pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : stabile lucienEnvoyer un mail

Le : 28/08/2018 21:13

Bonsoir, J'ai été très heureux d'avoir participé avec mon drapeau d'anciens combattants de la seyne sur mer à la cérémonie du 15 août.il y a eu des personnes qui ont prissent des photos de la cérémonie,J'aimerais en avoir.
J'ai mes 3 frères et moi même avons jouer au SABO le Président Mr Rippol ancien policier. Je possède une photos de l'équipe du SABO.

 

De : Vicente NorbertEnvoyer un mail

Le : 26/08/2018 16:37

Je voudrais savoir s'il existe un site qui donne la correspondance entre
les anciens noms de rue d'Alger et les nouveaux.
Merci d'avance

 

De : Annie PERINET née HiéEnvoyer un mail

Le : 26/08/2018 15:07

Ma soeur Colette LABOULBENE m'a appris il y a 1 heure ,le décès de Toinou DI ROSA, je me joint à mon beau frère Jean-Marc, pour présenter à sa soeur Annie et toute sa famille mes sincères condoléances, je ressent beaucoup de tristesse d'autant que je l'avais vu à Rognes au mois de MAI,qu'il repose en paix auprès de son papa.
Annie PERINET née Hié

 

De : LABOULBENEEnvoyer un mail

Le : 26/08/2018 11:17

N'allant pas tous les jours dans le site et c'est un tort, je suis aussi stupéfait que abasourdi d'apprendre le décès de TOINOU DI ROSA, mon copain d'enfance de la bande du quartier NELSON. Triste, très triste, j'en ai eu les larmes au yeux. Que de souvenirs, on a tout fait ensemble, partie de noyaux d'abricots, le foot, la course à pied, la délivrance, même les bagarres et les conneries, on était une bande très soudé avec son frère, Petit LOUIS comme on l'appelait, aussi mimi AUVERCHIO, ALBERT, les jumelles AUSINA, Monique DEJEAN ect. ect....
Ne l'ayant pas su à temps je n'ai pas pu me rendre à son dernier adieu, aussi j'adresse à toute la famille DI ROSA et à la compagne de TOINOU que j'ai rencontré au dernier rassemblement à ROGNES , mes sincères condoléances et ma sincère amitié. Repose en paix TOINOU auprès de ton papa dont nous avions appris le décès ensemble dans le square NELSON, cela je ne l'oublierai jamais et toi TOINOU je ne t'oublierais jamais, tu vas beaucoup nous manquer. Au revoir TOINOU.
JEAN MARC dit " LA BOULE"pour les copains.

 

De : ChenennouEnvoyer un mail

Le : 25/08/2018 15:47

Mes sinceres condoleances a la famille,SEKSEK.momo de londres.

 

De : ChenennouEnvoyer un mail

Le : 25/08/2018 15:18

Mes Sinceres,Condoleances A La Famille DI ROSA .momo de londres

 

De : DENARIE MICHELE (CHICHEPORTICHE)Envoyer un mail

Le : 24/08/2018 18:11

c'est avec tristesse que je viens d'apprendre le décès de antoine que jai vu au dernier rassemblement de rognes. je garderai de lui sa gentillesse et nos souvenirs du quartier Nelson. à toute sa famille je présente mes sincères condoléances

 

De : Faus AlainEnvoyer un mail

Le : 22/08/2018 13:48


Recherche un Ami de Bab El oued Sanfratello Antonio dit Nino, habitant avenue de la Marne en 1962
Perdue de vue depuis 1962.

 

De : José CASTANOEnvoyer un mail

Le : 20/08/2018 18:59

MAI 1962… LA DERNIĖRE COMMUNION

« Des mots qui pleurent et des larmes qui parlent » (Abraham Cowley)

Qu’elle était radieuse l’aurore de ce dernier dimanche de Mai 1962 à Oran !… Le ciel était tout blanc, d’une blancheur de gaze, où scintillaient des gouttelettes nacrées, pluie d’atomes lumineux dont la chute emplissait l’éther d’une immense vibration qu’on aurait dite minuscule. Tel une plume blanche, un nuage solitaire se courbait au dessus de la ville, cette ville, hier si gaie, si propre, si belle qui, aujourd’hui, avait le visage gris des malades incurables, des cancéreux à quelques jours de leur mort.
Avec le mois de Mai étaient revenus les cortèges immaculés des premiers communiants, et dans cette époque de violence et de haine, il n’y avait rien de plus émouvant que ces enfants graves et recueillis, rayonnants de foi et vêtus de la blancheur des lys.
Parmi eux, se trouvait Frédérique Dubiton, amputée d’une jambe et qu’on portait dans le cortège des communiantes. Elle avait été l’une des premières victimes du « boucher d’Oran », le général Katz, commandant le secteur autonome d’Oran qui avait donné la consigne à ses troupes essentiellement constituées de « gens sûrs », en l’occurrence de gendarmes mobiles, « de tirer à vue sur tout Européen qui aurait l’audace de paraître sur une terrasse ou un balcon lors d’un bouclage ». (1)
Les premières victimes du « boucher d’Oran » furent deux adolescentes de 14 et 16 ans : Mlles Dominiguetti et Monique Echtiron qui étendaient du linge sur leur balcon. Elles furent tuées par les gendarmes. Les projectiles d’une mitrailleuse lourde de 12/7 traversèrent la façade et fauchèrent dans leur appartement, Mme Amoignan née Dubiton, dont le père était déjà tombé sous les balles d’un terroriste du FLN, ainsi que sa petite fille, Sophie, âgée de deux ans et demi et sa s½ur, Frédérique, âgée de treize ans qui, atteinte à la jambe, eut le nerf sciatique arraché et dut être amputée.
Pourquoi lui refuser, malgré l’atrocité de la situation, le droit à la robe blanche et à la douceur de la cérémonie ? Elle n’aurait pas compris, elle, petite victime innocente, quelle nouvelle punition on lui imposait après tant de souffrances imméritées.
Alors, toute parée, superbe dans ces blancheurs d’étoffe qui l’entouraient comme d’un rayonnement de candeur, Frédérique, se sentait enveloppée d’amour, réchauffée par les sourires lumineux de ses voisins et amis qui lui témoignaient leur tendresse et l’astre radieux, semblait une pluie d’or qui ruisselait de ses mains fines.
Et cette vision insolite de ces enfants encadrés de C.R.S !… parce que leur quartier étant bouclé par suite d’une perquisition générale, on n’avait pas le droit d’en sortir, sinon avec ces charmants messieurs. C’était grotesque et digne d’Ubu Roi ! Ces petites filles parées de blanc, se rendant vers l’aumônerie du lycée, ridiculisaient par leur innocence la faconde de ces matamores qui les accompagnaient d’un air soupçonneux. Pensez donc, si elles allaient emporter sous leurs voiles les tracts et les armes de l’OAS ! On massa les enfants, place de la Bastille, avec les mitrailleuses braquées sur eux. Et le chanoine, sur le devant de son église, bénit les communiants en disant :
« Aujourd’hui, pour venir ici vous avez dû franchir les armées ; vous avez franchi les armées de Satan ! Ne l’oubliez jamais ! Que cela vous reste comme le symbole, l’exemple de ce que vous devrez toujours être prêts à faire : franchir les armées du démon pour venir à la maison de Dieu. »
Après cette déclaration, le chanoine fut arrêté…
Comme on a raison de cacher aux enfants la vue des laideurs humaines. Le triomphe de la force, la victoire de l’injustice, sont des secousses trop violentes pour eux. Ils doivent croire longtemps que Dieu intervient en faveur des belles causes, que le Mal ne peut prévaloir contre l’amour et le sacrifice. Quand l’âme a pris ce pli de foi dans l’enfance, rien après ne l’efface plus. Ces petits êtres vêtus de blanc, ont été dépouillés trop jeunes de leur tunique d’illusions. Ils ont vu que leurs prières d’enfants purs ne touchaient pas le ciel, que la tendresse de leurs parents ne pouvait pas les protéger contre les abus de la force, qu’une balle bien dirigée ou qu’un couteau trop vif valait plus que cent c½urs vaillants… et de ce jour, ils sont restés tristes de cette certitude.
Ah ! Quand le sommeil de la mort nous jettera dans la terre, puissions-nous alors ne plus rêver, ne plus voir les tristes réalités de notre triste monde !...

José CASTANO
E-mail : joseph.castano0508@orange.fr

« Si j’avais le pouvoir d’oublier, j’oublierais. Toute mémoire est chargée de chagrins et de troubles » (Ch. Dickens)

 

De : michele benazaEnvoyer un mail

Le : 19/08/2018 14:52

bonjour
je recherche les filles ATTIA YVETTE et Ginette leur pere avait une imprimerie

 

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