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De : christiane coppa
Le : 24/02/2007 20:27
BonsoIr MOMO
Te voilà revenu parmi nous, j'ai eu de tes nouvelles par notre amie Monique, hélàs ce jour là je n'ai pas pu être avec vous.
Pour ta création "Pieds Noirs Assistance" sur Alger et sa Région, je suis d'accord, encore plus pour manger les très bonnes crevettes à la Madrague.
Bisous
Te voilà revenu parmi nous, j'ai eu de tes nouvelles par notre amie Monique, hélàs ce jour là je n'ai pas pu être avec vous.
Pour ta création "Pieds Noirs Assistance" sur Alger et sa Région, je suis d'accord, encore plus pour manger les très bonnes crevettes à la Madrague.
Bisous
De : Merzak.
Le : 24/02/2007 19:47
MOMO.
Bravo et merci de nous faire partager ce beau poême.
Merzak.
De : Merzak
Le : 24/02/2007 19:43
MOMO.
C'est une trés bonne initiative.
Bonne soirée.
Merzak.
De : momo
Le : 24/02/2007 17:38
L' HOMME DANS LA CITE
Pourvu que nous vienne un homme
Aux portes de la cité
Que l'amour soit son royaume
Et l'espoir son invité
Et qu'il soit pareil aux arbres
Que mon père avait plantés
Fiers et nobles comme soir d'été
Et que les rires d'enfants
Qui lui tintent dans la tête
L'éclaboussent de reflets de fête
Pourvu que nous vienne un homme
Aux portes de la cité
Que son regard soit un psaume
Fait de soleils éclatés
Qu'il ne s'agenouille pas
Devant tout l'or d'un seigneur
Mais parfois pour cueillir une fleur
Et qu'il chasse de la main
A jamais et pour toujours
Les solutions qui seraient sans amour
Pourvu que nous vienne un homme
Aux portes de la cité
Et qui ne soit pas un baume
Mais une force une clarté
Et que sa colère soit juste
Jeune et belle comme l'orage
Qu'il ne soit jamais ni vieux ni sage
Et qu'il rechasse du temple
L'écrivain sans opinion
Marchand de rien marchand d'émotion
Pourvu que nous vienne un homme
Aux portes de la cité
Avant que les autres hommes
Qui vivent dans la cité
Humiliés d'espoirs meurtris
Et lourds de leur colère froide
Ne dressent aux creux des nuits
De nouvelles barricades
Pourvu que nous vienne un homme
Aux portes de la cité
Que l'amour soit son royaume
Et l'espoir son invité
Et qu'il soit pareil aux arbres
Que mon père avait plantés
Fiers et nobles comme soir d'été
Et que les rires d'enfants
Qui lui tintent dans la tête
L'éclaboussent de reflets de fête
Pourvu que nous vienne un homme
Aux portes de la cité
Que son regard soit un psaume
Fait de soleils éclatés
Qu'il ne s'agenouille pas
Devant tout l'or d'un seigneur
Mais parfois pour cueillir une fleur
Et qu'il chasse de la main
A jamais et pour toujours
Les solutions qui seraient sans amour
Pourvu que nous vienne un homme
Aux portes de la cité
Et qui ne soit pas un baume
Mais une force une clarté
Et que sa colère soit juste
Jeune et belle comme l'orage
Qu'il ne soit jamais ni vieux ni sage
Et qu'il rechasse du temple
L'écrivain sans opinion
Marchand de rien marchand d'émotion
Pourvu que nous vienne un homme
Aux portes de la cité
Avant que les autres hommes
Qui vivent dans la cité
Humiliés d'espoirs meurtris
Et lourds de leur colère froide
Ne dressent aux creux des nuits
De nouvelles barricades
De : momo
Le : 24/02/2007 17:29
A Christian , Monique , Claire , Francis , Jean Louis , Dany Paule , Michel , Claude , Jean Pierre , Georges , et tous les autres amis (es) du site connus (es) ou non .
Depuis le temps que celà cogitait dans ma tête , nous allons créer Pied-Noir Assistance , qui se chargera de faire des groupes à dimension "humaine" de manière à déambuler à travers sa ville , ses lieux , libre comme l'air , et d'aller bouffer à minuit si l'envie y est à La Madrague.
Par ailleurs , les groupes constitués seront drivés par les amis d'enfance de ces derniers dans la.
Ceci pour la partie "pélerinage'" , l'autre partie concerne l'entretien et la remise en état des sépultures , ainsi que la recherche de ces dernières pour ce qui ne connaissent pas l'endroit .
Le dernier volet est d'ordre purement touristique et concernera les visites des villes du Sud , (Ghardaia, Bou Saada, Biskra, Tamanrasset, Djanet).
De : avecmésabôdondaine
Le : 24/02/2007 10:48
A Monsieur Olivero,
Oui effectivement je crois me souvenir de vous vous étiez un peu plus grand que moi, brun, un peu enveloppé et vous portiez des culottes courtes nous avons souvent joué sur la rampe des escaliers Papin.
Vous devez également vous souvenir de moi et si cela pouvait remuer quelques réminiscences du passé, je me trouve sur une photo publiée dans alger-roi.fr: Photo école Rampe Vallée C.E.2/C.M.1 année 1961/1962 où je suis assis à la deuxième place à partir de la gauche.
Pour l'école, j'ai eu dernièrement des nouvelles de Monsieur Tur, il est toujours en vie et il parait qu'il se souvient encore de chacun de nous! Comme j'aimerai aller lui rendre une visite de courtoisie! Il a été un instituteur admirable, un de ceux comme on en fait plus. J'aimerai également avoir des nouvelles de Monsieur Cerdan, il y avait également Mr Saadia. Je les ai tous perdu de vue et j'espère avoir des nouvelles de chacun d'eux.
Je vous remercie infiniment pour votre réponse elle m'a fait chaud au coeur.
Amitiés
Alex
Oui effectivement je crois me souvenir de vous vous étiez un peu plus grand que moi, brun, un peu enveloppé et vous portiez des culottes courtes nous avons souvent joué sur la rampe des escaliers Papin.
Vous devez également vous souvenir de moi et si cela pouvait remuer quelques réminiscences du passé, je me trouve sur une photo publiée dans alger-roi.fr: Photo école Rampe Vallée C.E.2/C.M.1 année 1961/1962 où je suis assis à la deuxième place à partir de la gauche.
Pour l'école, j'ai eu dernièrement des nouvelles de Monsieur Tur, il est toujours en vie et il parait qu'il se souvient encore de chacun de nous! Comme j'aimerai aller lui rendre une visite de courtoisie! Il a été un instituteur admirable, un de ceux comme on en fait plus. J'aimerai également avoir des nouvelles de Monsieur Cerdan, il y avait également Mr Saadia. Je les ai tous perdu de vue et j'espère avoir des nouvelles de chacun d'eux.
Je vous remercie infiniment pour votre réponse elle m'a fait chaud au coeur.
Amitiés
Alex
De : fasano pierre-claude
Le : 24/02/2007 09:03
Bonjour. Pour les tétés de soeur, il y a eu aussi a la cité de la consolation, avant les boulangers MULLOR et SUCH; la famille SALORT, tous savaient faire ces fameux gateaux, malheur a celui qui ne voyait pas arriver les farceurs, il se prenait le gateau sur le nez, bonjour la créme, un petit retour dans les années 50, ça fait du bien
De : OLIVIERO ALAIN
Le : 23/02/2007 20:08
pour avecmésabododaine
BONJOUR JE SUIS MOI AUSSI UN GOSSE DE LA RAMPE VALLEE ET J HABITAIS LA MAISON AUDESSUS DE L EPICERIE DE MME FRANCOIS OU J ALLAIS PRESQUE TOUT LES JOURS FAIRE DES COMMISSIONS POUR MES PARENTS OU POUR M ACHETER UNE BOUTEILLE DE SELECTO
JE ME SOUVIENS TRES BIEN DE LA BOULANGERIE DE MR BERENGUER OU J ALLAIS POUR LE VOIR FAIRE SON PAIN
JE ME RAPPELLE AUSSI DU PHARMACIEN DU MARCHAND DE LEGUMES ET DU MOZABIT AINSI QUE LE MENUISERIE OU J ALLAIS CHERCHER DE SCIURE DE BOIS . JE SUIS NE EN 50 ET SUIS ALLE A LA MATERNELLE DE LA RAMPE VALLEE JUSTE EN FACE DE CHEZ MOI
NOUS NOUS SOMMES SUREMENT RENCONTRES
CE SONT DES SOUVENIRS QUI JAMAIS NE ME QUITTERONT
A BIENTOT
BONJOUR JE SUIS MOI AUSSI UN GOSSE DE LA RAMPE VALLEE ET J HABITAIS LA MAISON AUDESSUS DE L EPICERIE DE MME FRANCOIS OU J ALLAIS PRESQUE TOUT LES JOURS FAIRE DES COMMISSIONS POUR MES PARENTS OU POUR M ACHETER UNE BOUTEILLE DE SELECTO
JE ME SOUVIENS TRES BIEN DE LA BOULANGERIE DE MR BERENGUER OU J ALLAIS POUR LE VOIR FAIRE SON PAIN
JE ME RAPPELLE AUSSI DU PHARMACIEN DU MARCHAND DE LEGUMES ET DU MOZABIT AINSI QUE LE MENUISERIE OU J ALLAIS CHERCHER DE SCIURE DE BOIS . JE SUIS NE EN 50 ET SUIS ALLE A LA MATERNELLE DE LA RAMPE VALLEE JUSTE EN FACE DE CHEZ MOI
NOUS NOUS SOMMES SUREMENT RENCONTRES
CE SONT DES SOUVENIRS QUI JAMAIS NE ME QUITTERONT
A BIENTOT
De : CHEGROUNI Mokrane
Le : 23/02/2007 18:57
Saluts à tous les enfants de B.E.O ,je lit tous vles jour vos messages ,qui me fond revenir à mon enfance,et baucoups de scenes me reviennes en tete ,et la separation à etait très dur pour nous tous.Pour ce la je voudrai que vous m'aidiers à retrouvais des amis ,meme plus pour mois des freres que la betise de nos ainèes,nous à fait sepparer.Le premier Mr DICRESINZO Jean - Richard ,il avait les membres inferieurs et superieurs dèformer, il habiter au 8chemin Sidi-bennour son pere s'appeler Fronçois ,il travailler à la typolitto . Le 2em c'est Mr DOMENECH Jose-Louis ne à mon-plaisant ,et il à habiter à l'avenue des consulat . Je cherche aussi Mr GALIA GEORGE qui habiter la rue François -Cerano et qui avait un garage de mecanique .Merci à vous tous d'anvance ,et ci vous venaient à Alger on ce fera des bon M'HADJEBS et une bonne grillades de sardines ,Mokrane qui vous aimes
De : Jean-Francois
Le : 23/02/2007 18:10
Merci Pierre Antoine, c'était chez M.Mullor, tu as raison.
Ma mère lui amené les monas à cuire. Et son pain blanc? le pain espagnol. Mais moi, je zieutais au rayon bonbons, les rouleaux de réglisse avec une boule de couleur au milieu. Il y avait des pièces de monnaie en réglisse de la grandeur des pièces de 5 centimes. Les tubes en plastique , il y avait du coco. Il devait y avoir un marchand de jouets dans le coin; j'avais eu un pistolet à flèches, la cible? les mouches! Dégoutant.
A +
JF
Ma mère lui amené les monas à cuire. Et son pain blanc? le pain espagnol. Mais moi, je zieutais au rayon bonbons, les rouleaux de réglisse avec une boule de couleur au milieu. Il y avait des pièces de monnaie en réglisse de la grandeur des pièces de 5 centimes. Les tubes en plastique , il y avait du coco. Il devait y avoir un marchand de jouets dans le coin; j'avais eu un pistolet à flèches, la cible? les mouches! Dégoutant.
A +
JF
