Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Merci de m'avoir si vite répondu et ce site est formidable !!

j'ai bien reconnu votre mère sur la photo, elle devait connaître aussi a famille SASTRE? ils vivaient au res de chaussée du 32.
Jacki et Patrick sont aussi dans le Var pres deJeanine (leur mère) . Jeanine à été bien malade..
mon frère Manu est décédé depuis deux ans - il habitait dans l'hérault- son commerce sur la côte était irréalisable.Il travaillait aux abattoirs de Montpellier (inspection sanitaire) -
A BIENTOT SUR LE SITE
Amicalement

ISABELLE

Je me souviens tres bien de votre grand mère Madame CALAFAT qui était au 3ème étage-
la deuxième voisine s'appelait Nini BONNET ensuite il y avait les soeurs Melles PASSE - et enfin Mme BONNET notre concierge-
Je crois me rappeler que votre mère venait les apres midi rendre visite à sa mère-
Hélas, je n'ai plus la queue de cheval, j'ai le même âge que vous -
moi aussi je suis a la retraite, étant dans l'Armée de Terre (personnel civil)
depuis fort longtemps je suis "au repos" !! je suis restée tres peu de temps à l'intendance du Sahara - sur les quais - Bastion quinze -
vous souvenez-vous de la famille SAsTRE au rez- de- chaussée ?
Et bien, ils sont en Espagne .. la suite demain
A
bientôt
Isabelle

je viens de lire un mail venant de la famille Garcia Louis ou Manu ?
je suis Isabelle Pons amie de Lina et José Giméno -
en ce moment je suis en Espagne pres de DENIA - je corresponds toujours avec José et Jeanne sa femme-
je me souviens de leur tante Mme Garcia Louisa et de Manu (leur fils) notre Professeur à Lina et moi de français et match le mercredi soir - je me souviens aussi de Sonia -
et de Carmen Giméno qui été une amie de ma soeur Josette - Gilda et jojo (josette)
soeurs de Carmen -
A bientôt de vour lire
Isabelle

Salut KAD....Si si je suis la pas de vacance pas encore bientot La ,je lis , je lis moi la cité Picardie et l école Camille Douls toi la rue Camille Douls l aurais oublier? (rire) je suis trés px sur msn la , mais tel moi a ^plus Amitié Bye

bonsoir à tous,les natifs de la rue camille douls doivent etre en vacances ont ne les lis plus

J'ai un coup de cafard parce que je lis les messages de retrouvailles de PN des quartiers de la basseta, de la cité de la Consolation, de la rue Léon Roches, etc...
Alors que moi impossible de retrouver des copains (un peu plus vieux que moi) de la rue Thuillier entre l'Avenue Malakoff et la rue Rochambeau et encadrée par la rue Koeklin et le Boulevard Guillemin.
Spinosa claude, Zemmour Claude, Cervera ?, Alizard Robert (grand nageur à l'A.S.Montpensier) Llorens José, les Frères Llinares, les Carrio, Bassas henri dont les parents avaient l'épicerie à l'angle de la rue Koeklin et Rochambeau, face au cinéma 'Mon Ciné'.
Que sont-ils devenus?
Cela me ferais tant plaisir!
Merci
Henri Vidal

Je pensais que ce site était dédié à l’amitié, et non pas à l’expression d’avis personnels, s’appuyant sur des écrits d’historiens et d’écrivains auxquels on pourrait opposer d’autres historiens et écrivains qui affirment le contraire et ainsi continuer à polémiquer de manière négative.
Ce serait stérile et contraire à la raison d’exister de ce site

Bonjour à tous,
Je viens de parcourir 2 mois de messages, avec exclamations, tutoiements, souvenirs et émotions, de la part de gens qui se sont perdus de vue et qui voient apparaître des bulles de leur passé grace aux messages et avis de recherche échangés surce site dont je remercie le créateur et le gestionnaire.
J' y ai lu Alliez, Roblès, Guillen, Billerach, Soussem, D' Alesio,Eden, Ballustrade angle rues Taine et Léon Roches.
Ca m' en a foutu un coup, et bien qu' un peu rétif à ce genre de choses, j' ai envie de dire qu' Eden, ça a réveillé en moi le souvenir de cette plage très pentue, faite de galets colorés d' origine décharge de travaux publics, puisqu' on en trouvait des rouges (ex-briques), des verts (ex-bouteilles), des transparents (carreaux cassés), des blancs vernissés (ex-assiettes ou pots), combien étonnante avec son odeur d' iode si marquée. Je n' ai jamais retrouvé une plage comme ça !
J' habitais au 2 de la rue Taine, dans cette maison bizarre, enfoncée plus bas que la rue à cause du remblaiement partiel de la rivière, (qui passait d' ailleurs devant la propriété des Alliez, où subsistait une trou qu' on appelait le ravin en face de la baraque de Mme Cazzelini- Lorsque les Alliez sont partis, leur maison a été occupée pendant un an ou deux par Mme Keller)
Dans ce 2 de la rue Taine habitaient les Botella, Soler, Lioret, Sayag, Aguilar et Albertini. La rambarde métallique dont quelqu' un a parlé était sous mon balcon, ce qui nous permettait de suivre comme si on y était encore, la fin des conversations fleuries et délicates qu' on pouvait y tenir, surtout au passage d' une fille, surtout si elle était jolie.
A ce propos, je faisais également partie des admirateurs muets de Claudette Guillen, et tel la chenille qui regarde le papillon, je sentais mon estomac se serrer à son passage, sans rien dire à personne, ça va faire rire; on parle beaucoup mais on ne dit rien !
Quand tous ces ressentis remontent à la surface.....

Par la suite, j' ai habité au 10 de la rue Taine, au RDC en face de chez Perlès.

J' enverrai à Christian Timoner des photos d' école que lui a déjà transmises Antoine Martinez, sur lesquelles je peux indiquer presque tous les noms, de Timoner Joseph à Landry, en passant par Antoine Lioret, Joseph Roblès, Gérard Soussem, J.L D' Alésio, Dédé Billerach, etc...

Voila. Désolé d' avoir abusé de cet écran pour épancher un peu de nostalgie. C' était mon quart d' heure africain.
GA

A François Estève !

Le fait que vous réagissiez de la sorte démontre que vous fuyiez la vérité toute crue qu'elle ne le fusse ! Mon message était apolitique et répondait à une demande faite sur le site (à vous de vérifiez) d'informations concernant les bombardements d'Alger , et je n'ai fait que reproduire le récits de faits rééls même s'il déplaisent. Je me crois pas en mesure ni de refaire l'histoire ni de polémiquer car il y au d'autres choses plus lénifiantes en vue de rapprocher les communautés déchirées et qu'il faut relever le niveau par un forum élargi et donc qui réponde à toutes les questions que se pose les gens.
Pour celà, je vous recommande ainsi que mes chers amis de porter un regard sur un épisode obscur de notre histoire à travers une enquête faite par Monsieur Pierre PEAN et publiée chez PLON sous le titre :

« MAIN BASSE SUR ALGER »

L’auteur raconte comment pour venger le coup d’éventail donné par le Dey d’Alger au consul de France, la France occupa Alger, le 5 Juillet 1830 , et en chassa le Dey…Cette vérité s’inscrit toujours sur les tableaux noirs et dans les livres scolaires.

Et si cette conquête avait été menée dans le but de faire main basse sur les immenses trésors de la Régence d’Alger (fruits de 3 siècles de course dans la Méditerannée) afin de constituer les fonds secrets de Charles X pour corrompre et retourner le corps électoral ?

Difficile d’expliquer au bon peuple que les défenseurs de la Chrétienté, censés êtres venus à Alger punir les pirates barbaresques s’étaient livrés à un pillage éhonté !.
Tout a donc été fait pour que ce scandale fut étouffé .

Après une longue enquête , Pierre PEAN a retrouvé les traces très embrouillées de l’or découvert dans les caves de la Casbah, où étaient entassés pêle-mêle des monceaux de quadruples d’Espagne et du Portugal , des mocos , des piastres fortes d’Espagne, des boudjous d’Alger et d’autres monnaies : un butin chiffré à plus de 500 millions de francs de l’époque ! (l’équivalent de 4 milliards d’Euros).

Où sont passées ces sommes colossales ?
Louis-Phillippe, la duchesse de Berry, des militaires des banquiers et des industriels , comme les Sellière et les Schneider, ont profité de cette manne .
Le développement de la sidérurgie française doit ainsi beaucoup à l’or d’Alger….

Dans cette chasse à la vérité , Pierre PEAN fait revivre de grands aventuriers , donnant une place particulière à Jean-Baptiste FLANDIN, qui s’est battu pour dénoncer les pilleurs, ainsi qu’au Maréchal de BOURMONT , authentique maître d’ 1/2 uvre de toute cette aventure.

Amicalement vôtre

En 1974,un discours fut prononcé à New-York,
" Un jour des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour faire
irruption dans l'hémisphère nord.
Et certainement pas en amis.
Car ils feront irruption pour le conquérir.
Et,ils le conquéreront en le peuplant de leurs fils.
C'est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire "

Cela fut dit par le Président Houari BOUMEDIENNE,à la Tribune de
l'Assemblée Générale des Nations Unies.
Naturellement,certains pensent que bien des choses ont changées depuis.
Cela restent à leur entière appréciation.
Pour ma part,je suis perplexe ,et je me pose encore des questions,
lorsque je lis encore certains propos ,émanant de certains.
Je rajouterais par ailleurs,que le mot "Tolérance" est un mot à double
tranchant.
Certains l'emploient pour mieux se reconnaître(ce sont les honorables
enfants de la veuve,avec les 3 petits points).
D'autres l'utilisent pour se justifier dans leur comportement.
Néanmoins ,la vérité c'est comme l'huile,elle reste toujours au dessus dans
un verre d'eau.
Sur cela,je terminerais en énonçant une phrase d'un illustre
homme politique français : le Président Edouard HERRIOT :
" La politique c'est comme l'andouillette,ça doit sentir la merde,
mais pas trop "
Sincèrement mais sans oublier l'histoire
François ESTEVE