Liste des messages
Le : 17/01/2014 12:24
Merci a MERZAC, pour ce magnifique poème consacré à notre si beau pays, André ta réponse est dans le coeur de tous les Algérois merci
Le : 17/01/2014 11:50
Infos BAB EL OUED
La Cité des Rapatriés en partenariat avec l,ABEO vous invite à une conférence le lundi 27 janvier 2014 à 10 h 30, conférence animée par Jean Pierre GARGIULO, Président Fondateur de l'ABEO, sur le thème
"L'HISTOIRE DES JUIFS EN TUNISIE"
Cette conférence sera suivi d'un apéritif.
je vous remercie de votre présence.
Le Président
René SANCCHEZ
CITE DES RAPATRIES 496 RUE PARADIS 13008 MARSEILLE
La Cité des Rapatriés en partenariat avec l,ABEO vous invite à une conférence le lundi 27 janvier 2014 à 10 h 30, conférence animée par Jean Pierre GARGIULO, Président Fondateur de l'ABEO, sur le thème
"L'HISTOIRE DES JUIFS EN TUNISIE"
Cette conférence sera suivi d'un apéritif.
je vous remercie de votre présence.
Le Président
René SANCCHEZ
CITE DES RAPATRIES 496 RUE PARADIS 13008 MARSEILLE
Le : 17/01/2014 09:52
Mon cher Merzak,
Ton magnifique poème décrit la peine ressentie entre toi et Alger. Ta nostalgie, c'est la mienne. Ta douleur est équivalente à la mienne. Tes regrets sur notre Alger de l'époque sont les miens. Nous souffrons ensemble depuis 1962 et certainement nous garderons cette déchirure jusqu'à notre dernier souffle. Pour toutes ces raisons, j'affirme que toi et moi faisons partie d'une seule et même famille. Toi le musulman et moi le chrétien nous sommes Frères à jamais...Ensemble, avec nos Frères juifs, nous formions dans notre Bab el Oued d'alors, un peuple fraternel unique. La guerre, salope de guerre, est venue tout détruire...
Ton magnifique poème décrit la peine ressentie entre toi et Alger. Ta nostalgie, c'est la mienne. Ta douleur est équivalente à la mienne. Tes regrets sur notre Alger de l'époque sont les miens. Nous souffrons ensemble depuis 1962 et certainement nous garderons cette déchirure jusqu'à notre dernier souffle. Pour toutes ces raisons, j'affirme que toi et moi faisons partie d'une seule et même famille. Toi le musulman et moi le chrétien nous sommes Frères à jamais...Ensemble, avec nos Frères juifs, nous formions dans notre Bab el Oued d'alors, un peuple fraternel unique. La guerre, salope de guerre, est venue tout détruire...
Le : 17/01/2014 06:43
aLABOULBENE JEAN MARC je me souvient tres bien surtout de hector avec sa superbe moustache.j'aimerai bien voir ses photos.moi c'est coco spinosa qui ma fait embauche ..je vai tous les ans a Rognes j'habite pres de marseille les pennes mirabeau..claudebournot@hotmail.fr mon tel.0770559303.a tres bientot claude
Le : 16/01/2014 18:20
Avant d'écrire mon message, je souhaite à tous le monde mes meilleurs voeux pour 2014.
A l'attention de Michéle MONTSERRAT qui a connu la famille SANCHIS au 120 av de la bouzaréah. Possible d'entrer en contact avec moi par adresse sanchis.raymond@neuf.fr. Au plaisir de te lire.
A l'attention de Michéle MONTSERRAT qui a connu la famille SANCHIS au 120 av de la bouzaréah. Possible d'entrer en contact avec moi par adresse sanchis.raymond@neuf.fr. Au plaisir de te lire.
Le : 16/01/2014 16:55
Merzak, votre poême est magnifique! merci de penser à nous tous, qui malgré le temps et la distance, continuons à tant aimer, notre ville, Alger, si belle et majestueuse.
Le : 16/01/2014 16:37
bonjour
annie ferret
vos parent etaient amis avec mes oncles espi de notre dame d'afrique
je suis sur colomiers
mes amitiés a vous et a votre maman
vincent
annie ferret
vos parent etaient amis avec mes oncles espi de notre dame d'afrique
je suis sur colomiers
mes amitiés a vous et a votre maman
vincent
Le : 16/01/2014 14:13
QUI DE NOUS DEUX A PU CHANGER
Qui de nous deux a pu changer
N’est plus le même, n’est plus constant
Est-ce bien moi ou toi Alger
Toi que j’adore, et qu’j’aime tant
Je n’ai que toi, et ton soleil
Qui me réchauffe, sans me brûler
Et qui m’invite dès ton éveil
D’aller vers toi, déambuler
Je n’ai que toi, et ta mer bleue
Que je contemple sans me lasser
Même si dehors, il vente ou pleut
Je plonge au loin, dans ton passé
Dans tes boulevards et avenues
Tes belles terrasses, ont disparues
Que je me sens, un inconnu
Un débarqué et un intrus
Ni novelty, ni coq hardi
Ni le névé, ni d’autres encore
Ni les coquettes, ou les dandys
Qui s’pavanaient, dans ton décor
Où sont les modes vestimentaires
Qu’aux lendemains on adoptées
Qu’elles viennent de France ou d’Angleterre
Les algérois, vite les portaient
Mini, maxi, et le poncho
Taille basse, taille haute, patte d’éléphant
Deux pièces en plage, dès qu’il fait chaud
Et le jacquard pour les enfants
Où est la belle et la souriante
Que j’ai connue dans ma jeunesse
La chaleureuse et l’accueillante
Qui envoûtait jusqu’à l’ivresse
Où est l’ambiance des nuits d’été
Que tu offrais à tout moment
Comme ces galas de variétés
Dont on était, jadis gourmands
Pourquoi tes rues sont désertées
Juste à l’orée du crépuscule
Pourquoi l’on brime les libertés
Au lieu d ‘avancer, l’on recule
Qui rase tes murs, en étranger
Mais doit tenir, faut pas qu’il flanche
Qui se sent seul, et en danger
C’est moi ou toi, Alger la blanche
Qui te contraint et qui t’accule
A tout fermer, rideaux et portes
Plus rien ne bouge, rien ne circule
Devenant ainsi, une ville morte
Dis-moi pourquoi les étrangers
Ont tous quitté le territoire
Pourquoi, la peur et le danger
Pourquoi le deuil, pourquoi le noir
Ne pouvant pas t’abandonner
Je suis resté à tes côtés
Car je ne peux me pardonner
De te voir seule grelotter
Tu sais très bien ma belle cité
Que J’t’aime trop pour changer d’air
Mais j’aime autant la liberté
Et surtout celles auxquelles j’adhère
Tu es morose, n’est plus la même
Et tes enfants veulent te quitter
Mais malgré tout, tu sais qu’ils t’aiment
Tu es la leur et leur fierté
Je sais que tu as tant résisté
Comme toujours, et en tout temps
Je sais aussi qu’en vérité
S’en va l’hiver, vient le printemps
Alors dis moi qui a changé
N’est plus le même, n’est plus constant
Est-ce bien moi ou toi Alger
Toi que j’adore, et qu’j’aime tant
Merzak OUABED Alger, le 20 février 1998
Ce poème est dédié à vous et à votre site et à tous ceux qui sont nés à Alger, qu'ils ont quitté involontairement, et qu'ils continuent à aimer malgré tout.
Le : 16/01/2014 10:20
Ma cousine Claudette Lubrano qui habitait rue François Serrano puis Hydra me charge de vous annoncer le décès de sa maman Françoisette Liot née Rosello. Elle est décédée hier à l'âge de 90 ans et sera incinérée samedi matin en Dordogne.
Le : 16/01/2014 09:30
Par l'intermédiaire d'un cousin je découvre votre site. Je suis en 1957 dans une clinique de Bab el Oued. Avec mes parents j'ai habité rue Isly et ensuite rue Jean-Jacques Rousseau. Petite (puisque j'ai quitté Alger à 5 ans), je suis allée à l'école des filles située près de la place Lelievre.
Mon père Jean FROHLICH a habité avec ses parents rue François Serrano et allé à l'école de la rue Camille Douls.
Quant à ma mère Odette ESCOBEDO elle travaillait dans un magasin de chaussures "magasin Pons" Avenue de la Bouzaréah.
Mon cousin a eu des nouvelles d'un monsieur surnommé Paquito qui aurait bien connu mon papa.
Que de souvenirs qui reviennent à travers les récits de ma famille qui malheureusement est de moins en moins nombreuse.
A vous lire.
Amitiés Pieds Noirs.
Mon père Jean FROHLICH a habité avec ses parents rue François Serrano et allé à l'école de la rue Camille Douls.
Quant à ma mère Odette ESCOBEDO elle travaillait dans un magasin de chaussures "magasin Pons" Avenue de la Bouzaréah.
Mon cousin a eu des nouvelles d'un monsieur surnommé Paquito qui aurait bien connu mon papa.
Que de souvenirs qui reviennent à travers les récits de ma famille qui malheureusement est de moins en moins nombreuse.
A vous lire.
Amitiés Pieds Noirs.