Liste des messages
Le : 29/04/2019 16:29
Mes sinceres condoleances a la famille de Michel.Repose En Paix . momo de londres
Le : 29/04/2019 15:59
Famille De Vellis - Autuori parents et alliés
Suite au décée de notre ami Michel, nous présentons nos sincères condoléances
Lui qui aimais tant siroter son thé a la menthe avec des amis rue de
la marine
la communautés de Bab el oued a Paris
Le : 27/04/2019 23:31
Toute nos condoléance à la famille De Véllis
RIP MEUMIELE
Famille Scotto
RIP MEUMIELE
Famille Scotto
Le : 27/04/2019 20:14
Aux Messageries entre le Bd de Provence,la rue de la Consolation et la
rue Charles Lebart à grandi le grand et courageux MEUNIEL DeVellis
Tu vas reposer en paix aux cotés de tes soeurs Fifine;Charlotte,et tes frères Raymond,Jacques,Sauveur et tous les OUALIONES
Adieu MEUNIEL
rue Charles Lebart à grandi le grand et courageux MEUNIEL DeVellis
Tu vas reposer en paix aux cotés de tes soeurs Fifine;Charlotte,et tes frères Raymond,Jacques,Sauveur et tous les OUALIONES
Adieu MEUNIEL
Le : 27/04/2019 08:06
L'un des nôtres des Messageries, 1 boulevard de Provence
vient de nous quitter, rejoignant nos familles disparues :
Michel De Vellis dit Meumiel (...le grand frère)
À son épouse, ses enfants, petits-enfants, aux familles De Vellis, Galtier, Debono, Autuori, ami-e-s et allié-e-s, nous présentons nos condoléances attristées en les assurant de notre soutien affectueux.
vient de nous quitter, rejoignant nos familles disparues :
Michel De Vellis dit Meumiel (...le grand frère)
À son épouse, ses enfants, petits-enfants, aux familles De Vellis, Galtier, Debono, Autuori, ami-e-s et allié-e-s, nous présentons nos condoléances attristées en les assurant de notre soutien affectueux.
Le : 22/04/2019 17:31
LE CABASSETTE ET LE COUFFIN (fable)
Au fond d'un placard le cabassette et le couffin s'ennuyaient beaucoup, depuis qu’ils avaient quitté leur Bab El Oued natal ils ne sortaient plus du tout, alors il se racontaient des histoires pour tromper leur ennui, surtout celles qui parlaient de leurs anciennes et nombreuses sorties.
Ils accompagnaient la famille au marché, en forêt ou au bord de mer comme à Pâques où on les remplissait de ce qu 'il y avait de meilleur sur terre, le cabassette disait qu 'il transportait la soubressade, les fèves au cumin, la calentita, le boutifar, la postera sucrée, les poivrons grillés, la si fine fritenga, les anchois, les dattes fourrées et les figues sèches, les délicieuses cocas, les mantécaos, les cornes de gazelle, sans oublier le bon selecto et le fameux Mascara. Le couffin se vantait d’être plein de zlabias, de cigares au miel, de douces oreillettes, de makrouts, de la belle mouna reine du jour, sans oublier les succulentes roliettes.
Ils étaient tellement lourds qu’ils n’en pouvaient plus surtout qu’il fallait tenir jusqu’à la foret de Sidi Ferruch pleine de monde partout, et là au milieu des cris de joie on commençait à les vider, pour l'apéritif les tramousses et les variantes étaient offertes en premier car avant le repas on sirotait bien sur l’anisette traditionnelle en trinquant à la bonne santé de tous dans une fraternité si belle, puis au milieu d’une joyeuse ambiance on déballait tout et chacun se servait, tous les membres de la famille pouvaient alors à se régaler.
Dans la soirée pour le retour à la maison le cabassette et le couffin maintenant si légers pensaient à faire les courses dès le lendemain matin, à Bab El Oued ils continueraient ainsi à déambuler dans les allées du marché où ils seraient encore remplis de ces bonnes choses qui faisaient leur fierté.
Bien longtemps après, alors qu' ils se lamentaient toujours sur leur sort, une main amie qui les avaient bien connus leur apporta un grand réconfort, et pour ne pas qu ' ils tombent complètement dans les oubliettes ils furent sortis du placard pour aller à des commissions ou à des fêtes, réconfortés ils purent se dire qu 'on ne les avait pas laissés tomber pour enfin revivre en pensant à Sidi Ferruch et ses belles journées.
moralité : recevoir le passé comme un héritage c’est combattre l’oubli, le mépris, et l'indifférence.
Robert Voirin
Au fond d'un placard le cabassette et le couffin s'ennuyaient beaucoup, depuis qu’ils avaient quitté leur Bab El Oued natal ils ne sortaient plus du tout, alors il se racontaient des histoires pour tromper leur ennui, surtout celles qui parlaient de leurs anciennes et nombreuses sorties.
Ils accompagnaient la famille au marché, en forêt ou au bord de mer comme à Pâques où on les remplissait de ce qu 'il y avait de meilleur sur terre, le cabassette disait qu 'il transportait la soubressade, les fèves au cumin, la calentita, le boutifar, la postera sucrée, les poivrons grillés, la si fine fritenga, les anchois, les dattes fourrées et les figues sèches, les délicieuses cocas, les mantécaos, les cornes de gazelle, sans oublier le bon selecto et le fameux Mascara. Le couffin se vantait d’être plein de zlabias, de cigares au miel, de douces oreillettes, de makrouts, de la belle mouna reine du jour, sans oublier les succulentes roliettes.
Ils étaient tellement lourds qu’ils n’en pouvaient plus surtout qu’il fallait tenir jusqu’à la foret de Sidi Ferruch pleine de monde partout, et là au milieu des cris de joie on commençait à les vider, pour l'apéritif les tramousses et les variantes étaient offertes en premier car avant le repas on sirotait bien sur l’anisette traditionnelle en trinquant à la bonne santé de tous dans une fraternité si belle, puis au milieu d’une joyeuse ambiance on déballait tout et chacun se servait, tous les membres de la famille pouvaient alors à se régaler.
Dans la soirée pour le retour à la maison le cabassette et le couffin maintenant si légers pensaient à faire les courses dès le lendemain matin, à Bab El Oued ils continueraient ainsi à déambuler dans les allées du marché où ils seraient encore remplis de ces bonnes choses qui faisaient leur fierté.
Bien longtemps après, alors qu' ils se lamentaient toujours sur leur sort, une main amie qui les avaient bien connus leur apporta un grand réconfort, et pour ne pas qu ' ils tombent complètement dans les oubliettes ils furent sortis du placard pour aller à des commissions ou à des fêtes, réconfortés ils purent se dire qu 'on ne les avait pas laissés tomber pour enfin revivre en pensant à Sidi Ferruch et ses belles journées.
moralité : recevoir le passé comme un héritage c’est combattre l’oubli, le mépris, et l'indifférence.
Robert Voirin
Le : 21/04/2019 10:26
Je souhaite une Joyeuse paque a la population de BEO. Je souhaite une Joyeuse pessah a la communautee Israelite .MOMO de londres
Le : 20/04/2019 08:59
n'ayant pas eu de retour de mon message, je réitère sur le site,mes remerciements
à Maryse COHEN-SOLAL pour m'avoir souhaité mon anniversaire et surtout pour s'en être rappeler ce qui m'a beaucoup touché.
à Maryse COHEN-SOLAL pour m'avoir souhaité mon anniversaire et surtout pour s'en être rappeler ce qui m'a beaucoup touché.
Le : 18/04/2019 19:32
LA MEMOIRE OUBLIEE
Ce que fut Bab el Oued avant 1962 afin que nos descendants soient fiers de leurs origines.
Sous l'égide de l' ABEO et des Associations de la Cité des Rapatriés, le quartier populaire d'Alger BAB EL OUED, revivra le jeudi 25 avril 2019 à 15h dans la salle des conférences de la Maison du Combattant et de la Cité des Rapatriés, 50 boulevard de la Corderie 13007 MARSEILLE.
Un diaporama de 120 photos en noir et blanc d'avant 1962 sera projeté sur écran. Un voyage dans le passé, non par nostalgie mais simplement pour retrouver la parole perdue et rappeler l'amour et la passion d'un peuple unique dans sa diversité qui, génération après génération, entre 1830 et 1962, aima éperdument le pays où il était né.
Ce peuple besogneux revendiquait une seule et même identité : celle d'être des "enfants de Bab el Oued".
Venez passer un moment hors du temps...Entrée gratuite ! un pot de l'amitié suivra la conférence.
André TRIVES conférencier, René SANCHEZ Président de Bab el Oued.
Ce que fut Bab el Oued avant 1962 afin que nos descendants soient fiers de leurs origines.
Sous l'égide de l' ABEO et des Associations de la Cité des Rapatriés, le quartier populaire d'Alger BAB EL OUED, revivra le jeudi 25 avril 2019 à 15h dans la salle des conférences de la Maison du Combattant et de la Cité des Rapatriés, 50 boulevard de la Corderie 13007 MARSEILLE.
Un diaporama de 120 photos en noir et blanc d'avant 1962 sera projeté sur écran. Un voyage dans le passé, non par nostalgie mais simplement pour retrouver la parole perdue et rappeler l'amour et la passion d'un peuple unique dans sa diversité qui, génération après génération, entre 1830 et 1962, aima éperdument le pays où il était né.
Ce peuple besogneux revendiquait une seule et même identité : celle d'être des "enfants de Bab el Oued".
Venez passer un moment hors du temps...Entrée gratuite ! un pot de l'amitié suivra la conférence.
André TRIVES conférencier, René SANCHEZ Président de Bab el Oued.