Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Quand on tire sur le fil de la pelote..........mnésique disait un intervenant

Rue Koechlin,rue perpendiculaire à MONCINE , avant 1943,on y distribuait une soupe populaire,entre cette date et 1954,quel est le journal qui avait à cet endroit une imprimerie?
sur les marches de l'Ecole d'Infirmieres,angle rue des Messageries et rue de la consolation s'installait parfois un marchand de vroc et rape,parfois un marchand de figes de Barbarie qu'il decoupait lui même afin de les offrir a ses clients -Mais il fallait faire attention aux fruits dits à bouchon
Dans la rue Barra ou Montaigne existait un fabriquant de sommier,pas de ces sommiers que l'on rencontre de ce côté-ci de la Médierranée,des sommiers à nappage de fils d'acier qui se tendait en serrant des ecrous situés en tête de sommier

Pour Merzak
Tu as raison dans le liste des instits, j'ajouterai
M. Chicheportiche en CP avec de grosses lunettes
M. Pietri en CE1, il nous apprit les chansons corses & les tables de multiplication avec la règle qui tombait sur nos mains tendues, lorsque l'on savait pas.
M Benadji en CE2 avec sa prothèse
A l'étage, ca y est on roule les mécaniques, ont est grands...
CM1, un instit blond dont je ne me souviens plus du nom.
M. Tubiana en CM2 , il faisait aussi directeur, j'ai connu son prédécesseur, il me semble que c'est M. Raynaud, mais je dois me tromper.
Je me souviens du remplissage des encriers avec l'encre violette. Puré ! quand on en avait sur les doigts. Et ces plumes sergent-major. J'admirais ces instits qui écrivaient à la craie, avec des pleins et déliés au tableau. Je n'étais pas capable d'en faire autant sur mes cahiers. Et la corvée pour couvrir les livres. Tant de souvenirs.

A Nacéra,
je vous ai répondu , mais le message m'est revenu, mauvaise adresse, pouvez-vous confirmer votre e-mail ?
A bientôt

Quand les affluents confluent..: c'est ce que m'inspire la lecture de vos messages qui réveillent en nous les plus inattendus, souvent les plus cocasses. Ainsi, je me souviens que, lorsque ma mère me donnait des sous, en toutes petites pièces, pour la messe du dimanche, je trouvais que cela faisait beaucoup pour le curé....Alors,malgré mes remords et le pêché mortel?, j'en gardais la moitié pour moi et j'allais m'acheter un petit soldat ou parfois un cavalier (ça, c'était quand je prélevais un peu plus que la moitié... même qu'à confesse ça me faisait le double de "pater noster" et de "je vous salue Marie") dans un tout petit magasin, à droite en montant l'avenue des Consulats, après la rue de Nancy...Ce petit bazar était tenu par une vieille dame qui y vendait toutes sortes de petits jouets : qui s'en souvient? Comme du photographe Gadéa, rue du Roussillon, après la boulangerie Company et l'épicerie.....?
Et pour les anciens de Bugeaud, qui savait qu' un de nos profs de gym, M.Chambon demeurait rue de Chateaudun, face au marché couvert?

Mme CARANANTE Marie et non Caramante, Pas bonne échape, Lucido,

Alors!sieur Michel Such,les épines elles te sont restées en travers de la gorge?
Malgré la BAFANNE,les vagues,les méduses,Marc et moi dans la baie de LaCiotat,
en rigolant,avec les fourchettes de son argentier ( Guy de Grene) ont à fait vite vite
10 douzaines d'oursins.1heure aprés (à13h) avec son epouse sur le balcon ont les à
manger avec la petite cuillére (Guy de Grene)
D'accord pour la fougasse il y en avait Makache
Par contre le petit doigt farçi d'épinesn'était pas en l'air il faisait Gantcho
Comme ils étaient plein à bloc et meme laiteux,le rosé de CASSIS.....
Ma parole tu baves ? Allez quand tu veux je te régale
En attendant va te jetter au KASSOUR. AMICALEMENT. GUY

Salut BEO
A mon tour ,Av Malakoff à partir de l'arrét de bus ou se trouvait un petit débit de tabac,on rencontrait en remontant vers la piscine el ketani ds l'ordre,les 3 bars qui se succédaient les ondines tenues par M. Mélé,pus le café du pont ,puis l'aurore ,siège du CCBO,tenu par Coco Cerdan,(Un parent), puis un coiffeur tenu par Médioni Roland (un voisin et ami) et ensuite le réparateur de moto Moudjebeur aprés la mémoire me joue des tours ,mais il faut dire que pour ns aprés le Majestic, c'était l'étranger.....A vous Tchao GG

Pres de l'Hôpital Maillot ,ongeant le Bd de Champagne,en sous-sol,etaient les Ets DJIAN,employaient une 20aine de confectionneuse
A l'angle Avenue Durando,rue Franklin,les Ets Hannoun employaient des ouvrieres en confection
A Bab El Oued, je ne sais où,un patron de nationalité suisse,employait des ouvrieres des Messageries à decortiquer les bouquets cuits,qui etaient rangés et emballés dans du papier alu,caissettes et expediés de nuit,par avion, chez quelques restaurateurs parisiens-J'enverrai la photo des ouvrieres de cet atelier

Pres de l'Hôpital Maillot ,ongeant le Bd de Champagne,en sous-sol,etaient les Ets DJIAN,employaient une 20aine de confectionneuse
A l'angle Avenue Durando,rue Franklin,les Ets Hannoun employaient des ouvrieres en confection
A Bab El Oued, je ne sais où,un patron de nationalité suisse,employait des ouvrieres des Messageries à decortiquer les bouquets cuits,qui etaient rangés et emballés dans du papier alu,caissettes et expediés de nuit,par avion, chez quelques restaurateurs parisiens-J'enverrai la photo des ouvrieres de cet atelier

A Merzak et Sauveur
Concernant les manufactures de tabacs outre les tabacs du GLOBE (rue Lavoisier où travaillait la soeur de ma mère), il ne faut pas oublier l'usine BASTOS, au dessus de la place Desaix, rue Mizon..... je crois), plus l'usine MELIA, rue Léon Roches (où travaillait ma mère).
Dans les "entreprises" il faut aussi ajouter l'usine de LA LIMONADE DéDé (concurente de HAMOUD BOUALEM du Ruisseau. Ah.....LE SELECTO !)
Amitiés
Freddy