Liste des messages
Le : 30/10/2007 20:00
A Paule VELLA,
Bonsoir, je vous informe que l'avenue Souidani Boudjemâa à Alger correspond à l'avenue Shakespeare (où est situé l'hôtel El Djazair ex.Saint Georges).
Cordialement
Bonne soirée
Bonsoir, je vous informe que l'avenue Souidani Boudjemâa à Alger correspond à l'avenue Shakespeare (où est situé l'hôtel El Djazair ex.Saint Georges).
Cordialement
Bonne soirée
Le : 30/10/2007 19:39
pour Paule VELA
je suis en mesure de vous donner le nom pour ce faire il me faut le quartier ou cette rue se situe j'ai unplan (annuaire complet des rue avec les anciens noms
a vous lire cordialement
je suis en mesure de vous donner le nom pour ce faire il me faut le quartier ou cette rue se situe j'ai unplan (annuaire complet des rue avec les anciens noms
a vous lire cordialement
Le : 30/10/2007 18:40
Je cherche à savoir à quel boulevard ou avenue correspond l'actuelle Avenue Souidani Boudjemaa à Alger. Merci
Le : 30/10/2007 18:24
la chapelle de la Vierge Falcon
au mourillon à toulon, peux être visitée tous les samedis après midi
de 14 heures à 17 heures 30
au mourillon à toulon, peux être visitée tous les samedis après midi
de 14 heures à 17 heures 30
Le : 30/10/2007 17:08
Le marché de mon enfance:
J'habitais au n°4 de la rue des Moulins qui débouchait sur le grand marché couvert où chaque matin, sept jours sur sept, les ménagères du quartier venaient faire leurs emplettes pour préparer le repas du jour. Les menus étaient inpirés selon les approvisionnements découverts chaque matin et si la sardine était belle et à bas prix, on mangeait de la sardine frite, en escabètche ou en beignet. Le frigo n'existait pas encore et la glacière ne faisait pas de miracle, donc les produits frais s'achetaient en quantité suffisante pour le jour même, ce qui permettait aussi d'éviter les gaspillages.
Notre marché de Bab el oued avait une grande renommée; avec ses quatres portes orientées aux quatre points cardinaux, il voyait une foule compacte serpenter péniblement sur le périmètre où sous la chaleur étouffante de l'été, elle ressemblait à une cohorte de pénitents abjurant leurs péchés.
A l'intérieur d'un côté, se dressaient les étals de fruits et légumes, de l'autre les dalles de pierre recouvertes de poissons entourés de monticules de glace pilée; le tout parcouru d'allées perpendiculaires où il était difficile de se frayer un passage. Tout autour se situaient des magasins d'alimentation diverse: boucherie, charcuterie, triperie, fleuriste, volailler, marchand de salaisons, etc...
A l'extérieur, occupant toutes les rues adjacentes, des marchands côte à côte sur des étalages en bois, protégés d'un parasol de fortune, vantaient à haute voix la qualité de leurs produits: pastèques, melons, oranges, tomates, citrons, dont les couleurs en faisaient une palette éclatante sous le soleil d'été. Ah mes amis, quel marché ! On se serait cru dans un jardin enchanté où il était aussi intéressant de faire des bonnes affaires que de rencontrer des visages connus. Nos mères prenaient un infini plaisir à faire leur marché chaque matin, car il n'était pas rare qu'elles saluent presque toute la famille, la plupart des amis, et se trouvaient ainsi au courant avec des "tchatches" à ne plus en finir, des nouvelles heureuses ou malheureuses de la vie de tout le monde. La télévision n'existant pas, nos séries "téléruelles" se vivaient en direct sur notre scène méditerranéenne: la rue, en étant acteur et spectateur.
A l'aide d'un couffin dont la contenance était aussi utile que pesante, elles parcouraient les étals des marchand tenus pour la plupart par des Arabes de père en fils avec qui elles avaient des rapports depuis de nombreuses années car elles étaient clientes de mère en fille et savaient la confiance réciproque qui existait. Pour une pièce de vingt centimes, des enfants pas plus hauts que trois pommes: les "yaouleds" proposaient leurs services de ramener le lourd couffin jusqu'à la maison. Sans oublier, les petits cireurs, malins comme pas deux, qui place de l'Alma, s'agenouillaient pour reluire le cuire des chaussures et qui pour aider le polissage du cirage, ajouter discrètement un crachat de professionnel. Toutes ces scènes pittoresques animaient le marché et lui donnaient un caractère unique d'humanité où tout le monde avait sa place et duquel il se dégageait un sentiment fort, très fort: la simplicité.
A suivre... PROCHAINEMENT
J'habitais au n°4 de la rue des Moulins qui débouchait sur le grand marché couvert où chaque matin, sept jours sur sept, les ménagères du quartier venaient faire leurs emplettes pour préparer le repas du jour. Les menus étaient inpirés selon les approvisionnements découverts chaque matin et si la sardine était belle et à bas prix, on mangeait de la sardine frite, en escabètche ou en beignet. Le frigo n'existait pas encore et la glacière ne faisait pas de miracle, donc les produits frais s'achetaient en quantité suffisante pour le jour même, ce qui permettait aussi d'éviter les gaspillages.
Notre marché de Bab el oued avait une grande renommée; avec ses quatres portes orientées aux quatre points cardinaux, il voyait une foule compacte serpenter péniblement sur le périmètre où sous la chaleur étouffante de l'été, elle ressemblait à une cohorte de pénitents abjurant leurs péchés.
A l'intérieur d'un côté, se dressaient les étals de fruits et légumes, de l'autre les dalles de pierre recouvertes de poissons entourés de monticules de glace pilée; le tout parcouru d'allées perpendiculaires où il était difficile de se frayer un passage. Tout autour se situaient des magasins d'alimentation diverse: boucherie, charcuterie, triperie, fleuriste, volailler, marchand de salaisons, etc...
A l'extérieur, occupant toutes les rues adjacentes, des marchands côte à côte sur des étalages en bois, protégés d'un parasol de fortune, vantaient à haute voix la qualité de leurs produits: pastèques, melons, oranges, tomates, citrons, dont les couleurs en faisaient une palette éclatante sous le soleil d'été. Ah mes amis, quel marché ! On se serait cru dans un jardin enchanté où il était aussi intéressant de faire des bonnes affaires que de rencontrer des visages connus. Nos mères prenaient un infini plaisir à faire leur marché chaque matin, car il n'était pas rare qu'elles saluent presque toute la famille, la plupart des amis, et se trouvaient ainsi au courant avec des "tchatches" à ne plus en finir, des nouvelles heureuses ou malheureuses de la vie de tout le monde. La télévision n'existant pas, nos séries "téléruelles" se vivaient en direct sur notre scène méditerranéenne: la rue, en étant acteur et spectateur.
A l'aide d'un couffin dont la contenance était aussi utile que pesante, elles parcouraient les étals des marchand tenus pour la plupart par des Arabes de père en fils avec qui elles avaient des rapports depuis de nombreuses années car elles étaient clientes de mère en fille et savaient la confiance réciproque qui existait. Pour une pièce de vingt centimes, des enfants pas plus hauts que trois pommes: les "yaouleds" proposaient leurs services de ramener le lourd couffin jusqu'à la maison. Sans oublier, les petits cireurs, malins comme pas deux, qui place de l'Alma, s'agenouillaient pour reluire le cuire des chaussures et qui pour aider le polissage du cirage, ajouter discrètement un crachat de professionnel. Toutes ces scènes pittoresques animaient le marché et lui donnaient un caractère unique d'humanité où tout le monde avait sa place et duquel il se dégageait un sentiment fort, très fort: la simplicité.
A suivre... PROCHAINEMENT
Le : 30/10/2007 08:48
J'ai mis sur ce site 3 photos de l'école primaire Lelièvre et j'ai remarqué que Jean-Jacques Legendre etait identifié. ( je ne me souvenait pas du prénom de mon collègue de classe) Si Jean-Jacques ou la personne qui l'a identifié pouvait prendre contact avec moi j'en serai très heureux.
Le : 29/10/2007 23:43
JOYEUX ANNIVERSAIRE MONIQUE !!!
TU AURAS DE MES NOUVELLES PAR GILBERT QUI REMONTE SUR AVIGNON JEUDI PROCHAIN SI LA GREVE D'AIR FRANCE NE PERSISTE PAS CE QUI D'AILLEURS NE LE DERANGE ABSOLUMENT PAS AU CONTRAIRE !!!!
Le : 29/10/2007 13:16
A Antoine BILLOTA
Quand tu cliques sur l'enveloppe,ton adresse mail apparîssait-Quiconque peut la copier-Donc des mails que je n'ai pas sollicités:debloquer un compte en avancant de l'argent> arnaque garantie>Précipitamment j'ai effacé mon vieux mail oubliant d'en avertir mes correspondants et n'arrivant pas comme auparavant acceder à vos enveloppes j'ai chargé la Bab El ouedienne de nos amis de t'avertir de cet inconvenient-
Désolé si je t'ai importuné et de passer par ce moyen pour arriver à communiquer avec toi.
Quand tu cliques sur l'enveloppe,ton adresse mail apparîssait-Quiconque peut la copier-Donc des mails que je n'ai pas sollicités:debloquer un compte en avancant de l'argent> arnaque garantie>Précipitamment j'ai effacé mon vieux mail oubliant d'en avertir mes correspondants et n'arrivant pas comme auparavant acceder à vos enveloppes j'ai chargé la Bab El ouedienne de nos amis de t'avertir de cet inconvenient-
Désolé si je t'ai importuné et de passer par ce moyen pour arriver à communiquer avec toi.
Le : 29/10/2007 12:16
Pour information : dès lors qu'un message est expédié via la messagerie électronique, l'adresse du destinataire figure en clair dans l'en-tête qui l'accompagne toujours et qui sert à savoir comment traiter le contenu côté destinataire. Quand on sait que certains fournisseurs d'accès Internet ouvrent complaisamment leurs portes aux rapaces en tous genres pour leur permettre de piquer ces adresses au passage, quand ils ne le font pas eux-mêmes, il ne faut pas s'étonner de recevoir un jour ou l'autre des pubs non désirées (les spams) expédiées par des sociétés qui ont acheté le produit de ces vols : les adresses. Pour se protéger, il faut activer la fonction antispam présente dans à peu près tous les logiciels de messagerie mais il faut également savoir que c'est le tonneau des Danaïdes : on a beau bloquer les expéditeurs, il en arrive toujours d'autres émis sous d'autres noms. Indémerdable.
En ce qui concerne la navigation Internet, certains sites n'hésitent pas à poster, chez les visiteurs, des petits logiciels chargés d'explorer - et de ramener - leur carnet d'adresses : c'est l'espionnage (spyware en rosbif) et, pour se protéger, il faut un bon logiciel qui soit à la fois antivirus et antispyware (plus simple à gérer que deux logiciels). Quand le logiciel est efficace, il surveille ce que font les procédures lors de l'accès et vire ceux qui font autre chose qu'afficher des données ou poster des cookies (qui contiennent des données concernant la connexion en cours) qui sont parfois indispensables soit au bon fonctionnement de la relation soit pour repérer une précédente visite. Il faut donc éviter de bloquer les cookies. Faites une recherche sur Internet pour trouver le bon antispyware si vous n'en avez pas déjà un associé à votre antivirus. Des emmerdeurs, il y en aura toujours, il faut faire avec...
En ce qui concerne la navigation Internet, certains sites n'hésitent pas à poster, chez les visiteurs, des petits logiciels chargés d'explorer - et de ramener - leur carnet d'adresses : c'est l'espionnage (spyware en rosbif) et, pour se protéger, il faut un bon logiciel qui soit à la fois antivirus et antispyware (plus simple à gérer que deux logiciels). Quand le logiciel est efficace, il surveille ce que font les procédures lors de l'accès et vire ceux qui font autre chose qu'afficher des données ou poster des cookies (qui contiennent des données concernant la connexion en cours) qui sont parfois indispensables soit au bon fonctionnement de la relation soit pour repérer une précédente visite. Il faut donc éviter de bloquer les cookies. Faites une recherche sur Internet pour trouver le bon antispyware si vous n'en avez pas déjà un associé à votre antivirus. Des emmerdeurs, il y en aura toujours, il faut faire avec...
Le : 29/10/2007 08:10
Bonjour Sauveur,
Je ne comprends rien ni à ce message ni à celui que tu m'adresses via le site, n'ayant jamais communiqué tes coordonnées perso à qui que ce soit et encore moins à des jeux et autres loteries que je supprime systématiquement.....Je suis d'autant plus surpris que je reçois ce message de Christine Balzano que je ne connais absolument pas....Est-ce à dire que certains lobbies s'emparent de nos adresses pour cibler leurs envois? ? ?
A te lire,
Antoine
Je ne comprends rien ni à ce message ni à celui que tu m'adresses via le site, n'ayant jamais communiqué tes coordonnées perso à qui que ce soit et encore moins à des jeux et autres loteries que je supprime systématiquement.....Je suis d'autant plus surpris que je reçois ce message de Christine Balzano que je ne connais absolument pas....Est-ce à dire que certains lobbies s'emparent de nos adresses pour cibler leurs envois? ? ?
A te lire,
Antoine