pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 
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Liste des messages

De : DIDIO KATYEnvoyer un mail

Le : 23/10/2006 20:44

Vous parlez du marché de Bab-El-Oued je me souviens avec mon frère nous descendions la rue des Moulins du n°17 avec nos trotinettes en bois bien entendu que nous avions fabriqués nous mêmes. Tout cela pour aller manger les beignets de chez blanchette ces beignets qui avaient ungoût délicieux, où bien maman Odette DI DIO nous envoyait chercher de la charcuterie chez Domenech qui avait une écrit au dessus du magasin ne pleure pas petit cochon puisque tu vas... et je ne me souviens plus très bien du reste de la phrase. Et aussi mes parents allaient prendre l'apéro chez vincent le café du coin au bas de la rue des Moulins. Ce marché était magnifique comme vous l'expliquez dans vos messages, je me rappelles aussi du magasin qui ce trouvait sur la gauche juste en face du marché ou je trouvais toujours de jolis sous vêtements. Puis plus bas une boulangerie patisserie, exusez moi je ne me souviens pas tès bien des noms. Mais quel bonheur de raviver tout celà dans nos mémoires. Je souhaite aussi une bonne fin de ramadan pour tous les algériens avec qui je me suis souvent aumusée dans les rues.
kATY

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 23/10/2006 18:05

Vous aurez corrigé dans le texte précédent les fautes suivantes:
...qui n'ont pas existé...étalage...

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 23/10/2006 16:53

Un message parlant du marché de Bab El Oued ces jours derniers me conduit à en reparler pour rendre hommage à nos parents et grands parents qui n'ont pas existaient pour rien. Extrait d'un livre sur Bab el Oued paru en 1974:
" Le marché de Bab el Oued avait une grande renommée, on y venait faire ses emplettes sept jours sur sept de très loin parfois. Une foule compacte rentrait et sortait sans cesse par les quatre portes du marché couvert et donnait l'impression d'une ruche d'abeilles au travail. A l'intérieur, d'un côté, se dressaient les étals de légumes et de fruits gorgés de soleil, de l'autre, les dalles de pierres recouvertes de poissons entretenus par des monticules de glace pilée; le tout parcouru d'allées perpendiculaires où il était difficile de se frayer un passage. Tout autour se situaient des magasins de volailles, d'oeufs, de boucherie, de charcuterie, de salaisons et de fleurs: il n'y manquait rien. A l'extérieur, sur l'ensemble du périmètre, des marchands côte-à-côte, sur des étalages de bois, vantaient à haute voix la qualité de leurs produits: pastèques, melons,
oranges, tomates, citrons dont les couleurs en faisaient une palette éclatante sous le soleil d'été. Ah, mes amis, quel marché! On se serait cru dans un jardin enchanté où il était aussi intéressant de faire ses achats que de rencontrer des visages connus. Nos mères prenaient un malin plaisir à faire leur marché chaque matin, car il n'était pas rare qu'elles saluent toute la famille, la plupart des amis, et se trouvaient ainsi au courant de la vie et des problèmes de chacun avec des discussions à ne plus en finir. A l'aide d'un couffin dont la contenance était aussi utile que pesante, elles parcouraient les étals des marchands et constituaient le menu de l'inspiration présente. Après tant d'années, elles connaissaient les prénoms de chaque marchand et il y avait une véritable affection entre l'acheteur et le vendeur. " Ali ne me donnes pas des tomates écrasées.." "Aya, madame Sintès, elles sont aussi belles que toi..." "Moktar, les mêmes oeufs que la dernière fois, y z'étaient vivants" " Si les oeufs y sont morts, y'en a pas les poussins..."
"Blanchettes, tu me donnes 4 beigners bien bons.." " Pourquoi, t'y achètes des fois des pas bons..." "Nourredine, mets-moi un bon kg de courgettes..." " Madame Rosette, voilà un kilo bon poids..." " Ahmed, comment elles sont tes pastèques..." " J'te fais la coupe, ya karbi, le sucre il est pas mieux..."
Et la vie allait ainsi depuis des lustres, à l'image d'un même peuple dont dont toutes les composantes se respectaient.
Il y avait la cohue dans les boulangeries des alentours où les plaques de calentita et de pizza se vidaient rapidement. Combien savouraient pour casse-croûte, une calentita chaude et coulante dans un petit pain? J'en ai l'eau à la bouche...Au milieu de toutes ces couleurs, des scènes très pittoresques animaient le marché chaque matin et lui donnaient son véritable cachet: pour une pièce de vingt centimes, des enfants pas plus haut que trois pommes mais le regard malicieux, les Yaouled, offraient leurs services de porter les couffins chargés jusqu'au retour à la maison. Des véhicules hippomobiles chargés de casiers de poissons frais venant directement de la pêcherie, alimentaient tous les matins le marché.Le prix et la qualité du poisson faisaient qu'à Bab El Oued on le considérait comme un aliment de premier choix.
Ceux qui ont connu ce marché, ceux qui habitaient à deux pas de ce réservoir inépuisable, ceux qui fréquentaient journellement ce paradis de la cuisinière de mère en fille depuis des générations, pour ne pas avoir retrouvé son équivalent ailleurs, aujourd'hui encore, en expriment des regrets teintés de grande nostalgie.
A 13 heures, le marché s'était vidé, laissant les portefaix ranger les étallages le long du mur extérieur du marché couvert, tandis que les boueux avaient fort à faire pour nettoyer les lieux, munis de lances à eau, ils aspergeaient abondamment les rues, puis, à la pelle chargeaient les camions poubelles. A partir de ce moment, le quartier était tranformé. L'après midi était calme, les commerces fermaient jusqu'à 16 h, puis petit à petit, une certaine animation renaissait après la toilette des rues. Bab el Oued après dix-huit heures ne ressemblait en rien au Bab el Oued du matin; si le matin avec le marché grouillant d'activité et les travailleurs qui hâtivement prenaient le car Bd de Provence pour se rendre au bureau ou dans les ateliers, il ressemblait à une ruche d'abeilles au travail, le soir, avec toute cette jeunesse qui arpentait l'avenue de la Bouzaréa et ces bars emplis de bonne humeur à l'heure de l'anisette, Bab El Oued prenait l'aspect d'une grande fête de famille."











 

De : momoEnvoyer un mail

Le : 23/10/2006 14:16


A tous les amis (es) du site de confession musulmane :

SAHA AIDKOUM !

Puisse cet Aïd être une fête de paix , de générosité , et que notre jeûne consolide nos prières au Tout Puissant afin que dans cette terre soient à jamais bannis les guerres , la famine, l'injustice et la misère.

 

De : FATMA-ZOHRAEnvoyer un mail

Le : 23/10/2006 10:26


A Monsieur DAVID MEDIONI
Merci pour votre message de paix adresse à tous les musulmans à l'occasion de la fin du ramadhan (mois sacré chez les musulmans). j'ai été très touchée.
L'être humain est capable de vivre en paix, sans la bêtise des politicards et des argentiers (profiteurs) de ce monde.
Voyez ce qui se passe un peu partout dans le monde (guerres, pauvreté, misère.......)
Fasse DIEU que tous les êtres humains PUISSENT VIVRE en paix sans distinction de race et de religion.
AIMONS-NOUS.
fatma-zohra d'ALGER. Que DIEU vous garde.

 

De : david medioniEnvoyer un mail

Le : 23/10/2006 09:49

A tous les lecteurs et nos amis musulmans

Chers amis musulmans,

Le mois de Ramadan se termine et nous ne voulons pas laisser cette occasion de vous redire toute notre amitié et de vous souhaiter une heureuse fête de l’ Aïd-el-Fitr.

Notre monde est souvent déchiré par les injustices et les violences de toutes sortes. Ces violences divisent les hommes et créent entre eux des murs de haine ou d’incompréhension. Nos fêtes religieuses sont des moments forts où nous nous mettons davantage à l’écoute de Dieu pour qu’il nous guide dans le droit chemin et nous montre comment mieux vivre ensemble et construire la Paix.

Que dieu vous garde toutes et tous en bonne santé vous et votre famille.

Bien amicalement

David

 

De : Guy ChantreuxEnvoyer un mail

Le : 22/10/2006 22:19

Bonsoir,
Je suis né en février 1959.
Ma famille et moi habitions 5 rue Nelson Chierico. Famille Herrera Domenech.
Ma mère Huguette Herrera, ma tante Jeanine (Consuelo), ma tante Lucette.
Ma grand-mère Isabel Domenech,mon grand-père Francisco Herrera.

guy

 

De : Huguette CHATAIN ép SEGUI

Le : 22/10/2006 20:53

Je recherche, pour une personne de ma famille qui n'a pas Internet
un Monsieur né en 1931 - son nom de famille est " GROS"
je ne connais pas son prénom mais tout le monde l'appelait "TITOU"
il a fréquenté le Collège Guillemin - dans les années 44 - 45 ou 46
son papa était négociant en Vins à Alger
je vous remercie de me laisser un message
si toutefois vous détenez des renseignements sur cette personne
Bien cordialement Huguette CHATAIN / SEGUI




 

De : christiane coppaEnvoyer un mail

Le : 22/10/2006 15:58

Bonjour à Toutes et Tous

Je souhaiterais avoir des nouvelles d'un ami d'alger qui habitait avenue de la bouzaréah, pas très loin du monoprix.

A notre retour il habitait marseille et je l'ai revu à bondy, lors de son service militaire.

Il se nomme José SANDRA.

Merci à toutes personnes qui pourront me donner de ses nouvelles.
Amicalement

 

De : SAIDA TAMENE-KAEUFLINGEnvoyer un mail

Le : 22/10/2006 10:47

Je souhaterais avoir des nouvelles de toutes mes copines d'enfance qui habitaient la Redoute (LE GOLF) à Alger, de toutes religions confondues.
MERCI

SAIDA

 

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