pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : marijaneEnvoyer un mail

Le : 23/10/2007 14:00

comme dit la chanson ": "j'ai la mémoire qui flanche, j'm'souviens plus très bien"
1) L'école commençait le 1er octobre ? finissait-elle le 30 juin ?
2) Avions-nous les mêmes petites vacances : toussaint, noël, février, etc...?
3) A quelle heure commençait les cours, avions-nous deux horaires : hiver et printemps?
Merci pour celui ou celle qui me rafraîchira la mémoire des années passées à l'école Franklin de 1954 à 1962 où ailleurs !.
marijane.

 

De : Jacques Abbonato (rues Barra et Léon Roches)Envoyer un mail

Le : 23/10/2007 12:11


 

De : BLANC EtienneEnvoyer un mail

Le : 23/10/2007 02:19

Bonsoir tout le monde je viens de trouver dans un tres vieux placard de tres vieille
photos d'ecole mais oui il y a un mais..... comment on fait pour les envoyer? Devant mes trés grosses compétence sur le net faciliter la tache SVP Un de la basseta etienne blanc.

 

De : jean robertEnvoyer un mail

Le : 22/10/2007 20:09

je ne suis pas un assidu du site de christian, mais à cette date anniversaire, je tenais à envoyer un grand bonjour à tous les amis d'Alger que nous avons rencontré avec mes enfants lors de notre voyage ,fin octobre 2006 !
Mais surtout un grand merci à momo et à sa famille, zakia, didine et sa famille, rachid, mustapha, elhadi pour l'acceuil qu'ils nous ont réservé.
Sans eux nous n'aurions pas pu revenir aux "sources".
Et aussi un petit coucou à jean pierre....
amitiés à tous
marjorie, Xavier et jean robert


 

De : MONTIEL AlbertEnvoyer un mail

Le : 22/10/2007 19:58

a Marie Josée ATTOMO, je n'arrive pas a vous envoyer un mail pour vous répondre,merci de me contacter directement sur le mien

 

De : BLANC EtienneEnvoyer un mail

Le : 22/10/2007 18:15

Mes amis(e) : Surtout ne croyez pas qu'il fasse chaud dans les (P.O) 66. Essayer d'emporter la petite laine ,le "mur du souvenir" oui nous sommes tous d'accord, mais pas pour la grippe.J'y serais avec mon epouse ,catalan d'adobtion .... Mais bassetero avant tout.Amities pour tout le monde A+ etienne

 

De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 22/10/2007 13:38


INAUGURATION du MEMORIAL NATIONAL des DISPARUS (Algerie 1954-1963)

lieu= Jardin Mere Ango
Couvent Sainte Claire de la Passion
rue Derroja

Consignes :afin de conserver à cette manifestation,sa dignité et permettre le plus grand recueillement,aucun drapeau ou banderole associative ne sera acceptée lors de la cérémonie
*
Participants individuels
Vous devez imperativeent remplir le bulletin d'inscription meme si vous ne participez qu'à l'inauguration du Mur des Disparus

On doit retirer ses cartes d'accréditation aupres des Responsables du Cercle Algerianiste présent à l'accueil du Congres-Les cartes permettent l'acces aux differents lieux en fonction des reservations effectuées
Arrivant le dimanche 25 il faut un laissez passer qui permettent d'accéder aux sites où se déroulent l'inauguration du mémorial
-Le repas du souvenir au Couvent des Dominicains (reservation)
Des parkings sont situés non loin du Couvent Sainte Claire de la Passion

Les participations en groupe doivent prendre contact au Cercle Algerianiste des PO
telephoner au 04 68 35 51 09

 

De : Pierre-Emile BisbalEnvoyer un mail

Le : 22/10/2007 10:51

Les rameaux

Nous sommes le dimanche des Rameaux.
C’est une cérémonie importante et particulière. Importante car elle marque une date dans la liturgie catholique. Ce dernier dimanche de Carême rappelle l’entrée triomphale de Jésus dans Jérusalem et débute la Semaine Sainte. Dimanche prochain, ce sera Paques. Particulière car, ici, en Algérie, les enfants n’agitent pas forcément des branchettes d’olivier, de buis ou de palmier. Ils viennent à l’office avec un singulier rameau artificiel, en fait un support à confiseries. Il faut imaginer une tige d’environ soixante centimètres de hauteur servant d’axe à des branches partant perpendiculairement et supportant des friandises accrochées à leur extrémité. Poule, lapin, 1/2 uf en chocolat, fruits confits, pâte de fruits, bonbons et surtout le fameux paquet de fausse cigarettes elles aussi en chocolat. L’armature reçoit un habillage et des garnitures en papier coloré ou argenté. Cette décoration ajoute au coté festif de l’ensemble. Avec cette curieuse pratique, certains peuvent percevoir une sorte d’intrusion païenne dans le rite catholique, mais n’est-ce pas simplement un prétexte supplémentaire pour faire plaisir aux enfants. Ils rejoignent l’église en portant précautionneusement leurs rameaux. Pour les plus jeunes un adulte se charge de l’objet. Les gamins, affichent une volonté de fer pour résister au plaisir d’une dégustation prématurée. Tous n’ont pas la même détermination et, parfois, des grignotages hâtifs ruinent la belle harmonie de cette cérémonie.
Je vous livre l’histoire qui suit telle qu’on me l’a rapportée. Elle se passe en 1957 ou 1958 devant l’église Saint Louis. Depuis un bon quart d’heure, toutes les rues menant vers l’église canalisent un flot de familles que l’édifice arrête comme un barrage naturel. Tout le monde est sur son trente et un. Chaque famille couve sa descendance d’un regard satisfait, fière et protecteur. Sur le parvis de l’église on immortalise cette journée par la photo traditionnelle. Le pivot de cette affaire se nomme Henry. Il a neuf ou dix ans. Sa mère, son père et sa jeune s 1/2 ur de six ans complètent le tableau. Voilà donc nos quatre protagonistes au seuil d’un incident qui laissera trace dans la mémoire familiale. La maman reste attentive à la jeune s 1/2 ur d’Henri. Six ans c’est encore jeune pour trimbaler ce fichu rameau. Et puis, la fillette a besoin qu’on rectifie un peu sa tenue. A proximité, le papa converse avec un groupe d’amis. Henry est donc livré à lui-même malgré que ses parents soient à deux pas de lui. Il a pris ses précautions le petit Henry, mais une sournoise envie de faire pipi l’envahit. Il perçoit bien qu’il ne pourra pas maîtriser la chose jusqu'à la fin de l’office.
Maman est la, occupée avec sa jeune s 1/2 ur et papa discute encore. Il n’hésite pas un instant. Il cale son rameau contre le mur de l’église. Prend un départ foudroyant. Trouve un recoin discret. Fait son pipi et revient à son point de départ. La mère n’a pas bougé, toujours occupée avec sa fille. Henry va reprendre son rameau. Malheur de Malheur. Pratiquement toutes les branches sont dépouillées de leurs garnitures. Plus de poules, plus de mandarine et d’orange confites, plus d’ 1/2 ufs à la liqueur, plus de paquet de fausse cigarettes, plus de bonbons fondants. Seules deux branches du bas portent encore à leurs extrémités un minuscule lapin et un paquet de boules à la crème. Elles sont lamentables ces ramures délestées de leurs gourmandises. La consternation envahit Henry. Avant même que sa surprise se transforme en accablement, sa mère se retourne et découvre les dommages. « Henry ! » Hurle-t-elle. « Mais il a le diable au corps cet enfant ! ». Pour elle, il n’y a aucun doute. Henry s’est goinfré de friandises avant l’heure. Elle cède la pauvre mère. L’énervement matinal consécutif a la préparation de la famille s’ajoute à la soudaine contrariété suscitée par le constat de cet acte de voracité quasi-blasphématoire. Elle arme son bras droit en portant sa main loin derrière elle. La claque part. Henry tétanisé par la situation ne tente même pas un geste pour esquiver le coup. Il reçoit la plus remarquable gifle de ce dimanche des rameaux. La bouche ouverte, dans une plainte muette, il pleure. Sa joue gauche se colore en vermillon. De belles larmes larges comme le pouce dégoulinent sur son visage. Il manque d’air.
Quand il retrouve son souffle, entre deux sanglots, il explique la situation à sa mère. Et oui, il est innocent le petit. Il est victime d’un larcin. Sa mère l’admet. Pas une seule trace de chocolat ni autour de la bouche, ni sur les mains. Aucun emballage à proximité et, dans le laps de temps pendant lequel sa mère l’a quitté des yeux, aucun enfant n’aurait pu ingurgiter une telle quantité de friandise. La maman sert son Henry dans ces bras. Il sanglote sur l’épaule de sa mère qui elle-même pleure un peu. Mais Henry n’éprouve aucun ressentiment. Peut-on avoir de la rancune quand on perçoit que maman souffre encore plus que vous. Les larmes se tarissent de part et d’autre. Sa mère promet « Dés la fin de la messe, on ira vite t’en acheter une autre » Elle continue « Tant pis ! Il ne sera pas béni ». Que son rameau soit consacré ou pas, Henry s’en moque un peu. Qu’il soit complet, est, pour lui, la seule chose qui compte ! Henry fait oui de la tête. Il perçoit rapidement tous les avantages que sa situation d’innocent accusé à tort avec exécution immédiate de la sentence lui procurera toute la journée.
Henry m’a rapporté cette histoire voilà déjà quelques années. Il a précisé. « Ma gifle des rameaux est devenue un classique dans notre famille. Il n’y a pas une réunion familiale où cette méprise ne soit pas évoquée. Maman est bien âgée maintenant. Certains souvenirs lui échappent, mais pas le hold-up de mon rameau ni la baffe que je me suis ramassée à tort.»

 

De : mathieu anne marieEnvoyer un mail

Le : 22/10/2007 09:27

pour monsieur ragel michel

monsieur, j'ai fait partie du voyage sur le danaë en 2006 à Alger , et j'ai vu sur le site de christian que vous avez mis une photo d'une fontaine à la casbah.Or il se trouve que je suis avec mon amie dans le champs de votre photo que je trouve très jolie.Je voudrais vous demander si vous pourriez m'envoyer la pellicule, les frais restant à ma charge bien sûr.Je vous remercie vivement.

 

De : Sennegon-Carton JosyEnvoyer un mail

Le : 21/10/2007 19:03

Pour Christiane Coppa,
Bonsoir, je viens de lire votre dernier message concernant le "Mur des Disparus" et désirant m'y rendre en voiture de Montpellier, pouvez-vous me donner l'adresse exacte et l'heure de l'inauguration. Merci
Merci aussi à ceux qui remémorent les souvenirs sur la vie de tous les jours que nous menions là-bas!!!!!
Amitiés à tous Josy

 

Envoyez un message