pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Raymond MOLTOEnvoyer un mail

Le : 05/10/2007 18:06

Bonjour Je recherche des personnes ayant connu Jean PONCOT qui demeurait 52 rue Cardinal Verdier à Bab el Oued
Merci d'avance
Bien amicalement
Raymond

 

De : vidal henriEnvoyer un mail

Le : 05/10/2007 15:35

Bonjour,
Pour un Ami, je recherche les coordonnées de:
Norbert RIVECCIO
concernant une photo de classe CM1 de l'école Dordor (Alger)
Année 1942/1943.
D'avance merci
Bien Amicalement
Henri Vidal;

 

De : LANGLOIS Alfred (Freddy)Envoyer un mail

Le : 05/10/2007 13:24

LES CHIPS DU BORD DE MER (cela sonne comme une chanson connue).
N'oubliez pas "l'artisan - commerçant" qui officiait à l'entrée de l'escalier menant à la plage des deux chameaux.
Après le bain, et après avoir bu une bonne rasade de SELECTO, l mise au frais au bord de l'eau, légérement enfouie dans le sable

 

De : Monique AlliezEnvoyer un mail

Le : 05/10/2007 11:29

A Nacera
Qu'elles étaient bonnes ces " chips " surtout quand on remontait de chez Franco, les marches etaient dures après la baignade et c'etait notre "recompense". J'en ai encore l'odeur et le gout!...

 

De : naceraEnvoyer un mail

Le : 05/10/2007 06:49

Sur le chemin du retour Pointe Pescade- Bab el oued , à la hauteur de franco nous nous arrêtions chez le marchand de " chips" cuites sur place et servies dans des cornets de papier blanc.Je parle des années 50.Je ne sais pas si quelqu'un a pris la relève.
Bonne journée à tous.

 

De : MerzakEnvoyer un mail

Le : 04/10/2007 23:54

Pierre Emile

Je ne crois pas me tromper en disant que vous décrivez ci dessous, Mangiapani Joseph connu et admiré par tous les gamins de l'époque.
Encore une fois Bravo! et merci pour cet hommage.Une véritable ballade à travers le temps.
Cordialement. Tamene Merzak

 

De : Pierre-Emile BisbalEnvoyer un mail

Le : 04/10/2007 21:38

Le Muet.

La sonnerie libère toute l’énergie des classes de l’école primaire Lelièvre. Habituellement, c’est un bel éparpillement turbulent dans les rues adjacentes, la placette ou une course vers le magasin de Madame Tuduri (Coco & Riri pour les anciens !). Cette fois, la majorité du flot oblique directement vers la placette, repoussant, à plus tard, le goûter qui attend à la maison, l’achat de bibérine ou de réglisse car le Muet est là. Le Muet c’est notre héros. Un vrai héros qui existe, que nous pouvons approcher et qui se plie à nos jeux avec gentillesse et bonhomie. C’est un colosse, une montagne de muscles. Pas de ces muscles de cinéma, non, du vrai muscle, plein de force. Du muscle construit par la vie et le travail.
Quand la chaleur et la fatigue nous forcent à abandonner nos sempiternelles parties de foot, nous nous installons dans l’ombre du kiosque. Là, il nous arrive parfois de parler de lui. Nous le comparons aux personnages qui peuplent nos bandes dessinées. Nos conclusions sont toujours les mêmes: aucun de nos héros de papier ne peut rivaliser avec le Muet.
On dit « le Muet », mais finalement il parle beaucoup. Pas des mots, pas des phrases car la nature lui refuse cette faculté. Il a son propre langage que nous comprenons parfaitement. Il mélange des sons inarticulés à une gestuelle précise parfaitement adaptée à chaque situation. Son handicap disparaît derrière ses dons de mime.
Nous faisons cercle autour du Muet. Il faut jouer des coudes pour se retrouver au premier rang afin d’être choisi car c’est un privilège, une référence. Il sait ce que nous attendons, des tours de force dont nous serons ses assistants.
Le Muet montre du doigt deux spectateurs et plie son bras droit en équerre. De son autre main il frappe son avant bras. Tout le monde comprend. Les désignés doivent se cramponner à lui et unir leurs forces pour l’empêcher de les soulever. Les voilà agrippés au bras du Muet, pesant de tout leur poids. Il les laisse espérer un instant, puis, doucement, les soulève sans le moindre effort apparent puis les repose à terre. Le Muet a un grand sourire qui accompagne un geste traduisant la fatalité. Ses yeux disent en riant : « Alors, les gosses, on croyait pouvoir vaincre le Muet ! Bah ! Vous n’êtes pas les premiers à avoir eu cette prétention ». Il passe à une autre démonstration et réclame d’autres volontaires. Autour de lui, chacun lève le doigt pour être remarqué. C’est une joyeuse cohue.
Je récupère mon cartable et je cavale chez mes grands-parents. A peine la porte passée j’annonce la nouvelle « Le Muet fait la force sur la placette ! ». Pour prouver mes dires, j’entraîne mon grand-père sur le balcon. De là, on voit tout. L’attroupement n’a pas perdu de son volume. Au centre, le Muet continue ses exploits. L’assistance admirative ponctue de rires et d’acclamations chacune de ses actions. Maintenant ce ne sont plus simplement des enfants qui composent son public. Plusieurs adultes ont rejoint le cercle et ce ne sont pas les moins empressés à manifester leur satisfaction. Ce n’est pas une exhibition. Nous ne considérons pas le Muet comme une bête curieuse ou comme un phénomène de foire. Un échange plein de respect mutuel s’établit entre les enfants et cet adulte. Il pourrait utiliser sa puissance pour être craint, il préfère s’en servir pour divertir les mômes. Vous ne trouverez aucune prétention dans cette démonstration de force, mais, sur son sourire et au fond de ses yeux vous percevrez tout le bonheur qu’il ressent à nous amuser. Cette manière de participer à la vie communautaire a élevé le Muet au rang de « figure du quartier ». En plus, sans le savoir, quelques décennies avant la prise de conscience collective sur le handicap, le Muet nous enseignait, à sa façon, comment accepter et apprécier la différence.
Au bout d’un moment, le Muet lève ses deux mains ouvertes, paumes en avant au niveau de son visage et les agite pour signifier que c’est fini. Pour souligner sa décision il fait le geste de s’essuyer le front comme pour se débarrasser d’un flot de sueur. Il doit encore serrer un bon nombre de mains, puis, il part, vers la Basseta d’un petit trot sportif.
Avec mon grand-père nous quittons le balcon. Demain, à l’école, ceux qui ont eu la chance d’être choisis raconteront et raconteront encore leurs affrontements perdus d’avance avec le Muet.

 

De : Claude Carchano-NégriEnvoyer un mail

Le : 04/10/2007 16:53

Au sujet des e-mails personnels je dois dire que très souvent en cliquant sur la petite enveloppe pour correspondre directement avec la personne , mon message m'est revenu avec la mention "adresse inconnue" (en anglais bien entendu !) , alors que faut-il faire ? la plupart du temps j'ai laissé tomber ...

 

De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 04/10/2007 15:55


Les cours des immeubles des messageries
2,rue de la Consolation
c'est là que la Regie Foncière de la Ville d'Alger(RFVA) avait ses bureaux,nous nous y rendions chaque mois pour y payer notre loyer-Ce qui m'intriguait c'etait l'arbre aux candelabres ecailleuses et horizontales- Il a fallu que je vienne de ce côté-ci de la Méditerranée pour que je sache enfin que cet arbre s'appelait araucaria- Mais lui était impressionnant par ses dimensions alors que chez le pépiniériste ils tiennent dans un pot
rue Richard LEBAHR
La cour entre les immeubles servait alternativement de cour de récréation à l'Ecole Maternelle située sur la gauche et sur la droite etaient installées les classes de CM2- et Classes de Fin d'Etudes
6 rue de la Consolation
le fond de la cour etait encombré par les materiaux de récupération lors de la démolition des anciennes maisons (surtout carrelages en terre cuite hexagonaux)
Vers les années 50,on a enleve ces gravâts-Il s'est echappé des milliers de cafards qui avaient trouvé refuge dans ces tas-On voyait grimper les bestioles aux façades aveugles du 6- La cour libérée ,des garages de réparation automobile se sont installés dans les boxes-Dans les locaux proches du portail de larue des Lavandieres s'est installée la SABO
8 rue de la Consolation
Depuis toujours sa cour a été libre de toute occupation,ACHOUR,BITOUN,la PRINCESSE ,La Rose BLANCHE et MIKALEFF y avaient accès

 

De : tortora josette ep segorbEnvoyer un mail

Le : 04/10/2007 07:38


Je recherche une trés bonne copine d'Alger avec qui j'ai fait toute ma scolarité, celle-ci s'appelle Denise Hernandez, ep Moncho dont ses parents tenaient le magasin de vente
de vin dans la rue des Moulins à Alger, la rue qui montait au marché de BEO, j'essaie de la situer elle habite maintenant Montpellier, mais je n'ai pas réussi à trouver son numéro de téléphone MERCI D'AVANCE, une ancienne enfant de BEO;


 

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