pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Langlois AlfredEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 16:23

Pour CARNIMOLA
A partir de 1954 (17 ans) au CAP CAXINE

 

De : francisEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 16:17

a l attention d evelyne aboucaya
je suis 1 ami d enfant d alain faus
je peux le contacter si vous le voulez!
etes vous de la famille aboucaya michéle qui habitait
la rampe vallée
si oui je la connais.*merci de me contacter
francis

 

De : carnimollaEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 15:16

Bonjour:Huguette CHATAIN n'etiez vous pas de Bainem?

 

De : LangloisEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 14:29

La première partie de mon pensum semble avoir intéressé certains lecteurs (ou.... trices) de la rubrique, je me permets donc de le compléter.
Pour en revenir à la "calentita" , certains un peu gourmands se munissaient de deux tranches de pain et faisaient mettre la portion en sandwich.
A y etre je vous en donne la recette : une part de farine de pois chiches (disons 250 gr) pour deux parts d'eau (un demi litre), trois cuillerées d'huile, du sel, du poivre, mettre dans un plat allant au four (de manière à obtenir une épaisseur d'environ 1,5 cm); mettre au four à 180° pendant environ une heure (peut- etre un peu moins suivant le four... à surveiller) et ... bon appétit !
Voici venir maintenant un personnage un peu curieux : le vendeur de glace pilée au sirop. Toujours muni d'un chariot rudimentaire sur lequel étaient disposés des récipients remplis de glace pilée, nous avions droit, toujours pour cent sous, à un verre de ette glace aromatisée d'une "giclée" de sirop, soit de grenadine, de menthe ou autre citron. Comme pour la guimauve, bonjour les microbes ou autres bactéries, mais qui s'en souciait, car le verre était unique et à usages multiples et répétés.
Il ne faut pas oublier le vendeur " d'oublies" que nous appelions "les z'oublies", cette friandise de pate gaudrée et cassante que nous dégustions délicatement (contrairement à nos habitudes plutot frustes) car "il s'en perdait" beaucoup.
Le suivant était plus classique c'était le vendeur "de pommes d'amour", petits fruits enrobés de sucre coloré en rouge, il assait moins souvent et avait moins de succès, sauf auprès des filles.
Bien sur d'autres "ambulants" passaient dans le quartier, mais ils intéressaient surtout nos parents.
Nous pourrions citer le lmarchand "des z"habits" avec ses grands sacs sur le dos et ses cris d'appel bien particuliers.Le marchand d'olives vertes, venu en principe de sa Kabylie natale, sous son grand chapeau de paille typique et accompagné d'un bourricot ou d'un mulet aux deux sacoches latérales pleines de beaux fruits verts et juteux.
Nous ne l'aimions pas trop "celui là", car la corvée de casser les olives incombait aux enfants, sans compter l'approvisionnement en fenouil indispensable.
L'aiguiseur de couteux et de cideaux passaien régulièrement ainsi que le vitrier ou l'étameur qui réparait les casseroles trouées, eh oui! la société de consommation n'existait pas encore.
C'était le bon temps, notre temps...et surtout le temps de la jeunesse et de l'insouciance.

 

De : aboucaya evelyneEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 14:23

je suis à la recherche d'alain Faus, car j'ai habitée au 1 rue maxime noiret, et j'ai bien connue ses soeurs, je suis à Montpellier, ont m'as dit que tu était au cap d'agde, j'aimerais bien entrer en contact avec toi Tel= 04 67 15 08 98 le soir aprés 20h
Amitiés Evelyne

 

De : perez linda lechadoEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 11:44

merci monsieur Langlois, c est un regal de vous lire et de remonter le temps, continuez ca fait du bien a tous les Bab el ouediens.
Je suis contente de te relire Momo, enfin tu es la, bonne sante a toi.
Merci Christian pour tous les plaisirs que tu nous donnes, c est le jour des mercis mais que faire d autre lorsqu on lit tous ces bons souvenirs, a bientot et bisous a tous........

 

De : momoEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 11:22


A Mr. Alfred Langlois !

Je ne sais si c'est vous l'auteur , mais s'il vous plait réécrivez nous votre analyse sur les cinémas de Bab El Oued , un pur nectar !!!

Merci d'avance

 

De : momoEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 11:19

A tous mes amis !

Juste deux mots en toute hâte pour vous dire que j’ai été très touché par vos marques de sympathie à mon égard et vous en remercie vivement.

Je me remets peu à peu et espère reprendre mes activités comme auparavant dès que possible.

Si Dieu veut... !

Merci encore une fois pour leurs messages et ils se reconnaîtront , notamment, ceux de :

- Perth , Stockholm , Copenhague, Oslo, Kiel, Berlin, Miami, Paris,Nice, Marseille, Denia, et ???? d’Alger bien sûr !!!.


 

De : Langlois Alfred (Freddy)Envoyer un mail

Le : 17/08/2006 10:36

Depuis quelques jours pas mal de messages font allusion aux marchands ambulants de BEO, à ce sujet "j'ai pondu"un petit pensum que je vou livre.

LES MARCHANDS AMBULANTS OU LES DELICES D'ENFANTS !

Régulierement passaient dans mon quartier (30 rue Léon Roches) des marchands ambulants,pas de ces grandes boutiques sur roues que l'on voit de nos jours sur les marchés, mais tout simplement un péquin à pied, avec un accessoire manuel ou poussant une simple carriole rudimentaire, quand ce n'était pas une vieille poussette aménagée.
Celui qui avait notre préférence, je ne pense pas me tromper, était le vendeur de "kikilomètre", autrement dit le vendeur de guimauve. La friandise était lovée autour d'un roseau d'environ 70 à 80 cm de longueur et de diamètre assez large, la partie haute " du délice" formait une poite et la partie basse était beaucoup plus évasée ; il en partait une sorte de mèche que le vendeur tirait, en la tenant entre le pouce et l'index, pour nous débiter la portion commandée moyennant cent sous(5 f d'avant l'euro et d'avant les nouveaux francs). Pour faciliter l'étirement il humectait de temps à autre ses doigts de salive.
Ensuite venait le vendeur de figues de barbarie, les fruits bien murs rangés sur sa charrette à bras. Celui ci s'annonçait à grand refort d'appels et ns parents nous donnaient un récipient pour recueillir l'achat de quelques fruits que le "commerçant" pelait sur place avant de les disposer dans notre assiette. Cette manière d'agir était la manière "officielle" et, disons le honnete, mais voilà, nous n'étions pas des enfants du faubourg "pour rien" et toutes les occasions étaient bonnes pour "sarraquer". La technique était simple, nous nous agglutinions à dix ou douze autour du chariot, de manière à l'encercler complétement et, pendant ce temps, deux ou trois compères, à quatre pattes passaient en douce les mains et récupéraient quelques figues , faisant fi des épines. L manoeuvre était répétée plusieurs fois afin de satisfaire toute la bande. Cette collecte était, bien sur, consommée sur place et séance tenante. Les couteaux dont nous nous servions étaient de fabrication spéciale, ils provenaient tout simpleùent de "l'usinage" rudimentaire de morceaux métalliques de cerclage de colis 'la partie de liaison du cercle étant double servait de manche et la lame était "appointée" et aiguisée sur le rebord d'un trottoir, à grand renfort de "crache" pour faciliter la glisse.
Ah ! Qu'elles étaient bonnes ces figues, récompenses de nos larcins.
Nous ne pouvons évoquer le souvenir de ces vendeurs à la sauvette, sans parler du marchand de "calentita" ("qu'à Oran on disait "de calentica", mais nous ne le savions pas en ce temps là ... notre temps!). Son chariot lesté de deux grandes plaques de boulanger 'ces plaques en tole noire qui servaient à nos mères à enfourner les mounas) garnies de la précieuse friandise. Le "commerçant" rameutait la clientèle en heurtant de manière saccadée et régulière le rebord de la tole avec son couteau de peintre, ledit couteau servant également à la découpe. Pour cent sous, eh oui encore! nous avions droit à une part d'environ 10 cm sur 10 cm, posée sur ub bout de papier et agrémentée d'un peu de sel et de poivre à la demande.


 

De : MONIQUE APPERTEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 08:51

erreur de frappe se souviens

 

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