Liste des messages
Le : 21/11/2013 21:34
Comme la si bien dis mon ami André Trives messieurs et mesdames à vos claviers. Notre ami Christian et son équipe se sont donné tant de mal à mettre ce site à notre disposition pour échanger nos points de vue nos souvenirs , le partage et surtout nos retrouvailles. Depuis quelque temps vous avez tous déserté le site il est temps de se mettre au clavier et de nous raconter quelques histoires ou anecdotes. Il n'y a pas de préférence tous est à prendre faite le pour notre ami Christian. Je vous souhaite à tous et à toutes une douce nuit
Le : 21/11/2013 21:25
C’est le récit de mon séjour à Yakouren Grande Kabylie à l’occasion de la célébration de l’achoura
La célébration de l’Achoura à Sidi El Abad se fait toujours selon les coutumes ancestrales.
Lors des asensi ou zerda organisées au mausolée de Sidi El Abad un pic cumulant à 1014m d’altitude lieu vénéré et qui attire à l’occasion de nombreux visiteurs et pèlerins . Ces derniers viennent en famille de toute la Kabylie pour effectuer une Ziara (pèlerinage) surtout le jeudi, mais aussi pour une simple promenade ou randonnée. Tous ces gens contemplent le panorama avec un ciel si proche et l’immensité de la mer de chênes liège zen qui s’étend à perte de vue avec au Sud une vue imprenable sur le majestueux mont du Djurdjura et au Nord une vue sur la grande Bleu.
A sidi El Abad à l’occasion de l’Achoura (fête religieuse) une fois part an est organisée, lawzighââ ou Tiwizert pour certains qui est le sacrifice que les villageois font chaque année à la petite fête. Cette coutume qui permet de récolter de grosses sommes d’argent pour le sacrifice des bêtes et de distribuer équitablement la viande d’abord aux plus démunis mais aussi aux nantis. Les villageois cotisent en fonction de leurs moyens pour l’achat de veaux et moutons. La veille toutes les femmes et les jeunes filles du village vont puiser l’eau, ensuite les femmes roulent le couscous toute la nuit. Le jour « J » de l’Achoura tôt le matin des files de voiturent affluent déjà sur la montagne ou un immense parking leurs est aménagé dans la forêt. Dés l’aube après la prière du matin toutes les femmes sont devant leurs fourneaux et marmites pour préparer le repas pour tous les villageois et leurs invités. Quand aux hommes c’est à eux que revient la tache qui consiste à immolé les bêtes et à partager la viande équitablement même les invités ne sont pas oublier. Pendant ce temps les plus jeunes dressent les tables sous les arbres. Après avoir déguster un couscous royal en plein aire toute ses famille récupèrent leurs part de viande. A l’occasion de cette fête Sidi El Abad aura vécu l’espace d’une journée pas comme les autres des moments inoubliables où cette journée de kermesse a fait revivre le bon vieux temps aux villageois. C’est le comité de village composé de jeunes dynamiques qui a pris le pari de réussir un tel rendez vous fait de solennité et de convivialité. Autour d’une foule bigarrée les bénévoles s’occupent à la répartition des chapelets de viande découpées soigneusement après le sacrifice des beaux taurillons et à régler les menus détails devant les yeux pétillants de fierté, de sagesse et de nostalgie des vieux du village. Cela fait du bien de voir tous ces jeunes perpétuer une telle tradition et de reprendre le relais des personnes âgés qui eux l’ont aussi hériter de leurs anciens me dira mon oncle Arezki. Son fils mon cousin Ali me dira à son tour »à chaque fois que nous organisons cette fête nous sommes fières d’avoir renoué avec l’histoire que nous ont légué nos parents et grands parents certes ce n’est pas facile de gérer tous ce monde et de réaliser une telle tache mais avec beaucoup de volonté et de sacrifices nous arrivons à satisfaire tout le monde et il ajoute regarde toute cette foule qui s’embrasse et qui se souhaite mutuellement une bonne fête tout en dégustant un bon thé à la menthe ou un bon café chaud en attendant de rentrer à la maison avec un beau chapelet de viande pour de bonnes grillades comme le faisaient jadis nos ancêtres . Avec le sentiment du devoir accompli mon cousin Ali regarde toute cette marais humaine qui commence à quitter les lieux il me fait promettre de revenir l’année prochaine, promesse que j’ai fait avec fièrté.
Comme à Sidi El Abad partout en Kabylie les coutumes ont gardé toute leurs saveurs et leurs nostalgies, il existe encore des hommes qui restent follement amoureux de leur bled et profondément attachés à leurs racines.
La célébration de l’Achoura à Sidi El Abad se fait toujours selon les coutumes ancestrales.
Lors des asensi ou zerda organisées au mausolée de Sidi El Abad un pic cumulant à 1014m d’altitude lieu vénéré et qui attire à l’occasion de nombreux visiteurs et pèlerins . Ces derniers viennent en famille de toute la Kabylie pour effectuer une Ziara (pèlerinage) surtout le jeudi, mais aussi pour une simple promenade ou randonnée. Tous ces gens contemplent le panorama avec un ciel si proche et l’immensité de la mer de chênes liège zen qui s’étend à perte de vue avec au Sud une vue imprenable sur le majestueux mont du Djurdjura et au Nord une vue sur la grande Bleu.
A sidi El Abad à l’occasion de l’Achoura (fête religieuse) une fois part an est organisée, lawzighââ ou Tiwizert pour certains qui est le sacrifice que les villageois font chaque année à la petite fête. Cette coutume qui permet de récolter de grosses sommes d’argent pour le sacrifice des bêtes et de distribuer équitablement la viande d’abord aux plus démunis mais aussi aux nantis. Les villageois cotisent en fonction de leurs moyens pour l’achat de veaux et moutons. La veille toutes les femmes et les jeunes filles du village vont puiser l’eau, ensuite les femmes roulent le couscous toute la nuit. Le jour « J » de l’Achoura tôt le matin des files de voiturent affluent déjà sur la montagne ou un immense parking leurs est aménagé dans la forêt. Dés l’aube après la prière du matin toutes les femmes sont devant leurs fourneaux et marmites pour préparer le repas pour tous les villageois et leurs invités. Quand aux hommes c’est à eux que revient la tache qui consiste à immolé les bêtes et à partager la viande équitablement même les invités ne sont pas oublier. Pendant ce temps les plus jeunes dressent les tables sous les arbres. Après avoir déguster un couscous royal en plein aire toute ses famille récupèrent leurs part de viande. A l’occasion de cette fête Sidi El Abad aura vécu l’espace d’une journée pas comme les autres des moments inoubliables où cette journée de kermesse a fait revivre le bon vieux temps aux villageois. C’est le comité de village composé de jeunes dynamiques qui a pris le pari de réussir un tel rendez vous fait de solennité et de convivialité. Autour d’une foule bigarrée les bénévoles s’occupent à la répartition des chapelets de viande découpées soigneusement après le sacrifice des beaux taurillons et à régler les menus détails devant les yeux pétillants de fierté, de sagesse et de nostalgie des vieux du village. Cela fait du bien de voir tous ces jeunes perpétuer une telle tradition et de reprendre le relais des personnes âgés qui eux l’ont aussi hériter de leurs anciens me dira mon oncle Arezki. Son fils mon cousin Ali me dira à son tour »à chaque fois que nous organisons cette fête nous sommes fières d’avoir renoué avec l’histoire que nous ont légué nos parents et grands parents certes ce n’est pas facile de gérer tous ce monde et de réaliser une telle tache mais avec beaucoup de volonté et de sacrifices nous arrivons à satisfaire tout le monde et il ajoute regarde toute cette foule qui s’embrasse et qui se souhaite mutuellement une bonne fête tout en dégustant un bon thé à la menthe ou un bon café chaud en attendant de rentrer à la maison avec un beau chapelet de viande pour de bonnes grillades comme le faisaient jadis nos ancêtres . Avec le sentiment du devoir accompli mon cousin Ali regarde toute cette marais humaine qui commence à quitter les lieux il me fait promettre de revenir l’année prochaine, promesse que j’ai fait avec fièrté.
Comme à Sidi El Abad partout en Kabylie les coutumes ont gardé toute leurs saveurs et leurs nostalgies, il existe encore des hommes qui restent follement amoureux de leur bled et profondément attachés à leurs racines.
Le : 21/11/2013 17:27
Quelle bonne nouvelle Fernand !
Le dimanche à l'église j'ai une pensée pour Leslie.
Bonne continuation et bonne rééducation.
Amitiés PN.
Le dimanche à l'église j'ai une pensée pour Leslie.
Bonne continuation et bonne rééducation.
Amitiés PN.
Le : 21/11/2013 09:43
Bonjour à tous. Quelques nouvelles de Lelie, les muscles commencent à se détendre, elle a repris le chemin du Lycée Mercredi, et commencera les soins de kiné, ergo etc à partir du 22 Novembre, et vers le 15 décembre elle essaiera de se "déplacer" avec attelles et déambulateur, puis en mars ou avril visite de controle à Barcelone. Encore merci à tous mes amis PIEDS NOIRS connus ou inconnus Fernand(rue Taine)
Le : 21/11/2013 07:13
Informations:
Faisant suite au Conseil d'Administration du 18 novembre 2013 le bureau de Bab el Oued a été renouvelé dans son ensemble à savoir:
Président René SANCHEZ
Vice Président Antoine BRICOTIN
Vice Présidente Viviane LIGUORI
Secrétaire Christiane SANCHEZ
Secrétaire Adjointe Marie Jeanne LAMBERTI
Trésorier Raymond LOFFREDO
trésorier Adjoint Alphonse LAMBERTI
Votre Association se porte bien et souhaite continuer ses activités mensuelles ainsi que le prochain Grand Rassemblement en juin 2014(la date exacte vous sera communiquée en début d'année)
Amicalement
Le Président.
Faisant suite au Conseil d'Administration du 18 novembre 2013 le bureau de Bab el Oued a été renouvelé dans son ensemble à savoir:
Président René SANCHEZ
Vice Président Antoine BRICOTIN
Vice Présidente Viviane LIGUORI
Secrétaire Christiane SANCHEZ
Secrétaire Adjointe Marie Jeanne LAMBERTI
Trésorier Raymond LOFFREDO
trésorier Adjoint Alphonse LAMBERTI
Votre Association se porte bien et souhaite continuer ses activités mensuelles ainsi que le prochain Grand Rassemblement en juin 2014(la date exacte vous sera communiquée en début d'année)
Amicalement
Le Président.
Le : 21/11/2013 07:05
Informations:
Faisant suite au Conseil d'Administration du 18 novembre 2013 le bureau a été renouvelé dans son ensemble à savoir:
Président René SANCHEZ
vice Rrésident
Faisant suite au Conseil d'Administration du 18 novembre 2013 le bureau a été renouvelé dans son ensemble à savoir:
Président René SANCHEZ
vice Rrésident
Le : 21/11/2013 07:01
Information:
La Cité des Rapatriés organise en partenariat avec l’Association des Amis de Bab el Oued et l'Association Nationale des Rapatriés d'Oranie deux journées culturelles
Le Lundi 25 Novembre 2013 :
- 10 heures 30 : Exposition d'Aquarelles par Madame Corinne JOUBEAUX
- 11 heures : Présentation par Monsieur Paul Di GIOVANNI de ses ouvrages : »Lhomme en colère » ; « Le pacte du silence » ; « Sous le signe du scorpion » ; « Mona une aventure particulière »
-11 heures 30 : Présentation de Monsieur Guy RUFFINO de ses ouvrages : « Batna... »
- 14 heures 30 : Présentation par Monsieur HOLLENDER de son ouvrage sur Bab el Oued
- 15 heures 30 : Conférence de Monsieur Alain Gabriel CASSAR sur le thème : « Pourquoi une réconciliation avec l'Algérie est possible »
Le Mardi 26 Novembre 2013 :
-14h 30 Conférence de madame Martine Fuchs: « La vie culturelle en Algérie »
Auteurs présents :
Madame Dolorès Frases « Les passerelles de la mémoire »
« Retour sous le soleil du Cap Matifou »
Martine Fuchs : « Au fil des souvenirs : Biskra »
Alain Gabriel Cassar : « Nous n’irons plus dans les vignes d’El-Kseur »
« El-Kseur petite fleur de Kabylie »
Plaquette de sa conférence « Pourquoi une réconciliation avec l’Algérie est possible. » (Texte intégral)
Ouvrages présentés :
Collection « Au Fil des jours dans la tourmente »
Le Margaillon hebdomadaire satirique d’Oran
Gérard Crespo : « Les Italiens au Maghreb – 1842 – 1962
Marc Donato : « L’immigration des Maltais »
Louis Bertrand : « Le sang des races. »
Paul Achard : « L’homme de mer. »
Serge Anexy : « Croyance et m 1/2 urs des indigènes. »
« Sidi Bel Abbès guide la ville d’Oran. »
Jean Pierre Hollender : « La parodie des plaideurs »
Geneviève Baïlac : « Un sac d’embrouilles »
Pour l'ouverture de ces deux journées le verre de l'amitié sera servi le lundi 25 Novembre à 12 heures
Avec la présence de la conseillère municipale déléguée à la concertation avec les CIQ, la cité des associations, la cité des rapatriés.
La Cité des Rapatriés organise en partenariat avec l’Association des Amis de Bab el Oued et l'Association Nationale des Rapatriés d'Oranie deux journées culturelles
Le Lundi 25 Novembre 2013 :
- 10 heures 30 : Exposition d'Aquarelles par Madame Corinne JOUBEAUX
- 11 heures : Présentation par Monsieur Paul Di GIOVANNI de ses ouvrages : »Lhomme en colère » ; « Le pacte du silence » ; « Sous le signe du scorpion » ; « Mona une aventure particulière »
-11 heures 30 : Présentation de Monsieur Guy RUFFINO de ses ouvrages : « Batna... »
- 14 heures 30 : Présentation par Monsieur HOLLENDER de son ouvrage sur Bab el Oued
- 15 heures 30 : Conférence de Monsieur Alain Gabriel CASSAR sur le thème : « Pourquoi une réconciliation avec l'Algérie est possible »
Le Mardi 26 Novembre 2013 :
-14h 30 Conférence de madame Martine Fuchs: « La vie culturelle en Algérie »
Auteurs présents :
Madame Dolorès Frases « Les passerelles de la mémoire »
« Retour sous le soleil du Cap Matifou »
Martine Fuchs : « Au fil des souvenirs : Biskra »
Alain Gabriel Cassar : « Nous n’irons plus dans les vignes d’El-Kseur »
« El-Kseur petite fleur de Kabylie »
Plaquette de sa conférence « Pourquoi une réconciliation avec l’Algérie est possible. » (Texte intégral)
Ouvrages présentés :
Collection « Au Fil des jours dans la tourmente »
Le Margaillon hebdomadaire satirique d’Oran
Gérard Crespo : « Les Italiens au Maghreb – 1842 – 1962
Marc Donato : « L’immigration des Maltais »
Louis Bertrand : « Le sang des races. »
Paul Achard : « L’homme de mer. »
Serge Anexy : « Croyance et m 1/2 urs des indigènes. »
« Sidi Bel Abbès guide la ville d’Oran. »
Jean Pierre Hollender : « La parodie des plaideurs »
Geneviève Baïlac : « Un sac d’embrouilles »
Pour l'ouverture de ces deux journées le verre de l'amitié sera servi le lundi 25 Novembre à 12 heures
Avec la présence de la conseillère municipale déléguée à la concertation avec les CIQ, la cité des associations, la cité des rapatriés.
Le : 19/11/2013 20:20
En résumé, j'ai du faire un exposé à mon interlocuteur afin de lui faire connaitre une étape de l'histoire la guerre d'ALGERIE une partie du programme qui a été oubliée.
Je suis effarée.
Battons nous pour ne pas nous faire oublier
Je suis effarée.
Battons nous pour ne pas nous faire oublier
Le : 19/11/2013 20:15
J'ai des hallucinations
Voilà un peu plus de deux mois que mon père adoré KIKI nous a quitté et malgré la douleur, la vie continue donc, maman Francette pour tous ceux qui l'a connaisse avec son tempérament de feu doit malheureusement continuer à vivre avec les difficultés des administrations pour obtenir la réversion auprès des caisses de retraite.
Elle envoie donc tous les documents nécessaires afin de faire avancer le dossier et la caisse de retraite pour ne pas la nommer KLESIA réclame à ma pauvre maman un certificat de non polygamie.A ma grande stupeur j'appelle immédiatement et demande pourquoi un tel document et bien j'apprends que mon père né en ALGERIE est un étranger que mon interlocuteur ne connait pas les pieds noirs,et ne sa pas que l'Algérie avant son indépendance en 1962 esqt Fr réitère sa demande de faire certifier par la mairie Algérienne que mon père n'était pas polygame, enfin être né en Algérie, Tunisie ou Maroc peu importe on est qu'un étranger et il faut absolument ce document.
Mon père est un ancien combattant et toute sa vie il a été fier de faire parie de ceux qui se sont battus pour l'Algérie Française et aujourd'hui il faut que maman établisse une attestation sur l'honneur qu'il ne s'est pas marié plusieurs fois.
Voilà un peu plus de deux mois que mon père adoré KIKI nous a quitté et malgré la douleur, la vie continue donc, maman Francette pour tous ceux qui l'a connaisse avec son tempérament de feu doit malheureusement continuer à vivre avec les difficultés des administrations pour obtenir la réversion auprès des caisses de retraite.
Elle envoie donc tous les documents nécessaires afin de faire avancer le dossier et la caisse de retraite pour ne pas la nommer KLESIA réclame à ma pauvre maman un certificat de non polygamie.A ma grande stupeur j'appelle immédiatement et demande pourquoi un tel document et bien j'apprends que mon père né en ALGERIE est un étranger que mon interlocuteur ne connait pas les pieds noirs,et ne sa pas que l'Algérie avant son indépendance en 1962 esqt Fr réitère sa demande de faire certifier par la mairie Algérienne que mon père n'était pas polygame, enfin être né en Algérie, Tunisie ou Maroc peu importe on est qu'un étranger et il faut absolument ce document.
Mon père est un ancien combattant et toute sa vie il a été fier de faire parie de ceux qui se sont battus pour l'Algérie Française et aujourd'hui il faut que maman établisse une attestation sur l'honneur qu'il ne s'est pas marié plusieurs fois.
Le : 19/11/2013 19:24
j ai bien reçu ton message, et je t en remercie.
n ayant pas de photo de classe à ma portée, pourrais tu
me transmettre la tiennes s il te plait?
ton nom me dit effectivement quelque chose, et ça me ferait
plaisir d avoir de tes nouvelles. a bientôt. SYLVIANE
n ayant pas de photo de classe à ma portée, pourrais tu
me transmettre la tiennes s il te plait?
ton nom me dit effectivement quelque chose, et ça me ferait
plaisir d avoir de tes nouvelles. a bientôt. SYLVIANE