Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

ma cousine m'a passé un livre sur bab el oued (il etait une fois bab el oued) qui raconte notre quartier,j'y ai retrouvé une multitude de souvenirs : des mots, des expressions, des lieux qui m'ont ramenés quarante ans en arrière c'est une véritable cure de jouvence.

J'habitais rue Mazagran et fréquentais l'école Rochambeau. J'habite à présent VIRY-CHATILLON. Bravo et continuez. Les parisiens vous remercient.

D’accord Sabatier, la moindre des corrections était de me présenter et croyez tous que j’en suis réellement confus. Je m’appelle Iskander Christian Alexandre DEBBACH. J’ai laissé mon c 1/2 ur et mes tripes qui se sont arrêtés en 1962 à la Rampe Vallée où je suis né et où j’ai habité au N° 16 dans la seule maison du quartier dotée d’un jardin c'est-à-dire au coin de la Rampe Vallée et des escaliers Papin. juste en face du pharmacien Aidane et de Mme François côté escaliers Papin et en face de l’école Maternelle côté Rampe Vallée. Nous formions à cette époque toute une bande de petits garnements espiègles et turbulents avec mes amis Sauveur, Sogui et bien d’autres.
J’ai fréquenté l’école Lazeges depuis le C.P. j’ai été dans la classe de Mr Delpech, de Mr Cerdan au C.E.2, puis de Mr Tür au C.M. 1.
Je me suis reconnu dans la photo de classe C.E.2/C.M.1 1960/1961 où j’étais assis à la 11° place à partir de la gauche c.à.d le petit gamin maigre et à la bouille espiègle. Je me souviens de mes camarades de classe du C.E.2 1959/1960 avec Mr Cerdan : Il y avait Michel Delattre un métropolitain, Soudani, le gros Javaloyès Guy, Blanchard et bien d’autres en plus de moi-même.
Mon père avait une peugeot 203 noire, ma concièrge s’appelait Mme Ferrer et je m’en souviens parcequ’elle était aussi gentille que je lui en faisais voir à la brave dame. A part ça, il y avait de bas en haut de la Rampe Vallée : Le Mozabite, le laitier Khiou, les boulangers patissiers Mme et Mr Mérengué, le marchand de fruits et légumes Saïd, le pharmacien Aidane, Mme François, puis une autre boulangère Rosie, et pour finir le magazin/épicerie de Marie Rose sur le trottoir d’en face et qui m’adorait.
J’aimerai dire à tous ces gens que j’ai cités et aux autres que je n’ai pas cités combien je les aime et que depuis quarante cinq ans je ne les ai jamais oubliés. Tout au long de ces années, ils ont habité mes songes, mes pensées, mes joies et surtout mes tristesses.
Amitiés plus que sincères, vous me donnez envie de pleurer bougres de pitchounes !
Avecmésabôdondaine.

Pour A Sabatier,
Ne pas confondre cher Monsieur, la modeste faculté d'Alger, et l'illustrissime Université de Bab el Oued sise place Lelièvre, à l’époque mondialement (ou enfin presque) reconnue.
J’en profite pour souhaiter un cordial salut à tous ceux de BEO et les autres bien sur.
(Noubliez pas de programmer la réunion de l'ABEO en mai)
Henri.

Pour avecmessabodondaine....
Comment veux tu qu'on te réponde, tu ne donnes pas ton nom...
Même si tu sites des noms, qui peut te reconnaître.
Allez découvre toi...

Pour Marc CAIAZZO
Tu dois être sacrément précoce pour être né en 48 et être allé à la faculté d'Alger à moins que tu sois rentré après 62.
On t'aime quand même menteur !

pour christian timoner je voulais te demander es ce que tu peut rajouter des noms sur des photos deja mise sur le site si oui j ai le nom de mes deux soeur c est sur l ecole rue de dijon la1ere photo se trouve en dixieme position en partant des miennent que tu vient d installer ma soeur maryvonne akoun sur le rang du haut en partant de la gaucheelle es la huitieme et la seconde c est ma soeur jacqueline qui es decedee quelque temps apres cette photo elle se en 16eme position c est le rang ou elle sont assisent parterre et ma soeur jacqueline akoun se trouvela 1ere en partent de la droite merci a toi bonne journee et merci sa me ferais tres plaisir

je connais un léon zerbib, mais pas alain me contacter merci

A LA ATTENTION DE MR. H.DJEZAIRI Oublier! c'est nous vider de notre sang,oublier ce qui suit,c'est mourir à petit feu DESCENDANT DIRECTEMENT AUX ENFERS,DEPUIS LE PARADIS QU'ETAIT NOTRE CHER B.E.Oued...........Il est certain que nos traditions n'étaient pas aussi anciennes que celles des patos,mais elles étaient bien encrées,pas de doute!!!
Zohra était notre bonne et un peu notre grand'mère maternelle,vu que nous étions orphelins de celle-ci,elle nous avait vu naître les cinq enfants que nous formions la familles,ma petite soeur M.Térèse lui doit son nom,car elle insistait que si c'était une fille elle devait porter le nom de maman,son désire fut exaucé.Un matin,Zohra ne se présenta pas,maman était inquiète voila qu'elle se présente vers midi toute éssoufflée,désespérée,en larmes,dans son charabia et entre sanglots elle explique que son petit fils Slimane se trouve trés grave,40 de fièvre et le toubib ne trouve aucune explication,"y va mourir!!"se lamentait Zohra,maman reprend le dessus m'envoyant de toute urgence aviser papa,me voilà partir tout comme Michel Strogoff ,parcourant les quelques 500/600 mètres qui séparaient la maison du bar,à bout de souffle,me frayant un passage entre les clients, j'explique le cas à papa, qui réagit à la seconde,retroussant son tablier à la hauteur de la ceinture,laissant la gestion du bar en mains de Toubal et Bacri deux clients intimes, fonce vers le premier taxi,passe par la maison pour prendre au vol à Zohra et maman.Un de ses amis et client du bar etait un ancien officier du régiment où papa était mobilisé lors de la guerre de 40, depuis une excellente amitié s'était établie entre les deux,était médecin-chef à la clinique des orangers,...J'appris plus tard que Slimane avait été sauvé,un vrai miracle,un pérétonie aigüe était au point de l'achever
"OILÀ" LE SECRET DE NOTRE APARTEÏ"

Pour Rachid,un grand merci de m'avoir compris,reste clair que je ne voulais en AUCUN CAS blesser l'amour propre de qui qu'se soit.
Quand à Mr.Henri Djezairi,je lui fais savoir que loin de moi l'entention de vexer ses sentiments,et bien moins d' un P.N. simplement rémémoriser un de nos 400 coups de notre enfance(peu importe envers qui) ce qui n'a pas été dit dans mon précedant récit,c'est que nous étions clients réguliers de Melgueche.vous signale que le récit est un extrait d'un narrative écrite par moi-mème ayant pour titre "rOflexions de nous z'autres"

pour christian timoner merci christian je me permet de te tutoyer car je suis du 11 mars 1948 et ses en toute amitié toi et tout les tient vous etes formidables que du bonheur tu as travailler comme un super chef me voilà en photo il n y as aucune erreure tout es parfait mille merci bravo et a tres bientot j espere que tu ne m en voudra pas de t avoir tutoyer bonsoir a vous tous