Liste des messages
Le : 05/09/2007 23:21
a jean françois. je voulais ajouter quelques noms de sigwalt à ceux que tu as cité : le maitre un peu blond je crois que c'était M. Mans, un amateur de hand ball qui nous obligeait à en jouer nous qui n'aimions que le foot. ensuite biensur M. Toubiana, le marrant, et M. Serror, le sévère. tu a cité chicheportiche, s'agit il de celui qui habitait au 72 bis avenue malakoff, près de la glissade. a plus. djamel
Le : 05/09/2007 20:11
Pour Antoine Billota
Le Maire de Bab El Oued(BALZANO) vient d'appeler à l'instant: Le Bar en question était la Brasserie des 5 Avenues de Mr.Francois Vicente,qui avait 2 filles et 1 garcon(Siskette aujourd'hui décédé). Et l'autre Bar c'était Le Chantal.
Bonne soirée
Tamene Merzak.
Le Maire de Bab El Oued(BALZANO) vient d'appeler à l'instant: Le Bar en question était la Brasserie des 5 Avenues de Mr.Francois Vicente,qui avait 2 filles et 1 garcon(Siskette aujourd'hui décédé). Et l'autre Bar c'était Le Chantal.
Bonne soirée
Tamene Merzak.
Le : 05/09/2007 18:53
Cerf volant Suite
Et oui,il y avait tellement de vent sur une surface surdimentionnée que notre chef d'oeuvre n'a pas vécu plus d'une minute ,la ficelle a cassé et nous avons regardé tomber en pleine mer notre réve .Nous fumes la risée des mioches du quartier,nous sommes vite rentrer à la maison,confus mais contents d'avoir fait le plus joli cerf volant du quartier.
Conclusion:BEO n'a rien à envier à RIO n'est ce pas Mustapha?
Epilogue:S'il avait volé normalement,cette historette ne serait pas restée en mémoire ,
J'aurais été privé de la joie de vs la conter aujourd'hui .TCHAO A+++ GG
Et oui,il y avait tellement de vent sur une surface surdimentionnée que notre chef d'oeuvre n'a pas vécu plus d'une minute ,la ficelle a cassé et nous avons regardé tomber en pleine mer notre réve .Nous fumes la risée des mioches du quartier,nous sommes vite rentrer à la maison,confus mais contents d'avoir fait le plus joli cerf volant du quartier.
Conclusion:BEO n'a rien à envier à RIO n'est ce pas Mustapha?
Epilogue:S'il avait volé normalement,cette historette ne serait pas restée en mémoire ,
J'aurais été privé de la joie de vs la conter aujourd'hui .TCHAO A+++ GG
Le : 05/09/2007 18:39
Bonjour à tous. Histoire de cerf volants
Mustapha Boucetta et moi aimions faire voler des petits capucins en révant d'avoir un VRAI GRAND cerf volant comme ceux qu 'on admirait le dimanche sur le terre plein près du stade Cerdan.
UN jour nous primes la décision d'en construire un,mais alors un si grand que les autres en baveraient d'envie...
Etape1:On monte à la Cara Moussa couper de bons roseaux,au passage on attrape 2 ou 3 Matchos,gros criquets verts que l' on faisait voler un fil à la patte.
Etape2: On casse la tirelire pour en extraire qq pièces de "cent sous" (5 anciens centimes) et ns voila partis chez Bloget et Cocoriri en quète du matériel.
Etape 3:Avec les conseils de mon papa la contruction savante démarre en investissant le couloir du 1 de la rue de Dijon (chez ns c'était trop petit),stucture hexagonale,ailes frangées comme les costumes des cow boys ,flèche aubanée,compas pyramidal,et longue queue équilibrée par un pompon multicolore: Une semaine pour creer cette BETE de course!... Qu'il était beau avec sa voilure aux couleurs du Galia ,les ailes du Mouloudia,la queue de l'OHD(A vous de vs rappeler...ou langue au chat ?).
Etape 4:Le jour J arrive,tout est au rendez vous,d'abord le vent,du terre plein vers El Kétani :Survol de la mer !(voir pour certains la photo en couleur d'accueil du site),puis les enfants du quartier ,Tous les passants nous regardaient porter ce monstre plus grand que nous et non sans fierté ns ralentissions l'allure comme au Corso fleuri jusqu'au lieu d'envol: le terre plein. Et hop....Patatra!...Suite ds qq instants PUB...Ne zaper pas...!...
Mustapha Boucetta et moi aimions faire voler des petits capucins en révant d'avoir un VRAI GRAND cerf volant comme ceux qu 'on admirait le dimanche sur le terre plein près du stade Cerdan.
UN jour nous primes la décision d'en construire un,mais alors un si grand que les autres en baveraient d'envie...
Etape1:On monte à la Cara Moussa couper de bons roseaux,au passage on attrape 2 ou 3 Matchos,gros criquets verts que l' on faisait voler un fil à la patte.
Etape2: On casse la tirelire pour en extraire qq pièces de "cent sous" (5 anciens centimes) et ns voila partis chez Bloget et Cocoriri en quète du matériel.
Etape 3:Avec les conseils de mon papa la contruction savante démarre en investissant le couloir du 1 de la rue de Dijon (chez ns c'était trop petit),stucture hexagonale,ailes frangées comme les costumes des cow boys ,flèche aubanée,compas pyramidal,et longue queue équilibrée par un pompon multicolore: Une semaine pour creer cette BETE de course!... Qu'il était beau avec sa voilure aux couleurs du Galia ,les ailes du Mouloudia,la queue de l'OHD(A vous de vs rappeler...ou langue au chat ?).
Etape 4:Le jour J arrive,tout est au rendez vous,d'abord le vent,du terre plein vers El Kétani :Survol de la mer !(voir pour certains la photo en couleur d'accueil du site),puis les enfants du quartier ,Tous les passants nous regardaient porter ce monstre plus grand que nous et non sans fierté ns ralentissions l'allure comme au Corso fleuri jusqu'au lieu d'envol: le terre plein. Et hop....Patatra!...Suite ds qq instants PUB...Ne zaper pas...!...
Le : 05/09/2007 18:22
Pour André TRIVES
Bravo! Et merci de nous avoir fait revivre avec toi cette journée mémorable à Lelièvre.
Et Bravo aussi à Momo pour ce voyages à travers le temps et les noms.
Tamene Merzak (Sigwalt)
Bravo! Et merci de nous avoir fait revivre avec toi cette journée mémorable à Lelièvre.
Et Bravo aussi à Momo pour ce voyages à travers le temps et les noms.
Tamene Merzak (Sigwalt)
Le : 05/09/2007 17:58
Hier 1° octobre 1951, c'était la rentrée des classes à Bab el Oued. J'ai quitté la maison du 4 rue des moulins, habillé sur mon 31, sous les recommandations protectrices de ma mère ponctué par un baiser d'adieu qui sonnait ma liberté retrouvée. J'ai remonté la rue d'un pas précipité portant le cartable encore allégé de l'an dernier; "il fera bien encore une année " m'avait rappelé mon père. Les commerces de la rue étaient ouverts et mon sourire renouvelé saluait les voisins qui m'avaient vu naître dans le magasin de vins de mes parents 10 ans auparavant. Il y avait Slimane et Omar les charbonniers, Abdel le restaurateur qui embaumait la rue dès 7 h en préparant sa loubia, Tolsa le chemisier, Vidal le chausseur, Mutti le coiffeur, les clients attablés au café de l'Etoile Blanche en dégustant un thé à la menthe, le laitier Nia et son petit lait apprécié des amateurs de l'aigre-doux, la boulangerie Garcia qui servait la calentita coulante dans un petit pain à 10 centimes avec brûlures de la bouche garanties,Morali le marchand de vêtements, Cohen l'épicier, et bien d'autres qui alimentaient les vitrines alléchantes de leur boutique.
A l'angle du marché, un jardin d'odeurs et de couleurs qui ressemble à une ruche d'abeilles au travail, j'ai accéléré le pas en empruntant la rue de Chateaudun, j'ai plaisanté avec Loukhal, le fils du marchand de poules avec qui je joue au foot dans l'équipe minime du Sporting. Enfin tout au bout, la Place Lelièvre avec son kiosque à musique surmonté d'un palmier donnant des cocosses sucrés jaunes orangés, m'a fait saliver de bonheur à l'idée des retrouvailles qui marquaient ce jour de rentrée.
Retrouver son école, sa classe, c'est retrouver l'école et la classe qu'avaient fréquenté nos parents. Retrouver les maîtres, c'est retrouver les enseignants de nos ainés. Retrouver les copains, c'est retrouver les parties de rigolade de l'année précédente.
Hier, pour cause de premier jour de rentrée, la place Lelièvre était calme; mais chacun pensait déjà à la saison des jeux qui enthousiasmerait l'école et le quartier au cours de l'année. Les parents présents calmaient leur progéniture, la partie de foot sera pour demain. Produit de l'imagination féconde de générations d'enfants, les jeux se calquaient sur les saisons avec des règles établies acceptées par tous et revenaient chaque année à la même période avec un mimétisme collectif ahurissant.
Dans toutes les écoles, dans toutes les rues, sur toutes les places, sur tous les trottoirs, dans toutes les cours d'immeubles de Bab el Oued, le quartier comptabilisera encore cette année des tonnes de noyaux d'abricot pour jouer au tas, des tonnes d'osselets de gigot, des tonnes de figurines de boîte d'allumettes pour jouer aux tchappes, des tonnes de balles fabriquées en chiffon ou en papier mouillé compactées d'une ficelle, pour jouer au foot, des roues de vélo usagées servant de cerceau, des carrioles bricolées de vieilles planches et dévalant les pentes sur leurs roulements à bille, des canouttes en roseau servant de sarbacane, des taouettes pour chasser les oiseaux, le jeu de la galette et du couteau, les capsules de sodas pour jouer aux déraillés, les sacs de billes pour jouer à tuisse, la terre glaise pour jouer à la coca, les toupies avec un gangui renforcé, le jeu du carré arabe, les 5 roseaux pour jouer au mikado, fanfan vingua pour les garçons, mère que veux-tu et la marelle pour les filles. Sans parler du jeu que les garçons proposent au filles: jouer au docteur. On peut dire que Bab el Oued possède la plus grande faculté de médecine en la matière.
En ce premier jour de classe, le rituel de chez "Coco et Riri" n'a pas changé. Une meute d'enfant harcelant les comptoirs du magasin et s'égosillant pour acheter juste avant d'entrer en classe: "Msieur une biberine", "Msieur un caramel Fausta", "Msieur un globo",
"Msieur un bonbon à 1 centime". Le tout s'ajoutant au tintamarre des pingfoots de l'arrière salle, on a l'impression d'une révolution mexicaine.
La cloche a sonné et Mr Nadal s'est pointé sur le parvis tout en tirant des bouffées de sa pipe légendaire pour calmer l'ardeur des enfants et faire respecter le tableau d'honneur des instituteurs morts pour la France situé dans le corridor d'entrée. L'appel s'est effectué dans la cour sous les panneaux de basket tandis qu'au premier étage, les cours complémentaires qui attisent notre curiosité, se sont alignés le long des classes. J'ai été dirigé dans la classe de Mr Foletti qui avait été le maître de mon frère Jean Claude et ma joie a été immense de constater l'équipe de copain qui m'accompagnait.
La journée est vite passée, un peu guindé dans mes vêtements et chaussures neufs. La sortie s'est faite dans l'alégresse de la liberté retrouvée. Avec la liste des fournitures il ne fallait pas perdre de temps: Bloger, Delacaze ou Réveil avenue de la Marne ont vite été pris d'assaut par des milliers de parents.
Après avoir recouvert les livres et les cahiers de papier bleu, puis écris mon nom sur les étiquettes à la plume sergent major, je me suis endormi en pensant à cette vie scolaire merveilleuse qui allait durer jusqu'au prochaines vacances.
A l'angle du marché, un jardin d'odeurs et de couleurs qui ressemble à une ruche d'abeilles au travail, j'ai accéléré le pas en empruntant la rue de Chateaudun, j'ai plaisanté avec Loukhal, le fils du marchand de poules avec qui je joue au foot dans l'équipe minime du Sporting. Enfin tout au bout, la Place Lelièvre avec son kiosque à musique surmonté d'un palmier donnant des cocosses sucrés jaunes orangés, m'a fait saliver de bonheur à l'idée des retrouvailles qui marquaient ce jour de rentrée.
Retrouver son école, sa classe, c'est retrouver l'école et la classe qu'avaient fréquenté nos parents. Retrouver les maîtres, c'est retrouver les enseignants de nos ainés. Retrouver les copains, c'est retrouver les parties de rigolade de l'année précédente.
Hier, pour cause de premier jour de rentrée, la place Lelièvre était calme; mais chacun pensait déjà à la saison des jeux qui enthousiasmerait l'école et le quartier au cours de l'année. Les parents présents calmaient leur progéniture, la partie de foot sera pour demain. Produit de l'imagination féconde de générations d'enfants, les jeux se calquaient sur les saisons avec des règles établies acceptées par tous et revenaient chaque année à la même période avec un mimétisme collectif ahurissant.
Dans toutes les écoles, dans toutes les rues, sur toutes les places, sur tous les trottoirs, dans toutes les cours d'immeubles de Bab el Oued, le quartier comptabilisera encore cette année des tonnes de noyaux d'abricot pour jouer au tas, des tonnes d'osselets de gigot, des tonnes de figurines de boîte d'allumettes pour jouer aux tchappes, des tonnes de balles fabriquées en chiffon ou en papier mouillé compactées d'une ficelle, pour jouer au foot, des roues de vélo usagées servant de cerceau, des carrioles bricolées de vieilles planches et dévalant les pentes sur leurs roulements à bille, des canouttes en roseau servant de sarbacane, des taouettes pour chasser les oiseaux, le jeu de la galette et du couteau, les capsules de sodas pour jouer aux déraillés, les sacs de billes pour jouer à tuisse, la terre glaise pour jouer à la coca, les toupies avec un gangui renforcé, le jeu du carré arabe, les 5 roseaux pour jouer au mikado, fanfan vingua pour les garçons, mère que veux-tu et la marelle pour les filles. Sans parler du jeu que les garçons proposent au filles: jouer au docteur. On peut dire que Bab el Oued possède la plus grande faculté de médecine en la matière.
En ce premier jour de classe, le rituel de chez "Coco et Riri" n'a pas changé. Une meute d'enfant harcelant les comptoirs du magasin et s'égosillant pour acheter juste avant d'entrer en classe: "Msieur une biberine", "Msieur un caramel Fausta", "Msieur un globo",
"Msieur un bonbon à 1 centime". Le tout s'ajoutant au tintamarre des pingfoots de l'arrière salle, on a l'impression d'une révolution mexicaine.
La cloche a sonné et Mr Nadal s'est pointé sur le parvis tout en tirant des bouffées de sa pipe légendaire pour calmer l'ardeur des enfants et faire respecter le tableau d'honneur des instituteurs morts pour la France situé dans le corridor d'entrée. L'appel s'est effectué dans la cour sous les panneaux de basket tandis qu'au premier étage, les cours complémentaires qui attisent notre curiosité, se sont alignés le long des classes. J'ai été dirigé dans la classe de Mr Foletti qui avait été le maître de mon frère Jean Claude et ma joie a été immense de constater l'équipe de copain qui m'accompagnait.
La journée est vite passée, un peu guindé dans mes vêtements et chaussures neufs. La sortie s'est faite dans l'alégresse de la liberté retrouvée. Avec la liste des fournitures il ne fallait pas perdre de temps: Bloger, Delacaze ou Réveil avenue de la Marne ont vite été pris d'assaut par des milliers de parents.
Après avoir recouvert les livres et les cahiers de papier bleu, puis écris mon nom sur les étiquettes à la plume sergent major, je me suis endormi en pensant à cette vie scolaire merveilleuse qui allait durer jusqu'au prochaines vacances.
Le : 05/09/2007 17:42
a antoine
quelle emotion et quelle joie d'avoir enfin decouvert un ancien pn de babel oued qui a rappele le salon de coiffure d'antoine festa....depuis tant de temps que j'attendais cette nouvelle....et pour cause mon papa {que d...repose son ame}a travaille chez lui pendant des annees.il etait connu sur son prenom charlot...il etait tres connu et surtout aupres de la communautee juive car a chaque bar mitsva{communion}on lui demandait de venir couper les cheveux a toute la famille...quels beaux souvenirs j'etais gosse mais il me prenait avec lui.nous habitions a saint eugene.
milles mercis antoine.
quelle emotion et quelle joie d'avoir enfin decouvert un ancien pn de babel oued qui a rappele le salon de coiffure d'antoine festa....depuis tant de temps que j'attendais cette nouvelle....et pour cause mon papa {que d...repose son ame}a travaille chez lui pendant des annees.il etait connu sur son prenom charlot...il etait tres connu et surtout aupres de la communautee juive car a chaque bar mitsva{communion}on lui demandait de venir couper les cheveux a toute la famille...quels beaux souvenirs j'etais gosse mais il me prenait avec lui.nous habitions a saint eugene.
milles mercis antoine.
Le : 05/09/2007 17:03
MERZAK ,
Tu as oublié dans ton fief , les Ets Vve Bertomieu fabricant les cigarettes Camélia Sport angle Avenue Malakoff et Bd de Champagne .
Pour ce qui concerne la brillantine avant que ne vienne Pento , il y avait Roja( bouteille bleue ou jaune de Forvil) , il y avait aussi en eau de cologne et de toilette :
5 Fleurs , Soir de Paris , Cuir de Russie, Pompeia , Habanita et naturellement Ploum Ploum , voyons !!! Je crois que c'était Zouai de la Place Lelièvre le fabricant ou dépositaire.
Qui se souvient aussi de l'accordéoniste aveugle qui vendait avec sa femme des partitions des "tubes" de l'époque à l'angle de Chetrit du Splendid Photo et de notre magasin , quand ils n'étaient de faction en face à l'angle de la pharmacie chez Marcel .
" je me souviens du "Facteur de Santa Cruz qui apparaissait à l'horizon et qui disait : Ohé les muchachos, j'apporte le courrier!!!"
N'est ce pas Jean Lou et toi Gisèle ?
A+ MOMO
Le : 05/09/2007 14:59
Au Cours Complémentaire Place LELIEVRE
je me souviens
de MASSE Directeur
GERMAIN, prof de mathématiques
SIMON ,prof de Français à l'ironie malicieuse
D'une dame professeur de dessin
de l'atelier de reliure
de PIEGTS,professeur d'Arabe Algerien,on apprenait cette langue dans le SOUALAH imprimé à Alger à la Typo Litho
Rares etaient à Alger,les imprimeries imprimant des livres scolaires:BACONNIER et la Maison des Livres (haut rue Dumont d'Urville-debut rue d'Isly et rue Martin.....)
je me souviens
de MASSE Directeur
GERMAIN, prof de mathématiques
SIMON ,prof de Français à l'ironie malicieuse
D'une dame professeur de dessin
de l'atelier de reliure
de PIEGTS,professeur d'Arabe Algerien,on apprenait cette langue dans le SOUALAH imprimé à Alger à la Typo Litho
Rares etaient à Alger,les imprimeries imprimant des livres scolaires:BACONNIER et la Maison des Livres (haut rue Dumont d'Urville-debut rue d'Isly et rue Martin.....)
Le : 05/09/2007 14:11
mes oncles jouaient (tambour et clairon) à l'Elan de BEO et à l'Etoile... Si des photos arrivaient sur le site...
michel
michel