Liste des messages
Le : 04/11/2012 10:30
Merci a tous pour les renseignements des voyages et l'adresse de Y.Jalabert.
Amitiés
JLG
Amitiés
JLG
Le : 03/11/2012 15:57
j'ai vue des photos , misent par pollio antoine , de babel oued
mon pere , s'appelle pollio antoine
si des personnes de la famille de ce mrs lesent ce message ; svp ne sommes nous pas de la meme famille
merci d'avance
mon pere , s'appelle pollio antoine
si des personnes de la famille de ce mrs lesent ce message ; svp ne sommes nous pas de la meme famille
merci d'avance
Le : 03/11/2012 09:30
Pour Mustapha.
Bonjour et merci(encore une fois)pour les textes que tu écris sur ce site.Tu est vraiment un poête et tu me fais découvrir des choses que je ne soupçonnais pas.
Il est vrai que la vie a bien changée,oû que l'on vive,et les jeunes ne connaitrons plus les mêmes choses que nous.
Mais cela n'est pas toujours un mal car il faut bien que les choses évoluent.
A mitiées et à bientôt..
Bonjour et merci(encore une fois)pour les textes que tu écris sur ce site.Tu est vraiment un poête et tu me fais découvrir des choses que je ne soupçonnais pas.
Il est vrai que la vie a bien changée,oû que l'on vive,et les jeunes ne connaitrons plus les mêmes choses que nous.
Mais cela n'est pas toujours un mal car il faut bien que les choses évoluent.
A mitiées et à bientôt..
Le : 02/11/2012 19:56
L’amour dans les villages Kabyles
Autrefois, la fontaine était le lieu de rendez-vous des jeunes amoureux. Les rencontres y étaient souvent fugaces mais indispensables pour réitérer l’expression de son amour, dissiper de nombreux malentendus dus à un manque de communication, remettre une lettre, offrir une fleur, etc. Les jeunes filles trouvaient toujours un subterfuge pour aller puiser de l’eau à la fontaine. Il leurs est arrivait même de vider les outres et les jerricans, parfois de les percer légèrement pour qu’ils se vident vite, dans le but d’aller le plus souvent possible les remplir à la fontaine ! »
Les jeunes d’aujourd’hui ne vont plus à la fontaine depuis que l’eau coule dans les robinets des maisons. Elle qui symbolisait le village kabyle est devenue à leurs yeux un simple amas de pierres sans âme. Les anciens, s’en souviennent avec nostalgie de ces fontaines. Ils se souviennent des jeunes filles d’une beauté pure, vêtues de robes multicolores, parées de bracelets d’argent, portant une outre sur le dos, qui cheminaient le long des sentiers de la fontaine, du murmure joyeux des voix tendres et douces emplissant les c 1/2 urs de bonheur et de quiétude. L’image qu’elles offraient embellissait les splendides paysages montagneux et forestiers. Les jeunes hommes les guettaient sur le chemin dans l’espoir d’un sourire, d’un regard langoureux ou d’un petit mot tendre. La fontaine était également le lieu de prédilection pour les jeunes filles qui profitaient du moment qu’elles y passaient pour s’amuser et discuter de tout et de rien.
Aujourd’hui, il ne reste de la fontaine du village presque rien. Ses sources sont couvertes de mousse et les herbes ont envahi son sentier. Mais son eau demeure toujours fraîche et son ombre donne du repos au passager qui ne peut passer sans y faire une halte. La fontaine est seule et isolée, personne ne songe à lui rendre visite. Pourtant, c’est là que de nombreux couples mariés, aujourd’hui parent, ont fait connaissance. Les plus conscients soutiennent que la disparition de la fontaine a généré la mort systématique du village kabyle d’antan et toutes les belles choses qui le caractérisait. Certaines habitudes demeurent toutefois en vigueur au jour d’aujourd’hui. La communication entre les amoureux se fait encore par l’intermédiaire d’une autre personne. On choisit généralement comme messager une personne capable de passer sans se faire remarquer, une fillette intelligente et habile, qui peut rentrer chez n’importe qui sans que le maître de maison ne se doute de quelque chose. Actuellement, certains amoureux ne lésinent pas sur les moyens et font usage du téléphone mobile qui, pour ceux qui peuvent se le permettre, est le moyen de communication le plus discret. On s’écrit des SMS et on s’appelle sans que personne ne s’en rende compte.
Les fêtes villageoises, quand elles sont mixtes, sont aussi un évènement d’une grande importance pour les jeunes. Elles permettent aux amoureux de se voir pendant plusieurs heures et même s’ils ne peuvent pas se parler leur regard exprime bien des sentiments.
Par ailleurs ce genre de liaison n’est pas sans comporter de risques. Les amoureux doivent faire preuve de discrétion. Mais, paradoxalement, les histoires d’amour du village sont souvent un secret de Polichinelle.
L’essentiel est d’éviter de se faire prendre en « flagrant délit ». Dans certains villages le châtiment peut aller de l’exclusion du groupe au châtiment
C’est généralement la femme qui est désignée comme bouc émissaire. Néanmoins ces règles connaissent une certaine souplesse et sont plus ou moins rigoureuses d’une famille à une autre et d’un village à un autre.
« Les filles et les garçons des villages kabyles ne peuvent pas mentir car, ici, tout le monde se connaît. Il se font entièrement confiance et se donne leurs c 1/2 urs sans retenue. Pour eux il n’y a pas d’amour sans confiance et on ne peut être à moitié amoureux : soit on l’est complètement, soit on ne l’est pas du tout ». A cela on peut ajouter la rareté des rencontres, les tabous, le goût de l’interdit, le fait de rester enfermé au village pendant des jours entiers oisif et de n’avoir à l’esprit que la personne aimée. C’est principalement ce qui fait de l’amour villageois un amour idéal, platonique, merveilleux et douloureux à la fois ».
Autrefois, la fontaine était le lieu de rendez-vous des jeunes amoureux. Les rencontres y étaient souvent fugaces mais indispensables pour réitérer l’expression de son amour, dissiper de nombreux malentendus dus à un manque de communication, remettre une lettre, offrir une fleur, etc. Les jeunes filles trouvaient toujours un subterfuge pour aller puiser de l’eau à la fontaine. Il leurs est arrivait même de vider les outres et les jerricans, parfois de les percer légèrement pour qu’ils se vident vite, dans le but d’aller le plus souvent possible les remplir à la fontaine ! »
Les jeunes d’aujourd’hui ne vont plus à la fontaine depuis que l’eau coule dans les robinets des maisons. Elle qui symbolisait le village kabyle est devenue à leurs yeux un simple amas de pierres sans âme. Les anciens, s’en souviennent avec nostalgie de ces fontaines. Ils se souviennent des jeunes filles d’une beauté pure, vêtues de robes multicolores, parées de bracelets d’argent, portant une outre sur le dos, qui cheminaient le long des sentiers de la fontaine, du murmure joyeux des voix tendres et douces emplissant les c 1/2 urs de bonheur et de quiétude. L’image qu’elles offraient embellissait les splendides paysages montagneux et forestiers. Les jeunes hommes les guettaient sur le chemin dans l’espoir d’un sourire, d’un regard langoureux ou d’un petit mot tendre. La fontaine était également le lieu de prédilection pour les jeunes filles qui profitaient du moment qu’elles y passaient pour s’amuser et discuter de tout et de rien.
Aujourd’hui, il ne reste de la fontaine du village presque rien. Ses sources sont couvertes de mousse et les herbes ont envahi son sentier. Mais son eau demeure toujours fraîche et son ombre donne du repos au passager qui ne peut passer sans y faire une halte. La fontaine est seule et isolée, personne ne songe à lui rendre visite. Pourtant, c’est là que de nombreux couples mariés, aujourd’hui parent, ont fait connaissance. Les plus conscients soutiennent que la disparition de la fontaine a généré la mort systématique du village kabyle d’antan et toutes les belles choses qui le caractérisait. Certaines habitudes demeurent toutefois en vigueur au jour d’aujourd’hui. La communication entre les amoureux se fait encore par l’intermédiaire d’une autre personne. On choisit généralement comme messager une personne capable de passer sans se faire remarquer, une fillette intelligente et habile, qui peut rentrer chez n’importe qui sans que le maître de maison ne se doute de quelque chose. Actuellement, certains amoureux ne lésinent pas sur les moyens et font usage du téléphone mobile qui, pour ceux qui peuvent se le permettre, est le moyen de communication le plus discret. On s’écrit des SMS et on s’appelle sans que personne ne s’en rende compte.
Les fêtes villageoises, quand elles sont mixtes, sont aussi un évènement d’une grande importance pour les jeunes. Elles permettent aux amoureux de se voir pendant plusieurs heures et même s’ils ne peuvent pas se parler leur regard exprime bien des sentiments.
Par ailleurs ce genre de liaison n’est pas sans comporter de risques. Les amoureux doivent faire preuve de discrétion. Mais, paradoxalement, les histoires d’amour du village sont souvent un secret de Polichinelle.
L’essentiel est d’éviter de se faire prendre en « flagrant délit ». Dans certains villages le châtiment peut aller de l’exclusion du groupe au châtiment
C’est généralement la femme qui est désignée comme bouc émissaire. Néanmoins ces règles connaissent une certaine souplesse et sont plus ou moins rigoureuses d’une famille à une autre et d’un village à un autre.
« Les filles et les garçons des villages kabyles ne peuvent pas mentir car, ici, tout le monde se connaît. Il se font entièrement confiance et se donne leurs c 1/2 urs sans retenue. Pour eux il n’y a pas d’amour sans confiance et on ne peut être à moitié amoureux : soit on l’est complètement, soit on ne l’est pas du tout ». A cela on peut ajouter la rareté des rencontres, les tabous, le goût de l’interdit, le fait de rester enfermé au village pendant des jours entiers oisif et de n’avoir à l’esprit que la personne aimée. C’est principalement ce qui fait de l’amour villageois un amour idéal, platonique, merveilleux et douloureux à la fois ».
Le : 02/11/2012 19:35
Attn Llinares jacques.
j'ai essayé de vous joindre par e-mail, mais comme tout le monde cela
ne marche pas. J'avais pourtant un bonjour à vous donner d'un de vos
copains d'enfance de la rue Nelson Chierico. Nous sommes en CALEDONIE,
et il y a deux personnes ici de la rue Nelson Chierico.
Cordialement.
ZMIROU Georges
j'ai essayé de vous joindre par e-mail, mais comme tout le monde cela
ne marche pas. J'avais pourtant un bonjour à vous donner d'un de vos
copains d'enfance de la rue Nelson Chierico. Nous sommes en CALEDONIE,
et il y a deux personnes ici de la rue Nelson Chierico.
Cordialement.
ZMIROU Georges
Le : 02/11/2012 12:05
MERCI NACERA ET MUSTAPHA ET SELLAN !! POUR LES PHOTOS ENVOYER
JE VOUS SOUHAITE UNE BONNE JOURNEE .AMITIER FLORENCE ET JEAN PIERRE
JE VOUS SOUHAITE UNE BONNE JOURNEE .AMITIER FLORENCE ET JEAN PIERRE
Le : 02/11/2012 08:07
Bonjour a tous ,
Je viens de découvrir ce site et etant né moi meme né a BEO je voulais savoir si quelqu'un organise des voyages a Alger que j'aurais voulu faire découvrir a mes proches .Ma famille habitait 19 rue soleillet j'ai été a l'ecole maternelle Suffren et ensuite a Condorcet.Mon père etait chauffeur de taxi boulevard de Provence et ma mere etait vendeuse a la bijouterie Ben Chemoul bld de Provence.Aujourd'hui j'habite près d'Uzes dans le Gard.
Espérant une réponse Amitiés a tous
Jean-luc GUY
Je viens de découvrir ce site et etant né moi meme né a BEO je voulais savoir si quelqu'un organise des voyages a Alger que j'aurais voulu faire découvrir a mes proches .Ma famille habitait 19 rue soleillet j'ai été a l'ecole maternelle Suffren et ensuite a Condorcet.Mon père etait chauffeur de taxi boulevard de Provence et ma mere etait vendeuse a la bijouterie Ben Chemoul bld de Provence.Aujourd'hui j'habite près d'Uzes dans le Gard.
Espérant une réponse Amitiés a tous
Jean-luc GUY
Le : 01/11/2012 20:51
Belle fin de soirée les amis.
Aznar florence labarbera, j´ai d´anciennes photos de Fort National et je vais t´en envoyer, j´espère que cela va lui plaire et d´ici là vous allez en recevoir de plus nouvelles.
Amitiés
Aznar florence labarbera, j´ai d´anciennes photos de Fort National et je vais t´en envoyer, j´espère que cela va lui plaire et d´ici là vous allez en recevoir de plus nouvelles.
Amitiés
Le : 01/11/2012 14:51
Dans une brocante, j'ai trouvé un vieux cahier de français, année 1956 avec plusieurs pages volantes.
Datée du Mardi 6 Novembre 1956 cette rédaction.
Sujet:
Le jour de la Toussaint, vous avez accompagné votre famille au cimetière.Décrivez ce que vous avez vu et dites nous quels furent vos
sentiments.
La jeune fille écrit.
C'est aujourd'hui la toussain je vais sur la tombe de mes trois petites soeurs. Je revois leurs visages si mignons,si adorables
que j'y repense souvent.Mais hélas elles ne sont plus avec moi je voudrais
bien qu'elles jouent avec moi. Je pose un joli bouquet de chrysanthèmes
blancs sur chaque petit tombeau.Je m'en vais paisiblement en baissant la tête. D'autres personnes pénètrent encore dans le champ du repos, beaucoup
portent des chrysanthèmes blancs, jaunes.
Puis je rentre à la maison. Je résume à maman ce que j'éprouve comme chagrin puis je pleure en repenssant à mes petites soeurs.
NB:J'ai repris le texte tel que, avec les fautes d'orthographes.
L'institutrice ayant corrigé les mots suivants:Toussaint,lentement au lieu de paisiblement et a barré " que j'y repense souvent.
Très émouvante la rédaction.
Datée du Mardi 6 Novembre 1956 cette rédaction.
Sujet:
Le jour de la Toussaint, vous avez accompagné votre famille au cimetière.Décrivez ce que vous avez vu et dites nous quels furent vos
sentiments.
La jeune fille écrit.
C'est aujourd'hui la toussain je vais sur la tombe de mes trois petites soeurs. Je revois leurs visages si mignons,si adorables
que j'y repense souvent.Mais hélas elles ne sont plus avec moi je voudrais
bien qu'elles jouent avec moi. Je pose un joli bouquet de chrysanthèmes
blancs sur chaque petit tombeau.Je m'en vais paisiblement en baissant la tête. D'autres personnes pénètrent encore dans le champ du repos, beaucoup
portent des chrysanthèmes blancs, jaunes.
Puis je rentre à la maison. Je résume à maman ce que j'éprouve comme chagrin puis je pleure en repenssant à mes petites soeurs.
NB:J'ai repris le texte tel que, avec les fautes d'orthographes.
L'institutrice ayant corrigé les mots suivants:Toussaint,lentement au lieu de paisiblement et a barré " que j'y repense souvent.
Très émouvante la rédaction.