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Le : 14/09/2007 10:41
Pierre-Emile
Quel plaisir de lire vos textes .Tiens .. ça me fait penser a Pagnol quand il relate ces souvenirs d'enfance ! Je n 'ai pas connu tous ces petits plaisirs , je n'ai pas grandi sous ce soleil de plomb, ce ciel bleu, ces parfums ... L'histoire m 'a volée mon enfance .C 'est au travers des récits de mes parents que mon identité pied-noir s'est contruite. Je suis née a la fin de l'année 1958
Oui ! je suis une déracinée , et un certain jour d'avril 2006 j'ai entrepris de faire le voyage , un retour vers ce passé .
Quelle émotion .... imaginer , tel les saumons qui remontent la rivière.
Sur les traces de mes parents et de mes G-parents j ai parcouru Bab -el Oued de long en large et en travers ... "sourire"
Enfin ..... je pouvais mettre sur image sur les lieux de ma petite enfance .Souvent je ferme les yeux , et je me retrouve "là -bas" , ma grand-mere me fait signe de son balcon , mon tonton me tiens fermement la main car nous devons traverser le boulevard Pitolet pour prendre un bain a l Eden .
Merci pour vos écrits , continuer a nous faire rêver !
M-C .
Quel plaisir de lire vos textes .Tiens .. ça me fait penser a Pagnol quand il relate ces souvenirs d'enfance ! Je n 'ai pas connu tous ces petits plaisirs , je n'ai pas grandi sous ce soleil de plomb, ce ciel bleu, ces parfums ... L'histoire m 'a volée mon enfance .C 'est au travers des récits de mes parents que mon identité pied-noir s'est contruite. Je suis née a la fin de l'année 1958
Oui ! je suis une déracinée , et un certain jour d'avril 2006 j'ai entrepris de faire le voyage , un retour vers ce passé .
Quelle émotion .... imaginer , tel les saumons qui remontent la rivière.
Sur les traces de mes parents et de mes G-parents j ai parcouru Bab -el Oued de long en large et en travers ... "sourire"
Enfin ..... je pouvais mettre sur image sur les lieux de ma petite enfance .Souvent je ferme les yeux , et je me retrouve "là -bas" , ma grand-mere me fait signe de son balcon , mon tonton me tiens fermement la main car nous devons traverser le boulevard Pitolet pour prendre un bain a l Eden .
Merci pour vos écrits , continuer a nous faire rêver !
M-C .
Le : 14/09/2007 09:29
Pour Nacéra
"Choucha" était un visage connu dans le quartier.Sous sa mine patibulaire,il y avait un coeur d'or.Trés bonne nageuse,elle ramenait des poulpes à la main,et faisait souvent la traversée"Rocher Carré-Padovani"
Par contre,elle n'habitait pas rue Lavoisier,mais avait une baraque rudimentaire aux Bains de chevaux,tout comme les autres"résidents" de la plage: Drimouche ,Kaouène,Latrache,Rouget,Le Manchot et tant d'autres...qui nous ont vu grandir.Ils formaient une véritable communauté,tirant le filet avec Baptiste,vivants de menus travaux,fiers,orgeilleux et loin des fortunes qui ne seront jamais de véritables richesses.
Choucha est décédée peu avant 1962.
Bonne journée à tous et à toutes.
"Choucha" était un visage connu dans le quartier.Sous sa mine patibulaire,il y avait un coeur d'or.Trés bonne nageuse,elle ramenait des poulpes à la main,et faisait souvent la traversée"Rocher Carré-Padovani"
Par contre,elle n'habitait pas rue Lavoisier,mais avait une baraque rudimentaire aux Bains de chevaux,tout comme les autres"résidents" de la plage: Drimouche ,Kaouène,Latrache,Rouget,Le Manchot et tant d'autres...qui nous ont vu grandir.Ils formaient une véritable communauté,tirant le filet avec Baptiste,vivants de menus travaux,fiers,orgeilleux et loin des fortunes qui ne seront jamais de véritables richesses.
Choucha est décédée peu avant 1962.
Bonne journée à tous et à toutes.
Le : 14/09/2007 08:46
Bonjour à vous tous,
Bonjour Nacéra , je remarque que tu as une mémoire d'éléphant, en évoquant tous ces magnifiques souvenirs.
OSMANN et sa femme, CHOUCHA qui était bourrée du matin au soir elle était toujours pieds nus n'est-ce-pas ? Il y avait aussi un grand gaillard "KABRANE" qui me faisait très peur, et slimane qui était tout le temps assis près du café de mon grand-père , ce dernier avait les cheveux longs et bouclés et ne parlait JAMAIS.
Et KAOUANE te souviens tu de lui ? On l'appelait aussi MOHAND ARABE, ce dernier était le protégé de mon père et de ma mère aussi , il l'appelait Tata.
Quel plaisir de pouvoir relater avec une immense joie tous ces merveilleux souvenirs .
Je laisse le soin à mes frères Merzak et Bachir de puiser dans leur mémoire aussi et de nous en communiquer d'autres encore...
Comme tous les vendredi , je dois me rendre tout de suite au cimetière " El-Kettar" afin de me recueillir sur la tombe de mes parents.
Nacéra, je te souhaite un bon Ramadhan, et te transmets mes amitiés les meilleures.
Je vous embrasse et bonne journée à tous.
Bonjour Nacéra , je remarque que tu as une mémoire d'éléphant, en évoquant tous ces magnifiques souvenirs.
OSMANN et sa femme, CHOUCHA qui était bourrée du matin au soir elle était toujours pieds nus n'est-ce-pas ? Il y avait aussi un grand gaillard "KABRANE" qui me faisait très peur, et slimane qui était tout le temps assis près du café de mon grand-père , ce dernier avait les cheveux longs et bouclés et ne parlait JAMAIS.
Et KAOUANE te souviens tu de lui ? On l'appelait aussi MOHAND ARABE, ce dernier était le protégé de mon père et de ma mère aussi , il l'appelait Tata.
Quel plaisir de pouvoir relater avec une immense joie tous ces merveilleux souvenirs .
Je laisse le soin à mes frères Merzak et Bachir de puiser dans leur mémoire aussi et de nous en communiquer d'autres encore...
Comme tous les vendredi , je dois me rendre tout de suite au cimetière " El-Kettar" afin de me recueillir sur la tombe de mes parents.
Nacéra, je te souhaite un bon Ramadhan, et te transmets mes amitiés les meilleures.
Je vous embrasse et bonne journée à tous.
Le : 14/09/2007 07:59
Bonjour Merzak.
Après avoir enregistré mon texte, le prénom de Osman m'est revenu. Merci de me l'avoir confirmé.Je le revois déambuler dans la rue de Dijon la pancarte sur le dos accompagné de son épouse .Ils passaient souvent chez nous, ils rentraient dans le couloir et s'asseyaient sur la première marche de l'escalier.A qui leur donnerait à manger ou une petite pièce.J'étais peut être trop jeune pour comprendre que la misère existait à notre époque.Te souviens tu d'une ivrogne surnommée " choucha" ,il me semble qu'elle s'appellait Aïcha, son visage était bouffi, rouge.Elle était très agressive.Nous avions très peur et lorsque on n' obeissait pas à nos parents ils nous disaient << On va appeller Choucha>>. Elle habitait la rue Lavoisier.Et Monsieur Paupaul celui qui habitait l'impasse dans sa petite bicoque. Lui faisait souvent la fête avec ses copain et ses copines . (Je ne me souviens que de Titine). Je te souhaite une bonne journée et un grand bonjour à toute ta famille.
Après avoir enregistré mon texte, le prénom de Osman m'est revenu. Merci de me l'avoir confirmé.Je le revois déambuler dans la rue de Dijon la pancarte sur le dos accompagné de son épouse .Ils passaient souvent chez nous, ils rentraient dans le couloir et s'asseyaient sur la première marche de l'escalier.A qui leur donnerait à manger ou une petite pièce.J'étais peut être trop jeune pour comprendre que la misère existait à notre époque.Te souviens tu d'une ivrogne surnommée " choucha" ,il me semble qu'elle s'appellait Aïcha, son visage était bouffi, rouge.Elle était très agressive.Nous avions très peur et lorsque on n' obeissait pas à nos parents ils nous disaient << On va appeller Choucha>>. Elle habitait la rue Lavoisier.Et Monsieur Paupaul celui qui habitait l'impasse dans sa petite bicoque. Lui faisait souvent la fête avec ses copain et ses copines . (Je ne me souviens que de Titine). Je te souhaite une bonne journée et un grand bonjour à toute ta famille.
Le : 13/09/2007 22:58
en reponse a andree Pastor j'habitais au 7 rue nelson chierico, si je me souviens j'ai ete dans votre classe, vous habitiez dans l'immeuble de marcienne marie, et de la famille pecollo
j'ai eu des nouvelles de Polito francette qui se trouve etre la cousine de la femme de mon cousin(complique)
j'espere peut etre avoir de vos nouvelles ci vous le voulez directement sur mon e mail a bientot peut etre et merci encore a ce site
j'ai eu des nouvelles de Polito francette qui se trouve etre la cousine de la femme de mon cousin(complique)
j'espere peut etre avoir de vos nouvelles ci vous le voulez directement sur mon e mail a bientot peut etre et merci encore a ce site
Le : 13/09/2007 22:32
L’apéritif
On revient de la plage. Mon père a « fait des d’oursins ». Pour les ramener, nous les avons mis dans le sac des affaires de plage. Un grand sac à rayures orange et blanche que ma mère a confectionné. On a vidé le sac sur la table de la cuisine. Les épines sombres et violacées s’agitent encore. Ma grand-mère décrète que l’on va manquer de pain pour tous ces oursins et mon oncle se propose d’aller en chercher. –« Je viens avec toi tonton ». Le temps de sauter dans mes mévas et je le rattrape dans la cage d’escalier. Dans la rue il fait encore chaud car la brise de mer qui se lève ne s’est pas encore faufilée dans l’avenue de la Bouzaréah. La boulangerie allait fermer, mais il reste un pain que je porte comme un trophée en traversant la rue. Sur le trottoir mon oncle pose sa main sur ma tête et déclare :- « Viens, je te paye l’apéritif ». Il me tire par l’épaule et je me retrouve dans le café. C’est ma première fois. On se dirige vers le comptoir. Mon oncle me soulève pour que je puisse m’asseoir sur un grand tabouret à l’angle du bar. Tonton prend une anisette et, pour moi, le serveur dose un sirop d’orgeat dans un verre identique à celui de mon oncle. C’est comme si on buvait pareil. Puis une dame sortie de derrière un rideau fait avec des perles de bois de toutes les couleurs installe des petits ramequins pleins de kémia. Des olives vertes et noires, des carottes à la juive, des cacahouètes grillées avec leur petite peau fine et brunâtre, des variantes gorgées de vinaigre, des poivrons au four et de la soubressade. La dame revient et pose devant moi un petit charlot en céramique qui tire son chapeau et sa tête est pleine de cures-dents en bois. Mon oncle discute avec Gaby, un de ses copains car il a besoin d’une pièce en cuivre pour son petit voilier. C’est bien l’apéritif au café. On déguste les mêmes choses qu’a la maison mais personne ne vous dit :
« Mâche bien les olives ! » « Attention de ne pas avaler le noyau ! » « Ne prend pas les carottes dans ce plat, c’est les piquantes ! » « Tu t’es gavé de cacahouètes, tu vas rien mangé ce soir ! » « Tu arrêtes avec les variantes, c’est plein de vinaigre tu vas être malade ! » « Mange pas la peau de la soubressade ! ».
Tout en puisant alternativement dans chaque plat je me délecte du spectacle. Tout le monde fume, ou presque et ça fait un reflet bleuté qui s’étire entre le sol et le plafond. Dans le fond du bistrot se joue une partie de baby-foot serrée. Les joueurs sont cassés en deux au-dessus des barres qui portent les figurines de bois. Ils se redressent brusquement quand ils ont tiré ou bien bloqué un but ou une passe. C’est la fin. Au geste rageur et dégoûté que fait l’un d’eux pour repousser les boules rouges qui marquent le score on comprend qui vient de perdre. Le groupe se retrouvent au bar et commande une nouvelle tournée. Les gagnants chahutent les perdants qui invoquent une déveine implacable. La place au baby ne reste disponible que quelques secondes. Claquement sec de la tirette. Chute des boules. Un s’essuie les mains sur son pantalon, l’autre enlève ses lunettes et les glisse dans sa poche de chemise. Un nouvel affrontement peut avoir lieu.
Tous ces hommes parlent haut et fort. Les mains et les bras s’agitent pour mieux souligner la discussion. Parfois, au dessus de cet océan de bruit, surgit une vague plus forte que les autres. C’est un grand éclat de rire à la fin d’une histoire ou un surnom crié pour saluer l’entrée d’un habitué.
Mon oncle me redescend de mon tabouret. -« Allez, on file, sinon on va ce faire incendier ». Dommage il reste encore plein de kémia dans les raviers.
On grimpe les escaliers en courant. Arrivée devant la porte de l’appartement mon oncle trace un « X » sur sa bouche avec son index, ça veut dire ne rien raconter de notre escapade au bistrot. On scelle notre pacte de silence par un « tape cinq ». On sonne. Mémé vient ouvrir. Tonton dit qu’il a fallu « aller à Dache » pour trouver du pain à cette heure. J’ai bien vu que ma grand-mère Ascencion ne l’avait pas cru. C'est normal car c'est sa mère, moi aussi je n’arrive pas à mentir à ma mère.
On revient de la plage. Mon père a « fait des d’oursins ». Pour les ramener, nous les avons mis dans le sac des affaires de plage. Un grand sac à rayures orange et blanche que ma mère a confectionné. On a vidé le sac sur la table de la cuisine. Les épines sombres et violacées s’agitent encore. Ma grand-mère décrète que l’on va manquer de pain pour tous ces oursins et mon oncle se propose d’aller en chercher. –« Je viens avec toi tonton ». Le temps de sauter dans mes mévas et je le rattrape dans la cage d’escalier. Dans la rue il fait encore chaud car la brise de mer qui se lève ne s’est pas encore faufilée dans l’avenue de la Bouzaréah. La boulangerie allait fermer, mais il reste un pain que je porte comme un trophée en traversant la rue. Sur le trottoir mon oncle pose sa main sur ma tête et déclare :- « Viens, je te paye l’apéritif ». Il me tire par l’épaule et je me retrouve dans le café. C’est ma première fois. On se dirige vers le comptoir. Mon oncle me soulève pour que je puisse m’asseoir sur un grand tabouret à l’angle du bar. Tonton prend une anisette et, pour moi, le serveur dose un sirop d’orgeat dans un verre identique à celui de mon oncle. C’est comme si on buvait pareil. Puis une dame sortie de derrière un rideau fait avec des perles de bois de toutes les couleurs installe des petits ramequins pleins de kémia. Des olives vertes et noires, des carottes à la juive, des cacahouètes grillées avec leur petite peau fine et brunâtre, des variantes gorgées de vinaigre, des poivrons au four et de la soubressade. La dame revient et pose devant moi un petit charlot en céramique qui tire son chapeau et sa tête est pleine de cures-dents en bois. Mon oncle discute avec Gaby, un de ses copains car il a besoin d’une pièce en cuivre pour son petit voilier. C’est bien l’apéritif au café. On déguste les mêmes choses qu’a la maison mais personne ne vous dit :
« Mâche bien les olives ! » « Attention de ne pas avaler le noyau ! » « Ne prend pas les carottes dans ce plat, c’est les piquantes ! » « Tu t’es gavé de cacahouètes, tu vas rien mangé ce soir ! » « Tu arrêtes avec les variantes, c’est plein de vinaigre tu vas être malade ! » « Mange pas la peau de la soubressade ! ».
Tout en puisant alternativement dans chaque plat je me délecte du spectacle. Tout le monde fume, ou presque et ça fait un reflet bleuté qui s’étire entre le sol et le plafond. Dans le fond du bistrot se joue une partie de baby-foot serrée. Les joueurs sont cassés en deux au-dessus des barres qui portent les figurines de bois. Ils se redressent brusquement quand ils ont tiré ou bien bloqué un but ou une passe. C’est la fin. Au geste rageur et dégoûté que fait l’un d’eux pour repousser les boules rouges qui marquent le score on comprend qui vient de perdre. Le groupe se retrouvent au bar et commande une nouvelle tournée. Les gagnants chahutent les perdants qui invoquent une déveine implacable. La place au baby ne reste disponible que quelques secondes. Claquement sec de la tirette. Chute des boules. Un s’essuie les mains sur son pantalon, l’autre enlève ses lunettes et les glisse dans sa poche de chemise. Un nouvel affrontement peut avoir lieu.
Tous ces hommes parlent haut et fort. Les mains et les bras s’agitent pour mieux souligner la discussion. Parfois, au dessus de cet océan de bruit, surgit une vague plus forte que les autres. C’est un grand éclat de rire à la fin d’une histoire ou un surnom crié pour saluer l’entrée d’un habitué.
Mon oncle me redescend de mon tabouret. -« Allez, on file, sinon on va ce faire incendier ». Dommage il reste encore plein de kémia dans les raviers.
On grimpe les escaliers en courant. Arrivée devant la porte de l’appartement mon oncle trace un « X » sur sa bouche avec son index, ça veut dire ne rien raconter de notre escapade au bistrot. On scelle notre pacte de silence par un « tape cinq ». On sonne. Mémé vient ouvrir. Tonton dit qu’il a fallu « aller à Dache » pour trouver du pain à cette heure. J’ai bien vu que ma grand-mère Ascencion ne l’avait pas cru. C'est normal car c'est sa mère, moi aussi je n’arrive pas à mentir à ma mère.
Le : 13/09/2007 22:21
Monsieur Taméne merzak
Excuser ma petite erreur de farpe . J'ai voulu dire . Osman avec son épouse et sa pancarte . Merci .
Excuser ma petite erreur de farpe . J'ai voulu dire . Osman avec son épouse et sa pancarte . Merci .
Le : 13/09/2007 22:14
pour monsieur Taméne Merzak que je ne connai pas .
Osman avec son épouse avec et sa pancarte ils venaient aussi au bar de la régence place du gouvernement . Et ? si ma mémoire te bonne je croi me rappeler ?. Qu'il tordait des broches en deux , broches qu'il avait toujour avec lui .(broche clou énorme utiliser sur les chantiers pour cloué des madriers ).Je pensse aussi que monsieur Osman avait un frére .
Se personnage on ne peut pas l'oublier quand on la vue et connu . Je me présente yves de la rue bruce .
Osman avec son épouse avec et sa pancarte ils venaient aussi au bar de la régence place du gouvernement . Et ? si ma mémoire te bonne je croi me rappeler ?. Qu'il tordait des broches en deux , broches qu'il avait toujour avec lui .(broche clou énorme utiliser sur les chantiers pour cloué des madriers ).Je pensse aussi que monsieur Osman avait un frére .
Se personnage on ne peut pas l'oublier quand on la vue et connu . Je me présente yves de la rue bruce .
Le : 13/09/2007 21:52
A l´attention de Mr. Louis Garcia.
Je pense connaitre votre famille, vos parents habitaient-ils à Alicante ? Avez-vous une soeur qui s´appelle Sonia? Merci de me répondre.
Je pense connaitre votre famille, vos parents habitaient-ils à Alicante ? Avez-vous une soeur qui s´appelle Sonia? Merci de me répondre.
Le : 13/09/2007 20:15
BONJOUR A TOUS
JE SUIS NEE A BAB EL OUED JE ME PRESENTE PASTORE ANDREE J'AI UNE SOEUR JUM ELLE MICHELE
NOUS HABITIONS 2 RUE NELSON CHERICO L'IMMEUBLE DE L'EPICIER IBORA
NOUS AVONS FAIT TOUTE NOTRE SCOLARITE A L'ECOLE DE LA RUE DE NORMANDIE
JE RECHERCHE MES AMIES DE CLASSE DES ANNEES 1958 a1962 JE PRIVILIEGIE CETTE PERIODE POUR FAVORISER LA RECHERCHE
SI DANIELLE JOUBERT CLAUDETTE DI MEGLIO DANIELLE ESTEVE MIREILLE ZACCARIAS
EVELYNE SELIES MARIE ROSE BENET THERESE BORJA FRANCETTE POLITO NICOLE PILATO ET SA COUSINE BALDACCINO REVUES A MARSEILLE EN 1967 AUX 5 AVENUES SI L'UNE D'ENTRE VOUS A COMME MOI ENVIE DE FAIRE REVRIVRE LES SOUVENIRS J'EN SERAIS TRES HEUREUSE
A TRES BIENTOT AMICALEMENT ANDREE DE LA BASSETA
JE SUIS NEE A BAB EL OUED JE ME PRESENTE PASTORE ANDREE J'AI UNE SOEUR JUM ELLE MICHELE
NOUS HABITIONS 2 RUE NELSON CHERICO L'IMMEUBLE DE L'EPICIER IBORA
NOUS AVONS FAIT TOUTE NOTRE SCOLARITE A L'ECOLE DE LA RUE DE NORMANDIE
JE RECHERCHE MES AMIES DE CLASSE DES ANNEES 1958 a1962 JE PRIVILIEGIE CETTE PERIODE POUR FAVORISER LA RECHERCHE
SI DANIELLE JOUBERT CLAUDETTE DI MEGLIO DANIELLE ESTEVE MIREILLE ZACCARIAS
EVELYNE SELIES MARIE ROSE BENET THERESE BORJA FRANCETTE POLITO NICOLE PILATO ET SA COUSINE BALDACCINO REVUES A MARSEILLE EN 1967 AUX 5 AVENUES SI L'UNE D'ENTRE VOUS A COMME MOI ENVIE DE FAIRE REVRIVRE LES SOUVENIRS J'EN SERAIS TRES HEUREUSE
A TRES BIENTOT AMICALEMENT ANDREE DE LA BASSETA