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Le : 15/01/2019 20:28
Je réponds à M. SOLIVERES
A la basseta juste en face de l'entrée du lavoir qui avait été transformé en bibliothèque, il y avait un artisan électricien qui avait là son local de vente. Il me semble que Marlène Molto y travaillait comme vendeuxe.
L'électricien s'appelait SOLIVERES
A la basseta juste en face de l'entrée du lavoir qui avait été transformé en bibliothèque, il y avait un artisan électricien qui avait là son local de vente. Il me semble que Marlène Molto y travaillait comme vendeuxe.
L'électricien s'appelait SOLIVERES
Le : 15/01/2019 12:51
Bonjour à tous,
Sur les conseils de M TIMONER,
je suis né en 1960 et a presque 60 ans, j'y reviens!!!
mes parents habitaient Alger depuis 3 générations, a la Basseta, rue curie ou impasse Curie, je me rends a Alger en février et souhaite avoir le plus d'infos surs les lieux de vie de mes grand parents,
Pour cela je vous donne le nom de mon grand père Antoine SOLIVERES, ma grand Mère Carmen SOLIVERES si vous connaissez ces personnes (décédées) a ce jour, j'aurais besoin de connaitre l'adresse le n° de porte l'étage pour me permettre d'y faire un saut et voir ou j'ai fait mes premier pas!
ms parent apparemment vivaient au dessus de : mon père Norbert ITALIANO, et oui j'ai le même prénom, ma mère atteinte D'Alzheimer ne se souviens pas.
a tout ceux qui ont connu mes grand parents, mes parents un grand merci de vos infos et j'en profite pour vous souhaiter une bonne année 2019.
Cordialement N.ITALIANO
Sur les conseils de M TIMONER,
je suis né en 1960 et a presque 60 ans, j'y reviens!!!
mes parents habitaient Alger depuis 3 générations, a la Basseta, rue curie ou impasse Curie, je me rends a Alger en février et souhaite avoir le plus d'infos surs les lieux de vie de mes grand parents,
Pour cela je vous donne le nom de mon grand père Antoine SOLIVERES, ma grand Mère Carmen SOLIVERES si vous connaissez ces personnes (décédées) a ce jour, j'aurais besoin de connaitre l'adresse le n° de porte l'étage pour me permettre d'y faire un saut et voir ou j'ai fait mes premier pas!
ms parent apparemment vivaient au dessus de : mon père Norbert ITALIANO, et oui j'ai le même prénom, ma mère atteinte D'Alzheimer ne se souviens pas.
a tout ceux qui ont connu mes grand parents, mes parents un grand merci de vos infos et j'en profite pour vous souhaiter une bonne année 2019.
Cordialement N.ITALIANO
Le : 15/01/2019 12:29
Bonjour a tous,
Je suis né en 1960 a Alger , et a bientôt 60 ans , j'y reviens, : Norbert ITALIANO( et oui j'ai le même prénom que mon papa ! est parti depuis plusieurs années et maman, Henriette ITALIANO (née SOLIVERENS atteinte ALZEIMER, ne peut me renseigner
Je suis né en 1960 a Alger , et a bientôt 60 ans , j'y reviens, : Norbert ITALIANO( et oui j'ai le même prénom que mon papa ! est parti depuis plusieurs années et maman, Henriette ITALIANO (née SOLIVERENS atteinte ALZEIMER, ne peut me renseigner
Le : 14/01/2019 14:59
Bonjour a tous
Avis de recherches d’un ami de Bab El Oued
Aidez à retrouver un ami d’enfance PN élevé par une famille algérienne :
Christian GALLINARI dit Hanni ayant habité chemin Sidi Benour et rue Réaumur.
Certains en avaient parlé sur le site, il y a quelques temps.
MERCI par avance d’aider à se retrouver ses amis d’enfance
bon apres midi
Avis de recherches d’un ami de Bab El Oued
Aidez à retrouver un ami d’enfance PN élevé par une famille algérienne :
Christian GALLINARI dit Hanni ayant habité chemin Sidi Benour et rue Réaumur.
Certains en avaient parlé sur le site, il y a quelques temps.
MERCI par avance d’aider à se retrouver ses amis d’enfance
bon apres midi
Le : 13/01/2019 09:12
LA PECHE AU "BOULITCH" A BAB EL OUED
J’étais planté dans la file d’attente de l’étal de poissons d’une grande surface, et j’attendais tranquillement l’appel de mon numéro d’ordre pour être servi. Je me régalais d’observer sous la rampe lumineuse le scintillement multicolore des sardines, merlans, pageots, queues de lotte, ailes de raie et autres bars, saumons et daurades d’élevage militairement rangés sur un lit de glace pilée. Pour moi, c’est toujours un plaisir de contempler ces produits de la mer qui achalande la poissonnerie et qui, rapidement, me font naviguer loin, très loin. Ce jour là, en un instant, je n’entendais plus le brouhaha du magasin traversé par les annonces d’un haut-parleur, je me retrouvais malgré moi dans une escapade mentale au bord de la mer où le bruit du ressac sur les rochers, les embruns salés sur mon visage et l’odeur de l’iode m’isolaient de la foule qui m’entourait. Je voyageais dans les souvenirs de la plage des Bains de Chevaux à l’époque de mes huit ans, et j’entendais distinctement des hommes, torse nu et couverts de sueur, scandaient « oh, hisse ! oh, hisse ! » pour encourager leurs efforts servant à ramener pas à pas le grand filet sur la berge. C’était une fin d’après-midi d’été, le soleil couchant dansait sur le miroir de l’eau calme, le vent venait de s’essouffler, des cris d’enfants jouant sur le terre-plein du Stade Cerdan me parvenaient, une chaleur étouffante ajoutait à la pénibilité de la scène qui se déroulait devant moi. J’avais cessé de pelleter le sable humide qui engloutissait la caresse des vagues tièdes mourant à mes pieds; j’étais émerveillé par le spectacle humain auquel j’assistais : des pêcheurs au visage émacié tiraient le « boulitch » sur la plage des bains de chevaux. A l’approche du bord, les bouillonnements à la surface accéléraient et amplifiaient la surprise et l’attente d’une pêche miraculeuse sous le regard figé des badauds dont je faisais parti. Ces ouvriers de la mer finalement considéraient après coup, qu’il y avait beaucoup plus de poissons du temps où leurs parents exerçaient le métier. La vente s’effectuait sur place et le plateau de la balance romaine avait du mal à remplir son office : le poisson bondissait dans tous les sens. Un tri des espèces par qualité marchande se faisait à la hâte dans des couffins en paille tressée et en quelques minutes tout était vendu. Les familles de Bab el Oued, fervents amateurs de poisson, repartaient avec une friture vivante dont l’odeur reste incrustée à vie dans ma mémoire olfactive.
J’étais planté dans la file d’attente de l’étal de poissons d’une grande surface, et j’attendais tranquillement l’appel de mon numéro d’ordre pour être servi. Je me régalais d’observer sous la rampe lumineuse le scintillement multicolore des sardines, merlans, pageots, queues de lotte, ailes de raie et autres bars, saumons et daurades d’élevage militairement rangés sur un lit de glace pilée. Pour moi, c’est toujours un plaisir de contempler ces produits de la mer qui achalande la poissonnerie et qui, rapidement, me font naviguer loin, très loin. Ce jour là, en un instant, je n’entendais plus le brouhaha du magasin traversé par les annonces d’un haut-parleur, je me retrouvais malgré moi dans une escapade mentale au bord de la mer où le bruit du ressac sur les rochers, les embruns salés sur mon visage et l’odeur de l’iode m’isolaient de la foule qui m’entourait. Je voyageais dans les souvenirs de la plage des Bains de Chevaux à l’époque de mes huit ans, et j’entendais distinctement des hommes, torse nu et couverts de sueur, scandaient « oh, hisse ! oh, hisse ! » pour encourager leurs efforts servant à ramener pas à pas le grand filet sur la berge. C’était une fin d’après-midi d’été, le soleil couchant dansait sur le miroir de l’eau calme, le vent venait de s’essouffler, des cris d’enfants jouant sur le terre-plein du Stade Cerdan me parvenaient, une chaleur étouffante ajoutait à la pénibilité de la scène qui se déroulait devant moi. J’avais cessé de pelleter le sable humide qui engloutissait la caresse des vagues tièdes mourant à mes pieds; j’étais émerveillé par le spectacle humain auquel j’assistais : des pêcheurs au visage émacié tiraient le « boulitch » sur la plage des bains de chevaux. A l’approche du bord, les bouillonnements à la surface accéléraient et amplifiaient la surprise et l’attente d’une pêche miraculeuse sous le regard figé des badauds dont je faisais parti. Ces ouvriers de la mer finalement considéraient après coup, qu’il y avait beaucoup plus de poissons du temps où leurs parents exerçaient le métier. La vente s’effectuait sur place et le plateau de la balance romaine avait du mal à remplir son office : le poisson bondissait dans tous les sens. Un tri des espèces par qualité marchande se faisait à la hâte dans des couffins en paille tressée et en quelques minutes tout était vendu. Les familles de Bab el Oued, fervents amateurs de poisson, repartaient avec une friture vivante dont l’odeur reste incrustée à vie dans ma mémoire olfactive.
Le : 11/01/2019 20:46
Merci mon amie Andree pour tes voeux chaleureux a loccasion de la nouvelle année Berbère. C'est toujours avec un grand plaisir que je te lis. Porte toi bien et prends bien soin de toi.
Le : 11/01/2019 18:33
INFORMATION/
Suite à un dégât des eaux au Salon Maeva la Couronne des Rois de l'A B E O se déroulera:
le dimanche 20 janvier 2019
Au Domaine du GEM
Route Nationale 8 – 13420 Gémenos
Président ( 06 14 90 50 31
Désolé pour se contre temps.Amicalement.
René SANCHEZ
06 14 90 50 31
Suite à un dégât des eaux au Salon Maeva la Couronne des Rois de l'A B E O se déroulera:
le dimanche 20 janvier 2019
Au Domaine du GEM
Route Nationale 8 – 13420 Gémenos
Président ( 06 14 90 50 31
Désolé pour se contre temps.Amicalement.
René SANCHEZ
06 14 90 50 31
Le : 11/01/2019 10:05
Bonjour
Mustapha je me joits a toi et te souhaite une excellente annee a toi et a toute ta famille
A la veille du nouvel an berbere
Je souhaite une bonne et heureuse année 2019 Assegas azmega 2969
Que le bonheur, l'amour et la prospérité soient les maîtres mots de cette nouvelle année.
Santé, joie et sérénité pour l’année Amazigh 2969
Mustapha je me joits a toi et te souhaite une excellente annee a toi et a toute ta famille
A la veille du nouvel an berbere
Je souhaite une bonne et heureuse année 2019 Assegas azmega 2969
Que le bonheur, l'amour et la prospérité soient les maîtres mots de cette nouvelle année.
Santé, joie et sérénité pour l’année Amazigh 2969
Le : 10/01/2019 12:21
Cette année les fêtes du Yennayer qui est la nouvelle année berbère coïncide comme chaque année le 12 janvier 2019. A cette occasion je présente tous mes meilleurs voeux à tous les berbères du monde plus spécialement ceux de l'Afrique du Nord. Bonne année à tous et très bonne fête.
Le : 07/01/2019 11:19
BONJOUR A TOUS,
MA FAMILLE ET MOI-MEME (BIEN SUR) VOUS
SOUHAITONS UNE BONNE SANTE AVEC UN ABONNEMENT
A RALLONGE.