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Le : 10/08/2022 18:52
Bonjour,
J'ai une photo de classe de 1960 CF 2eme année que je voudrai la partager sur le site.
Merci
J'ai une photo de classe de 1960 CF 2eme année que je voudrai la partager sur le site.
Merci
Le : 09/08/2022 07:04
Hubert Zakine
"BAB EL OUED POUR MEMOIRE" DE HUBERT ZAKINE.
(Il ne faut surtout pas perdre le fil…
BAB EL OUED. Rien tu dis son nom et tu comprends à l'½il nu (et à l'oreille sale) que ce quartier de cent mille âmes, y se trouve pas sur les rives du Mississipi mais près des berges de la seine (ou de Lahcène comme tu veux tu choises! ) BAB EL OUED, il a un nom à coucher dehors les murs de la Cassaubah où le Dey avec sa tête de tchic-tchic à trois faces, y s'entraînait à chasser les mouches à grands coups d'éventail dans le vide.
D'un coup d'éventail sur le nez
Il caressa le Consul
Qui plutôt que de dégainer
Préféra tomber sur le cul.
Mon consul, comme pas un, vexé
Chez sa mère il alla pleurer
Qu’en même temps, c’était sa patrie,
C'est de là qu'on dit "mère-patrie".
*****
Porte de la rivière, mieux çà fait, zarmah! Total ouallou! Pace que l'oued M'kacel, porte ou pas porte, quand ça le démangeait, comme un torrent qui vient tout droit de la montagne (et qui s'enfuit en bondissant parmi les champs ), tout y dévastait sur son passage, alors! Qué porte!
BAB EL OUED c'est un nom arabe. Et alors? Et oilà!
Mais attention, hein! C'est un allemand du nom de Lichtenstein, Dieu seul y sait çà qui foutait là-bas, qu'il a eu l'idée de génie (militaire) de bâtir un quartier sur l'ancien cimetière israélite, la mort de ses ossements.
Contre une soulte, y soudoya le Ministre SOULT pour obtenir le certificat d'urbanisation et en avant nous z'autres, à l'assaut de la carrière JAUBERT et de sa pierre bleue pour une ville bleu-blanc-rouge.
De partout et même d'ailleurs, les gobieux y sont arrivés dans cet eldorado que John WAYNE et Robert MITCHUM, même pas y connaissaient, ces babaos! Des balancelles, j'vous dis pas combien y en avait dans le port d'ALGER qu'elles se balançaient à qui mieux-mieux, comme des demoiselles sur une balançoire.
*****
Avant la conquête, BAB EL OUED c'était la fin du monde. Hors les murs, la place des suppliciés juifs et le cimetière! La vie ou la mort! La fin du monde, j'vous dis! Reusement, heu! Quelques lieues plus loin, les fahs. Des oasis de verdure, ma parole d'honneur, le paradis, le jardin d'Eden. Du cimetière au paradis. Cha!Cha!
Le faubourg BAB EL OUED, qu'une rue il avait. Chiche comme pas un avec tous ses commerçants juifs et maures qui passaient la journée à marchander avec leur clientèle. Un sou c'est un sou dans le souk!
L'ottoman il a ses têtes de turc; le juif y fait bien l'affaire. Et les affaires. Cruel dilemme! Brimé, le juif y rapporte rien à la Régence. Banquier, c'est une affaire en or. Dis moi, dhimmi, combien tu donnes pour ta vie, chaque jeudi soir avant le shabbat? La bourse ou la vie! On joue au tchic-tchic ou au Dey (comme tu veux, tu re-choises). Face, j'te coupe la tête, pile j'coupe la poire en deux. Une moitié pour moi, une moitié pour toi !
*****
Et BAB EL OUED dans tout çà? Y suit son p'tit bonhomme de chemin avec les italiens, les espagnols, les maltais, les mahonnais qui se font suer le burnous, mon ami, comme des profiteurs de colonialistes qui s'en mettent plein les poches trouées, sous le soleil exactement. Le soleil, Kaddour pour les intimes, mieux qu'à ACAPULCO que personne y connait encore pace que Luis MARIANO il est pas né et que sa mère, la pauvre, elle sait même pas que son fils y va devenir la coqueluche de toutes les filles d'ALGERIE. Aille, qu'elles sont jolies les filles de mon pays! Larzèze à sa mère!
*****
Les mauvais garçons y jouent du couteau, mieux que le boucher de la rue de la Lyre qu'elle, non plus, elle existe pas encore. Tout çà pour les beaux yeux d'une belle que, total, elle est bichelaouère qu'elle en peut plus. Seulement oilà, des femmes y'en a pas bezef à se mettre au lit, au lait avec des croissants chauds. Alors, obligé, tous les hommes y se morflent l'oeil pour faire les zigotos. Des morts, j'vous dis pas! Allez, va , j'vous le dis! En veux-tu en voilà. Pas assez, les épidémies, la peste, le choléra!
Reusement, la France elle fait la mata. Mon ami, le premier qui fait le zouave, ni une ni deux, enrôlé chez les zouaves! Tu l'as voulu, tu l'as eu, et vogue la galère jusqu'au pont de l'Alma.
*****
La casbah judéo-arabe, toute en discrétion et en prière, raïben, elle voit ses ruelles éventrées par le génie militaire qu'il en touche pas une en compréhension de la mentalité du pays et de ses habitants. Zarmah, le génie y veut aérer la vue. Qué génie ! Babao ouais !
Total, à perte de vue, la fournaise elle envahit le quartier. Avant, le soleil, y se contentait de brûler les terrasses qu'elles s'affalaient les unes sur les autres, la partouze, j’vous dis pas ! Maint’nant, la s’rannah, j’vous dis pas non plus !
"BAB EL OUED POUR MEMOIRE" DE HUBERT ZAKINE.
(Il ne faut surtout pas perdre le fil…
BAB EL OUED. Rien tu dis son nom et tu comprends à l'½il nu (et à l'oreille sale) que ce quartier de cent mille âmes, y se trouve pas sur les rives du Mississipi mais près des berges de la seine (ou de Lahcène comme tu veux tu choises! ) BAB EL OUED, il a un nom à coucher dehors les murs de la Cassaubah où le Dey avec sa tête de tchic-tchic à trois faces, y s'entraînait à chasser les mouches à grands coups d'éventail dans le vide.
D'un coup d'éventail sur le nez
Il caressa le Consul
Qui plutôt que de dégainer
Préféra tomber sur le cul.
Mon consul, comme pas un, vexé
Chez sa mère il alla pleurer
Qu’en même temps, c’était sa patrie,
C'est de là qu'on dit "mère-patrie".
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Porte de la rivière, mieux çà fait, zarmah! Total ouallou! Pace que l'oued M'kacel, porte ou pas porte, quand ça le démangeait, comme un torrent qui vient tout droit de la montagne (et qui s'enfuit en bondissant parmi les champs ), tout y dévastait sur son passage, alors! Qué porte!
BAB EL OUED c'est un nom arabe. Et alors? Et oilà!
Mais attention, hein! C'est un allemand du nom de Lichtenstein, Dieu seul y sait çà qui foutait là-bas, qu'il a eu l'idée de génie (militaire) de bâtir un quartier sur l'ancien cimetière israélite, la mort de ses ossements.
Contre une soulte, y soudoya le Ministre SOULT pour obtenir le certificat d'urbanisation et en avant nous z'autres, à l'assaut de la carrière JAUBERT et de sa pierre bleue pour une ville bleu-blanc-rouge.
De partout et même d'ailleurs, les gobieux y sont arrivés dans cet eldorado que John WAYNE et Robert MITCHUM, même pas y connaissaient, ces babaos! Des balancelles, j'vous dis pas combien y en avait dans le port d'ALGER qu'elles se balançaient à qui mieux-mieux, comme des demoiselles sur une balançoire.
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Avant la conquête, BAB EL OUED c'était la fin du monde. Hors les murs, la place des suppliciés juifs et le cimetière! La vie ou la mort! La fin du monde, j'vous dis! Reusement, heu! Quelques lieues plus loin, les fahs. Des oasis de verdure, ma parole d'honneur, le paradis, le jardin d'Eden. Du cimetière au paradis. Cha!Cha!
Le faubourg BAB EL OUED, qu'une rue il avait. Chiche comme pas un avec tous ses commerçants juifs et maures qui passaient la journée à marchander avec leur clientèle. Un sou c'est un sou dans le souk!
L'ottoman il a ses têtes de turc; le juif y fait bien l'affaire. Et les affaires. Cruel dilemme! Brimé, le juif y rapporte rien à la Régence. Banquier, c'est une affaire en or. Dis moi, dhimmi, combien tu donnes pour ta vie, chaque jeudi soir avant le shabbat? La bourse ou la vie! On joue au tchic-tchic ou au Dey (comme tu veux, tu re-choises). Face, j'te coupe la tête, pile j'coupe la poire en deux. Une moitié pour moi, une moitié pour toi !
*****
Et BAB EL OUED dans tout çà? Y suit son p'tit bonhomme de chemin avec les italiens, les espagnols, les maltais, les mahonnais qui se font suer le burnous, mon ami, comme des profiteurs de colonialistes qui s'en mettent plein les poches trouées, sous le soleil exactement. Le soleil, Kaddour pour les intimes, mieux qu'à ACAPULCO que personne y connait encore pace que Luis MARIANO il est pas né et que sa mère, la pauvre, elle sait même pas que son fils y va devenir la coqueluche de toutes les filles d'ALGERIE. Aille, qu'elles sont jolies les filles de mon pays! Larzèze à sa mère!
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Les mauvais garçons y jouent du couteau, mieux que le boucher de la rue de la Lyre qu'elle, non plus, elle existe pas encore. Tout çà pour les beaux yeux d'une belle que, total, elle est bichelaouère qu'elle en peut plus. Seulement oilà, des femmes y'en a pas bezef à se mettre au lit, au lait avec des croissants chauds. Alors, obligé, tous les hommes y se morflent l'oeil pour faire les zigotos. Des morts, j'vous dis pas! Allez, va , j'vous le dis! En veux-tu en voilà. Pas assez, les épidémies, la peste, le choléra!
Reusement, la France elle fait la mata. Mon ami, le premier qui fait le zouave, ni une ni deux, enrôlé chez les zouaves! Tu l'as voulu, tu l'as eu, et vogue la galère jusqu'au pont de l'Alma.
*****
La casbah judéo-arabe, toute en discrétion et en prière, raïben, elle voit ses ruelles éventrées par le génie militaire qu'il en touche pas une en compréhension de la mentalité du pays et de ses habitants. Zarmah, le génie y veut aérer la vue. Qué génie ! Babao ouais !
Total, à perte de vue, la fournaise elle envahit le quartier. Avant, le soleil, y se contentait de brûler les terrasses qu'elles s'affalaient les unes sur les autres, la partouze, j’vous dis pas ! Maint’nant, la s’rannah, j’vous dis pas non plus !
Le : 08/08/2022 17:55
Sincères condoléances.
Paix à son âme.
Que la terre lui soit légère.
Paix à son âme.
Que la terre lui soit légère.
Le : 08/08/2022 14:30
Une erreur Thérèse fille du bar des Avenues et non le Provence. (Vicente)
Le : 08/08/2022 14:12
Bonjour à tous,
je suis Bernadette Garcia, s½ur de Sauveur Esposito, mon frère chéri est parti dans les cieux il était bon généreux;
il a eu un hommage lors de ses obsèques, un porte drapeau des rapatriés de Carpentras. tous ses amis ont étaient présents.
Sauveur était administrateur, des rapatriés de Carpentras, il habitait en Avignon.
Mais Bab El Oued, était toujours jusqu'au bout son quartier. D'ailleurs pour tous il était "Sauveur de Bab El Oued".
il était passionné de foot, il à été les début de notre arrivée en France Gardien de but à l'Anfonoma. Il été Sapeur pompier d'Avignon.
Ses obsèques ont lieu le lundi 18 juillet 2022.
Merci à tous ceux qui ont pu témoignés de leurs gratitudes, et regrette pour ceux qui n'ont pu le savoir.
Thérèse Fille du Bar Le Provence à Alger, (Bab el oued) et ses enfants, vous remercient.
Bernadette Garcia,
Le : 07/08/2022 16:15
bonjour,
je suis a la recherche des recettes pieds noir. merçie de me renseigner
je suis a la recherche des recettes pieds noir. merçie de me renseigner
Le : 03/08/2022 13:09
Rue BARRA = Rue Frères BELAZOUG
Rue, CHATEAUDUN toujours CHATEAUDUN
Rue, CHATEAUDUN toujours CHATEAUDUN
Le : 03/08/2022 03:32
Dans certains derniers messages, il y avait les nouveaux noms arabes donnés aux rues de Bab El Oued. Quelqu'un connaîtrait-il les nouveaux noms des rues Barra et Chateaudun? Je pourrai ainsi les retrouver sur Google Map. À l'avance merci!!!
Le : 02/08/2022 20:43
Bonjour,
Je suis tombé par hasard sur ce site.
J’ai habité, moi aussi, à la rue Mizon appelée aujourd’hui Mohamed Tazairt, j’ai été l’ex- école Le Lièvre puis l’ex-lycée Bugeaud qui porte fièrement le nom de l’Emir Abdelkader depuis 1962.
J’ai arpenté toutes toutes rues de Bab El-Oued lesquelles, même si rebaptisée, sont le plus souvent désignées par leurs anciens noms par les bab El ouedis.
Je comprends la nostalgie qui se dégage de vos messages.
Que dire? C’eût put être différent si la voie de la raison avait prévalu et l’inévitable décolonisation imaginée avec lucidité. Malheureusement les politiques français de l’époque en avaient décidé autrement.
Je suis sûr que les habitants de Bab El Oued connus pour leur sens de l’hospitalité sauront accueillir ceux parmi vous qui voudront y effectuer un pèlerinage en quête de souvenirs.
Cordialement votre,
Elias
Je suis tombé par hasard sur ce site.
J’ai habité, moi aussi, à la rue Mizon appelée aujourd’hui Mohamed Tazairt, j’ai été l’ex- école Le Lièvre puis l’ex-lycée Bugeaud qui porte fièrement le nom de l’Emir Abdelkader depuis 1962.
J’ai arpenté toutes toutes rues de Bab El-Oued lesquelles, même si rebaptisée, sont le plus souvent désignées par leurs anciens noms par les bab El ouedis.
Je comprends la nostalgie qui se dégage de vos messages.
Que dire? C’eût put être différent si la voie de la raison avait prévalu et l’inévitable décolonisation imaginée avec lucidité. Malheureusement les politiques français de l’époque en avaient décidé autrement.
Je suis sûr que les habitants de Bab El Oued connus pour leur sens de l’hospitalité sauront accueillir ceux parmi vous qui voudront y effectuer un pèlerinage en quête de souvenirs.
Cordialement votre,
Elias
Le : 31/07/2022 11:45
BAB EL OUED,T'EN SOUVIENS TU? de Hubert Zakine.
Le jardin Guillemin et son manège, la Grande Brasserie et sa jeunesse, ses billards et son patron Pépète Soliveres, le Marignan qui accueillait nos jeudis cinématographiques et le dimanche, nos parents tirés à 4 épingles, Padovani et sa clientèle bonne enfant, son rocher plat et ses mariages sur pilotis, les matches A.S.S.E-G.S.A. qui drainaient un peuple amoureux de ses équipes, ses cafés hispano-andalous ou italiens qui chantaient le pays des origines, les cimetières de Saint-Eugène qui dormaient du sommeil des justes et qui étaient entretenu avec dévotion par "ceux qui restaient", le "andar et venir" de l'Avenue de la Bouzaréah d'une jeunesse en goguette, les beignets italiens de Pasquale et les beignets arabes de Blanchette.La cité de Picardie, la cité des Eucalyptus, la Consolation, le stade Marcel Cerdan et le buste sculpté par Greck qui trônait à l'entrée, le Majestic son toit ouvrant, ses vedettes du music-hall et ses réunions de boxe, l'Olympic où se retrouvaient tous les amateurs de l'ASSE, l'avenue des consulats, le marché de Bab El Oued qui entretenait une cacophonie à nulle autre pareille, l'avenue Durando avec le Marignan, cinéma préféré des grands et des petits pour son immense écran en cinémascope, la rue cavelier de la salle où habitait Martoune, les miroitiers Borras et Sampol, excellents tous deux au billard français, la boulangerie Villa Grossa où Blasco faisait la meilleure "pitse" du faubourg, le cafetier Manolo à l'angle de l'avenue du général Verneau pour son "ping foot et sa khémia, le Sélect-bar pour ses résultats sportifs, la clinique Durando où plus d'un bébé du faubourg a vu le jour, le Monoprix en lieu et place de l'ancien Trianon, le Lynx ancienment le Bijou, la Perle, les Variétés rue Eugène Robe, le cinéma des films larmoyants, le marché Nelson qui se prononçait "à la française", El Kettani et sa jeunesse qui faisait des ronds de jambes en se pavanant autour de sa piscine olympique où Heda Frost, Jean-Pascal Curtillet, Alain Gotvallès et consorts battirent un grand nombre de records, les Messageries avec l'école Sygwalt et son jardin qui servait de stade aux futures vedettes de l'ASSE, la synagogue Samuel Lebar de la rue de Dijon où nous fîmes la communion, mes frères et moi, Padovani et son préposé aux billets d'entrée, Roger Sebaoun, où les filles du faubourg faisaient les yeux doux aux apprentis-Apollon, le Café Riche avec les amateurs de football qui se rassemblaient le dimanche soir pour décortiquer les résultats en se "tapant" l'anisette, le lycée Bugeaud et le collège Guillemin que chacun tentait d'apprivoiser lors d'études secondaires hypothétiques, la boulangère Mullor et ses gâteaux au sucre vanillé de couleur, le pâtissier Prat et ses russes que tout le monde se disputait le dimanche, Roma glaces et Grosoli, les glaciers préférés des "morfals" du quartier envahi le dimanche après midi par les "gens bien comme il faut", le "Discophone" des soeurs Legendre qui faisait crédit à qui le demandait, le passage Montaigne avec le marchand de jouets Elbaz et le confiseur qui lui faisait face, l'école de la Place Leliévre et son église qui voyait de belles histoires se terminer par un mariage, son boulodrome où les disputes "de bonne santé" entre pointeurs et tireurs étaient légion, Coco et Riri et sa mansuétude "bon enfant" pour les "chitanes" du quartier, les jardins Guillemin que Napoléon III avait dessinés lui-même après que sa femme, l'impératrice Eugénie, se fut plaint de la chaleur du soleil de chez nous et lui avait demandé des jardins ombragés à Alger, les squares Guillemin des apprentis footballeurs, des mamans-gâteaux et leurs chères têtes blondes qui, dans ce pays, étaient plutôt brunes, la fameuse "basséta" chère aux espagnols du faubourg comme l'était la Consolation aux italiens des Messageries, les cyclistes du C.C.B.E.O. Guercy,Ferrer,Zélasco, Califano,Vasserot et d'autres dont j'ai oublié le nom, et tous les commerçants trop nombreux pour en faire une liste qui serait à n'en pas douter non exhaustive ( purée, comme je parle bien, même pas je sais ce que ça veut dire exhaustive mais ça fait bien! Zarmah je suis intelligent!) Et les rues montaigne, durando, rochambeau, koechlin, lestienne,duc des cars, jean jacques rousseau, pierre leroux plus connue comme la "cote de la basseta", borely la sapie, lazerges, franklin, feuillet, du roussillon, de la bretonniere, suffren, léon roches, mazagran, et je pourrais en faire des pages et des pages.................