourg exilés qui revoient sans cesse défiler ce décor sublime, jadis invisible à force d’habitude mais devenu si beau à force de solitude.
Dans le pays de nostalgie où ils ont posé les valises, ils songent à cette amitié d’enfance, fontaine de jouvence qui désaltérait leur enthousiasme sans en mesurer la prépondérance. Amitié dérobée, senteur familière éventée, lumière tamisée, le nouvel horizon de ces enfants du soleil et de la mer ressemble à une terre aride où ne poussent qu’amertume et regret.
Les familles disloquées par l’exode tentent de reconstituer le puzzle dont chaque morceau rappelle une rue, une place, une maison de Bab El Oued. Le fatalisme oriental qui imprégna l’enfant du faubourg se heurte à la rage, à la colère parfois, à la nostalgie toujours.
Le français de métropole se remémore des pans entiers de son enfance par une simple visite au pays de ses souvenirs. Revoir une rue, une école, un jardin le conduit à entrouvrir le musée d’autrefois. Il lui suffit de prendre sa voiture, le train ou l’avion et il court sur des chemins qui le reconnaissent. Et même si la révélation d’une image dépaysée par la course du temps s’est évaporée, le décor, ce tuteur de la mémoire revisitée, le renvoie inévitablement au passé.
Le pied noir de Bab El Oued ou d’ailleurs, le déraciné aux arbres calcinés, l’orphelin aux pieds nus, se gargarise d’histoires de là-bas, racontées, râbachées, éreintées lors de retrouvailles épisodiques ; ces rencontres, naviguant sur la vague mourante de réminiscences anciennes, s’appuient sur des images servies par des cartes postales jaunissantes.
La plupart de ces naufragés des temps modernes refusent de faire le chemin à l’envers de peur d’abîmer les souvenirs. Alors, ils parlent de là-bas, de Bab El Oued, du pays de leurs jeunes années mais cette vaccination orale contre le fléau de l’oubli ne les dédouanne pas de la pastellisation des images d’autrefois.
/////
Même délabré, même sali par les immondices qui encombrent les rues, même délabré par le manque d’entretien, Bab El Oued continue d’exister physiquement, géographiquement, historiquement. Mais, traversé par le souvenir d’une France latine, creuset de toutes les influences de Méditerranée orientale, barbouillé de tricolore et de patriotisme, vibrant d’un langage imaginé par ses enfants venus de partout et de nulle part, il voyage en pays de souffrance, orphelin d’Espagne, d’Italie et d’Israël depuis le tragique abandon de juin 62.
Terre engloutie par la fureur marine du vent de l’histoire, il allonge la liste des mondes disparus qui s’effacera de la mémoire des hommes au dernier soupir du dernier des survivants pour se perdre à jamais en pays de nostalgérie.
Alors, l’oubli enveloppera de son épaisse fourrure couleur de deuil, la terre natale, la ville natale, le quartier natal :
BAB EL OUED

 

De : NacéraEnvoyer un mail

Le : 24/10/2021 11:01

Michel bonjour.
Aïn Yagout et AÏn el Ksar font partie de Batna dans les Aurès.
Peut être qu'à la BNF rue François Miterrand à Paris vous pourriez avoir des informations.
Cordialement.

 

Envoyez un message