pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 
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Liste des messages

De : MerzakEnvoyer un mail

Le : 17/08/2007 13:37


Pour Michel Such.

Balzano propose CLAICOY. Alors? c'est bon? sinon on cherche plus loin.
Amitiés.
Merzak.

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 17/08/2007 13:06

pour Merzak.
cher Merzak, te lire est toujours un plaisir. On retrouve dans tes écrits des souvenirs enfuis et la nostalgie, qui sont le moteur de la créativité ne sont jamais pleurnichards. J'aimerais que tu m'aides à retrouver le nom d'un maître de Sigwalt que j'ai toujours occulté de ma mémoire pour des raisons que je vais te raconter. Pendant un tournoi interne de volley qu'il organisait, ma classe était arrivée en finale. Le score était serré, nous pouvions gagner... Mais j'ai mis la balle en dehors des limites du terrain et le maître m'a mis une calbote qui résonne encore dans mon oreille. Pendant le reste de ma scolarité, j'ai toujours nié l'existence de ce maître... Alors maintenant, puisqu'il y a prescription et que l'heure de l'appaisement est venue... Si ta mémoire pouvait m'aider à retrouver le nom de ce maître...
Tu parles souvent de notre ami Kétrandji. Je voudrais que tu saches qu'il est toujours présent dans nos mémoires et que ma vieille mère qui va avoir (inch'Allah) 83 ans me parle souvent de sa famille et de celle de Hamid Aït Touyaya lorsque nous mettons en paroles nos souvenirs du quartier de la consolation.
Bien à toi.
Michel Such

 

De : Antoine BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 17/08/2007 12:49

Bonjour à tous,
Je reste toujours stupéfait de retrouver des souvenirs évoqués par l'un ou par l'autre (entre parenthèses, j'aimerais bien en lire de notre belle gente féminine...) et pris de vitesse quand je pensais les raconter. Ainsi, Sauveur (que je dois probablement connaître?), tu as relaté l'épisode de Tino Rossi, invité par le patron de l'Olympic: savais-tu qu'il s'appelait lui aussi Rossi et que nous habitions au n°8, ce qui m'a permis d'être aux premières loges pour le saluer, tout émerveillé bien sûr....Mais, détail peut-être anecdotique, puisque vous êtes plusieurs à parler du ténor Doukhari, savez-vous que, dans ce même bâtiment, demeurait aussi un autre ténor qu'on appelait Caruso? C'est Raymond Tortora, devenu reporter sur Antenne 2...Et puisque nous y sommes, rappelons-nous que dans la cour de la biscuiterie Bitoun, de nombreux camions entraient difficilement en marche arrière pour approvisionner la boulangerie-pâtisserie La Poire d'Or" , La Princesse", l'épicerie " l'Etoile Blanche" etc..., puis plus tard la confiserie Achour. Elle venait de la rue Adjudant Keiffer, en face de la poste, et avait un minuscule magasin de bonbons, dragées, entre le n°8 et le magasin de vêtements Sultan, lui-même mitoyen du marchand de vins Barthélémy Oliver. J'en profite pour saluer ici leurs fils respectifs Robert et Jean-Jean retrouvés avec émotion pour la 1ère fois à Rognes. Cette confiserie se déplace encore rue Fourchault, près de la clinique Solal, et est connue sous le nom de "confiserie Danya"; son créateur Daniel est le frère de Noêl, marchand de dragées, avenue de la Marne...
Je terminerai pour remercier André Trivès, collègue, coéquipier de hand à l'Olympic de Bab-El-Oued , pour toutes les précisions qu'il nous apporte mais surtout pour faire (re) savoir qu'il a écrit un livre " Le retour du Pied Noir", si mes souvenirs sont bons et si cela permet à mon emprunteur dont je ne me souviens pas du nom, soit de me le retourner soit, mieux encore, de continuer à le prêter. Voilà pour ma petite contribution en attendant une grosse et très émotionnante surprise pour tous les anciens de Sigwalt...
BEO for ever...
Tony

 

De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 17/08/2007 12:21

Je viens de découvrir le site recemment et j'apporte ma petite contribution
Autrefois le Taxi Bar du fils BERENGUER s'appelait Bar de l'Etoile (il y avait une etolie à 4 branches) appartenant aux De CRESCENZO qui habitaient Bd de Provence et avant la construction du bar c'etait des appartements:
Sur les marches de l'Ecole d'Infirmieres juste en face du Bar ,un marchand ambulant installait sur une cagette des "Broc" en petits bouquets qu'il rafraichissait de temps à autre en les aspergeant d'eau
Ces Boc ou Vroc cuits à l'eau etaient mangés en salade accomodés à l'huile d'olive et un jus de citron,ou bien les vrocs cuits servaient de garniture aux cocas ou bien loin dans le temps,ils servaient de garniture à un sandwich maison
Gamins on allait acheter du Selecto chez Moussa,l'epicier situé en coin en face des écuries
Mme SINTUREL,M. PARASCANDOLA CAZAUBON et autres dont j'ai oublié le nom si les murs de l'Ecole des Lavandieres devenue Sigwalt pouvaient parler,que raconteraient-ils?

 

De : MerzakEnvoyer un mail

Le : 17/08/2007 10:36


Le livre des merveilles.

Il y avait un quartier, et une école. L'école Sigwalt. Dans cette école, il y avait des instituteurs, où "institutions" pour lesquels j'aimerais avoir une pensée particulière.Il y avait Mr Raynaud, Directeur, plus tard remplacé par Mr Blatt, Mr Pietri avec son accent ensoleillé, mélomane convaincu, et plus tard Directeur à Rochambeau, Toubiana et sa blouse grise, De Tadéo et son trousseau de clefs, Parascandola, Sala, Invernizzi, Liévin, Blatt avec ses deux fonctions, Dirlo et Maître, Benadji avec sa prothèse à la jambe, Mme Delrieu, Mesdemoiselles Grieu et Boukaya, l'inoubliable Mr Seror et tant d'autres.
A l'entrée à gauche, il y avait le bureau du Directeur avec ses coupes(Foot, Athlétisme etc...) à droite, un minuscule cagibi que l'on appelait pompeusement, "la coopérative" où étaient entreposées diverses fournitures scolaires. C'était aussi le domaine de Mr Perez, homme aimable et dévoué à l'école, qui s'occupait avec ferveur des fêtes scolaires, kermesses etc...Il avait toujours un sourire pour tout le monde.Et le tableau d'honneur que l'on appercoit dans toutes les photos de classes.
Il y avait les deux cours, la petite et la grande, séparées par un grillage et un petit escalier, avec les cris stridents, l'atmosphère et la camaraderie.
Une nuée d'enfants de toutes origines et conféssions jouaient ensembles. Ceci n'empéchait pas cela.
Tout autour, il y avait une multitude de braves gens qui habitaient, travaillaient et qui avaient toujours un peu de temps pour nous. Des commerces différents: Santamaria la boulangère, Moussa, Kikilomètre, les tabacs du Globe, les Ets Phénix, la biscuiterie Bitoun, le Bar des Ondines, Taxi Bar, le SABO, le Sporting,Momo à coté du "Splendid" photos, pour ne citer que ceux là.
Pour ne pas ennuyer ceux qui auront la patience de lire ce message, je ne citerais que quelques noms de ma génération à qui j'adresse un salut: Autuori, Parc, Balzano, Sauvin, Seksek, Azzopardi, Massa, Olivès, Montiel, Dédé, Willy, Benamar, Jojo Torrès, Morali, Zerouali, Riquelme, Spinoza, Vanutelli, Casaburi, Sitbon,Faid, Lucido, Boucetta,Meraga
et les autres (ils sont nombreux)qui se reconnaitront,ainsi que la génération qui nous a précédé.N'oublions pas Ketrandji aujourd'hui décédé.
En 1962, cette école a été brulée, et sur ses cendres des hommes ont construit une
nouvelle école qui s'appelle......SIGWALT.
Des neveux qui ont passé leur scolarité dans cette nouvelle école Sigwalt m'ont raconté avec fierté que c'était la meilleure école du quartier. L'histoire continue....
Le livre des merveilles n'a pas été fermé.
Bonne journée à tous et à toutes
Tamene Merzak.

 

De : MerzakEnvoyer un mail

Le : 17/08/2007 09:15


Merci Momo pour cette extraordinaire documentation.

Merzak.


 

De : carmenEnvoyer un mail

Le : 17/08/2007 08:03

bonjour à tous mes amis de chez nous bab el oued city

message pour linda lechado et joce pérez ballester :

que devenez vous mes soeurs ?

plus de nouvelles, remarquez dans ces conditions bonnes nouvelles.

je sais linda que tu es coincée avec l'ordi pris par tes petits enfants, mais quand même.



pour tous : est ce que certains sont retournés à alger ces temps ci ? donnez nous des nouvelles des voyages là bas, car on avait prévu d'y retourner avec linda.

bises

une bab el ouedienne

 

De : momoEnvoyer un mail

Le : 16/08/2007 16:46


J'ai eu le bonheur de recevoir à l'officine un vieux Chibani venu à 22h (en gandoura parce qu'il se trouve à l'aise qu'il a dit) de 83 ans et qui n'est autre que Monsieur Barbier des Carrières Jaubert dont il m'a retracé toute l'histoire depuis la famille Schneider jusqu'à la COMETRA.
Tout y est passé depuis les pelles Ruston-Bucyrus, les Euclid , le Babitt-less, jusqu'à Mgr DUVAL et NDA, et sans oublier le moto cross .
Comme notre conversation a pris de l'ampleur et du temps , le jeune qui l'attendait dans le véhicule lui avait klaxonné pour lui dire qu'il était temps de partir , il m'a répondu :
-Ici , je suis chez moi dans mon pays en vacances, le môme laisse-le attendre , c'est comme mon petit fils, il me doit respect, son grand père était mon ami
intime!!!.
Ensuite, il m'a dit : je vais faire de BEO la plus belle commune d'Algérie !!!
Même si ce n'est que du rêve ou de l'utopie , la manière dont la phrase a été exprimée démontre tout notre attachement à ce faubourg si bien spécifique .
Par ailleurs , pour ne pas laisser en reste nos amis PN Oranais je leur laisse le soin de lire cet article paru dans un quotidien d'Alger (Liberté de ce matin) sous la plume de Reguieg-Yssaad et qui nous renseigne sur les origines de la MOUNA !!!!

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Des centaines de pieds-noirs sont venus ou viennent encore à Oran pour un “pèlerinage”, le temps pour eux de visiter les sites aux réminiscences “culturels et historiques”.
Octavio Ruiz est un septuagénaire qui vous parle en regardant du côté de la Blanca, quartier archaïque de Sidi-Lahouari qui l’a vu naître il y a plus de 70 ans.
Son petit-fils Michel, 20 ans, écoute religieusement sont ancêtre soliloquer sur les souvenirs de sa jeunesse et de Sidi-Lahouari, ville qui l’a vu grandir au milieu de la communauté mahonnaise à laquelle il appartenait. “Tes arrière-grands-parents ont quitté Yako, île située à Minorque, pour venir s’installer à Oran et cultiver les bonnes terres qui appartenaient aux autochtones. Mon grand-père me racontait que ses aïeux avaient débarqué sur la rade de Mers El Kébir en 1850, en provenance des îles Baléares, pour faire fortune en Algérie”, débite, le regard lointain, Octavio à l’adresse de son petit-fils. Depuis son “rapatriement” à Marseille après l’Indépendance, Octavio Ruiz effectue son quatrième voyage à Oran, accompagné cette fois-ci de son petit-fils qui découvre pour la première fois Oran et ses quartiers “européens”.
Préférant voyager sans passer par le truchement des agences de voyages afin de ne pas perdre de “la spontanéité de la découverte”, Octavio Ruiz affirme renaître à chaque fois qu’il vient à Oran. “Mes visites à Oran me permettent de me ressourcer et de me projeter dans le passé. C’est en quelque sorte un bain de jouvence que je veux transmettre à mes petits-enfants, lesquels expriment le désir de découvrir mon quartier de la Blanca et la ville basse de Sidi El Houari”, dit-il.
Comme lui, des centaines de pieds-noirs sont venus ou viennent encore à Oran pour un “pèlerinage”, le temps pour eux de visiter les sites aux réminiscences “culturels et historiques”.
Avec le vieillissement de la communauté pied-noire, les tensions et les malaises s’accentuent parmi les anciens. Le retour de pied-noirs dans leurs quartiers natals et sur les tombes de leurs parents est “symptomatique d’une certaine nostalgie”, qui s’amplifie à mesure que le temps passe. Après le premier voyage (2004) des “anciens rapatriés” de la ville d’Oran financé par la région Provence-Alpes-Côtes d’Azur (Paca) qui a donné par la suite naissance à l’Association France-Maghreb, l’adjointe déléguée aux “rapatriés” de Marseille, Solange Mol, a emmené 300 pieds-noirs à Oran. Ruiz, tout comme Fernandez, Garcia, Herrera, Gomez, Jimenez, Joachim et bien d ’autres “Européens” d’origine espagnole, ont jeté leur dévolu sur les voyages individuels qu’ils effectuent à présent par petits groupes.
En procession vers Santa-Cruz
“Nous entamons toujours notre voyage à Oran par la rituelle visite à la chapelle de Santa-Cruz. C’est un endroit magique chargé de souvenirs intenses de notre vie avant notre rapatriement en France”, estime Juan Garcia, un autre “enfant” du quartier espagnol de la Calère. Culminant à 380 m, la chapelle a été construite dans la moitié du XVIIIe siècle pour “conjurer le mauvais sort” infligé à la ville par la propagation du choléra. Lors de la terrible épidémie qui frappa Oran dans les années 1847 suite à une sécheresse qui condamna la population locale à la famine, l’évêque d’Oran prit l’initiative de mener en procession la statue de la Vierge suivie de la population pied-noire jusqu’au sommet du Mont Murdjadjo. La colline est communément appelée Santa-Cruz à cause du fort éponyme, bâti par les Espagnols au XVe siècle pour protéger la ville. Cette statue, qui fut bénie par Mgr Pavie le 9 mai 1850, fut transférée dans la crypte de l’église St-Louis à Sidi-Lahouari, , avant son “rapatriement” définitif à l’Indépendance où elle est installée dans une chapelle à Nîmes. “Nous avons accompli plusieurs visites à Nîmes, mais nous n’éprouvons pas la même sensation qu’à Oran”, affirme Ruiz dans un français pied-noir mâtiné d’espagnol, d’italien, de français et d’arabe. Avant de goûter au gaspacho, un potage froid à base de viandes préparé par Gomez, un ancien ami de classe de Ruiz Michel, quelques pieds-noirs ont eu le temps de faire un détour par le fort Lamoune où subsistent encore quelques vieilles bâtisses délabrées. Il apprend par un vieil habitant de Sidi-Lahouari le secret de la “mouna”, une grande brioche parfumée dont la consommation remonte au XVIe siècle. D’après la légende, les rois d’Espagne enfermaient leurs courtisans indésirables dans les forteresses qu’ils possédaient à Oran sur l’avancée de la rade de Mers El Kebir. De nombreux singes (monos), aujourd’hui disparus, habitaient ce rocher qui fut appelé fort Lamoune. Une fois par an, lorsque les prisonniers qui y étaient enfermés recevaient la visite de leurs familles, celles-ci leur faisaient passer à travers les barreaux de grosses brioches, et, depuis, ce gâteau se nomme “la mouna”.
Retrouvailles et émotion
Les pieds-noirs d’Oran étaient composés de communautés d’origine espagnole, mais on trouvait aussi des Français, surtout des Alsaciens, des Italiens, des Maltais, des Allemands, des Corses et des Suisses. Ils vivaient selon leurs modus vivendi, se réunissaient le plus souvent entre eux à l’occasion des fêtes religieuses et des cérémonies de mariage autour de la “frita”, un plat typiquement pied-noir d’Oran préparé à base de légumes d’été et des sardines à l’escabèche.
Depuis 2004, Oran a enregistré une moyenne de 100 visiteurs pieds-noirs chaque mois qui viennent se plonger dans l’ambiance de leurs quartiers respectifs. Ils restent quatre ou cinq jours, voire une semaine pour ceux qui ont gardé des amis à Oran. Les retrouvailles sont toujours synonymes de fêtes. Parfois, les accolades entre les pieds-noirs et la population locale donnent lieu à des effusions chaleureuses, entremêlées de sanglots entre les anciens amis qui se revoient après 40 ans. C’est le cas des centaines de “rapatriés” qui renouent avec les lieux de leur naissance avant la “traversée de la mer” en 1962. Accompagné de sa femme Dolorès, Joachim arpente pour la troisième fois les rues du faubourg St-Antoine qui l’a vu naître en 1930. À cette date, la création de nouveaux quartiers, moins denses et plus luxueuxmoins denses et plus luxueux, achevait l’urbanisation de la première couronne, dans sa partie orientée vers l’intérieur de la ville.
Ces quartiers sont Gambetta supérieur, Bon Accueil, Les Castors, Maraval, Medioni, Boulanger et Cité Petit. Ce développement au profit des seuls “Européens” se poursuit tous azimuts avec la création de quartiers encore plus somptueux (St-Hubert, les Palmiers, Point du jour... ) débordant la première couronne.
C’est cette atmosphère que viennent rechercher des centaines de pieds-noirs à Oran, une ambiance qu’ils ne trouvent nulle part ailleurs. Mais pour la population oranaise d’origine espagnole qui était estimée à 65% du total des “Européens”, la ville basse de Sidi-Lahouari est une escale incontournable. La prochaine fois, Octavio Ruiz et son petit-fils Michel ont promis de faire le voyage de Marseille à Oran en famille, “pour recevoir la baraka de Sidi Lahouari”.





 

De : Jacques Abbonato (rues Barra et Léon Roches)Envoyer un mail

Le : 16/08/2007 12:02

La meilleure façon de rendre service à Vincent Giordano, c'est encore de l'inscrire dans l'annuaire des PN ici : http://repertoirepn.net. Beaucoup de gens se sont retrouvés grâce à lui et pourquoi est-ce qu'il n'aurait pas droit lui aussi à sa chance? Actuellement il y a 214 personnes de Bab-el-oued inscrites et, parmi elles, il y en a probablement qui connaissent Vincent.

 

De : giordano vincentEnvoyer un mail

Le : 15/08/2007 21:08

j'aimerais pouvoir faire la surprise a mon mari de retrouver des copains de son quartier, ou d'école. C'est Vincent GIORDANO, né en 1934, il habitait 21 avenue de la marne Alger, il a fréquenté l'école Lazerges,et l'école Lavigerie à Bab el oued. merci Claude pour tous ces compliments sur lui.Son père était coiffeur a cette meme avenue de la marne. Si quelqu'un pense le connaitre, il serait heureux de pouvoir communiquer avec vous, il a gardé la nostalgie de son pays et de son quartier

 

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