Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

le couteau a la mer....!cette phrase me rapelle mon enfance.toutes mes camarades et chretiennes me posaient la question a l'approche de l'ete quand est ce que vous les juifs il vous est interdi d'aller vous baigner....dans notre religion il y aune periode soit en juillet soit en aout ou il nous est interdi d'aller entre autre nous baigner car c'est une periode de deuil pour nous souvenir de la destruction des 2 temples qui ont eu lieu a cette epoque.il s'avere qu'a cette epoque comme vous le dites c'est du point de vue metereologique un changement dans les equinoxes et cela provoque qque la mer est toujours agitee et en consequence il y a beaucoup de noyades.....alors mes copines me disaient il y a le couteau a la mer.....jusqu'a present cette expression est restee gravee dans les memoires des pn de toute confession et les juifs meme en israel continuent a employer cette phrase pour enseigner a leurs enfans les dangers de la mer a cette epoque

Franz, ce que ma mémoire a retenu, et d'abord ce qu'il faut distinguer : les deux heures de délai à respecter impérativement avant d'aller se baigner, c'est pour éviter l'hydrocution autrement quasi inévitable étant donné la différence de température entre l'air et l'eau en été, ce n'est donc pas une légende et, la seule façon pour les garnements de respecter l'interdit, c'est de leur filer une trouille, verte ou bleue, au choix. Ensuite le couteau : ça, c'est réservé à la période de l'équinoxe d'été (mi-août, si je ne m'abuse), au cours duquel la Méditerranée est presque toujours démontée. Pour expliquer ce phénomène, on a trouvé le moyen - comme toujours - de greffer une légende (c'est tellement mieux!) selon laquelle quelqu'un a tué quelqu'un d'autre (de sa famille?) à cette période et s'est débarrassé ensuite du couteau en le jetant à la flotte et depuis... J'ai reçu ça comme une légende juive mais ça pourrait aussi bien être indou ou animiste.

Bonjour,
Quelqu’un pourrait-il m’expliquer cette « règle » d’abstention de baignade que l’on appelait: « le couteau à la mer » ?
Les arguments de ma grand-mère étaient un nombre croissant de noyés pendant ces mois d’été.
Je me baignais malgré tout et cette interdiction servait à nous pousser à la désobéissance.
Mais enfin, dans ma famille d’Alger, l’éducation était beaucoup basée sur la peur, peur d’être ramassé par Galoufa, peur d’être vendu au marchand de chiffons et autres sornettes qui semblaient inquiéter mes cousins et cousines, (Etoile pourrait sûrement en raconter davantage que moi), alors que nous, ma s 1/2 ur et moi, nous trouvions ces histoires très drôles. 60 ans après, nous en rions encore en se rappelant nos vacances à BEO.
Merci d’avance pour vos lumières : Franz

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Hé! les garçons.
Qui peut nous raconter les histoires de pitres ? Qui faisait le pitre en classe?Chez les filles c'était trop serieux!!!!Parfois on entendait même les mouches voler.

bonjour ,je repond a esposito ,je me souviens tres bien de l'epicerie garcia ,de la placette ou j'habité ,de said le moutchou ,si cette placette pouvait parler.........combien de belle histoire elle raconterait

Le message qui suit concernant le "Mur des Disparus" a lieu au mois de NOVEMBRE prochain.

Avec mes excuses pour cette anomalie

Amicalement

Ce message s'adresse à Mr JEAN QUITTARD ,qui le 11/10/07,a jeté une bouteille à la mer,afin de retrouver certains de ses anciens amis.Hélas ,connaissant trés bien l'un d'entre eux,je suis au regret de vous informer du décés de DENIS ASCENCI,en 2004 suite à une longue et terrible maladie.Encore désolé?
AMITIÉES d'un enfant de la PLACE DESAIX.

LE KASSOUR .

J'apporte ma contribution à l'histoire du Kassour qui traduction faite de l'arabe Algérien veut dire "fond du mur ". Pourquoi ?

Tout simplement lors de la course en Méditerrannée où le Penon de l'Amirauté était tenu par les Espagnols du temps de Carlos V, qui avait vu sur les entrées et sorties des Janissaires et leur donnant droit à leur part de butin ramené lors des razzias .

Aussi , pour pour échapper à ce contrôle , les Janissaires , eurent l'idée de creuser un tunnel en face de l'actuel Kassour qui permettait aux Chebecks de retour de la course de rentrer directement dans ce dernier et d'y accoster à la barbe des Espagnols .

Ce dit tunnel qui arrivait jusqu'à Bab Djeddid existe toujours et permettait aux Corsaires de descendre tranquillement le fruit de leurs razzias et de l'emmener à la Citadelle du Dey.