pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 
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Liste des messages

De : Perez Linda LEchadoEnvoyer un mail

Le : 09/09/2007 10:58

Bonjour ma soeur et bon dimanche a toutes et tous,
Toi a Chicago moi a Denia, je n avais pas vu ton message, bien sur moi aussi je te kiss tres tres fort, ainsi qu a mes nieces et neveux, j espere avoir de tes nouvelles assez rapidement, muchos besitos a todos.
Merci encore Christian de pouvoir me donner la possibilite de joindre ma soeur par ton intermediaire.

 

De : perez linda lechadoEnvoyer un mail

Le : 09/09/2007 10:48

ah! Michel,
Les matelas c etait toute une epopee, nous montions a la terrasse pour defaire ces fameux matelas, ensuite nous lavions la laine, la faisions secher, c etait un jeu mais un grand coup de main a notre maman, ensuite je me souviens de monsieur Fernandez Vincent dit "la mule" c etait comme ca que mon pere le surnommait, venait avec son employe "Bamboula" et il secouaient cette laine avec une grande tige de fer et nous faisaient un matelas sur mesure, je crois que c etaient les meilleurs pour cela, quel souvenir vous venez de me rappeler.
Merci Christian c est formidable de lire tout cela, ne changer rien a vos habitudes, merci

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 09/09/2007 10:26

et les matelas... changer, la toile, laver la laine, la sécher, la peigner, recoudre la toile et former les boudins tout autour... qui se souvient? Bonne nuit
Michel

 

De : etoileEnvoyer un mail

Le : 09/09/2007 09:41

Bon Dimanche à BEO, Papa étant coiffeur, c'est le lundi que nous avions la buanderie et la terrase, une fois les serviettes et les blouses du salon lavées, c'était nous qui allions dans les bacs , ensuite sur la terrasse pour nous sécher , linges et têtes, ma soeur me faisait des tresses, et le lendemain j'avais de belles frisettes, je crois que nous avons tous vécus les mêmes situations, et à chaque lecture, je dis mais oui moi aussi j'ai fais ceçi et celà, que du bonheur, et je raconte à mes enfants et petits enfants tous ces souvenirs. Amicalement etoile

 

De : andree atlanEnvoyer un mail

Le : 09/09/2007 09:09

bonjour a tous
quel regal de vous lire a tous .Nacera parle du linge que nous etendions avec une corde et un manche a balai a la maison c'est comme ça qu'on etendait notre linge .Pour laver le linge dans le batiment ou j'habiter nous avions droit je crois 2 fois par mois les cles de la buanderie qui se trouve sur la terrasse des batiments et la pour nous c'etait la fete car toute les filles du batiment montees Nous lavions notre linge dans les grands bassins avec la planche et une grosse brosse ont frottes le linge et avec du savon de marseille .Nous mettions a tremper les draps dans les bassins et ensuite ont montes et ont tapes avec nos pieds pour laver les draps qui ensuite etaient mis a boullir . ont passes notre journee sur cette terrasse une vue magnifique alger etait a nous ça fait partie de notre vie .Nous gardions les cles 48h ,puis c'etait le tour de quelqu'un d'autre.
amitiees andree de la rue malakoff

 

De : vidal henriEnvoyer un mail

Le : 08/09/2007 20:53

En réponse à CHATAIN Alain,

Il s'agit d'une Allocation Supplémentaire de Retraite Complémentaire, pour la période d'activité en Algérie. Dossier GROUPAMA.
Une première Forclusion a eu lieu, au 31 Décembre 2003.
Puis, par les correspondances de nos compatriotes dont l'information n'avait pas été faite en temps voulu (certaints Pieds-Noirs étaient au courant depuis 1988, mais comme toujours, information non descendue à Tous!)
Le Gouvernement a ouvert de nouveau ces Dossiers jusqu'au 31 Décembre 2009.
Je suis le responsable de l'Amicale Nationale des Enfants de l'Algérois de Nîmes à Marseille et des BDR.
Pour des Renseignements de constitution de ce Dossier, je me tiens à votre entière disposition, tous les Jeudis matin, à ma permanence, à la Cité des Rapatriés, 496 rue Paradis, 13008 Marseille (face à la clinique Juge) téléphone 04 91 77 72 58. de 10 h à 12h.
Prévenez vos Familles et Amis compatriotes autour de vous.
A bientôt,
Henri VIDAL de Bab El Oued.(né en 1935, 7 rue Thuillier, Boulangerie de mes Parents)entre l'Avenue malakoff et la rue Rochambeau, près du Square Guillemin à 200 m des Bains Padovani et Matarese.

 

De : etoileEnvoyer un mail

Le : 08/09/2007 20:13

Bonsoir les BEO, que j'admire pour continuer à faire vivre nos petites anecdotes, je reverrais toujours mon Papa rentrer à la maison avec une énorme pastèque juchée sur la tête, et sans jamais tomber , mdr, en face de chez nous il y avait un moutchou on pouvait acheter la farine, le café, etc... au poid, et surtout les bonbons à la pièce, le dimanche à la sortie du cinéma c'est chez grosoli que nous allions pour déguster le créponné, 2 grosses boules , hum j'en rêve encore. Amicalement etoile

 

De : nacéraEnvoyer un mail

Le : 08/09/2007 16:32

Bonjour à vous
Il y avait le système de corde pour monter les commissions et aussi pour étendre le linge. Ma mère plaçait deux gros clous de part et d'autre de la fenêtre, elle attachait une corde
solide à ces deux clous ensuite elle étendait son linge et après avoir fini elle mettait un manche à balai au milieu en l'enfonçant dans un trou perçé dans le mur. Cela fait comme un triangle avec sa médiane. Je ne sais pas si ce système existe toujours mais on peut en voir à Naples en Italie.

 

De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 08/09/2007 07:43

Scene banale peut-être mais typique des Messageries
Monsieur revenant des courses,appelait sa moitié,celle-ci se mettant au balcon laisse glisser une corde au bout de laquelle etait accroché un couffin-Monsieur y mettait ses courses et le couffin remontait comme il etait descendu
Un monte-charge des plus simplifiés
Ce principe n'etait valable que pour les 3 premiers étages

 

De : such MichelEnvoyer un mail

Le : 07/09/2007 19:33

Pour Paule VELLA.
Désolé, mais alors là vraiment, Madame FERRARI, j'vois pas.
Chez nous, personne n'était malade inch'Allah Grâce à Dieu pour naître dans un établissement hospitalier, fusse-t-il une clinique.
Nous sommes tous nés dans le lit de ma grand-mère au N°4 de la rue François Serrano, anciennement Rue de la Vigie... et la Sage femme était Madame Smadja.
Alors on ouvre un compte sur le site à Christian que s'il existait pas... Quelle tristesse! On fait deux colonnes. Une pour FERRARI et une pour SMADJA. Mais à mon avis va y avoir d'autres colonnes et ça va être un compte assez difficile à tenir...
Par contre, sur le buffet de la salle à manger de ma mère à Béziers, il y a une photo de moi enfant, prise au Studio PETRUSA. J'ai 4 ou 5 ans et je suis photographié avec, à mes côtés, un petit chien de cuir. Alors là oui j'ouvre une liste. Combien d'entre nous sont passés par l'Oeil Objectif de Monsieur PETRUSA (j'espère ne pas écorcher son nom) et combien le sont avec le petit chien de cuir...
Y'a rien à gagner. Même pas l'orange confite perchée au sommet de mon rameau de roseau et de papier crépon que Castéra bénissait tout en maugréant
"Je sais Mon Dieu, ces rameaux, c'est tout d'une pratique païenne, mais regardez ces anges. Regardez comme y sont beaux... Et si ça les aide à mieux vous aimer? "" Oui, y'a rien à gagner parce que, je peux bien vous l'avouer maintenant, l'orange confite je l'ai mangée. J'ai toujours été un peu gourmand quand j'étais enfant.
Michel

 

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