pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : seksekEnvoyer un mail

Le : 20/08/2007 16:11

pour michel SUCH,bon anniversaire de la part des SEKSEK pour ta maman(nous on dis ta mere)et quelle n'oublie pas ses merveilleuses annees passees "chez nous",et chez nous on dis "MAZ EL TOV.

 

De : seksekEnvoyer un mail

Le : 20/08/2007 16:06

salut MOMO,tu peux leur dire a toutes ses p.... d'entrepeneurs qu'ils arretent de tout demolir ,paceque a notre prochaine visite on va plus rien reconnaitre!j'espere que le cimetiere des "toupies"en dessous ME AMSELLEM,est toujours la a la conso,mais chuuuuut,ils pourraient nous entendre,et l'ensevelir,enfin en meme temps ils vont faire 1 ALGER tout neuf ay ay ay!a bientot.

 

De : LANGLOIS AlfredEnvoyer un mail

Le : 20/08/2007 15:59

précision :
il y a eu pas mal de : le mot manquant est DEMOLITIONS !

 

De : LANGLOIS AlfredEnvoyer un mail

Le : 20/08/2007 15:56

ENTENTION j'avertis tout de suite : je suis de BAB EL OUED, mais pour un ami PN (il est pas de BEO ....lui....le povre), je demande à quelqu'un de chez nous ce qu'il en est advenu du quartier du HAMMA.
Il parait qu'il y a eu pas mal de
Merci d'avance.
Sincères amitiés
Freddy

 

De : Moreno AlainEnvoyer un mail

Le : 20/08/2007 14:56

Bonjour à toutes et ts les PN de BEO et d'ailleurs:
Comme vous je suis né à BEO, et fier d'etre un PN.Qui se souvient des tournois de foot organiser par les grands, sur le terrain situé au croisement du haut de la rue Léon Roches,et l'Av de la Bouzaréah à hauteur du No...? Quelques jours avant le tournoi, les informations aller bon train dans les écoles, et les quartiers de BEO pour recruter les joueurs,et spectateurs,et savoir qui joue avec qui... Nous les gosses du quartier ce jour l'à s'était un événement,de voir nos ainés taper le ballon en faisant des dribles,et des tchèques presque aussi bien que R.Kopa,J.Fontaine,et les autres s'était un vrai régal.La tenue vestimentaire des joueurs pour ceux qui avait les moyens,s'était la tenue on va dire normale(il y en avait trés peu).Ceux-l'à,rien qui jouaient les fanfarons,mais pour les z'autres s'est à dire nous s'était la tenue vestimentaire à la dix neuf sous.On se préter les affaires entre nous,en guise de maillot on avait des marcel,des schoorts à la 6,4,2 pour le reste n'en parlons pas,mais pour le foot la parlons-en,on était les meilleurs. Bien souvent il n'y avait qu'un seul ballon pour le tournoi,et en plus de qualité médiocre.Gare à celui qui envoyait le ballon à tataouine,et en plus crever,alors l'à entention s'était la caguate,et aprés la baroufa (les coups pleuvés) on rentrer à la maison pensser nos bléssures. Qu'est-ce qui m'a mis cui-la.Vivement le prochain tournoi.
Amicalement A+++ mes amis
alainvincent

 

De : andree atlanEnvoyer un mail

Le : 20/08/2007 08:29

pour michel such
je souhaite a Madame Michelle un bon et joyeux anniversaire que de bons souvenir nous portions ces grandes plaques avec les gateaux pour les faire cuirent dans le four de la boulangerie j'ai encore l'odeur de ces petits pains aux chocolats je n'est jamais oublier la gentillesse de Madame Michelle son sourire' et qui n'hesitait pas a nous faire credit merci Madame de toute cette gentillesse envers tout vos clients. je vous embrasse avec tendresse et affection si vous le permetter. michel quand a vous j'ai toujours suivie votre parcours au cinema et je vous trouvais tres bon .amitiees

andree atlan de l'avenue malakoff consolation

 

De : FranzEnvoyer un mail

Le : 19/08/2007 22:13

Pour Momo
Mon cher Momo,
Tu as tout faux, mon cher. Ce n’est pas du balcon de chez ma grand-mère que je balançais des grosses pastèques, toujours, la plus grosse que je trouvais dans la montagne de pastèques à proximité de la rue du Roussillon et de l’avenue des Consulats à coté des messageries. Je les trimbalais alors jusqu’à la rue de Nancy et les larguais non pas du quatrième mais du cinquième étage de chez ma Tante Alice Boniche.
Le pauvre marchand me disait, « ne prends pas celle-là, elle n’est pas mûre, prends plutôt celle-ci ou telle autre… » évidemment il ignorait que j’allais utiliser cette masse de fruit et d’eau comme bombe pour m’amuser.
Où était Jacqueline, ma cousine, je te demande? J’ai toujours bombardé la rue de Nancy en « solo », il fallait surtout ne pas avoir de témoins pour ne pas me faire remonter les bretelles par la famille, tous des gens sans aucune fantaisie qui n’auraient pas compris mon plaisir de gosse de huit ans !
Grosse bise à toi mon frère: Franz
P.-S. J’étais jeune mais pas tout à fait inconscient, au 6 rue du Roussillon, une telle expérience aurait fait des victimes, allons, voyons!

 

De : such MichelEnvoyer un mail

Le : 19/08/2007 20:55


de Michel Such
avis de recherche:
je suis né rue François Serrano, anciennement rue de la Vigie au N°4.
Dans mon immeuble vivait une femme avec qui nous partagions les toilettes communes.
Sur le palier, je la croisais toujours aimable et souriante, vêtue de vêtements amples, ses mouvements laissaient échapper des effluves enivrantes . Le ouistiti qui se promenait sur ses épaules me regardait de ses yeux ronds et toujours mobiles. Elle me souriait toujours en tirant la porte des toilettes sur elle.
Je retournais dans la pièce où nous habitions avec mon frère et mes parents et j'attendais le bruit de la chasse d'eau et celui du verrou de son appartement pour foncer aux toilettes.
C'était toujours Noël. Sur le rebord du petit judas d'aération, je trouvais toujours, serrés dans du papier de soie, une corne de gazelle ou un makrout. Mais ce qui me troublait le plus, dans cette petite pièce d'aisance confinée et toujours "nickel" comme on dirait maintenant, c'était l' odeur de cette femme, où se mêlaient le musc, la lavande et le patchouli. Souvent je fermais les yeux, j'étais avec les anges. Le miel du makrout fondait dans ma bouche.
On tambourinait à la porte." Tu as encore mangé des figues de barbarie?" Le rêve était cassé. Ma mère s'inquiétait et m'amenait chez ma grand-mère Tomani pour me guérir de l'infite en me frictionnant le ventre avec de l'huile d'olive.
Ce n'est pas cette femme avec son ouistiti que je recherche, je ne l'ai jamais perdue.
Ma grand-mère Tomani, vivait au bout de la rue François Serrano, anciennement rue de la Vigie au N° j'me souviens plus.
Dans cet immeuble où vivait Colette ma première fiancée à quatre ans, Alice, Paquitta, Madame Azzopardi. Personne pour m'aider? C'était au bout de l'impasse, avant les escaliers qui descendaient chez le menuisier. Ces escaliers qui devenaient étroits, mal taillés. Qui nous menaient chez Mme Nivart.
" Ma grand-mère elle veut un litre d'huile d'olive-T'ias l'argent?- Non- Dis à ta grand-mère que j'ai plus d'huile d'olive."
Remonter les escaliers avec la bouteille vide.
"Grosse vache! Lui faire la honte au petit "
Elle m'arrachait le bras et me tirait dans les escaliers où l'on manquait mille fois de les dégringoler sur le cul.
Ma grand-mère allait directement se servir l'huile au robinet de la barrique.
" Tu me dois quatre coups de soleil! On est quitte!"
Oui, ma grand-mère Tomani, en plus de l'infite, enlevait le coup de soleil, posait les ventouses et faisait disparaître les "compalorios".
Pour les coups de soleil, même ce bon Docteur Akkoun qui ne nous faisait pas payer ses consultations, envoyait des patients à ma grand-mère quand la médecine généraliste avait trouvé ses limites.
Alors, le N° de cet immeuble? personne pour m'aider. A côté de chez Galléa. Le garage Galléa. Juste avant Muscat. Muscat c'est lui que je cherche. Joseph Muscat. Son frère jumeau s'appelle Charles. Charles de toujours préfère travailler à la ferme avec ses parents. Avec Joseph, on va à Lelièvre ensemble. JOSEPH MUSCAT.
Pour une sortie picnique avec l'école, sa mère nous à rôti deux pigeons. Un chacun. Un pour Joseph, un pour Michel. Moi le fils de la concierge je vais manger pareil que le fils MUSCAT. Les Muscat qui logent gratis mes grands-parents, par solidarité maltaise, dans cet immeuble de la rue François Serrano, anciennement rue de la Vigie au N° j'me souviens plus.... Alors si quelqu'un peut me donner des nouvelles de JOSEPH MUSCAT...
Si vous êtes arrivés au bout de ce texte un peu long, j'ai une autre faveur à vous demander.
Ma mère, Hélène, la fille d'Angèle la maltaise (celle qui enlève les coups de soleil) demain 20 août, Inch'Allah si Dieu veut... aura 83 ans.
A la consolation, c'était Madame Michelle la boulangère... Elle vit seule à Béziers, n'a pas internet mais si ceux qui la connaissent lui passent une marque de sympathie sur le site de Christian je me ferais un plaisir de lui envoyer les copies.
C'est toujours bon pour le moral...
Michel Such

 

De : mansard monique poulnaisEnvoyer un mail

Le : 19/08/2007 17:59

un bonjour de Monique Baldaccino a toutes les filles elle pense a vous toutes et rentrera chez elle le 4 sept
elle vous fait comme elle me la dit de gros gros bisous
monique

 

De : momoEnvoyer un mail

Le : 19/08/2007 17:20


A tous ceux du Climat de France ! (et notamment ceux que j'ai rencontré à Rognes et qui se reconnaitront) :


Encore un pan de notre histoire qui part et qui avait fait l'objet de nos discussions
lors de cet êvenement de Rognes avec toutes les anecdotes s'y rapportant, en effet,
le bâtiment de la Cour des Miracles à côté des Ets Ruggieri où demeuraient Mme Andrès,Mr Antoine, Mr Saad ,les Mercadal ,les Ballouca) vient d'etre démoli et ceci après la maison des Marquand .

 

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