pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Antoine / Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 08/02/2013 19:14

Ceci est un avertissement au lecteur au sens figuré bien entendu !
(Familier) se dit d’un événement ou de toute autre chose qui peut avertir qu’on doit prendre certaines précautions pour sa conduite.
anglais : warning (en) arabe : تَحْذير (ar) (taḥḏîr)

Nous n'avons pas en face de nous des personnes cyniques ou nulles, nous avons en face de nous des croyances solidement ancrées dans l'esprit des gens, doublées parfois d’une couche épaisse de résignation et de fatalité. Changer ces croyances et combattre cette résignation ne sera pas chose aisée mais nous devons nous y atteler, et surtout ne pas nous résigner nous-mêmes. Tout ne dépend pas de nous, mais ce qui dépend de nous, il faut le continuer sans relâche.
Ceci est exprimé pour répondre aux très nombreux messages reçus du fait de mon absence du site que je retrouve avec bonheur en partageant mes lectures (ci-dessous) et qui me permet entre autres de remercier et féliciter très chaleureusement pour leurs écrits les amis contributeurs Mustapha et Youcef Delhoum notamment pour son pot-pourri de la soute à bagages….

 

De : Antoine / Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 08/02/2013 18:55

Jocelyne-Eléonore MAROT - Les dentelles de la mémoire - 2011 Géhess Editions (260 p.)
Géhess Agence Editoriale - ISBN : 978-2-35464-113-9
En 2005, l’élégante Sylvia revient dans la morne Angoulême enseigner au lycée privé dans lequel elle fut une élève brillante mais aussi « la moricaude frisée » constamment humiliée par ses camarades en raison des origines « pied-noir » de sa mère. Ce retour, le rachat discret de la superbe propriété de son père, sa liberté assumée de « fille-mère », tout cela excite aussitôt curiosité, jalousie et médisances. Elle retrouve, parmi d’autres, l’hostile et riche famille La Ribardière, incarnation de la bourgeoisie provinciale mesquine, hypocrite, campée sur ses privilèges et ses préjugés jusqu’à la caricature. L’occasion pour l’auteur de dresser une galerie de portraits sans concession. Sylvia, revivant tout un passé de vexations et de mépris, observe, avec un certain plaisir de revanche, le délitement de cette famille au sein de laquelle se dévoilent peu à peu des secrets peu glorieux.
Elle fréquente aussi ses cousins, ses amis pieds-noirs. Accueil chaleureux, générosité, affection… Quel contraste ! Pourtant ils ont tout perdu dans leur terrible exil imposé en 1962. Ensemble ils évoquent ce traumatisme d’autant plus douloureux qu’ils ont été bien mal accueillis en métropole. Mais la trop belle héroïne généreuse, magnanime, saura faire taire son besoin de vengeance et mettre son intelligence et son coeur au-dessus de ces triviales contingences. Enfin apaisée, elle pourra renouer avec le bonheur.
Un roman intéressant et réussi dans la création de cette atmosphère entachée de médiocrité et de fiel qui ne manque pas de rappeler celle de Mauriac ou de Maupassant et qui dit avec justesse la souffrance des rapatriés d’Algérie.

 

De : Antoine / Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 08/02/2013 18:54

Jocelyne-Eléonore MAROT - Carrefour des incertitudes - (Alger 1962) Récit (293 p.)
Frank Pitel & Gehess Agence Editoriale - ISBN : 978-2-35464-047-7
Jocelyne-Eléonore MAROT Docteur en littérature, professeur de Lettres, titulaire des Palmes Académiques, membre de l’Académie du Var, elle a partagé sa carrière entre la Charente et le Var.
Cet ouvrage n’est pas un roman mais un récit authentique précise l’auteur en avant-propos. Il se présente en effet comme une chronique fragmentaire et subjective des événements vécus par la jeune héroïne de 19ans.
Alger : 27 janvier – 26 mars 1962.
Etudiante en droit, Claudette a rejoint son père, officier de police en poste à Alger. Elle fréquente l’Otomatic, point de ralliement de ses nouveaux amis pieds-noirs dont elle veut partager les idéaux et le destin. Le bar s’anime de leurs disputes politiques, ranc 1/2 urs, sarcasmes, élans désespérés mais sans compromis pour une Algérie française.
Parmi eux, Frédéric, interne à l’hôpital, avec qui elle découvre l’amour absolu, lumineux, malgré leur environnement éprouvant, secoué par des plasticages quotidiens, des attentats meurtriers… Une expérience qui bouleverse sa vie.

 

De : Antoine / Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 08/02/2013 18:52

Un thème d’actualité : 1962 – 2012 : Cinquantenaire de l’Indépendance de l’Algérie.
Brillamment illustré par le film d’Alexandre Arcady "Ce que le jour doit à la nuit" d’après le roman de Yasmina Reza, cette période tragique pour les Pieds-Noirs rapatriés n’a pas manqué d’inspirer également des auteurs aux intentions et registres différents : une analyse factuelle, un récit, un roman.

Robert LOPEZ Le bonheur perdu des exclus
1962 : les conditions désastreuses de l’exode des pieds-noirs et des harkis
Ed. L’Harmattan 2012 - ISBN : 978-2-296-96073-2
En 2012, on commémore le cinquantenaire de l’Indépendance algérienne. Célébrer ? Fêter ? Déplorer ? On sent que les Accords d’Evian n’ont toujours pas trouvé leur véritable accord populaire. L’humiliation, la souffrance, le déracinement infligés au peuple pied-noir habitent encore douloureusement tous ceux qui ont vécu ces événements. L’auteur analyse les conditions des négociations menées en mars 1962 au mépris de la voix des pieds-noirs et harkis et les occasions perdues d’envisager d’autres solutions. A cette« falsification historique » aux « effets pervers », il oppose la vérité des exclus et veut réhabiliter leur image discréditée dans l’opinion. Pour rendre compte de la réalité de leur vie en Algérie, il évoque sa jeunesse sereine à Oran, ses années harmonieuses et pleines de vitalité d’enseignant à Tlemcen, carrefour de civilisations. Comme Rieux dans La peste de Camus, R. LOPEZ écrit aujourd’hui cet ouvrage pour ne pas être de ceux qui se taisent, pour témoigner en faveur de ces pestiférés, pour laisser un souvenir de l’injustice et de la violence qui leur avaient été faites.

 

De : solivérèsEnvoyer un mail

Le : 07/02/2013 13:28

merci Monica
on va essayer de faire comme çà , et puis on a un an pour être au point , je suppose que pour les monas tu fais pareil une nuit au frigo
grosses bises

 

De : monique BaldacchinoEnvoyer un mail

Le : 05/02/2013 23:40

Pour Danielle Solivérès

La recette de la couronne des rois, tu la trouveras sur le forum à la rubrique recette, moi je prépare la pâte la veille et je la mets au frigo toute la nuit, ensuite le matin, la sortir et la laisser gonfler un peu avant de former les couronnes. Bonne soirée Monica de là-bas

 

De : brahimEnvoyer un mail

Le : 05/02/2013 15:20


Suite au déçés de notre enfant du quartier Raymond Spinosa

toute la famille Tamene de Paris Copenhague et Bab el Oued

présente a la famille Spinosa et la Cliques des Messageries ses

sincéres condoléances

 

De : La clique des MessageriesEnvoyer un mail

Le : 05/02/2013 12:27

Ce matin les Oualiones de la rue de la Consolation et du Bd de Provence
ont accompagnés pour la dernière fois leur ami Spinosa Raymond
Né en 1944 il avait étudié à Sigwalt et Condorcet ;mais à 14 ans il
commençait à travailler en bas la marine (au port d'Alger)et là il nous souder les gantches avec les gros hameçons qu'ont acheter chez Soliveres à la rue du Dey pour aller faire les poulpes devant les bains de chevaux le long du bloc carré jusqu'au petit chapeau et ramasser les skoundils
Avec lui au retour des 2chameaux et du petit bassin le cageot au milieu de la bouée etait toujours à bloc d'oursins et pour les moules ont revenaient des rochers proches de la bougie du Kassour;et de cette façon
il était sorti du quartier pendant le bouclage du 23 Mars 1962.....
Au 4 rue de la Consolation avait débuté sa jeunesse TCHAO Raymond


 

De : Hauth Anne MarieEnvoyer un mail

Le : 04/02/2013 20:29

à l'attention de Monsieur Giliberti
Je viens de lire votre message concernant une famille Moll. J'en ai connu une, plus particulièrement une Francette Moll qui habitait bab-el-oued et qui devait avoir 18 ans à notre départ. Je ne me souviens pas de leur adresse à Alger mais je peux vous donner des renseignements en me contactant, si c'est la famille que vous recherchez.
Salutations.

 

De : Petersen-Pacifico mylèneEnvoyer un mail

Le : 04/02/2013 16:33

Bonjour,

Je suis née d'une famille pied noir tous né à Bab El Oued, mon arrière grand-père était le propriètaire du Café "Au Roi de l'escargot".
J'aimerais savoir si quelqu'un aurait une photos de la devanture de ce Café.
Merci par avance de votre réponse.

Mylène

 

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