pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Mustapha OualikeneEnvoyer un mail

Le : 03/03/2013 15:08

Bonne après midi tout le monde C’est la fête des mamies
La fête des grand-mères a été créée en 1987 par la marque de café, le Café Grand'Mère, du groupe Kraft Jacobs Suchard ; elle est donc d'origine purement commerciale. Depuis, en France, le premier dimanche de mars, les aïeules sont fêtées. Au cours des ans, cette fête a pris de plus en plus de popularité, faisant l'objet d'ateliers / concours dans les écoles, de campagnes promotionnelles, et étant évoquée dans la presse. Elle est, dès lors, mentionnée dans certains calendriers français. En octobre 2008, elle fut l'occasion d'une étude sociologique, commandée par l'association « Fête des grand-mères », consacrée à l'étude du rôle et de la place des grand-mères dans la famille et dans la société. Une autre étude a montré qu'elle avait un impact significatif sur la vente des végétaux d'intérieur La date de la fête des grand-mères est le premier dimanche de mars, chaque année.
La fête des grand-mères est surtout célébrée en France où la population y est très attachée.
La fête des grand-mères existe cependant également en Bulgarie, dans ce pays la date de la fête des grand-mères est fixée au premier mercredi de décembre
A cette occasion je souhaite une très bonne fête à toutes les mamies
Dis, Mère-Grand, pourquoi as-tu un si GROS COEUR ?
C'est pour mieux t'AIMER, mon enfant ... Mamie, on veut te garder encore très longtemps, pour que tu nous dises très souvent, : ''Bonjour mes petits'' On veut que tu ries quand on fait les toufous, Que tu nous couches avec notre doudou, Et que tu nous racontes des histoires de fées, Juste avant d’aller dans les bras de Morphée. Alors profite encore longtemps de la vie Mamie nous avons encore besoin de toi
« J’embrasse toutes les grandes mères »
Mustapha

 

De : MESSIRE:CHAFFARDEnvoyer un mail

Le : 03/03/2013 11:54

En ce jour de Fête des mamies -une trés grande pensées pour nos grands-méres pleins de souvenirs de B E O et aujour'hui notre fête entourées de nos petits et aux mamies oubliées - baisers a tous PN - Eliane

 

De : ANDREEEnvoyer un mail

Le : 03/03/2013 11:52

BONJOUR A TOUS

LE TABLIER DE GRAND MERE


Le principal usage du tablier de Grand'Mère était de protéger la robe en dessous, mais en plus de cela, il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau; il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants, et à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies.

Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer, et parfois les oeufs fêlés qui finissaient dans le fourneau.

Quand des visiteurs arrivaient, le tablier servait d'abri à des enfants timides; et quand le temps était frais, Grand'Mère s'en emmitouflait les bras.

Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet, agité au dessus du feu de bois. C'est lui qui transbahutait les pommes de terre et le bois sec jusque dans la cuisine.

Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes. Après que les petits pois aient été récoltés venait le tour des choux. En fin de saison il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.

Quand des visiteurs arrivaient de façon impromptue, c'était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.

A l'heure de servir le repas, Grand'Mère allait sur le perron agiter son tablier, et les hommes au champ savaient aussitôt qu'ils devaient passer à table.

Grand'Mère l'utilisait aussi pour poser la tarte aux pommes à peine sortie du four sur le rebord de la fenêtre pour qu'elle refroidisse, tandis que, de nos jours, sa petite fille la pose là pour décongeler.

Il faudra de bien longues années avant que quelqu'un invente quelque objet qui puisse remplacer ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses.

TEXTE TROUVE SUR LE NET


BONNE FETE A TOUTES LES GRANDS-MERES

 

De : PerletteEnvoyer un mail

Le : 03/03/2013 10:11

bonjour tout le monde

je souhaite à Ginette et à toutes nos grands-mères de BEO une très bonne fête entourées de vos petits ou pas et à tous un bon dimanche

bises

Perlette

 

De : CRESPIN LilianeEnvoyer un mail

Le : 03/03/2013 07:57

Gomez comment et quel âge ?

 

De : gomezEnvoyer un mail

Le : 02/03/2013 23:06

bonsoir a toutes & a tous j habitais 1 rue nobel a alger bab el oued si ya des personnes qui me reconnaissent laissais moi un message merci d avance a tous & a bientot sur le site

 

De : Andre fareseEnvoyer un mail

Le : 28/02/2013 00:25

J'attacherais un grand prix à retrouver avant de prendre le dernier train en partance pour l'au delà,2 camarades de régiment qui comme moi ont 85 ans Nous etions du 27è Train ,détachés au Sce du Recrutement caserne d'Orléans Il s'agit de Christian DELLA MONICA qui habitait Bd de Provence Cité des Italiens ( son frére était accordéoniste)et de André DEBONO Qui habitait route de N D D'Afique Il était relieur (de talent) à La TYPO LITHO Les frères DEBONO étaient nombreux et s'il me souvient bien, tenaient le Garage des Cars SOUFI rue Montaigne J'habitais moi meme 5rue ROSETTI immeuble face au cinéma BIJOU qui appartenait à la famille SIARI dont le fils Richard s'était établi comme chirurgien dentiste au 1 de la rue ROSetti Que sont_ils devenus? Merçi à celles ou à ceux qui pourraient me fixer sur leur sort

 

De : Antoine / Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 27/02/2013 18:28

Pour avoir des souvenirs de jeunesse, encore faut-il avoir un certain âge, sinon un âge certain !
Les jeunes et les ados sont en train de les vivre, sans s'en rendre compte et un détail, une saveur, une odeur ou un bruit leur explosera aux yeux, en bouche, en nez ou en oreilles dans quelques dizaines d'années : il faut leur souhaiter que ce sera alors un excellent souvenir .... Chacun a sa "madeleine de Proust".

Les messages échangés le 22 février dernier entre Claude-France et Joce à propos d’un prof de danse ont brusquement soulevé une feuille parmi les milliers de mille-feuilles de mes souvenirs en libérant ces images, ces bruits et ces odeurs des années 58, les faisant revivre et les réanimant comme dans ces contes de notre enfance où, après un long sommeil, la vie reprend son cours et le temps ses rythmes plus ou moins sereins.
Ceci pour raconter les dimanches matin où ce peuple si attachant d’hommes, de femmes et d’enfants de Babeloued envahissaient les alentours du marché, discutaient partout, au milieu de la chaussée, s’écartant au passage lent des véhicules peu pressés ou marquant l’arrêt pour échanger quelques plaisanteries avec les copains, dans une atmosphère de bonheur simple qui leur permettait de profiter de la trêve dominicale et d’oublier les misères de la semaine …
Les bars étaient pleins à craquer, les uns jouant aux cartes, d’autres au jacquet, d’autres encore au comptoir, mangeant la kémia ou buvant l’anisette jusque sur les trottoirs, parlant des matchs qui auraient lieu l’après-midi, s’enflammant et s’affrontant suivant qu’ils étaient supporters de l’ASSE ou du GALLIA, dans un halo de fumée de plus en plus épais, au milieu des conversations de plus en plus sonores et inaudibles, des odeurs multiples des fritures, escargots, sardines, cacahuètes grillées, moules à l’escabèche etc…
Et puis, sortie de nulle part, comme un sortilège, une apparition ! ! !
Un silence, court il est vrai, la salue ; un silence accompagné d’un déplacement précipité de nos habitués vers l’extérieur ou près des fenêtres et des dizaines de paires d’yeux, hors les orbites, à la manière du loup des films de Tex Avery, admirent sa démarche dynamique, sa robe légère et virevoltante, ses jambes musclées juchées sur de hauts talons, sa taille de guêpe, sa longue queue de cheval, sa jeune beauté empreinte d’une élégance et d’un port peu communs.
Andrée, à l’époque, je me demandais comment tu pouvais traverser au milieu de ces mâles dont les compliments étaient sûrement très osés mais je ne connaissais rien au monde des danseuses de l’Opéra et je comprends aujourd’hui que tu n’y prêtais pas attention.
Si tu me lis, sache que nous t’admirions tous comme Melle A… , danseuse elle aussi ou comédienne, qui était aussi brune que toi, blonde. Véritable bombe, elle a certainement fait tourner la tête de nombreux admirateurs.
Toi, tu habitais du côté de la place Willermoz, près du commissariat du 5è arrondissement,
elle, du côté du Bd de Champagne chez ses parents avec son frère Jean-Pierre, copain de classe au Lycée, devenu grand reporter sur Antenne 2.
Merci donc à Claude-France et à Joce de m’avoir permis de retrouver ces souvenirs, de les partager avec vous et de continuer à chanter
« Ah ! Quelles étaient jolies les filles de mon pays »

 

De : RoseTTE de la consolationEnvoyer un mail

Le : 27/02/2013 11:09

BONJOUR A VOUS TOUS.
BONNE ANNIVERSAIRE A GINETTE,BISES A VOUS DEUX .ET MERVEILLEUSE HISTOIRE RACONTÉ PAR NOTRE GRAND AMI MUSTAPHA.
APRÈS LA NEIGE ,NOUS A VONS UN BEAU SOLEIL A TOULOUSE,ET ÇA NOUS RÉCHAUFFE LE COEUR.BISES A TOUS ,ROSETTE.

 

De : Blanc etienneEnvoyer un mail

Le : 27/02/2013 02:55

Salut,mon ami ton message m'a fait venir les larmes aux yeux,et je pense a tout ceux qui ne connaissent pas notre paradis a jamais.Notre plus tendre enfance ne peu s'oublier.Amitiéssss .
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