Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

POUR ..LINDA PERREZ LECHADO.....votre e.mail ne passe pas..pourtant j'ai fait comme hier,..probléme!!!!.donc ce petit message.."ma mémoire me fait peut étre défaut,il n'y avait peut étre pas de garcon,mais des filles ca c'est certain...méme une petite derniére de moins de dix ans,plus jeune qu'ANTOINETTE,....merci dem'aider dans mes recherches ...retour de bises.

A l'attention de Monsieur Behlouli Brahim


Pourrions nous s'il vous plait entrer en contact par email j'aimerai vous demander un petit service etant donne que vous habitez en Algerie !

Merci d'avance

Bien amicalement

david

Marc, Christiane, anne marie et Tata Mauricette, bonsoir,
Je viens a peine de lire vos messages je suis tres emue de savoir qu on se souvient des journees et des soirees passees dans notre maison,car depuis longtemps plus personne ne m a parle de ce bon vieux temps (a part Annie) et quelques fois lorsque je rencontre des ami(es)s qui ont vecu ces moments.
Ma petite Sophie je crois qu elle n a rien oublie.
Et bien oui je vous ai attendu avec Carmen, MARC et Anne marie, chez Luis c etait vide cette annee, location de l appart du bas au mois d aout a des amis a nous, sinon rien, parait il qu ils deviennent tres penibles, alors si tu dois venir l an prochain prends toi au mois de janvier pour me prevenir (comprende), parce qu apres c est galere pour trouver quelque chose.Ici nous allons encore a la playa, et le soir nous sortons tres souvent, car il fait tres chaud et il vaut mieux etre a l exterieur qu a l interieur, et puis on vit la nuit.
Je vous fais de gros bisous a tous les 4 et j espere a bientot,je m excuse de passer par le site de Christian mais les mails que j envoient n arrivent pas a leurs destinataire.
A Nilsa,
je voulais te dire que j habitais la cite des vieux moulins et il ne me semble pas qu il y avait des Palomba, par contre j ai connu une Antoinette Palomba qui habitait rue leon roches et qui avait 3 soeurs, si c est elle la recherche sera tres facile, a bientot, amitie p
ieds noirs

_____RECHERCHE "antoinette palomba"cité des moulins_____désespérément!

Coucou Claudette,
Je vois que tu es en ligne.
As tu des nouvelles d'Yvette PONS. J'ai donné les coordonnées de Jeannot. Il vient de me téléphoner et me dit qu'il n'a toujours pas de coups de tél.
Bisous. LILIANE

salut cher ami
votre récit de votre enfance a bab el oued nous a profondément émue. nous avons nous meme habité a bab el oued pendant 7ans: rue bretonnet .nous sommes une famille de 5 personnes composée de 2 jeunes filles et un garçon .l'ainé a été scolarisé au collège le lièvre pendant 3 ans la grande fille a été scolarisé au condorcé .moi brahim, je suis né en 1951 j'ai joué aux memes jeux que vous (les osselets , mistigris ... ) . Malgré qu'on ne soit pas originaire de bab el oued le quartier nous a beaucoup marqué si bien qu'on y va souvent par nostalgie se promener dans rues de bab el oued revoir notre ancien quartier . actuellement nous habitons bouzareah qui n'est pas tres loin de bab el oued ce qui nous permet de nous y rendre souvent .
la famille behlouli

Le message adressé à Michel est bien entendu à MICHEL SUCH.

Salut à tous les participants

CHRISTIANE
Je vois que tu as gardé de trés bons souvenirs des soirées chez LINDA avec les SENDRA,LOACES,la siréne du cassour,et tous les autres.Le bal costumé et les parties de rigolades autour de la piscine.Je pense que tout va bien pour toi et Mauricette.ANNE MARIE se joint à moi,grosses bises

A LINDA

Je découvre tout juste ce site (internet depuis 10 jours) vachement sympa,je me rends compte que toi et carmen y ètes déja bien rodées.J'ai déjà vu un tas de collègues que je vais contacter au plus tot.J'espère que toi et raphilou alles trés bien,cette année nous ne sommes pas venus à DENIA,mon fils étant chez nous au mois de juillet. ANNE MARIE et moi,nous vous envoyons de grosses bises,à l'année prochaine.

Je ne peux garder pour moi, cette petite merveille de pensée
Merci Momo !
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Au petit matin à l’aube
Une idée m’est venue
Et j’ai composé un nouveau poème
Je l’ai envoyé dans les airs
Pour voler comme feuille
Vers celui qui est en exil
Tous les secrets que tu as laissés
Ont été dévoilés et fauchés
C’est cela une piètre époque

Voici l’histoire de frères
Qui scellèrent un inviolable serment
Pour pérenniser leur amour fraternel
Leur jeunesse leur a fait jurer
Que jusqu’à la mort
Ils devaient s’aimer de tout c 1/2 ur
Mais l’âge les a démentis
Voici qu’ils s’entrebattent
Ou es-tu ô sagesse ?

Mon c 1/2 ur fuis les êtres vils
Qu’as-tu à les approcher ?
On ne les distingue plus l’un de l’autre
Si ton compagnon te sourit
C’est qu’il a besoin de toi
Il a pris le rire comme viatique
Compare-le à l’eau stagnante
Quand soudain elle se libère
Elle emporte tout sur son cours


Ô gens à la langue entravée
Hommes voyez donc
Ce que fait un fade destin
Vos propos sont mesurés
Vous les gens sensés
Vos paroles sont bien fondées
Enfants chéris vous êtes exilés
Laissant la tristesse au pays
Et toutes vos mères vous languissent

Mes désirs ne sont pas clairs
J’ai peine à m’en souvenir
Jadis je voulais tant dire
Et maintenant j’ai oublié

Voici que ma raison me fuit
Tant que je sui inconscient
Et j’erre sans destination
Une chose est dans ma main
Et je la cherche dans mes poches
Ma mémoire est s 1/2 ur d’amnésie
Parfois quand je m’en souviens
Je réfléchis et je trouve
Que je ne puis m’ouvrir à tout le monde

Ma chance m’a dit : séparons-nous
Va vers l’Orient ou l’Occident
Emprunte le chemin de ton choix
Elle opta orgueilleusement pour sa route
Disparaissant et émergeant tour à tour
Et glissant comme un poisson
Elle a laissé mon c 1/2 ur en feu
Et plein à craquer
La mort lui eût été préférable

Ma chance va comme mauvais âne
Me haïssant de tout c 1/2 ur
Elle me taquine sans cesse
Combien l’ai-je attendue cette traînarde
Et puis de coups et ruades
Elle a comme âne brisé sa bride
Me voici tel un dément
Ou un homme ensorcelé
Ma chance évanouie a laissé en-moi des stigmates

Mon c 1/2 ur est comme enfant au berceau
Plus je le berce plus il gémit
Ne sachant d’où vient son mal
Depuis ma tendre enfance
Il est perturbé
Prenant son envol vers les nues
Ma chance évanouie s’est renversée
Comme fèves sur planche dispersées
Me laissant triste dans mes larmes

Traduit du terroir et dédié à RACHEL, fille de La Consolation et du Ruisseau !!!