pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : ZarrouatiEnvoyer un mail

Le : 04/03/2006 17:52

bonj
je suis a la recherche d'1 amie d'enfance et voisine de palier Monique SERRANO épouse Pontier qui était domiciliée au 8 Ave DURANDO
Merci a toutes personnes pouvant facilliter mes recherches

 

De : Michel DOMENECH

Le : 04/03/2006 17:44

à Jean Louis d'ALESIO,

Merci de m'avoir rafraichie la mémoire quant à l'orientation précise de la rue Léon Roche. En fait, nous avons quitté la rue Léon Roche vers 1951, pour aller à la basseta, pour y rester 1 ans, ensuite à Diar el Marsoul jusqu'en 1957. Alors c'est un peu dur de ce rappeler d'une maniére précise comme tu me la dictée, mais j'ai aimé ton commentaire.
tu pourrais me renseigner, sur un gardien de but pro qui joué au Gallia ( son nom ?)il habitait la rue Léon Roche.
je sais que notre terrain de jeu était la rue, on jouait au foot devant justement la grande porte en fer de la fabrique de cigarettes, mais aussi un peu plus haut au square à coté de l'église Sain louis
Je profite pour remercier Christian Timonier, d'avoir eu la bonne idée d'ouvrir un site aussi merveilleux.
Bien amicalement
Michel Domenech

 

De : Michel DOMENECHEnvoyer un mail

Le : 04/03/2006 17:21

à JOSE PACE


Merci José d'avoir pris l'initiative de m'informer sur ce qui est arrivé à mon camarade André.
Sur le coup, j'ai versé quelques larmes, je ne l'oublierai pas, j'ai pratiquement toute ma famille à martigues et à port de bouc, j'y vais réguliérement; La prochaine fois lorsque je descendrai du Cantal, je ne manquerai pas de passer à Fos sur mer.
Je serais très heureux de rentrer en contact avec ses deux soeurs, soit par email, soit par tél, si c'est possible.
Depuis, que j'ai écrit ce mèssage, d'autres m'ont adressé quelques lignes sympa, ça me va droit au coeur.
Je vais éssayer de rechercher une camarade, à Diar el marsoul ( je ne sais pas l'écrire), et oui, mes parents avaient obtenu un logement HLM, je crois entre 1954 et 1956 date à laquelle nous avons quitté Alger pour la Bretagne.

 

De : fifi gasso epouse BorrasEnvoyer un mail

Le : 04/03/2006 16:33

pour stabille lucien de quelle annee es tu j'ai habitais la bassetta et mes parents aussi pas loin du rialto pres de l'epicerie de monsieur Iborra
a biento

 

De : esteve claireEnvoyer un mail

Le : 04/03/2006 13:40

A maryvonne GUILLEN
Bonjour Maryvonne
Voilà je consulte Née à BEO
je suis la soeur de Michèle ESTEVE.
Je m'empresse de te répondre car Jean Louis n'y est pour rien j'ai bien eu son message.
Si tu veux l'adresse de ma soeur, je le l'a communiquerai elle n'a pas Internet, je lui est bien fait part de ton message, elle serait très heureuse d'avoir de tes nouvelles.
Bien amicalement
Claire Estève

 

De : stabile lucienEnvoyer un mail

Le : 04/03/2006 13:17

bonjour,
je recherche des amis avec qui j'allais au bals à l'époque nous avions 18 ans nous fréquontions le bals d'El biard,d'Eugène Varlin sans oublier St-Eugène et bien d'autres encore.ils habitaient la plus par à la Basseda à cotê du Rialtot si ils se reconnaîsent qu'ils me font signe merci d'avance.
Mes amitiés à tous les PN de B.E.O et les autres
lucien

 

De : Maryvonne GUILLENEnvoyer un mail

Le : 03/03/2006 21:56

A Jean-Louis d'Alesio:
Aucune nouvelle de votre part concernant Michelle Estève...M'en voudrait-elle encore encore de l'avoir si souvent fait punir à ma place en classe quand,assises à la même table, je lui racontais toutes sortes de bêtises et qu'elle écopait de multiples punitions pour "avoir ri en classe sans raison" alors que j'affichais l'air le plus angélique du monde?
...Ou bien n'avez-vous pu le transmettre le message?
Merci àvous,très amicalement .


 

De : QUESADA ClaudeEnvoyer un mail

Le : 03/03/2006 21:37

A Régine SALES et Andre ESCOBEDO,

Que d'heureux souvenirs nous rappelle ce carrefour des Rues Montaigne,Barra et Condorcet. Il a baigné toute notre jeunesse et écrit les plus belles pages de notre vie.
Oui je revois ce bar des arènes le P.C. de tous les jeunes. Je revois, en fin d'après midi, les femmes installées sur des bancs, devant l'entrée du 20 et 22 rue Montaigne, attendant leur époux et obligeant les piétons à descendre du trottoir. Je revois Mme Amsellem sur son balcon du Ier étage du 1 de la rue Condorcet, la famille Silvéra au Ier étage du 25 rue Montaigne. J'ai revu, gràce à Claude BRACCO la fille des muets Odette. Mon frère jumeau Jean et moi correspondons avec son frère Jean-Pierre.
Que de joies nous procure votre site, Mr TIMONER et pour cela mille mercis

 

De : ESCOBEDOEnvoyer un mail

Le : 03/03/2006 21:07

Pour Régine Sales
Voila tu es tombée sur le fils Escbedo qui à l'age de ton frère Alain qui est à Rouen je crois.Le bar était rue Montaigne et rue Barra en face du muet le coiffeur(son fils Jean-Pierre passe me rendre visite en Avril en venant des états unis oû il vit).Je ne me souviens pas si tu es l'ainée?J'ai retrouvé Narboni qui habitait ta maison,ainsi que les Sansot dont il ne reste que Gaby.SydneyBiton est lui près de Montpellier comme moi.
Si tu le souhaites,je t'envoie des photos qui t'enlèveront l'envie de retourner là bas.Elles me viennent de Daniel Bentolila qui vit à New-York.
Et toi,ou es tu?Alain que devient il ainsi que ta soeur?Donne moi des nouvelles.
Tu ne peux pas savoir quel joie cela m'a fait de lire ton message,ce site est vraiment super.
Dans l'attente de ta réponse.
Je t'embrasse.
Dédé

 

De : christiane coppaEnvoyer un mail

Le : 03/03/2006 21:04

Message à Michel DOMENECH

Effectivement mon nom ne peut rien vous dire, je n'habitais pas rue léon roche, je fréquentais assiduement la famille ATLANI qui habitait le 6, il y avait Claudette, Norbert, Jacqueline dit Fossette, Marlène- Nos copines étaient Rose Marie GARBERY, Francine LAI, Lucienne PASCUAL, Josette SAVAL, La regrettée Elisabeth SAVONA etc...

Message à la personne qui posait la question sur l'explision de l'AGHA, ma mère (88 ans) m'a dit que c'était un bombardement fait soit par les allemands, soit par les italiens, les Algérois n'ont jamais su. Il y avait eu également une bombe qui était tombée devant le lycée BUGEAUD et, avait fait un énorme trou au milieu de la rue.

Amicalement

 

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