pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : BRAHIMEnvoyer un mail

Le : 28/05/2022 15:17

Nous nous joignons a la clique des Messageries et a Robert Parcq pour présenter nos sincères condoléances a la famille de Scotto Di César (sans oublier le Taxi Bar)
la communauté de Bab El Oued a Paris

 

De : RACHIDEnvoyer un mail

Le : 28/05/2022 12:02

BONJOUR A TOUTES ET A TOUS CELA FAIT UN BON MOMENT QUE JE NE SUIS PAS INTERVENU SUR CE SITE MAGIC QUI A FAIT D'INOMBRABLES RETROUVAILLES A CET EFFET J'AI EU DERNIEREMENT UN ANCIEN AMI DE SIGWALT MERAGUA ET IL M'A APPRIS QU LIGORI ETAT EN CLASSE AVEC NOUS J'AIMERAI BIEN SAVOIR SI LIGORI SE SOUVIENT




 

De : Parcq RobertEnvoyer un mail

Le : 26/05/2022 14:27

A la famille SCOTTO di CESAR,
Nos sincères condoléances à Francine et leur fille de la part de la Famille PARCQ. Leur bon souvenir restera à jamais dans nos mémoires d'enfants.
Tchao oualione

 

De : La clique des MessageriesEnvoyer un mail

Le : 26/05/2022 11:23

Adieu SCOTTO di CESAR Michel du 3 Bd de Provence tu nous quitte à 96ans
Là haut tes amis du bar des AVENUES (patron VICINTE) l'OLYMPIC (LACAMERA)
tu vas les retrouver
Repose en paix OUALIONE

 

De : VIDALEnvoyer un mail

Le : 23/05/2022 14:50

Hé ouais ! Avec le temps tout s’efface, rien n’est immortel. Mémoire d’hier, mémoire d’aujourd’hui, que reste t-il de tout cela ?

Bab el Oued existait hier, le quartier existe toujours aujourd’hui, mais ce n’est plus le même, c’est complètement autre chose, un autre quartier, une autre ville. Quelques vieilles traces de balles perdues sur les murs viennent encore nous rappeler une terrible époque de ce mois de mars 1962, qui a ravagée ses rues. Aujourd’hui il ne nous reste que ces annonces de décès, venant chaque jour nous rappeler le temps qui passe inexorablement.

Ainsi va la vie…

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 15/05/2022 14:29

Ce site qui m'a fait connaître tant d'émotions, retrouver des ami-e-s d'enfance, participer aux rencontres de l'ABEO, qui me permet de respirer l'air de notre quartier, d'en revivre sa vie pleine d'amitié et de chaleur.... ce site, à présent, je redoute de le visiter tant la cascade de deuils s'accélère et nous rapproche de la fin de notre histoire.
Dédé, mon copain de quartier, de classe, toi aussi tu as rejoint les étoiles avec les Di Maccio, De Caro et les autres nombreux accordéonistes, élèves de M.Giordano.

À toutes celles et ceux atteint-e-s par cette disparition, je présente mes condoléances attristées.

 

De : BRAHIMEnvoyer un mail

Le : 15/05/2022 10:19

Nous nous joignons a La clique des Messageries pour présenter a la famille
Della Monica nos sincères condoléances suite au décès d André (DEDE pour les intimes)
La Communauté de Bab El Oued a Paris

 

De : La clique des MessageriesEnvoyer un mail

Le : 12/05/2022 16:12


Dans la cité au 6rue de la Consolation DELLAMONICA André à grandi
Arrivé en 62 à NICE il avait fondé une famille
Adieu Dédé tu nous quitte à 82ans et rejoint là haut tes frères Christian et
Etienne, repose en paix
Toujours présent à ROGNES à la table des OUALIONES pour nous régaler avec le
GAZADIEL...et le( Suédois ) FALZON Robert qui faisait escale chez toi et ton épouse DANY
Adieu OUALIONE tu vas nous manquer comme la table de ROGNES ....





 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 09/05/2022 15:13

Pour celles et ceux qui aiment s'en souvenir...


SOUVENIRS EN VRAC D'UN CHITANE DE BAB EL OUED de Hubert Zakine

En rentrant de l’école, ma mère nous préparait notre gouter qui se résumait souvent en une versée d’huile d’olive dans une assiette. Nous saupoudrions du sucre (en poudre évidemment) puis trempions des morceaux de pain et ramassions le sucre avec le pain imbibe d’huile ; je me souviens que nous léchions notre assiette, mes frères et moi tant nous aimions ça ;
Parfois, ma mère nous coupait deux morceaux de pain qu’elle trempait dans une assiette imbibée d’huile d’olive. Puis, elle découpait une tomate en rondelle qu’elle glissait entre les deux morceaux de pain auparavant frottés avec une gousse d’ail épluchée. C’était un délice mais la seule obligation qui nous incombait était de manger au balcon car il n’était pas rare de laisser tomber quelques gouttes d’huile parterre
D’autres goûters de l’époque pour « chitanes » pas trop riches et pas trop difficiles: pain et quelques cacahuètes ; pain beurré avec du sel ; pain beurré saupoudré d’Elesca (ancêtre du Banania) ; pain et carré de chocolat Lefebvre ;
Je me souviens du Mécano que ma mère utilisait pour nettoyer les cuivres ; le Fly Tox dans son « pompeur » pour nous débarrasser d’insectes « sangsues » ; le papier tue-mouches que nous utilisions en été ; le moulin à café que nous tournions comme des malades après l’avoir coincé entre nos jambes déjà poilues pour moudre les grains de café;
Les journaux de femmes « Atout C½ur », « Nous Deux », « Confidences » et « Intimité » dont les romans photos faisaient le délice des jeunes (et moins jeunes) filles;
Le TEPPAZ de notre adolescence que nous nous contentions de rêver devant la vitrine du marchand d’électro-ménager; le PIZON BROS premier transistor portatif ; la pierre à feu qui faisait la joie des petits que nous jetions au sol pour faire du bruit; La glacière ancêtre du frigidaire qu’il fallait approvisionner de cubes de glace;
Le Meva chaussure à la mode qui fut détrônée par la chaussure italienne à bout pointu et la BNCI, ancêtre de la chaussure tennis. Le Pataugas au coût modéré que nos parents tentèrent de nous imposer souvent sans succès. Le pantalon golf et la coupe en brosse qui cataloguaient les enfants obéissants. On traitait ces garçons de « fils à pèpe ».
La coupe de cheveux non pas de la « coupe à la bol de loubia » mais à « la Marlon Brando » qui fit fureur dans les années « sur les quais ». Une autre mode, celle de la chemise blousée et de la cravate noire tricotée. James Dean était passé par là.
« Ma fille qu’est ce tu veux que je te dise ! Y faut bien que jeunesse se passe ! »
En parlant de filles, je me souviens de la robe vichy de BB et son jupon amidonné, les ballerines de danseuse et « JEUNESSE CINEMA » le journal des adolescentes rêveuses sans oublier la robe sac !
Quand le rock a atterri chez nous, attention les yeux ! Bill Haley, Elvis et consorts c’était la folie ! Les stocks américains Complètement dévalisés ! Même le marché arabe de Bab Ed Jid, a connu la ruée vers l’or de la jeunesse d’Alger !
Les bonbons : les chewing gum Tarzan et Globo, les caramels Fausta, la « Biberine , le réglisse en bois, la poudre de coco, les oublis, les pates à mâcher dont je me souviens plus le nom mais il avaient le goût de réglisse(noir) ou d’anis (bleu), la guimauve tirée avec des mains pas toujours propres par "ki-kilomètre" ;
Nous appelions: OREILLE = le palmier / BI-CITRON = un diabolo citron / = DROGUISTE=le marchand de couleurs / STEAK AMERICAIN= le steak haché / VIANDE DE France = viande de veau
Nous jouions au foot bien sur mais aussi aux TCHAPP’S, aux BILLES, aux NOYAUX,(à seven, au tas ou à la tapette) à la CARRIOLE, aux BOUCHONS lestés de bougie fondue, aux OSSELETS qu’on allait chercher chez le boucher et qu’on trempait dans de l’eau chaude pour les débarrasser de toute viande, à BIX, à TU L’AS ( dans le baba), à la délivrance, à FAVA VINGA qu’on préférait appeler PAPA VINGA, aux TETES dans une entrée de maison avec une balle,( ça a rien a voir avec la bagarre), à la SAVATE qui nous faisait un mal de chien mais fier comme Artaban nous nous faisions un devoir d’y jouer afin de ne pas passer pour des GAMATES.
AUTANT DE SOUVENIRS QUI NOUS ACCOMPAGNENT ET NOUS ACCOMPAGNERONT ENCORE LONGTEMPS

 

De : MaryEnvoyer un mail

Le : 07/05/2022 16:26

Bonjour je cherche à savoir si la boulangerie située rue camille douls qui était présente il y a environ 80 ans est toujours là. Si vous en aviez quelques photos ainsi que de cette rue ce serait vraiment adorable c'est pour l'un de mes patients très âgé qui rêve de revoir son quartier d'enfance et la boulangerie de ses parents. Je vous remercie beaucoup

 

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