Liste des messages
Le : 31/07/2012 19:16
Message pour André Trivès
je n'ai pas votre mail aussi c'est sur ce site que je vous envoie ce message pour vouz remercier de nous avoir procuré ces moments de bonheur d'émotions intenses en parcourant ces lignes .On a suivi pas à pas le parcours du petit berger de Mostaganem et en deuxième partie son installation à Alger .
Alors là je ne peux raconter l'émotion que j'ai ressentie en le suivant dans toutes ces rues de mon enfance .J'y étais avec lui et souvent j'ai terminé le chapitre la gorge nouée .
J'ai dévoré votre livre et vous remercie de m'avoir fait participer à cette reconstitution .lorsque j'ai lu le passage qui décrivait les femmes chantant "Maria de Barcelone " au lavoir de la Basséta je n'ai pu m'empêcher de penser à ma mère qui la chantait à longueur de journée .Inutile de vous dire qu'il m'a fallu arrêter de lire les larmes embuant mes yeux
Merci André pour ces moments d'émotion intense que votre livre m'a procuré
Francette
je n'ai pas votre mail aussi c'est sur ce site que je vous envoie ce message pour vouz remercier de nous avoir procuré ces moments de bonheur d'émotions intenses en parcourant ces lignes .On a suivi pas à pas le parcours du petit berger de Mostaganem et en deuxième partie son installation à Alger .
Alors là je ne peux raconter l'émotion que j'ai ressentie en le suivant dans toutes ces rues de mon enfance .J'y étais avec lui et souvent j'ai terminé le chapitre la gorge nouée .
J'ai dévoré votre livre et vous remercie de m'avoir fait participer à cette reconstitution .lorsque j'ai lu le passage qui décrivait les femmes chantant "Maria de Barcelone " au lavoir de la Basséta je n'ai pu m'empêcher de penser à ma mère qui la chantait à longueur de journée .Inutile de vous dire qu'il m'a fallu arrêter de lire les larmes embuant mes yeux
Merci André pour ces moments d'émotion intense que votre livre m'a procuré
Francette
Le : 27/07/2012 17:55
Mustapha bonsoir,
Tout en discutant avec un ami ayant habité Alger un souvenir d'adolescent a ressurgi.La visite du Musée Franchet d'Espèrey avec la classe.
Je ne pouvais laisser cela en suspens.
Je transmettrais les messages.
Merci à vous tous pour votre collaboration.
Tout en discutant avec un ami ayant habité Alger un souvenir d'adolescent a ressurgi.La visite du Musée Franchet d'Espèrey avec la classe.
Je ne pouvais laisser cela en suspens.
Je transmettrais les messages.
Merci à vous tous pour votre collaboration.
Le : 27/07/2012 17:03
Un peut d'histoire de la Citadelle
El Casbah (La citadelle) ou Dar El-Soltane (Palais du Dey)
Constitué d'un ensemble datant du XVIe siècle, ce joyau architecturale s'étend sur 1,5 hectares. C’est bien une mini ville qui s'offre à la visite pour nous faire revivre la régence d'Alger.
En effet, ce lieu en cours de restauration et classé au patrimoine mondial par l'Unesco en 1992, fût pour la première fois le lieux de la régence d´Alger sous le règne de Ali Khodja. C´est dans un climat d´insécurité, suite à l´assassinat de plusieurs régent d'Alger et craignant pour sa vie, que l´avant dernier Dey d'Alger s'y installa nuitamment fuyant l'insécurité du palais de la Jenina.
La citadelle s'organisait alors autour de quartiers délimitant la vie officielle de la vie privée du Régent d'Alger. Ainsi, dans la partie est l'on peut retrouver le palais, une poudrière et les quartiers de résidences des beys, au centre et protégeant le harem situé à l'ouest s'étend le quantier de janissaires. Le Régent disposait alors de sa mosquée privée.
En cette citadelle, le dey d'Alger recevait les beys du Titerri, du constantinois et de l'ouest pour percevoir l'impôt.
Ce lieu fût occupé par la suite par le Dey Arroudj Hussein qui fût le dernier gouverneur turc d´Alger à y habiter. Son règne sera marqué par le fameux "coup de l´éventail", prétexte français à l´occupation de l´Algérie qui durera 130 ans.
Juste après l´occupation française, les appartement du Dey seront occupé par le Général en Chef de l´Armée et 1847 le Harem sera transformé en État Major et en Intendance Générale de l' Armée avant d'être occupé par des tailleurs et des cordonniers. Le Corps de Garde des janissaires sera pour sa part occupé par les Cantiniers de l’Armée. La Mosquée du Dey sera transformée en chambrées pour artilleurs et le Djamaa El Barani, petite mosquée jouxtant la citadelle servit au casernement avant d'être consacrée Eglise sainte croix.
Le coeur de la CASBAH sera par la suite éventrée et défigurée par le percement de l' avenue du Maréchal de Bourmont qui reliera la haute casbah à la route menant au Fort l'Empereur dit aussi Bordj Moulay Hassen ou Bordj el Taous (le fort des paons).
Les bâtiments de la citadelle, dégradés furent par la suite transformés en Caserne d´Orléans et en hôpital militaire. De nombreux soldats inscrivent alors des messages encore visibles dans la pierre et les murs de la citadelle. En 1930, La mosquée du Dey est transformée en musée historique d´Alger (Musée Franchet d´Esperey).
Après 1962, la citadelle elle est laissée aux mains des squatteurs. Plus de 200 familles l'habiteront sans autorisation, avec toutes les conséquences que ça peut avoir sur la conservation du site.
El Djamaa (Mosquée) El Barani, mosquée destinée essentiellement a accueillir les gens de passage à Alger recouvre sa vocation de mosquée.
En 2001, d´importants travaux de réhabilitations seront entreprises sur les zones ou le dey percevait l´impôt ainsi que sur le harem, et la mosquée des Janissaires. Les étables abriteront par ailleurs une galerie d´art au début des années 2000.
Aujourd'hui, ce Palais qui a fait l'objet d'une réhabilitation partielle, trône toujours au dessus de la casbah, coincé entre la maison d'arrêt de Serkadji, la haute casbah et la caserne du ministère de la défense. Dans la partie non restaurée, des lambeaux de mosaïques habillent encore les murs, quelques colonnes torsadées en tuf résistent derrière une épaisse couche de béton posée plus tard par les français. A cet ensemble classé 20 millions d´euros devrait être affectés pour achever sa restauration
.
El Casbah (La citadelle) ou Dar El-Soltane (Palais du Dey)
Constitué d'un ensemble datant du XVIe siècle, ce joyau architecturale s'étend sur 1,5 hectares. C’est bien une mini ville qui s'offre à la visite pour nous faire revivre la régence d'Alger.
En effet, ce lieu en cours de restauration et classé au patrimoine mondial par l'Unesco en 1992, fût pour la première fois le lieux de la régence d´Alger sous le règne de Ali Khodja. C´est dans un climat d´insécurité, suite à l´assassinat de plusieurs régent d'Alger et craignant pour sa vie, que l´avant dernier Dey d'Alger s'y installa nuitamment fuyant l'insécurité du palais de la Jenina.
La citadelle s'organisait alors autour de quartiers délimitant la vie officielle de la vie privée du Régent d'Alger. Ainsi, dans la partie est l'on peut retrouver le palais, une poudrière et les quartiers de résidences des beys, au centre et protégeant le harem situé à l'ouest s'étend le quantier de janissaires. Le Régent disposait alors de sa mosquée privée.
En cette citadelle, le dey d'Alger recevait les beys du Titerri, du constantinois et de l'ouest pour percevoir l'impôt.
Ce lieu fût occupé par la suite par le Dey Arroudj Hussein qui fût le dernier gouverneur turc d´Alger à y habiter. Son règne sera marqué par le fameux "coup de l´éventail", prétexte français à l´occupation de l´Algérie qui durera 130 ans.
Juste après l´occupation française, les appartement du Dey seront occupé par le Général en Chef de l´Armée et 1847 le Harem sera transformé en État Major et en Intendance Générale de l' Armée avant d'être occupé par des tailleurs et des cordonniers. Le Corps de Garde des janissaires sera pour sa part occupé par les Cantiniers de l’Armée. La Mosquée du Dey sera transformée en chambrées pour artilleurs et le Djamaa El Barani, petite mosquée jouxtant la citadelle servit au casernement avant d'être consacrée Eglise sainte croix.
Le coeur de la CASBAH sera par la suite éventrée et défigurée par le percement de l' avenue du Maréchal de Bourmont qui reliera la haute casbah à la route menant au Fort l'Empereur dit aussi Bordj Moulay Hassen ou Bordj el Taous (le fort des paons).
Les bâtiments de la citadelle, dégradés furent par la suite transformés en Caserne d´Orléans et en hôpital militaire. De nombreux soldats inscrivent alors des messages encore visibles dans la pierre et les murs de la citadelle. En 1930, La mosquée du Dey est transformée en musée historique d´Alger (Musée Franchet d´Esperey).
Après 1962, la citadelle elle est laissée aux mains des squatteurs. Plus de 200 familles l'habiteront sans autorisation, avec toutes les conséquences que ça peut avoir sur la conservation du site.
El Djamaa (Mosquée) El Barani, mosquée destinée essentiellement a accueillir les gens de passage à Alger recouvre sa vocation de mosquée.
En 2001, d´importants travaux de réhabilitations seront entreprises sur les zones ou le dey percevait l´impôt ainsi que sur le harem, et la mosquée des Janissaires. Les étables abriteront par ailleurs une galerie d´art au début des années 2000.
Aujourd'hui, ce Palais qui a fait l'objet d'une réhabilitation partielle, trône toujours au dessus de la casbah, coincé entre la maison d'arrêt de Serkadji, la haute casbah et la caserne du ministère de la défense. Dans la partie non restaurée, des lambeaux de mosaïques habillent encore les murs, quelques colonnes torsadées en tuf résistent derrière une épaisse couche de béton posée plus tard par les français. A cet ensemble classé 20 millions d´euros devrait être affectés pour achever sa restauration
.
Le : 27/07/2012 16:59
Bonjour à tous ceux qui visitent le site de Christian salut à toi Bahloula c'est juste pour te dire concernant le musée Franchet Despérey tu à totalement raison il avait existait à l'emplacement que tu nous avais situé c'est à dire au Palais du Dey Hussein la porte d'entrée se trouve toujours juste en montant à droite après la grande porte Nord de la Citadelle un peut plus bas à vingt mètres avant cette porte il y a la Mosquée El Barrani qui avait était transformée en église Sainte Croix jusque l’indépendance qui est d’ailleurs très belle en face de la Mosquée juste devant cette grande porte il y avait un canon qui avait existé jusque en 1975
Pour Momoh tu devrais consulter ce sitealger-roi.fr/Alger/musee_franchet/textes/musee1.pdf
Il y a toute l’histoire des lieux Amitié à vous tous
Pour Momoh tu devrais consulter ce sitealger-roi.fr/Alger/musee_franchet/textes/musee1.pdf
Il y a toute l’histoire des lieux Amitié à vous tous
Le : 27/07/2012 16:27
BOnjour,
Mea culpa.
Le musée Franchet d'Esperey existait. Il se trouvait à la Haute Casbah d'Alger. Il n'existe plus aujourd'hui.
Voici un lien vers un document de l'INA sur le musée filmé fin des années 40, montrant la façade du musée avec l'inscription "Musée Franchet D'esperey".
http://www.ina.fr/video/AFE02014785/retour-de-drapeaux-de-l-armee-d-afrique-au-musee-franchet-d-esperey.fr.html
Mea culpa.
Le musée Franchet d'Esperey existait. Il se trouvait à la Haute Casbah d'Alger. Il n'existe plus aujourd'hui.
Voici un lien vers un document de l'INA sur le musée filmé fin des années 40, montrant la façade du musée avec l'inscription "Musée Franchet D'esperey".
http://www.ina.fr/video/AFE02014785/retour-de-drapeaux-de-l-armee-d-afrique-au-musee-franchet-d-esperey.fr.html
Le : 27/07/2012 15:49
Bonjour à toutes et à tous.
Papa n’étant pas en mesure, vu son état, de vous adresser ses plus sincères remerciements qui l’ont énormément touchés ainsi qu’à moi-même, aussi je me permets d’écrire en son nom et au mien ces quelques lignes.
Je peux vous assurer que la cérémonie ainsi que les funérailles de ma mère ont été d’une grande dignité entourées de tous ceux qui ont pu faire le déplacement.
Quand Papa sera en meilleure forme, il se permettra de vous écrire ou de vous téléphoner. Pour le moment, nous l’entourons de afin qu’il puisse être en mesure de surmonter la douleur de cette disparition.
Encore merci à vous toutes et vous tous.
Caroline
Papa n’étant pas en mesure, vu son état, de vous adresser ses plus sincères remerciements qui l’ont énormément touchés ainsi qu’à moi-même, aussi je me permets d’écrire en son nom et au mien ces quelques lignes.
Je peux vous assurer que la cérémonie ainsi que les funérailles de ma mère ont été d’une grande dignité entourées de tous ceux qui ont pu faire le déplacement.
Quand Papa sera en meilleure forme, il se permettra de vous écrire ou de vous téléphoner. Pour le moment, nous l’entourons de afin qu’il puisse être en mesure de surmonter la douleur de cette disparition.
Encore merci à vous toutes et vous tous.
Caroline
Le : 27/07/2012 12:12
Bonjour a tous,je me souvient,en ma plus tendre enfance,avoir visité ce musé, reserve a l'armeé d'afrique.Je me souviens avoir pris le troleybus place du gouvernement.Il es vrai qu'il se trouvait au dessus de la casbah,mais tous cà ce mélange en mes souvenirs.Il y a plus de 60 ans,bonne journnée a tous.
Le : 27/07/2012 08:19
Momoh bonjour,
Je vous remercie d'avoir répondu.
Voici les informations que j'ai concernant ce musée qui a bel et bien existé.
Le musée Franchet d'Espèrey fut transféré au Palais du Dey en 1946.
Avant cette date il y avait deux parties: La première à l'emplacement de la poudrière et la seconde dans l'ancienne Mosquée qui me semble-t-il est Djamâa El barrani (qui existe toujours, un peu plus haut que Serkadji ou Barberousse pour les plus anciens).
Ce Musée n'existe plus de nos jours et le Palais du Dey est en rénovation.
Franchet d'Espèrey serait né à Mostaganem en 1856 et aurait servi le premier régiment de tirailleurs algériens en 1876.
Pour ce qui est du Musée du Hamma ou Villa Abdellatif c'est bien le musée des Beaux Arts qui n'a rien à avoir avec le Musée de l'Armée .
Aussi, merci à tous ceux qui m'ont répondu.
Je vous remercie d'avoir répondu.
Voici les informations que j'ai concernant ce musée qui a bel et bien existé.
Le musée Franchet d'Espèrey fut transféré au Palais du Dey en 1946.
Avant cette date il y avait deux parties: La première à l'emplacement de la poudrière et la seconde dans l'ancienne Mosquée qui me semble-t-il est Djamâa El barrani (qui existe toujours, un peu plus haut que Serkadji ou Barberousse pour les plus anciens).
Ce Musée n'existe plus de nos jours et le Palais du Dey est en rénovation.
Franchet d'Espèrey serait né à Mostaganem en 1856 et aurait servi le premier régiment de tirailleurs algériens en 1876.
Pour ce qui est du Musée du Hamma ou Villa Abdellatif c'est bien le musée des Beaux Arts qui n'a rien à avoir avec le Musée de l'Armée .
Aussi, merci à tous ceux qui m'ont répondu.
Le : 27/07/2012 03:22
Le musée inauguré en 1830 est le musée national des beaux-arts situé au Hamma, en face du Jardin d'essai d'Alger.
Le : 27/07/2012 03:19
Bonjour,
Il n'y a pas de Musée Franchet Despèrey à Alger. Voici ce qu'écrivait de ce Monsieur le baron Charles Lemercher de Longpré d'Haussez (1778-1854)dans "Mémoires du baron d'Haussez, dernier ministre de la marine sous la Restauration. Tome 1 / publiés par son arrière-petite-fille, la duchesse d'Almazan ; introduction et notes par le comte de Circourt et le comte de Puymaigre" (1896-1897):
"Franchet-Desperey, né vers 1775, mort en 1841. Mêlé très jeune à
la propagande royaliste, fut arrêté sous l'Empire, et emprisonné avec
le comte Alexis de Noailles, son complice. 11 resta en captivité jus-
qu'en 1814. — Le comte de Noailles le fit alors nommer chef du per-
sonnel de l'administration des postes. Directeur général de la police,
1821, sous le ministère Villèle. Il fut destitué par le ministère Martignac. Conseiller d'Etat. En 1830, il émigra en Prusse, rentra en 1832
Il mourut dans une position très précaire."
Il n'y a pas de Musée Franchet Despèrey à Alger. Voici ce qu'écrivait de ce Monsieur le baron Charles Lemercher de Longpré d'Haussez (1778-1854)dans "Mémoires du baron d'Haussez, dernier ministre de la marine sous la Restauration. Tome 1 / publiés par son arrière-petite-fille, la duchesse d'Almazan ; introduction et notes par le comte de Circourt et le comte de Puymaigre" (1896-1897):
"Franchet-Desperey, né vers 1775, mort en 1841. Mêlé très jeune à
la propagande royaliste, fut arrêté sous l'Empire, et emprisonné avec
le comte Alexis de Noailles, son complice. 11 resta en captivité jus-
qu'en 1814. — Le comte de Noailles le fit alors nommer chef du per-
sonnel de l'administration des postes. Directeur général de la police,
1821, sous le ministère Villèle. Il fut destitué par le ministère Martignac. Conseiller d'Etat. En 1830, il émigra en Prusse, rentra en 1832
Il mourut dans une position très précaire."