Liste des messages
Le : 04/11/2022 09:01
Saint Ferdinand est une petite commune dans la banlieue Sud-Ouest d'Alger,
pas loin de Zéralda.
Bonjour à toutes et à tous.
Tamene Merzak.
Le : 03/11/2022 19:15
Bonsoir à toutes et tous. Nous vous signalons qu'une messe sera dite le SAMEDI 5 NOVEMBRE a 16 H. a l'église du sacré coeur Boulevard du Prado a Marseille a la mémoire de nos Parents restes en Algerie. Venez nombreux, nous avons un devoir de memoire. MERCI
Le : 03/11/2022 17:56
à l'attention de Jean Moreno
Il me semble que tu étais à l'école JB CECCALDI de la rue LARREY, car ton nom me dit qqchose.
Pour ma part, j'habitai au 52 Rue du Cardinal Verdier (presque en face de l'Hôpital Barbier Hugo).
Comme toi, j'ai perdu l'accent car j'habite en Normandie et plus précisément à CHARTRES.
Bien à toi.
Pierre Pastor
Il me semble que tu étais à l'école JB CECCALDI de la rue LARREY, car ton nom me dit qqchose.
Pour ma part, j'habitai au 52 Rue du Cardinal Verdier (presque en face de l'Hôpital Barbier Hugo).
Comme toi, j'ai perdu l'accent car j'habite en Normandie et plus précisément à CHARTRES.
Bien à toi.
Pierre Pastor
Le : 03/11/2022 09:12
Bonjour Michel, j'étais de la rue François Serrano ,en haut de la Basetta ,il me semble que tu étais de la rue Mizon ,pour St.Ferdinand, je me souviens que c'était à côté de Douéra ,sinon ,je ferais une demande à un ami ,amitiés "/répond avec l'enveloppe Jaune S;T;P,ainsi j'aurais ton adresse Mel
Le : 03/11/2022 07:42
BONJOUR,JE CROIS QUE C'EST ST FERDINAND ET NON L'AUTRE A MOINS
QUE LES DEUX EXSISTENT.
MERÇI.
Le : 01/11/2022 09:55
BONJOUR A VOUS TOUS,QUI PEUT ME DIRE OU SE SITUER SAINT BERNARD-
PARAIT-IL A ALGER? MERCI .
Le : 31/10/2022 17:48
Merci les gars de nous remémorer ces moments de bonheur passés là-bas et surtout ce parler: le pataouéte qui est propre qu'à nous même et nous en sommes fiers! Bon! moi j'avoue que j'ai perdu cet accent et pas mal de mots depuis pas mal de temps pour la simple raison: j'habite en Normandie.
Portez-vous bien les ami.e.s
Portez-vous bien les ami.e.s
Le : 27/10/2022 08:43
out le monde ne peut pas avoir le style de Camus
ce texte signé :Bernard SATRAGNO
POUR RIRE UN PEU !!! AVEC NOTRE MAGNIFIQUE VOCABULAIRE QUE SEULS LES INITIES ....DE LA FACULTÉ DE BAB-EL-OUED (QUE LE MONDE ENTIER NOUS ENVIE) PEUVENT COMPRENDRE .....
C'était une petite place près du Ruisseau,un quartier à l'Est d'Alger
A la terrasse du café on se retrouvait tous, pour manger une tchouktchouka ou un couscous.
Mais pour trouver une place il fallait faire fissa, et avoir, comme on dit, la baraka.
Sitôt assis, c'était anisette et kémia, olives, anchois, fèves au cumin, ma parole soua-soua.
il aurait fallu être babao ou badjoc pour pas venir, bizlouche ou maboul pour s'abstenir.
Entre copains l'ambiance était bonne, sans tcheklala. On rigolait de ceux qui attendaient, ils avaient la rabia.
On leur disait : vous avez la schkoumoune aujourd'hui,le mieux c'est d'aller chez Mansour, manger le méchoui.
Y'en a un il m'a dit : va t'faire une soupe de fèves, je laisse pas ma place, même pas en rêve.
Il devait aimer manger, vu sa pantcha,et j'avais bien l'impression qu'il ne ferait pas scapa.
Arrivés au dessert, y'en a qui étaient de bouffa. ça parlait fort, ça chantait à capella,
On se traitait de boudjadi, de tchoutche, de gavatcho,il y avait une purée d'ambiance, poh! poh! poh!
On entendait : tu racontes que des tchaleffes, t'es un zoubia.
Et l'autre répondait : tu veux une calbote ou une botcha (interdit aujourd'hui par l'Europe, hi,hi). mais entre nous,
pas de coup de zouzguef, des ennemis, y'en avait pas bezef.
Il y avait une chouïa d'embrouille parfois, mais jamais de coups sournois.
Bon allez, vinga, il faut qu'on y aille, la purée, il faut qu'on retourne au travail.
ce texte signé :Bernard SATRAGNO
POUR RIRE UN PEU !!! AVEC NOTRE MAGNIFIQUE VOCABULAIRE QUE SEULS LES INITIES ....DE LA FACULTÉ DE BAB-EL-OUED (QUE LE MONDE ENTIER NOUS ENVIE) PEUVENT COMPRENDRE .....
C'était une petite place près du Ruisseau,un quartier à l'Est d'Alger
A la terrasse du café on se retrouvait tous, pour manger une tchouktchouka ou un couscous.
Mais pour trouver une place il fallait faire fissa, et avoir, comme on dit, la baraka.
Sitôt assis, c'était anisette et kémia, olives, anchois, fèves au cumin, ma parole soua-soua.
il aurait fallu être babao ou badjoc pour pas venir, bizlouche ou maboul pour s'abstenir.
Entre copains l'ambiance était bonne, sans tcheklala. On rigolait de ceux qui attendaient, ils avaient la rabia.
On leur disait : vous avez la schkoumoune aujourd'hui,le mieux c'est d'aller chez Mansour, manger le méchoui.
Y'en a un il m'a dit : va t'faire une soupe de fèves, je laisse pas ma place, même pas en rêve.
Il devait aimer manger, vu sa pantcha,et j'avais bien l'impression qu'il ne ferait pas scapa.
Arrivés au dessert, y'en a qui étaient de bouffa. ça parlait fort, ça chantait à capella,
On se traitait de boudjadi, de tchoutche, de gavatcho,il y avait une purée d'ambiance, poh! poh! poh!
On entendait : tu racontes que des tchaleffes, t'es un zoubia.
Et l'autre répondait : tu veux une calbote ou une botcha (interdit aujourd'hui par l'Europe, hi,hi). mais entre nous,
pas de coup de zouzguef, des ennemis, y'en avait pas bezef.
Il y avait une chouïa d'embrouille parfois, mais jamais de coups sournois.
Bon allez, vinga, il faut qu'on y aille, la purée, il faut qu'on retourne au travail.