Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Pour Francis Mélé

L'instituteur avec la prothèse c'est Mr. Benadji.Pourle CP (a et b) Mme Delrieu,et Melles Grieu et Boukaya.
Avec Mrs Pietri, Toubiana, Seror,et Cleroy,il y a Mr.Raynaud le Directeur, Mr Sala(mais où est passée Canisse?) Mr. Lievin n'est pas sur la photo,mais lui est resté à Alger aprés 1962,et tenait le magasin"Gentlemen" rue Michelet prés de La Grande Brasserie.
Je vous laisse continuer... Bonne journée.

Tamene Merzak

Forza SIGWALT

J’ai déjà eu l’occasion de voir les photos de nos anciens instits Sigwaliens , je saurais même y mettre quelques noms, mais ce serait du pompage intégral. Alors pour le fun je vous laisse réfléchir.
Antoine à raison, ce sont des documents plutôt rares qui méritent qu’on s’y arrête.
Et puisque les évènements nous ont aussi privés de la visite que nous aurions pu faire à ces braves enseignants. Rendons leurs ici l’hommage qu’ils méritent.

Personnellement et pour avoir surtout fréquenté la partie basse de l’école, je me rappelle bien de Mrs PIETRI, TUBIANA, SERROR, et de ce maitre Algérien qui avait une prothèse à une jambe et qui s’appelait ??? Je n’arrive pas non plus à me souvenir de la maitresse chez qui j’ai fait mon CP et dont la classe se situait face aux escaliers, légèrement sur la droite dans la partie qui nous servait de préau.
C’est vrai qu’à l’époque il m’arrivait d’être sur une autre planète et il y avait déjà tant de choses à retenir…
En revanche, il en est un qui m’aura laissé un souvenir impérissable, quelqu’un à qui je pense quelquefois avec beaucoup de reconnaissance pour ne pas dire d’affection. Un personnage bourré d’humour et de bons mots quelqu’un qui savait capter notre attention et stimuler notre intérêt. Tous les Sigwaliens, mais pas seulement, qui sont passés par LELIEVRE l’ont connu et apprécié.
Je me suis laissé dire qu’il est resté en Algérie après l’indépendance, qu’il à continué d’enseigner avec la même passion. L’état Algérien lui aurait rendu parait-il, un hommage très appuyé à l’occasion de son départ en retraite.
Alors, vrai ou faux ? J’aimerais beaucoup que nos amis Algériens nous parle de ce très cher Monsieur BENSIMON.

Amitiés à tous
Francis.

pour addadaine nacéra et tamène aziza, quel immence plaisir de vous retrouver j'en suis à cinq camarades de classe grace au site de christian que je remercie énormément, je ne peux rien dire de plus que de ce que vous avez raconté sur notre vécu dans le quartier, , qui se souvient de la cantine face à Mme papallardo , ou Mme marie était cuisinière , que nous élèves de l'école de Dijon et l'école Sigwalt , même les maitres d'école mangeaient à la même table .pour ne pas trop accaparer le site je vous ferez des mails.mes amitiés

Bonsoir Georges
Désolée,mais je n'ai pas reçu d'email,je l'avais demander à Assia ma soeur que tu as eu au téléphone. C'est Mustapha qui le lui avait communiqué, mais ce n'ai pas méchant je pourrai te joindre autrement. Comment vas-tu? Cela fait bien longtemps.Il a fallu qu'il y ait des circonstances malheureuses pour renouer les liens.Lorsque je suis dans la rubrique "messages", je me régale. Oh que oui, je me souviens des cerfs volants fabriqués avec des feuilles de papier de cahier,mais c'était beaucoup plus les garçons. Plus tard vous vous êtes perfectionnés et ils étaient beaucoup plus grands et plus beaux.
Te rappelles -tu de bambino? Confirmes-tu mes dires?Toi qui était plus âgé que nous, tu te rappelles de monsieur Popole qui habitait dans l'impasse où il y avait Jean-Claude et Mustapha qui allait réclamer la tété à sa mère de par derrière les barreaux. Que de bons souvenirs. Toutes ces fêtes que nous passions ensemble, Pâques, Noel,Jour de l'an,Ramadhan et Aid. J'ai pris des nouvelles par Assia qui était ravie de te parler ainsi qu'a
ta femme.Si tu passes par Paris fait moi signe.
De grosses bises à vous tous.

pour Michel Such
Le maitre M . Cleroy qui ta mis un calbote pendant le match de volley est en photo ds la rubrique photos d'école Sigwalt ,Photos d'instit.1950 deuxième en partant de la droite en haut,à coté de M .Serror sans chapeau cette fois ...Merci à Tony Billotta Tchao A++++GG

pour Nacera addadahihe
Bonsoir à tous.
As tu reçu mon mail du 30 -08 ?
Puisqu'il est question de Bambino ,je me souviens de lui aprés 45 ans d'oubli à la seule évocation de son nom ,comme quoi la mémoire de la prime jeunesse a qq chose d'indélébile.Ce jeune "chaouia" venu du djebel ds notre quartier était un peu le souffre douleur de quelques uns ,il ne parlait pas trés bien et aulieu de dire "je suis fatigué",il disait "je suis va t' chier" alors ,on le faisait courrir autour de l'ecole et ensuite on s'arrangeait pour qu'il dise à Mme Passareli la phrase qui ne manquait pas de déclencher un quiproquo digne de BEO.
Vouv souvenez vous des petits cerf volants uniquement construits par un savant pliage d'une feuille de cahier ,on les appelait les Capucins ,on les faisait voler sur le Bd Pitolet le dos à la mer ,ils allaient qq fois trés haut et loin à tel point qu'on en trouvait accrochés au fils electriques et aux cables du tram Av Malakoff.... Tchao A++++ GG

Bonsoir Aziza.
Toujours un plaisir à te lire,d'abord retrouver ses amies voir des soeurs d'enfance et les bons vieux souvenirs qui remontent à la surface. Tu parles de madame Papalardo; mes soeurs et moi nous nous disputions pour aller chercher le vin et la glace en bloc à madame Bosch notre voisine de palier,la grand-mère à Georgeos .Te souviens -tu de monsieur Popole,un vieil homme qui habitait une drôle de maisonnette dans l'impasse derrière la rue de Dijon? Tu m'as parlé de Abderrahmane et sa soeur Aicha,il me semble que Abderrahmane est mort alors que nous habitions le quartier.Sa soeur, je ne sais pas ce qu'elle est devenue.Pour les soeurs ketroussi plus de nouvelles depuis que nous avions quittés Bab - El-Oued en 1958 ou1959 car nous sommes allés à El Biar jusqu'à l'indépendance et sommes revenues sur Bab-El-Oued en1965 -1966.Aurions nous peut être par le biais d'internet des nouvelles ?
Aziza es-tu toujours à Alger? Moi, je suis en France depuis quelques années et si tu as l'occasion de passer n'hésite pas avec ta famille.Cela me fera enormement plaisir.
Sinon toute ma famille est encore à Alger.Si tu le souhaites,je peux te communiquer le numero de télephone de mes parents.
Donne moi des nouvelles de Zahida.
Je t'embrasse et te dit à bientôt.

Bonsoir à vous tous les Bab el Ouédiens,

Bonsoir Nacéra , merci pour ta recette de "Sfendj" beignets, merci pour ces souvenirs que tu relates au sujet de la synagogue à la rue de Dijon et crois moi que je revoyais le film de ces années là car j'ai moi-même ramassé le plus de dragées possible lors des mariages. Te souviens tu de Bambino et sa soeur Aicha ? De Marlène la fille de la concierge de la synagogue, de Francette qui était dans notre classe et qui habitait la rue Weimbrener , de Yolande HADJADJ de la rue Lavoisier, et j'en passe encore car je ne me souviens plus de leurs noms hélas !
Un souvenir qui restera gravé dans ma mémoire c'est bien les courses que je faisais à nos voisines "Mme MOSCATELO" , "Mme CERETTI", "Mme LUCAS Marie " dite Mme BEBERT et pour lesquelles je devais acheter presque tous les jours 1 litre de vin rouge chez Mme PAPALARDO à la rue de Dijon, quelle était ma joie ! Tout simplement pour lécher en cachette les bouchons des 3 ou 4 bouteilles et surtout pour connaitre le goût de ce breuvage !!! Croyez-moi , ce n'était pas si mauvais que ça.
Au passage je fais un grand coucou à mes amies et que je considère comme étant des soeurs "Les sisters KETROUSSI" , les "ADADAINE" que nous avons perdu de vue vers 1961, on aurait dû faire appel à Jacques PRADEL.
Mais il n'est jamais trop tard , la preuve en 2007 on se retrouve.
Elle n'est pas belle la vie ?
Dans l'espoir de retrouver d'autres anciennes copines, je vous souhaite à tous une bonne soirée.
Aziza

A MICHEL SUCH

Certaines de nos ménageres avaient l'habitude de fabriquer elles-mêmes la sauce tomate qui allait embaumer les macaronades dominicales
En saison,elles allaient au marché à l'ultime moment quand le marchand allait remballer sa marchandise-Celui ci préferait la vendre à bas prix pour s'(en débarasser :c'etait le scampolo
Arrivées à la maison,les tomates ,même meurtries étaient lavées et coupées en deux dans le sens de la largeur
Ces moitiés etaient mises à sécher sur le rebord des balcons-Apres dessication,on les passait au tamis de crin-La sauce recueillie etait embouteillée dans les bouteilles fermant par un etrier-La "sauce" se gardait assez peu,mais avec les feuilles du basilic semé dans un pot,et le parmesan à gratter ,la macaronade embaumait toute la cage d'escalier-Mais personne n'etait incommodé car c'etait le plat de la majorité des habitants de l'immeuble