pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : caramellino Envoyer un mail

Le : 26/06/2012 22:32

je voudrais avoir le numero de telephone de Mr Raymond Chayat MERCI

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 26/06/2012 12:23

"ALGERIE 1962. Le jour où ma famille a disparu" le documentaire de Hélène Cohen est diffusé ce soir sur France Télévision. Ne manquez pas ce film.

 

De : Antoine / Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 26/06/2012 11:59


Guerre d'Algérie, 50 ans après

Le 18 mars 1962 étaient signés les accords d'Evian qui mettaient officiellement fin à huit ans de conflit. (Photo AFP)
Médias
Guerre d'Algérie, des vies devant l'histoire
26 juin 2012 à 11:16

Sur France 3, quatre mini-docus confrontent héritages familiaux et éclairages de chercheurs.
Par BÉATRICE VALLAEYS

[Ceci est la version longue d'un article paru dans l'édition de Libération du 26 juin]

Sandrine Mercier et Laurence Giordano sont passionnées d’histoires dans l’Histoire. Auteurs et productrices d’une série diffusée de 2004 à 2010 sur France Inter - «L’histoire et moi» - qui croisait la quête d’un anonyme paumé dans de vagues souvenirs familiaux et l’expertise d’un historien pour donner chair à des événements historiques, elles passent cette fois par la télévision et consacrent quatre mini-documentaires et trois soirées sur France 3 à la Guerre d’Algérie.

50 ans après la signature des accords d’Evian qui mit fin à 8 ans d’une guerre coloniale jamais nommée comme telle malgré son extrême violence, et à deux semaines de la célébration de l’Indépendance algérienne (le 5 juillet), quatre enfants d’acteurs de cette tragédie montrent les mystères, non-dits, mensonges, et autres manipulations qui demeurent autour de cet épisode peu glorieux de l’Histoire de France.

La série, «Nos guerres d’Algérie» commence ce soir avec Corinne, 58 ans, face à l’historien Yann Scioldo-Zurcher. En 1962, Corinne a 8 ans et connait une double séparation: elle quitte Mostaganem et ses parents qui, eux, vont rester encore deux ans, le temps pour son père de liquider l’entreprise de vins de ses employeurs, propriétaires négociants rentrés eux en France.

Un témoignage de pieds-noirs poussés au retour après l’élection de Boumediene en 1964, tandis que d’autres Européens, les pieds-rouges pourront demeurer là en remerciement de leur solidarité avec les Algériens.

Le 3 juillet le feuilleton se poursuit avec deux héritages familiaux nettement plus lourds à porter. Gabrielle, 25 ans, redoute que son grand-père, officier dans la Navale, ait rejoint l’OAS, après le putsch d’Alger en 1961, quand des généraux de l’Armée française ont riposté à la volte-face gaullienne de l’Algérie algérienne. Occasion pour l’historien Tramor Quémeneur de revenir sur ces soldats partisans de l’Algérie française. Enquête faite, le grand-père de Gabrielle n’a pas rejoint ces déserteurs activistes d’extrême-droite, adeptes de la terreur et des attentats aveugles. Il partageait cependant leurs idées.

Le père de Jean-Yves était aussi militaire. C’était son métier. En 1954, à 22 ans, le voilà en Algérie, chef de section chargé du renseignement. En clair, de faire parler l’ennemi. Jean-Yves se demande quelles étaient vraiment ses méthodes et missions, il craint bien sûr d’avoir eu un père tortionnaire, d’autant qu’il a découvert chez lui, la photo d’un Algérien torturé. Pourquoi son père détenait-il un tel document? L’historienne Raphaëlle Branche ne répond pas à cette douloureuse question, elle raconte qu’en effet la torture fut couramment utilisée comme moyen de guerre en Algérie. Et pas seulement par les parachutistes.

C’est justement chez les parachutistes que le père de Karim a passé plusieurs mois en 1957, quand il fut arrêté pour «complicité reconnue avec le FLN». On verra Karim à la télévision le 10 juillet se demander quelles furent les conditions de détention de ce jeune policier algérien, militant nationaliste et membre du FLN auquel, grâce à sa position de brigadiste à Alger, il livre des armes.

Torturé, il le fut, avant de passer devant un tribunal militaire qui le condamne à 10 ans de travaux forcés pour atteinte à la sûreté de l’Etat. Il sera libéré par les accords d’Evian. L’historienne Sylvie Thenault, spécialiste du FLN, montre que l’engagement politique est antérieur à 1954, puis comment il devient militaire, matériel sur le terrain.

«Nos guerres d’Algérie» n’est pas seulement une formidable leçon d’histoire et de journalisme. Elle confirme, au travers de quatre «témoins» comment leurs parents ont gardé secrets leur vie et leur situation au cours de ces 8 années de guerre. Quelle que fut la place qu’ils occupaient alors.

«Nos guerres d’Algérie» diffusées sur France 3 à l’occasion de 3 soirées spéciales les 26 juin, 3 et 10 juillet, de 0h20 à 0h25. Si vous ratez la diffusion, pas de panique, il y a une interface web http://plateautele.

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 25/06/2012 22:05


à Michelle Seror.
bonjour, je ne connais pas Constant et Loulou Borg boulanger Place de Chartres. Le nom Borg est aussi répandu à Malte que Martin en France. Désolé .

 

De : Mary.BEnvoyer un mail

Le : 25/06/2012 18:47

A Monsieur Mustapha OUALIKENE,
Monsieur,
Je ne sais pas si vous vivez à ALGER,mais si c'est le cas,pouvez vous mettre sur le site où me faire parvenir des photos de la Cité des Anciens Combattants n°11 au boulevard de Champagne et de la Cité BALZAN au chemin Sidi Ben-Hour ( à coté de l'école de la rue Camille Douls )
Par avance je vous remercie.Une enfant du quartier.

 

De : MINUTOLO MARCEnvoyer un mail

Le : 25/06/2012 18:20

Nous présentons,mon épouse et moi,nos sincères condoléances à la famille CARAVANO (ses soeurs et notre cousine BERNADETTE).

 

De : Michelle SerorEnvoyer un mail

Le : 24/06/2012 23:28

A Michel SUCH
Dans votre message adresse a Michele Muscat vous parlez de votre famille BORG. Mes parents avaient des amis Constant et Loulou BORG, Boulanger a la Place de Chartres a ALGER. Peut etre fesaient parti de votre famille???
Amities.
Michelle Seror.

 

De : Michelle SerorEnvoyer un mail

Le : 24/06/2012 23:15

J'ai appris il y a quelques heures le deces d'un tres bon ami de jeunesse d'Alger FRANCOIS CARAVANO.

La famille habitait rue Bab el Oued mais Francois ainsi que son frere Antoine, decede aussi, et leur soeur Ninelle frequentaient comme nous tous B.E.O.

Qu'il repose en paix.

 

De : moraliEnvoyer un mail

Le : 24/06/2012 19:49

c'est avec beaucoup de tristesse que nous avons apris le décès de Madame MASSA, nous présentons a toute sa famille nos sincères condoléances, qu'elle repose en paix,

 

De : Moriuser RichardEnvoyer un mail

Le : 24/06/2012 18:50

Pour Bernadette Plantier
Bonjour,
Que de souvenirs les photos de classe de notre chère école Camille Doubs ! Peux-tu m'envoyer la photo de maternelle 1952-1953 ça me fera plaisir, elle a été perdue. J'ai déjà retrouver qq amis avec qui j'étais inséparables. Si Dieu veut, on se retrouvera en septembre sur la côte atlantique.
Amitiés de Bretagne.
Richard

 

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