pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Paul LE MOIGNEEnvoyer un mail

Le : 13/08/2019 21:02

Bonjour, je suis à la recherche de René Timoner qui a travaillé avec moi au garage Neubauer à Paris boulevard de la Somme à Paris 17eme dans les 68/70 en tant que mécanicien automobile. C'est lui qui m'a appris le métier.
Le connaissez vous ?
J'aimerai le retrouver s'il est encore de se monde.
Merci pour la réponse.

 

De : JungEnvoyer un mail

Le : 13/08/2019 19:57

Bonjour,
Je recherche des personnes qui auraient connu Edmond Charbit, né en 1931, ébéniste, et qui a quitté l’Algerie en 1962. Il a habité à Hussein Dey puis rue Soleillet.
Je suis notamment intéressée par des photos, des anecdotes.
Merci d’acance pour votre aide précieuse.

 

De : molines jeannineEnvoyer un mail

Le : 12/08/2019 20:07

bonjour je suis d’Alger que j'ai quitter en 62 j'ai 75 ans mais avec un caractère jeune
je me retrouve seule dans un petit village du Vaucluse
je ne conduit pas ce qui est plus triste et n’étant pas de ce village je n'aie pas d'amis
il doit bien avoir parmi vous une personne homme et femme être dans le mème cas que moi qui aimerais que l'on se rencontre pour parler sortir il y a tellement de chose que l'on peu faire
voila je jette ma bouteille a la mer comme on dit

 

De : MahaEnvoyer un mail

Le : 11/08/2019 09:20

Un grand MERCI pour vos messages de condoléances suite au décès de mon cher père Mokhtar Akchiche...un HOMME EXCEPTIONNEL avec un parcours digne des plus grands...le meilleur mari et papa au monde...la vie ne sera plus la même sans lui :-(
Il n'a jamais oublié l'amitié sincère de ses amis d'enfance pieds-noirs de Bab El Oued, notamment d'Edgard Bentolila, de Serge Christol, d'André KADOCH et tout particulièrement de Lucienne et André Beurrier, un couple d'une bonté sans limites.

Prenez tous bien soin de vous,

et repose en paix PAPUS.

 

De : Guy MARIEnvoyer un mail

Le : 11/08/2019 08:33

Le RIALTO a été transformé en un espèce de garage à véhicules de pompiers

 

De : sahinEnvoyer un mail

Le : 10/08/2019 23:08

Si quelqu'un a connu la famille BENSAHIN à Alger dans le quartier de Bab El oued, merci de me contacter : famille, amis ou voisins, connaissances.

 

De : Merzak Envoyer un mail

Le : 06/08/2019 11:38


Pour Tony Billotta.


Il y avait aussi La Perle, rue Livingstone, mais je m'efforce
de ne pas employer l'imparfait pour ces souvenirs, afin de ne
pas laisser penser qu'ils se seraient fanés ou gâtés.
Rarement, c'était le cinéma Mignon à Notre Dame.

Bonne journèe.
Merzak.




 

De : Christol SergeEnvoyer un mail

Le : 06/08/2019 10:39

Je tiens à remercier mon ami Edgar Bentolila de m'avoir averti de la
mort de notre ami d'enfance Moktar Ackchiche.Cela ma permis de presenter mes condoléances à son épouse par telephone.
C'est une profonde tristesse qui m'a envahie car malgré les tres nombreuses années qui nous ont séparés nous sommes toujours restés les amis que nous étions à l'école Franklin.
Repose en paix mon ami Mokhtar et que Dieu veille sur ta famille.

 

De : HenriEnvoyer un mail

Le : 06/08/2019 07:22


Merci Antoine pour ce souvenir qui commence à s'estomper

bientôt 84 ans et le rappel de cette panoplie d'artistes

moi,c'était le plus souvent le Rialto avec les amis

Guijarro,Fuster Canto,Domenech,Djilalli etc-etc,j'en oublie c'est sur

,encore merci Antoine,amitiés d'un ami de la rue François Serrano

Henri

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 05/08/2019 20:30



Hubert Zakine


LES CINEMAS DE NOTRE ENFANCE

Devant les entrées de cinéma, se tenait le « 5/25 », le casino du pauvre, contre lequel on tentait de gagner de quoi se payer une place .
Le cinémascope faisait son apparition avec " CAPITAINE KING" un film avec Tyrone Power . Pour la circonstance, le Marignan avait étrenné son immense écran. Je me souviens du murmure (doux éphémisme pour un peuple dont le verbe haut était l'un des signes distinctifs) qui accompagna l'ouverture du rideau jaune.

A cette époque, l’accès aux salles ne se faisait qu’après avoir montré patte blanche et prouvé que l’on avait atteint l’âge canonique de seize ans pour les films de Martine Carol (LUCRECE BORGIA) ou Brigitte Bardot ( EN EFFEUILLANT LA MARGUERITE et ET DIEU CREA LA FEMME).
Les billets étaient numérotés et malheur à celui qui voulait changer de place. Après avoir fait la "chaîne", la caissière nous délivrait nos billets en n'omettant pas de marquer de son crayon gras (d'une croix rouge ou bleue) la place réservée sur le plan du cinéma . L’ouvreuse nous installait alors dans notre siège numéroté sans oublier de tendre immanquablement la main pour recevoir une petite pièce (ou un doigt d’un " chitane" qui se faisait aussitôt traiter de "p'tit voyou") .
Pendant la pause, entre la première partie ( souvent un documentaire qui nous barbait ou un dessin animé qui nous ravissait) et le « grand » film, le « gousto » d'acheter des « Coeurs Glacés" présentés par l’ouvreuse nous mettait l'eau à la bouche mais "macache l'argent", alors on faisait "tintin". Nous aimions l’entracte qui nous permettait de faire un clin d'oeil au petit négro d'Afric-Film (13 rue auber, Alger 628-28 et 628-29), de se délecter des réclames, ancêtres des publicités et de s'adonner au chahut car on savait qu'il nous fallait respecter le silence quand le film commençerait.

Le retardataire était conduit dans l’obscurité de la salle par l’ouvreuse. On ne distinguait que le rond lumineux de sa lampe de poche dirigée vers le sol sous les remontrances des adultes qui ne désiraient pas etre dérangés

Que ce soit dans la variété, les galas de boxe ou de catch, le théâtre ou encore le cinéma, le Majestic rue Borély la Sapie,était la salle la plus prestigieuse de Bab El Oued et la plus vaste d'Afrique du Nord.

La grande salle du Marignan, sur l’avenue Durando, Le Variétés, rue Eugéne Robe, le Plaza rue du Général Verneau, le Suffren, le Lynx ex-Bijou rue Rosetti, le Trianon avenue de la Bouzaréah transformé en Monoprix (modernisme oblige !) le Rialto à la basseta, le Palace et le Mon Ciné de la rue Rochambeau autant de cinémas qui nous ont laissés des tendres souvenirs; Noublions pas les acteurs et actrices du passé : Jeff Chandler, Randolph Scott, Audie Murphy, James Cagney, Deborah Kerr, les Trois Stooges, Jean Simons, Roy Rogers, Dean Martin et Jerry Lewis and so on..........(je pourrais écrire un livre avec les artistes qui ont bercé notre enfance)
Nous étions amoureux (les jeunes d'aujourd'hui diraient "fan") du cinema americain mais également des films italiens (Rossana Podesta, Toto, Alberto Sordi, Silvana Mangano, Robertino, Silvana Pampanini, Amédéo Nazzari et consorts, des films hispaniques avec l'enfant à la voix d'or , Joselito qui électrisait le public feminin ainsi que les films de Luis Mariano et Carmen Sevilla, le couple préféré des pieds noirs et Sarita Montiel.
Nous ne nous privions cependant pas des films francais (Fernandel se taillant la part du lion avec la série des Don Camillo, une farce où tous les pieds noirs se retrouvaient.) Mais PLEIN SOLEIL, SAINT TROPEZ BLUES, LES TRICHEURS, LES COUSINS et FAIBLES FEMMES annonçaient déjà les films "nouvelle vague" des CHABROL, MALLE, TRUFFAUT et GODARD. ( ah, ce film de Godard avec Belmondo, Brialy et Anna Karina "UNE FEMME EST UNE FEMME" ). Les "Variétés" ne dut qu'à l'amour des algérois pour "leur" cinéma de ne pas être mis à sac tant la colère fut omniprésente. En effet, le "chef d'oeuvre" de Godard fut le plus grand navet du cinéma français que Bab El Oued connut.

 

Envoyez un message