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De : Ahmed Halli
Le : 09/05/2006 22:35
Hommage à "Cheikh" Bensimon
Il avait l'assurance tranquille des hommes qui savent sans jamais le montrer de façon ostentatoire. C'était un érudit et un humaniste convaincant sous des allures de prof débonnaire. Si on n'a pas appris l'histoire avec Monsieur Bensimon, on ne l'apprendra jamais tout à fait. Si vous ne l'avez pas entendu vous expliquer la littérature, vous serez toujours en retard d'un roman, d'une oeuvre poétique. Avec lui, j'ai découvert que je vivais sur des rives enchantées, là où tout a commencé, là où l'homme a entrepris de construire son humanité. J'ai beaucoup scruté le visage et les yeux de "Cheikh" Bensimon, moi petit indigène rural, croyant y trouver je ne sais quelque condescence, un quelconque regard hautain. J'en ai croisés de ces regards, de ces êtres humains qui vivaient sur la même terre que moi mais enfermés dans leurs bulles. Rien de tout cela chez Monsieur Bensimon, rien que des yeux malicieux qui vous enveloppaient et semblaient vous dire:"ne comptes pas sur moi pour te dire ce que tu n'as pas envie d'entendre mais ne comptes pas sur moi pour te pardonner la moindre bévue en Histoire". Il était tellement attaché à ce pays qu'il n'a pas suivi la grande vague qui a emporté ailleurs des enfants d'Algérie, acteurs ou victimes de cette Histoire dont il savait pourtant gommer, pour nos esprits d'enfants, les aspérités et les morsures. Je devine, avec le recul des ans et la sérénité de l'âge, ce qu'a du être sa vie, dans un pays enthousiaste mais déjà rongé par l'opportunisme et les calculs rentiers. Homme de devoir, il l'est certainement resté toute sa vie. Je suppose que son âme doit affectionner aujourd'hui les promenades sur le site antique de Tipaza, entre le théâtre et l'arène des gladiateurs. Je le soupçonne d'ailleurs de préférer le premier au second.
Alors, amis pieds noirs et autres algériens de coeur qui avez connu Monsieur Bensimon, Professeur de Français et d'Histoire au CC Lelièvre à Bab-el-oued, ou qui avez simplement entendu parler de lui, rendons un hommage silencieux à ce grand homme. Il ne figurera pas dans les manuels d'Histoire mais l'histoire que nous vous racontons, que nous raconterons, sera pour lui le plus majestueux piedestal.
Je n'ai jamaisEn faisant un simple calcul, je suppose que l'ombre de Monsieur Bensimon doit
Il avait l'assurance tranquille des hommes qui savent sans jamais le montrer de façon ostentatoire. C'était un érudit et un humaniste convaincant sous des allures de prof débonnaire. Si on n'a pas appris l'histoire avec Monsieur Bensimon, on ne l'apprendra jamais tout à fait. Si vous ne l'avez pas entendu vous expliquer la littérature, vous serez toujours en retard d'un roman, d'une oeuvre poétique. Avec lui, j'ai découvert que je vivais sur des rives enchantées, là où tout a commencé, là où l'homme a entrepris de construire son humanité. J'ai beaucoup scruté le visage et les yeux de "Cheikh" Bensimon, moi petit indigène rural, croyant y trouver je ne sais quelque condescence, un quelconque regard hautain. J'en ai croisés de ces regards, de ces êtres humains qui vivaient sur la même terre que moi mais enfermés dans leurs bulles. Rien de tout cela chez Monsieur Bensimon, rien que des yeux malicieux qui vous enveloppaient et semblaient vous dire:"ne comptes pas sur moi pour te dire ce que tu n'as pas envie d'entendre mais ne comptes pas sur moi pour te pardonner la moindre bévue en Histoire". Il était tellement attaché à ce pays qu'il n'a pas suivi la grande vague qui a emporté ailleurs des enfants d'Algérie, acteurs ou victimes de cette Histoire dont il savait pourtant gommer, pour nos esprits d'enfants, les aspérités et les morsures. Je devine, avec le recul des ans et la sérénité de l'âge, ce qu'a du être sa vie, dans un pays enthousiaste mais déjà rongé par l'opportunisme et les calculs rentiers. Homme de devoir, il l'est certainement resté toute sa vie. Je suppose que son âme doit affectionner aujourd'hui les promenades sur le site antique de Tipaza, entre le théâtre et l'arène des gladiateurs. Je le soupçonne d'ailleurs de préférer le premier au second.
Alors, amis pieds noirs et autres algériens de coeur qui avez connu Monsieur Bensimon, Professeur de Français et d'Histoire au CC Lelièvre à Bab-el-oued, ou qui avez simplement entendu parler de lui, rendons un hommage silencieux à ce grand homme. Il ne figurera pas dans les manuels d'Histoire mais l'histoire que nous vous racontons, que nous raconterons, sera pour lui le plus majestueux piedestal.
Je n'ai jamaisEn faisant un simple calcul, je suppose que l'ombre de Monsieur Bensimon doit
De : Francis Mélé
Le : 09/05/2006 19:20
Ca c’est …. Alger !
Hier, Je vous ai donné quelques aspects pratiques concernant mon séjour, et je me ferais un plaisir de répondre, hors site, à vos questions si vous en avez.
Que vous dire d’autre sur ce retour, sinon que ce fut un véritable bonheur. Je me suis, enfin, mis à jour d’un certain nombre de choses, sur ma propre histoire mais aussi sur l’histoire, tout court, qui fut la notre.
Comme beaucoup, j’en rêvais depuis 43 ans et pour ce que j’avais à y faire, je ne voulais pas subir les contraintes d’une visite en autocar, caméra en bandoulière sous escorte guidée…
C’est donc libre comme l’air que nous sommes allés au contact et dans tous les quartiers, des plus chics, s’il en est, aux plus humbles casbah y compris….
Nous avons arpenté la ville en long en large et en travers,
Nous sommes rentrés dans nos demeures, même lorsque celles-ci étaient occupées par des religieux.
Nous avons retrouvé nos tombes, vieillies, envahies d'herbes folles mais je n'en ai pas vue de saccagées…
Sur les 2 cimetières de St Eugène, nous avons retrouvé une vingtaine de sépultures, au quatre coins du site.
Nous avons été accueillis par nos amis, nos camarades de classe, nos voisins, et par d’autres encore que nous ne connaissions pas.
Nous avons pleuré tout ce qu'un corps humain peut contenir de larmes. Nous avons ris à en perdre le souffle.
Pour vous, nous avons mitraillé et filmé tout les quartiers, du Climat de France à la consolation, de Maison Carrée à la Madrague en passant par ND A.
Nous allons compiler et ordonner tout cela avant de les diffuser.
La ville a bien changée, pas toujours en bien il est vrai, par endroit je l’ai juste reconnue, mais elle se souvient de moi, et c’est ce qui m’importe.
Je reste personnellement sous le choc, j’en ai pris plein les yeux et aussi plein le c 1/2 ur tant il est extraordinaire de s’entendre dire à longueur de journée et par d’illustres inconnus :
« Bienvenue…. Vous êtes ici chez vous …. «
C’est bien la première fois en 43 ans que l’on m’assène ce genre de phrase ; avouez que cela nous aurait fait du bien à une certaine époque…
Je pense qu’il me faudra quelques temps pour « digérer » tout ça
Cela dit, j’ai beaucoup de message d’amitié à transmettre à René GUILLEN, Les s 1/2 urs ALLIEZ, Jean Louis D’ALESIO de la part de RACIM, à Liliane RICCO, Monique Baldachino, Alain FOSS, Linda et Raphilou de la part de M. NEMMAS, et j’en oublie sûrement…
Mais d’où je suis perché c’est sans doute normal, c’est de là que j’adresse une pensée toute particulière à Lias et à tous les autres.
Francis
Hier, Je vous ai donné quelques aspects pratiques concernant mon séjour, et je me ferais un plaisir de répondre, hors site, à vos questions si vous en avez.
Que vous dire d’autre sur ce retour, sinon que ce fut un véritable bonheur. Je me suis, enfin, mis à jour d’un certain nombre de choses, sur ma propre histoire mais aussi sur l’histoire, tout court, qui fut la notre.
Comme beaucoup, j’en rêvais depuis 43 ans et pour ce que j’avais à y faire, je ne voulais pas subir les contraintes d’une visite en autocar, caméra en bandoulière sous escorte guidée…
C’est donc libre comme l’air que nous sommes allés au contact et dans tous les quartiers, des plus chics, s’il en est, aux plus humbles casbah y compris….
Nous avons arpenté la ville en long en large et en travers,
Nous sommes rentrés dans nos demeures, même lorsque celles-ci étaient occupées par des religieux.
Nous avons retrouvé nos tombes, vieillies, envahies d'herbes folles mais je n'en ai pas vue de saccagées…
Sur les 2 cimetières de St Eugène, nous avons retrouvé une vingtaine de sépultures, au quatre coins du site.
Nous avons été accueillis par nos amis, nos camarades de classe, nos voisins, et par d’autres encore que nous ne connaissions pas.
Nous avons pleuré tout ce qu'un corps humain peut contenir de larmes. Nous avons ris à en perdre le souffle.
Pour vous, nous avons mitraillé et filmé tout les quartiers, du Climat de France à la consolation, de Maison Carrée à la Madrague en passant par ND A.
Nous allons compiler et ordonner tout cela avant de les diffuser.
La ville a bien changée, pas toujours en bien il est vrai, par endroit je l’ai juste reconnue, mais elle se souvient de moi, et c’est ce qui m’importe.
Je reste personnellement sous le choc, j’en ai pris plein les yeux et aussi plein le c 1/2 ur tant il est extraordinaire de s’entendre dire à longueur de journée et par d’illustres inconnus :
« Bienvenue…. Vous êtes ici chez vous …. «
C’est bien la première fois en 43 ans que l’on m’assène ce genre de phrase ; avouez que cela nous aurait fait du bien à une certaine époque…
Je pense qu’il me faudra quelques temps pour « digérer » tout ça
Cela dit, j’ai beaucoup de message d’amitié à transmettre à René GUILLEN, Les s 1/2 urs ALLIEZ, Jean Louis D’ALESIO de la part de RACIM, à Liliane RICCO, Monique Baldachino, Alain FOSS, Linda et Raphilou de la part de M. NEMMAS, et j’en oublie sûrement…
Mais d’où je suis perché c’est sans doute normal, c’est de là que j’adresse une pensée toute particulière à Lias et à tous les autres.
Francis
De : christiane coppa
Le : 09/05/2006 19:17
Message à MOMO
Merci des nouvelles que tu nous donnes pour la santé de LIAS, j'ai vraiment regretté qu'après son appel à l'hôtel il est eu un premier malaise.
Maintenant croisons les doigts pour que sa santé retrouve la pêche et qu'il puisse revenir sur le site
Et toi comment vas-tu?
Bisous
Merci des nouvelles que tu nous donnes pour la santé de LIAS, j'ai vraiment regretté qu'après son appel à l'hôtel il est eu un premier malaise.
Maintenant croisons les doigts pour que sa santé retrouve la pêche et qu'il puisse revenir sur le site
Et toi comment vas-tu?
Bisous
De : Henri Vidal
Le : 09/05/2006 19:16
A NEBBOUT Georges,
Je pense qu'il s'agit de Jean-Pierre Garguillo, fondateur de l'Association des Amis et Anciens de Bab El Oued-ABEO, avec Pierre-Claude FASANO, ils habitaient la Cité de la Consolation, Avenue Malakoff, prés de Saint Eugène.
L'Association a sa Permanence le 2ème et 4ème Lundi du Mois à la Maison des Rapatriés de Marseille, 496 rue Paradis, 13008 Marseille.(Face à la Clinique JUGE.)
Ils seront Dimanche 4 Juin 2006, au Rassemblement Champêtre de Bab el oued, prés d'Aix en Provence, Domaine St.Jean, direction Célony, et ensuite direction la route de Rognes, un flèchage, sera indiqué.
A bientôt
Amicalement,
Henri Vidal à Marseille - EX-BAB.
Je pense qu'il s'agit de Jean-Pierre Garguillo, fondateur de l'Association des Amis et Anciens de Bab El Oued-ABEO, avec Pierre-Claude FASANO, ils habitaient la Cité de la Consolation, Avenue Malakoff, prés de Saint Eugène.
L'Association a sa Permanence le 2ème et 4ème Lundi du Mois à la Maison des Rapatriés de Marseille, 496 rue Paradis, 13008 Marseille.(Face à la Clinique JUGE.)
Ils seront Dimanche 4 Juin 2006, au Rassemblement Champêtre de Bab el oued, prés d'Aix en Provence, Domaine St.Jean, direction Célony, et ensuite direction la route de Rognes, un flèchage, sera indiqué.
A bientôt
Amicalement,
Henri Vidal à Marseille - EX-BAB.
De : momo
Le : 09/05/2006 18:21
Aux amis qui s'inquiètent de l'état de notre copain Lias, je leur dis que ce dernier a été hospitalisé hier au CHU de Zéralda et qu'après une nuit passée aux" soins intensifs", et suite à la communication téléphonique que je viens d'avoir avec mon frangin qui s'occupe de lui et de sa fille qui lui a parlé , son état tend vers l'amélioration et inspire moins d'inquiétude qu'hier et c'est tant mieux !
De : christiane coppa
Le : 09/05/2006 16:34
Message à M. NEBBOUT
Je pense que votre recherche concerne GARGIULLO Antoine qui effectivement à 60 ans et demeurait au 72ou 74 avenue Malakoff.
Il a 2 frères plus agés que lui
Amicalement
Je pense que votre recherche concerne GARGIULLO Antoine qui effectivement à 60 ans et demeurait au 72ou 74 avenue Malakoff.
Il a 2 frères plus agés que lui
Amicalement
De : momo
Le : 09/05/2006 13:40
A Isabelle !
L'Ecole Aurélie Tidjani se trouve un peu plus haut que le 61 de la Rampe Valée et est presque mitoyenne à la prison de Barberousse et à l'orée de la cité des Eucalyptus qui surplombe aussi la rue Mizon et où notre ami Timoner y a sévit de même que le grand Roger Hanin !!! (ou Roger Levy pour les intimes).
Amicalement vôtre
L'Ecole Aurélie Tidjani se trouve un peu plus haut que le 61 de la Rampe Valée et est presque mitoyenne à la prison de Barberousse et à l'orée de la cité des Eucalyptus qui surplombe aussi la rue Mizon et où notre ami Timoner y a sévit de même que le grand Roger Hanin !!! (ou Roger Levy pour les intimes).
Amicalement vôtre
De : nebbout georges
Le : 09/05/2006 11:48
bonjour de retour d'alger je recherche pour quelqu'un mr guadino( pas sur de l'orthographe) jean-pierre environ 60 ans ayant habitée 72 avenue malacofe merci pour tout renseignement bravo pour ce site avec mes meilleurs pensées a tout les pn
De : isabelle
Le : 09/05/2006 09:58
qui aurait l'amabilité de me dire ou se situe l'école AURELIE TIDJANI ???
MERCI
MERCI
De : Francis Mélé
Le : 09/05/2006 01:16
Conseils aux pèlerins
A l’heure ou d’autres voyages sur Alger s’organisent, je voudrais vous faire profiter de quelques conseils et adresses pratiques.
En ce qui concerne les recherches de sépultures, si vous ignorez la situation des tombes, celles-ci pourront être facilement retrouvées pour autant que vous puissiez fournir la date de décès. Pour les femmes les recherches s’effectuent à partir du nom de jeune fille. Une fois la tombe localisée, une foule d’informations pourront être obtenues telles que, l’identité des autres occupants de la sépulture, l’adresse des défunts etc., etc.
Si vous avez des recherches à faire la bonne méthode consiste à déposer chez le conservateur (à l’accueil) la liste des tombes que vous recherchez, et repasser le lendemain ou le sur lendemain. Vous gagnerez ainsi un temps précieux.
Pour déjeuner ou dîner :
Si vous vous trouvez en fin de matinée sur St Eugène, vous pourrez toujours vous régaler de sardines en escabèche voire de spécialités bien de chez nous. Vous trouverez ce régal près de l’entrée principale du cimetière catholique.
Sur BEO, Blanchette ou plutôt son successeur vous servira beignets et patisseries
Pour Diner en ville :
La pizzeria « MARINA » 102 rue Didouche Mourade, pour un repas simple, d’excellente qualité et un prix tout à fait raisonnable, en dehors des Pizza vous trouverez du poisson et des grillades et bien sur des pizzas
Pour une soirée un peu plus chic, vous retiendrez au « Le BEHARNAIS » vous aurez un choix assez large de mets fins et recherchés dans un cadre on ne peut plus agréable.
Les amateurs de poissons et crustacés se donneront rendez vous à la Madrague chez « Sauveur »
Enfin les nostalgiques de la Loubia, chekchouka, friture d’enchois de rougets ou de merlans « en colère », se retrouverons chez Zoubir avenue de la bouzaréah (face à discophone).
Pour vos déplacements, je vous conseillerais (hors site) 2 chauffeurs officiels que nous avons expérimentés sur 8 jours.
Voilà pour les aspects pratiques......... Soyez patients le reste arrive
Amitiés à toutes et à tous
Francis
A l’heure ou d’autres voyages sur Alger s’organisent, je voudrais vous faire profiter de quelques conseils et adresses pratiques.
En ce qui concerne les recherches de sépultures, si vous ignorez la situation des tombes, celles-ci pourront être facilement retrouvées pour autant que vous puissiez fournir la date de décès. Pour les femmes les recherches s’effectuent à partir du nom de jeune fille. Une fois la tombe localisée, une foule d’informations pourront être obtenues telles que, l’identité des autres occupants de la sépulture, l’adresse des défunts etc., etc.
Si vous avez des recherches à faire la bonne méthode consiste à déposer chez le conservateur (à l’accueil) la liste des tombes que vous recherchez, et repasser le lendemain ou le sur lendemain. Vous gagnerez ainsi un temps précieux.
Pour déjeuner ou dîner :
Si vous vous trouvez en fin de matinée sur St Eugène, vous pourrez toujours vous régaler de sardines en escabèche voire de spécialités bien de chez nous. Vous trouverez ce régal près de l’entrée principale du cimetière catholique.
Sur BEO, Blanchette ou plutôt son successeur vous servira beignets et patisseries
Pour Diner en ville :
La pizzeria « MARINA » 102 rue Didouche Mourade, pour un repas simple, d’excellente qualité et un prix tout à fait raisonnable, en dehors des Pizza vous trouverez du poisson et des grillades et bien sur des pizzas
Pour une soirée un peu plus chic, vous retiendrez au « Le BEHARNAIS » vous aurez un choix assez large de mets fins et recherchés dans un cadre on ne peut plus agréable.
Les amateurs de poissons et crustacés se donneront rendez vous à la Madrague chez « Sauveur »
Enfin les nostalgiques de la Loubia, chekchouka, friture d’enchois de rougets ou de merlans « en colère », se retrouverons chez Zoubir avenue de la bouzaréah (face à discophone).
Pour vos déplacements, je vous conseillerais (hors site) 2 chauffeurs officiels que nous avons expérimentés sur 8 jours.
Voilà pour les aspects pratiques......... Soyez patients le reste arrive
Amitiés à toutes et à tous
Francis
