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Le : 29/08/2007 16:41
Pour répondre à Antoine BILLOTA
Voici selon ma memoire,les Instituteurs issus du Gd BEO
Par discrétion il n'y a que l'initiale du nom
Antoine M. Messageries
Alexandre B. Messageries
Vincent G. Messageries
Vincent S. Messageries
Odon M. rue Mizon
Yves G Saint Eugène-Consolation
Guy C Consolation
Dans cette liste non exhaustive certains sont devenus professeurs de Facultés,d'autres professeurs de Collège,d'autres enfin sont restés Instituteurs d'ECole
Voici selon ma memoire,les Instituteurs issus du Gd BEO
Par discrétion il n'y a que l'initiale du nom
Antoine M. Messageries
Alexandre B. Messageries
Vincent G. Messageries
Vincent S. Messageries
Odon M. rue Mizon
Yves G Saint Eugène-Consolation
Guy C Consolation
Dans cette liste non exhaustive certains sont devenus professeurs de Facultés,d'autres professeurs de Collège,d'autres enfin sont restés Instituteurs d'ECole
Le : 29/08/2007 16:17
A Antoine BILLOTA
Tu sais,j'ai confronté mes souvenirs avec ceux de l'auteur du synopsis de la "fameuse comédie musicale" (auteur qui par choix n'a pas internet)et celà me fait plaisir que tu n'aies pas pris la mouche pour les précisions apportées
Beaucoup d'enfants d'Immigrés Italiens des Messageries (je ne parle que de ce que je connais)avaient des parents,des grands parents analphabètes et c'est gloire aux Ecoles de la République que certains sont devenus Instituteurs
Egrenons nos souvenirs
Tiens qui se souvient de SUZANNE qui tenait un etal de "variantes et salaisons" juste en face de la rue du Roussillon,devant la galerie en sous-sol du marché couvert et qui servait d'entrepôt,de son voisin d'étal SPINOZA que vendait-il lui?des salaisons,des anchois salés dans des barils de bois,même les arceaux etaient en bois,pas de fer ou de clou
Nos mamans ,sur les potagers des balcons des immeubles des Messageries,vers Noël,préparaient le Nuoc Mam local,je veux dire la Colatura
Sur ces balcons,on a elevé des poules ou des lapins pendant la guerre 39-45,on a torréfié des pois chiches pour faire un ersatz de café,on a fait un savon ,si caustique le linge etait "brûlé",apres devant ces dégâts les mamans utilisaient les boules de sapindus,mais lavaient-elles seulement? lorsque le lundi,Maman montait à pied à ND des Ravins,elle en rapportait une herbe ,la pariétaire,qu'elle introduisait dans les bouteilles dont l'interieur n'était pas propre.
Tu sais,j'ai confronté mes souvenirs avec ceux de l'auteur du synopsis de la "fameuse comédie musicale" (auteur qui par choix n'a pas internet)et celà me fait plaisir que tu n'aies pas pris la mouche pour les précisions apportées
Beaucoup d'enfants d'Immigrés Italiens des Messageries (je ne parle que de ce que je connais)avaient des parents,des grands parents analphabètes et c'est gloire aux Ecoles de la République que certains sont devenus Instituteurs
Egrenons nos souvenirs
Tiens qui se souvient de SUZANNE qui tenait un etal de "variantes et salaisons" juste en face de la rue du Roussillon,devant la galerie en sous-sol du marché couvert et qui servait d'entrepôt,de son voisin d'étal SPINOZA que vendait-il lui?des salaisons,des anchois salés dans des barils de bois,même les arceaux etaient en bois,pas de fer ou de clou
Nos mamans ,sur les potagers des balcons des immeubles des Messageries,vers Noël,préparaient le Nuoc Mam local,je veux dire la Colatura
Sur ces balcons,on a elevé des poules ou des lapins pendant la guerre 39-45,on a torréfié des pois chiches pour faire un ersatz de café,on a fait un savon ,si caustique le linge etait "brûlé",apres devant ces dégâts les mamans utilisaient les boules de sapindus,mais lavaient-elles seulement? lorsque le lundi,Maman montait à pied à ND des Ravins,elle en rapportait une herbe ,la pariétaire,qu'elle introduisait dans les bouteilles dont l'interieur n'était pas propre.
Le : 29/08/2007 11:41
Merci Sauveur pour toutes ces rectifications à propos du nom des propriétaires qui ont reçu Tino Rossi et qui viennent à point pour me libérer de je ne sais quelle gêne quand j'avais écrit à tort qu'il s'agissait d'un autre Rossi. Quelle fabuleuse mémoire tu as!!! Et en même temps, tu as ce pouvoir magique de rendre vivant Monsieur Racis que, très jeune enfant, je rencontrais tous les jours avec son brave bouledogue dont hélas je ne me rappelle plus le nom....Dont acte également pour les précisions sur Raymond Tortora, baryton et non ténor ce qui prouve que, en plus d'une mémoire infaillible, tu possèdes une très grande culture et ce, pour notre plus grand bonheur....
J'ai lu par ailleurs que de notre quartier étaient issus 4 Normaliens que je dois très probablement connaître; aussi, ne serait-il pas intéressant de reprendre une idée commune avec celle de Norbert Povéda à savoir une rubrique genre" que sont-elles, que sont-ils devenu-e-s" ? car bien que nous pouvons nous enorguellir d'avoir eu des personnalités de grand renom, il serait peut-être intéressant pour certain-e-s de savoir ce que nos ami-e-s sont devenu-e-s, la vie et l'histoire d'un pays n'étant pas seulement celles de la "jet-set", des politiques ou de toutes autres gloires éphémères...Vous êtes probablement nombreu/x/ses à partager cette opinion et puisque Christian TIMONER nous a réuni-e-s sur son site en nous permettant de retrouver des émotions intranscriptibles, nous pouvons lui donner encore et toujours plus de vie, de celles qui sont les vôtres, les nôtres...Alors, on y va?
Avec toutes mes fraternelles amitiés,
Antoine
J'ai lu par ailleurs que de notre quartier étaient issus 4 Normaliens que je dois très probablement connaître; aussi, ne serait-il pas intéressant de reprendre une idée commune avec celle de Norbert Povéda à savoir une rubrique genre" que sont-elles, que sont-ils devenu-e-s" ? car bien que nous pouvons nous enorguellir d'avoir eu des personnalités de grand renom, il serait peut-être intéressant pour certain-e-s de savoir ce que nos ami-e-s sont devenu-e-s, la vie et l'histoire d'un pays n'étant pas seulement celles de la "jet-set", des politiques ou de toutes autres gloires éphémères...Vous êtes probablement nombreu/x/ses à partager cette opinion et puisque Christian TIMONER nous a réuni-e-s sur son site en nous permettant de retrouver des émotions intranscriptibles, nous pouvons lui donner encore et toujours plus de vie, de celles qui sont les vôtres, les nôtres...Alors, on y va?
Avec toutes mes fraternelles amitiés,
Antoine
Le : 29/08/2007 11:21
J'habitais au 10 de la rue Lèon Roches, près de l'èglise Saint-Louis, j'aimerais avoir si possible entrer en contact avec Melle AICH, sage femme qui demeurait au 5 rueBarrs Alger ou avec son neveu Roger AYACHE qui demeurait aussi à Bab-el-Oued, enfin avec toutes personnes pouvant me renseigner sur cette personne.
Merci par avance. PetitCLAUDE
Merci par avance. PetitCLAUDE
Le : 28/08/2007 20:18
Un texte de Robert VOIRIN.
UNE NUIT AU PORT
J'essaie de repousser loin de moi les souvenirs amers,
je ne veux garder que les images les plus chères
comme éclairées par des projecteurs sur un grand écran.
C'était au mois de juillet soixante, j'ai seize ans,
je descends du tram au square Bresson, il fait presque nuit maintenant,
je me dirige vers la gare maritime rapidement
car depuis la fin des classes au lycée, j'ai un job d'été
au tri postal d'Alger situé en bas sur les quais
près des batiments des compagnies Mixte et Transatlantique.
Du Bastion Quinze je profite de la belle vue panoramique
mais je suis pressé et ce n'est pas le moment de flaner
car je dois vite arriver à l'heure devant mes casiers,
ils portent des noms de lieux dorénavant un peu plus familiers.
Mon secteur c'est la Kabylie, les lettres partent vers Fort National, Akbou,
Boghni, Dra el Mizan, Michelet, Tigzirt, Horace Vernet, Tizi Ouzou,
comme ça j'apprends vite la géographie de mon pays, et par coeur...
C'est enfin la pause bienvenue à deux heures,
nous sortons faire quelques pas sur les gros pavés usés,
c'est le royaume du silence dans le port déserté,
je vais m'asseoir sur le bord du quai un petit moment
de là j'aperçois la masse sombre d'un gros batiment,
je le reconnais bien, c'est le Ville d'Alger surlequel
j'ai fait de belles traversées avec ma famille vers Marseille.
Derrière la compagnie Schiaffino je devine les hangars de la Pêcherie,
ici, au retour des chalutiers, une grande animation commençera à la fin de la nuit.
Mon regard se perd dans cette sombre mais belle harmonie,
pas pour longtemps car la lune étale sur l'eau son reflet argenté
à peine voilée par une légère brise qui vient de se lever
alors que dans le ciel profond des étoîles filent
en une course folle rejoindre les lumières de la ville,
c'est comme si l'âme d'Alger se mettait à briller
dans un écrin plein d'inépuisables beautés.
Mais bientôt il faut reprendre le tri et je dois m'arracher à ce spectacle,
je rentre, et je me retrouve vers le Djurdjura comme par miracle,
le rythme est soutenu dans une ambiance pleine de gaieté
jusqu'au petit matin où les casiers sont vides et le courrier expédié,
maintenant je commence à être un peu fatigué...
Mais une fois dehors comme par enchantement, le spectacle a changé,
les premiers rayons de soleil butent en ce beau matin
sur les hauteurs d'Alger du haut de la Kasbah jusqu'au Tagarins,
la lumière descends rapidement et c'est magique
de voir s'éclairer les arcades du boulevard de la République
ainsi que la belle façade de la Préfecture, rayonnante de blancheur.
Je reste là à regarder la belle cité sortir de sa torpeur
mais un postier me tire gentiment de ma méditation,
c'est en effet lui qui doit me ramener à la maison,
il habite près de chez moi du côté des rues Larrey et Cardinal Verdier,
nous partons aussitôt dans sa belle simca aronde, et arrivés dans le quartier
qui commence à se réveiller, il me dépose au bas de la rue Réaumur.
Je tombe de sommeil après cette nuit un peu dure,
maintenant j'ai autre chose à faire que de rêver,
et je m'endors vite avec en tête cette sublime image d'Alger
se levant sous les premières lueurs du jour,
je voudrais me persuader que cela durera toujours...
Robert VOIRIN, du 5 Rue Réaumur.
UNE NUIT AU PORT
J'essaie de repousser loin de moi les souvenirs amers,
je ne veux garder que les images les plus chères
comme éclairées par des projecteurs sur un grand écran.
C'était au mois de juillet soixante, j'ai seize ans,
je descends du tram au square Bresson, il fait presque nuit maintenant,
je me dirige vers la gare maritime rapidement
car depuis la fin des classes au lycée, j'ai un job d'été
au tri postal d'Alger situé en bas sur les quais
près des batiments des compagnies Mixte et Transatlantique.
Du Bastion Quinze je profite de la belle vue panoramique
mais je suis pressé et ce n'est pas le moment de flaner
car je dois vite arriver à l'heure devant mes casiers,
ils portent des noms de lieux dorénavant un peu plus familiers.
Mon secteur c'est la Kabylie, les lettres partent vers Fort National, Akbou,
Boghni, Dra el Mizan, Michelet, Tigzirt, Horace Vernet, Tizi Ouzou,
comme ça j'apprends vite la géographie de mon pays, et par coeur...
C'est enfin la pause bienvenue à deux heures,
nous sortons faire quelques pas sur les gros pavés usés,
c'est le royaume du silence dans le port déserté,
je vais m'asseoir sur le bord du quai un petit moment
de là j'aperçois la masse sombre d'un gros batiment,
je le reconnais bien, c'est le Ville d'Alger surlequel
j'ai fait de belles traversées avec ma famille vers Marseille.
Derrière la compagnie Schiaffino je devine les hangars de la Pêcherie,
ici, au retour des chalutiers, une grande animation commençera à la fin de la nuit.
Mon regard se perd dans cette sombre mais belle harmonie,
pas pour longtemps car la lune étale sur l'eau son reflet argenté
à peine voilée par une légère brise qui vient de se lever
alors que dans le ciel profond des étoîles filent
en une course folle rejoindre les lumières de la ville,
c'est comme si l'âme d'Alger se mettait à briller
dans un écrin plein d'inépuisables beautés.
Mais bientôt il faut reprendre le tri et je dois m'arracher à ce spectacle,
je rentre, et je me retrouve vers le Djurdjura comme par miracle,
le rythme est soutenu dans une ambiance pleine de gaieté
jusqu'au petit matin où les casiers sont vides et le courrier expédié,
maintenant je commence à être un peu fatigué...
Mais une fois dehors comme par enchantement, le spectacle a changé,
les premiers rayons de soleil butent en ce beau matin
sur les hauteurs d'Alger du haut de la Kasbah jusqu'au Tagarins,
la lumière descends rapidement et c'est magique
de voir s'éclairer les arcades du boulevard de la République
ainsi que la belle façade de la Préfecture, rayonnante de blancheur.
Je reste là à regarder la belle cité sortir de sa torpeur
mais un postier me tire gentiment de ma méditation,
c'est en effet lui qui doit me ramener à la maison,
il habite près de chez moi du côté des rues Larrey et Cardinal Verdier,
nous partons aussitôt dans sa belle simca aronde, et arrivés dans le quartier
qui commence à se réveiller, il me dépose au bas de la rue Réaumur.
Je tombe de sommeil après cette nuit un peu dure,
maintenant j'ai autre chose à faire que de rêver,
et je m'endors vite avec en tête cette sublime image d'Alger
se levant sous les premières lueurs du jour,
je voudrais me persuader que cela durera toujours...
Robert VOIRIN, du 5 Rue Réaumur.
Le : 28/08/2007 19:37
ginette bonsoir
j'ai repondu a votre message mais l'email a ete rejete.....essayez de reprendre contact
j'ai repondu a votre message mais l'email a ete rejete.....essayez de reprendre contact
Le : 28/08/2007 19:08
hello je suis de belcourt je suis allee a l'ecole aumerat et ensuite a l'ecole St bonnaventure
au champ de manoeuvre j'aimerai retrouver des amies qui sont allees dans ses ecoles
annee 1952 a 1959 ecole aumerat ensuite 1959 a 1962 a st bonnaventure ou j'etais
pensionnaire j'ai eu des bon momemts dans ces deux ecoles nom de jeune fille
grimalt j'avais deux freres a bientot peut etre de lire une reponse positive bye bye
au champ de manoeuvre j'aimerai retrouver des amies qui sont allees dans ses ecoles
annee 1952 a 1959 ecole aumerat ensuite 1959 a 1962 a st bonnaventure ou j'etais
pensionnaire j'ai eu des bon momemts dans ces deux ecoles nom de jeune fille
grimalt j'avais deux freres a bientot peut etre de lire une reponse positive bye bye
Le : 28/08/2007 12:39
monique bonjour
je vous ai repondu par l'intermediaire de votre email.j'attends avec impatience votre reponse....en esperant que mes recherches ont abouties a quelque chose
j'en profite pour renouveller avec combien de plaisir je parcours tous les jours ce super site ....je revis tous ces beaux moments de ma jeunesse passes a saint eugene et aussi a babel oued ou mon papa coiffeur travallait et la rue d'isly ou mon oncle tenait le grand magasin de vaisselle et jouets
a tous les pn un grand bonjour d'israel ou beaucoup de pn vivent ici car ce pays nous rappelle l'algerie......
je vous ai repondu par l'intermediaire de votre email.j'attends avec impatience votre reponse....en esperant que mes recherches ont abouties a quelque chose
j'en profite pour renouveller avec combien de plaisir je parcours tous les jours ce super site ....je revis tous ces beaux moments de ma jeunesse passes a saint eugene et aussi a babel oued ou mon papa coiffeur travallait et la rue d'isly ou mon oncle tenait le grand magasin de vaisselle et jouets
a tous les pn un grand bonjour d'israel ou beaucoup de pn vivent ici car ce pays nous rappelle l'algerie......
Le : 28/08/2007 11:21
rectifier est-ce faire de la polémique?Sans celà c'est de la censure
Tino ROSSI est venu aux Messageries chez les propriétaires de l'Olympic Marie et François RACIS
Le tenor "DOUKHARI" etait un baryton;grand amateur de chant ,fils de KHADOURI,le marchand de melons qui s'installait à la saison en face du 8 rue de la Consolation
Raymond TORTORA faisait partie d'un groupe vocal,hebergé avenue Durando par un monsieur s'appelant SEGUI
Ce groupe devait monter à l'epoque déjà une comédie musicale dont Raymond devait tenir le rôle principal-
Pour des raisons inconnues des chibanis de l'époque ,le spectacle ne put se monter et fut abandonné-le synopsis ayant été écrit
Dommage pour Raymond,pour Bab El Oued
Tino ROSSI est venu aux Messageries chez les propriétaires de l'Olympic Marie et François RACIS
Le tenor "DOUKHARI" etait un baryton;grand amateur de chant ,fils de KHADOURI,le marchand de melons qui s'installait à la saison en face du 8 rue de la Consolation
Raymond TORTORA faisait partie d'un groupe vocal,hebergé avenue Durando par un monsieur s'appelant SEGUI
Ce groupe devait monter à l'epoque déjà une comédie musicale dont Raymond devait tenir le rôle principal-
Pour des raisons inconnues des chibanis de l'époque ,le spectacle ne put se monter et fut abandonné-le synopsis ayant été écrit
Dommage pour Raymond,pour Bab El Oued
Le : 27/08/2007 09:06
bonjour à tous
samedi 15 septembre 2007 à 10h30
chemin de la batterie basse
le mourillon toulon 83
aura lieu la cérémonie inaugurale de réhabilitation DE LA CHAPELLE NOTRE DAME DU CAP FALCON et du mémorial des cimetières ALGERIE MAROC TUNISIE
participation de la marine nationale
programme
10h30 rassemblement devant le monument aux morts des marins procession
11 h messe avec monseigneur rey assisté de l'évèque jean yves molinas, animée par la musique des équipages de la flotte
dévoilement de la plaque du souvenir
bénédiction des vitraux et de l'arbre de vie
soyons nombreux
samedi 15 septembre 2007 à 10h30
chemin de la batterie basse
le mourillon toulon 83
aura lieu la cérémonie inaugurale de réhabilitation DE LA CHAPELLE NOTRE DAME DU CAP FALCON et du mémorial des cimetières ALGERIE MAROC TUNISIE
participation de la marine nationale
programme
10h30 rassemblement devant le monument aux morts des marins procession
11 h messe avec monseigneur rey assisté de l'évèque jean yves molinas, animée par la musique des équipages de la flotte
dévoilement de la plaque du souvenir
bénédiction des vitraux et de l'arbre de vie
soyons nombreux