Liste des messages
Le : 04/09/2007 14:54
Alors!sieur Michel Such,les épines elles te sont restées en travers de la gorge?
Malgré la BAFANNE,les vagues,les méduses,Marc et moi dans la baie de LaCiotat,
en rigolant,avec les fourchettes de son argentier ( Guy de Grene) ont à fait vite vite
10 douzaines d'oursins.1heure aprés (à13h) avec son epouse sur le balcon ont les à
manger avec la petite cuillére (Guy de Grene)
D'accord pour la fougasse il y en avait Makache
Par contre le petit doigt farçi d'épinesn'était pas en l'air il faisait Gantcho
Comme ils étaient plein à bloc et meme laiteux,le rosé de CASSIS.....
Ma parole tu baves ? Allez quand tu veux je te régale
En attendant va te jetter au KASSOUR. AMICALEMENT. GUY
Malgré la BAFANNE,les vagues,les méduses,Marc et moi dans la baie de LaCiotat,
en rigolant,avec les fourchettes de son argentier ( Guy de Grene) ont à fait vite vite
10 douzaines d'oursins.1heure aprés (à13h) avec son epouse sur le balcon ont les à
manger avec la petite cuillére (Guy de Grene)
D'accord pour la fougasse il y en avait Makache
Par contre le petit doigt farçi d'épinesn'était pas en l'air il faisait Gantcho
Comme ils étaient plein à bloc et meme laiteux,le rosé de CASSIS.....
Ma parole tu baves ? Allez quand tu veux je te régale
En attendant va te jetter au KASSOUR. AMICALEMENT. GUY
Le : 04/09/2007 14:48
Salut BEO
A mon tour ,Av Malakoff à partir de l'arrét de bus ou se trouvait un petit débit de tabac,on rencontrait en remontant vers la piscine el ketani ds l'ordre,les 3 bars qui se succédaient les ondines tenues par M. Mélé,pus le café du pont ,puis l'aurore ,siège du CCBO,tenu par Coco Cerdan,(Un parent), puis un coiffeur tenu par Médioni Roland (un voisin et ami) et ensuite le réparateur de moto Moudjebeur aprés la mémoire me joue des tours ,mais il faut dire que pour ns aprés le Majestic, c'était l'étranger.....A vous Tchao GG
A mon tour ,Av Malakoff à partir de l'arrét de bus ou se trouvait un petit débit de tabac,on rencontrait en remontant vers la piscine el ketani ds l'ordre,les 3 bars qui se succédaient les ondines tenues par M. Mélé,pus le café du pont ,puis l'aurore ,siège du CCBO,tenu par Coco Cerdan,(Un parent), puis un coiffeur tenu par Médioni Roland (un voisin et ami) et ensuite le réparateur de moto Moudjebeur aprés la mémoire me joue des tours ,mais il faut dire que pour ns aprés le Majestic, c'était l'étranger.....A vous Tchao GG
Le : 04/09/2007 14:28
Pres de l'Hôpital Maillot ,ongeant le Bd de Champagne,en sous-sol,etaient les Ets DJIAN,employaient une 20aine de confectionneuse
A l'angle Avenue Durando,rue Franklin,les Ets Hannoun employaient des ouvrieres en confection
A Bab El Oued, je ne sais où,un patron de nationalité suisse,employait des ouvrieres des Messageries à decortiquer les bouquets cuits,qui etaient rangés et emballés dans du papier alu,caissettes et expediés de nuit,par avion, chez quelques restaurateurs parisiens-J'enverrai la photo des ouvrieres de cet atelier
A l'angle Avenue Durando,rue Franklin,les Ets Hannoun employaient des ouvrieres en confection
A Bab El Oued, je ne sais où,un patron de nationalité suisse,employait des ouvrieres des Messageries à decortiquer les bouquets cuits,qui etaient rangés et emballés dans du papier alu,caissettes et expediés de nuit,par avion, chez quelques restaurateurs parisiens-J'enverrai la photo des ouvrieres de cet atelier
Le : 04/09/2007 14:28
Pres de l'Hôpital Maillot ,ongeant le Bd de Champagne,en sous-sol,etaient les Ets DJIAN,employaient une 20aine de confectionneuse
A l'angle Avenue Durando,rue Franklin,les Ets Hannoun employaient des ouvrieres en confection
A Bab El Oued, je ne sais où,un patron de nationalité suisse,employait des ouvrieres des Messageries à decortiquer les bouquets cuits,qui etaient rangés et emballés dans du papier alu,caissettes et expediés de nuit,par avion, chez quelques restaurateurs parisiens-J'enverrai la photo des ouvrieres de cet atelier
A l'angle Avenue Durando,rue Franklin,les Ets Hannoun employaient des ouvrieres en confection
A Bab El Oued, je ne sais où,un patron de nationalité suisse,employait des ouvrieres des Messageries à decortiquer les bouquets cuits,qui etaient rangés et emballés dans du papier alu,caissettes et expediés de nuit,par avion, chez quelques restaurateurs parisiens-J'enverrai la photo des ouvrieres de cet atelier
Le : 04/09/2007 14:15
A Merzak et Sauveur
Concernant les manufactures de tabacs outre les tabacs du GLOBE (rue Lavoisier où travaillait la soeur de ma mère), il ne faut pas oublier l'usine BASTOS, au dessus de la place Desaix, rue Mizon..... je crois), plus l'usine MELIA, rue Léon Roches (où travaillait ma mère).
Dans les "entreprises" il faut aussi ajouter l'usine de LA LIMONADE DéDé (concurente de HAMOUD BOUALEM du Ruisseau. Ah.....LE SELECTO !)
Amitiés
Freddy
Concernant les manufactures de tabacs outre les tabacs du GLOBE (rue Lavoisier où travaillait la soeur de ma mère), il ne faut pas oublier l'usine BASTOS, au dessus de la place Desaix, rue Mizon..... je crois), plus l'usine MELIA, rue Léon Roches (où travaillait ma mère).
Dans les "entreprises" il faut aussi ajouter l'usine de LA LIMONADE DéDé (concurente de HAMOUD BOUALEM du Ruisseau. Ah.....LE SELECTO !)
Amitiés
Freddy
Le : 04/09/2007 13:41
je reprends mon message car j'ai du faire une sottise!
à l'angle de la rue colmar(là ou ce trouvait la fameuse pierre de ma grand-mère)il y avait à l'époque une échoppe de cordonnier ou il sentait bon le cuir et odeur de cirage.en face
de la pierre se trouvait la fabrique du tabac du globe et de l'autre coté la synaguoge avec pour concierge la famille bentolila.dans son prolongement l'école sigwalt chère a notre coeur.à l'angle de la rue lavoisier-dijon ily avait le caviste m.papalardo qui nous vendait de la glace(qui nous "brulait" les mains jusqu'à la maison).sur l'autre coté de la rue il y avait un dispensaire ou nous éleves de sigwalt allions à la visite obligatoire,aprés lui ,la cantine de l'école ou on nous passait les vieux films muets(charlot,le kid..etc).
plus haut la rue des lavandieres coupait la rue de dijon ( rue de chez "moussa" et de l'ecurie ou officiait le marechal ferrant.
je vais arreter là mes souvenirs car je fais de plus en plus de sottises et je passe le relai à quelqu'un d'autre.
amicalement /jph"papi"
à l'angle de la rue colmar(là ou ce trouvait la fameuse pierre de ma grand-mère)il y avait à l'époque une échoppe de cordonnier ou il sentait bon le cuir et odeur de cirage.en face
de la pierre se trouvait la fabrique du tabac du globe et de l'autre coté la synaguoge avec pour concierge la famille bentolila.dans son prolongement l'école sigwalt chère a notre coeur.à l'angle de la rue lavoisier-dijon ily avait le caviste m.papalardo qui nous vendait de la glace(qui nous "brulait" les mains jusqu'à la maison).sur l'autre coté de la rue il y avait un dispensaire ou nous éleves de sigwalt allions à la visite obligatoire,aprés lui ,la cantine de l'école ou on nous passait les vieux films muets(charlot,le kid..etc).
plus haut la rue des lavandieres coupait la rue de dijon ( rue de chez "moussa" et de l'ecurie ou officiait le marechal ferrant.
je vais arreter là mes souvenirs car je fais de plus en plus de sottises et je passe le relai à quelqu'un d'autre.
amicalement /jph"papi"
Le : 04/09/2007 13:25
A Merzak et Rachid.
Ma mère ,mes frères ,soeurs et moi, sommes infiniment touchés de la sympathie que vous avez bien voulu nous témoigner dans cette douloureuse épreuve. Soyez en remerciés.
Excusez pour le retard que nous avions pris à répondre.
Ma mère ,mes frères ,soeurs et moi, sommes infiniment touchés de la sympathie que vous avez bien voulu nous témoigner dans cette douloureuse épreuve. Soyez en remerciés.
Excusez pour le retard que nous avions pris à répondre.
Le : 04/09/2007 13:08
Salut Papi
Tu parles des Ets. PHENIX
En ce qui concerne la cantine scolaire(fâce au magasin de"farces et attrapes) citée par les filles de Dijon, elle était tenue par Mme Caramante Marie,une des filles Castellano et tante d'un copain de classe,que je salue en passant, Lucido.
Tu parles des Ets. PHENIX
En ce qui concerne la cantine scolaire(fâce au magasin de"farces et attrapes) citée par les filles de Dijon, elle était tenue par Mme Caramante Marie,une des filles Castellano et tante d'un copain de classe,que je salue en passant, Lucido.
Le : 04/09/2007 12:55
salut à vous tous,
dans le cadre du souvenir,je peux egalement apporter une pierre à l'édifice et si ma mémoire me fait dèfaut il y a bien quelqu'un qui rectifiera.
je me souviens,
des annèes 41 à 53 , de la rue colmar ou je suis né mais egalement des rues adjacentes.
je vais commencé par le bvd champagne d'ou demarrait la rue de colmar.ce bvd a vue
tous les gamins du coin faire de la carriole(objet que nous fabriquions avec des planches de bois de récupération et de roulements que nous allions mendier chez les garagistes).
nous remontions le bvd "accrochés"aux camions qui remontaient vers la carriere jobert et nous le redescendions depuis l'hopital maillot nous grisant de vitesse alors que nous n'avions pas de frein.inconscience d'enfant
je me souviens de la rue riego, de sa menuiserie(devenue plus tard un garage),de sa fabrique de tonneaux (et du coup de main de ces tonneliers pour manipuler ces grosses
barriques),des hangars avec des immenses cuves qui stokaient le vin et enfin de la fontaine ou venaient s'abreuver les ânes chargés de lourds paniers rempli de sable pris aux bains de chevaux.cette rue remontait jusqu'à la rue du dey( il y avait des escaliers en prolongement),il y avait également une petite épicerie à l'angle lavoisier-riego(face à la fontaine).
je me souviens de la rue de dijon,des ruines (sur lesquels à été battie l'ecole des filles)ou
nous jouions aux gendarmes et aux voleurs et autres jeux de garçons.entre le n°1 de cette rue et l'angle de la
dans le cadre du souvenir,je peux egalement apporter une pierre à l'édifice et si ma mémoire me fait dèfaut il y a bien quelqu'un qui rectifiera.
je me souviens,
des annèes 41 à 53 , de la rue colmar ou je suis né mais egalement des rues adjacentes.
je vais commencé par le bvd champagne d'ou demarrait la rue de colmar.ce bvd a vue
tous les gamins du coin faire de la carriole(objet que nous fabriquions avec des planches de bois de récupération et de roulements que nous allions mendier chez les garagistes).
nous remontions le bvd "accrochés"aux camions qui remontaient vers la carriere jobert et nous le redescendions depuis l'hopital maillot nous grisant de vitesse alors que nous n'avions pas de frein.inconscience d'enfant
je me souviens de la rue riego, de sa menuiserie(devenue plus tard un garage),de sa fabrique de tonneaux (et du coup de main de ces tonneliers pour manipuler ces grosses
barriques),des hangars avec des immenses cuves qui stokaient le vin et enfin de la fontaine ou venaient s'abreuver les ânes chargés de lourds paniers rempli de sable pris aux bains de chevaux.cette rue remontait jusqu'à la rue du dey( il y avait des escaliers en prolongement),il y avait également une petite épicerie à l'angle lavoisier-riego(face à la fontaine).
je me souviens de la rue de dijon,des ruines (sur lesquels à été battie l'ecole des filles)ou
nous jouions aux gendarmes et aux voleurs et autres jeux de garçons.entre le n°1 de cette rue et l'angle de la