Liste des messages
Le : 23/12/2007 18:19
Bonsoir á toutes et á tous, je m´associe á tous ceux qui ont déjà envoyé
leurs voeux, pour joindre les miens.
Joyeux Noël et Bonne et Heureuse Année 2008
Robert
Le : 23/12/2007 17:59
Dans la foulée de FASANO
JOYEUX NOEL à tous les fideles du site sans oublier Christian .
Sauvain_Malaga_Morali_Scotto_Balzano_Riquelme_Spinosa_ etc
JOYEUX NOEL à tous les fideles du site sans oublier Christian .
Sauvain_Malaga_Morali_Scotto_Balzano_Riquelme_Spinosa_ etc
Le : 23/12/2007 17:36
Bonsoir a toutes et tous. Je souhaite au nom du conseil d'admistration de l'association de BEO et en mon nom personnel, un joyeux Noel et une tres bonne Année 2008 a tout ce merveilleux peuple de BAB-EL-OUED et aux sympathisants. que nous vivions dans la paix, et que notre rassemblement le 1er Juin (pas sur) soit ensoleillé et encore plus nombreux pour rire, boire et manger ( notre devise ) Grosses bises a toutes et tous
Le : 23/12/2007 11:56
C'est avec un grand plaisir que je souhaite à tous les internautes du site un joyeux NOEL, avec quelques guirlandes de plus pour la famille TIMONER.
LANGLOIS Alfred (Freddy)
LANGLOIS Alfred (Freddy)
Le : 23/12/2007 11:32
Le cerceau
A Bab-El-Oued, le jeu du cerceau ne se calque pas sur les images d’Epinal qui le représente comme une sage activité, pratiquée par des enfants modèles, vêtus comme des mannequins, dans des jardins publiques et des squares tirés au cordeau sous la vigilance d’une bonne d’enfant. Pour nous, enfants de ce quartier, c’est un amusement de la rue. Il consiste, à diriger un cerceau l’aide d’une fine tige de fer dont l’une des extrémités est tordue à angle droit. Voilà un plaisir totalement gratuit car, nos bolides sont, généralement, de vieilles jantes de vélo auxquelles nous supprimons les rayons afin de ne conserver que le cercle d’acier. A l’aide d’un caillou ou d’un marteau emprunté dans quelque caisse à outils familiale nous redressons l’épave tant bien que mal. Nous connaissons et apprécions l’inestimable plaisir de concevoir nos jouets. De générations en générations la technique se transmet, la pratique se perpétue, les règles évoluent et l’activité prend, peu à peu, le profil d’une tradition.
Notre divertissement a plusieurs variantes, mais principalement nous nous livrons à une course poursuite. L’un de nous prend la tête du groupe et le défi consiste à le suivre en passant exactement là ou il est passé. Si le cerceau perd son équilibre ou si l’obstacle n’est pas vaincu, il faut se placer à la fin de la file. La compétition peut se concevoir avec ou sans dépassement des autres concurrents. Il faut simplement que ce point de règlement soit précisé au départ. Les voies en pente qui filent vers la mer offrent des circuits de course particulièrement adaptés.
Par groupe de quatre ou cinq nous nous affrontons dans des parcours que nous décorons d’effets particulièrement sonores. Au bruit de ferraille aigrelette de nos roues nous ajoutons nos propres bruitages qui plantent le décor où notre imagination évolue. A pleins poumons nous sommes, suivant notre envie, une voiture de course ou bien « une moto de police » avec toute la gamme des accélérations et des freins. S’ajoutent à cette pluie de décibels les chamailleries, les explications et les réclamations dues aux chutes du cerceau ou à la place à intégrer dans la file. Nous essuyons souvent les remontrances des adultes qui s’exaspèrent de nos fréquents passages sous leurs fenêtres ou leurs balcons. Les terrasses des cafés où nos anciens savourent leurs parties de cartes, demeurent les étapes les plus délicates à franchir. Là, notre vacarme perturbe le calme indispensable à la concentration des joueurs et nous récoltons quelques noms d’oiseaux couplés à des menaces de châtiments soulignés par des simulacres de gifles, des moulinets de bras et des agitations de cannes. C’est par pure bravade mais sans méchanceté aucune que nous traversons ces « zones dangereuses ». Nous sommes mus par l’éternel besoin qu’ont tous les enfants de ressentir le voluptueux frisson du risque.
Aujourd’hui, comme à notre habitude, nous sommes dispersés sur les marches de la placette Lelièvre qui font face à la rue de Chateaudun. Un de nous arrive avec une « roue » particulière. Elle diffère considérablement de nos pauvres et ridicules débris de bicyclette. C’est un cercle d’acier bien plus grand, plus large, plus lourd et rigoureusement plus plat que les nôtres. Il possède une stabilité sans comparaison avec nos jantes plus ou moins voilées. D’après notre copain, c’est un cercle récupéré sur le couvercle d’une barrique. Cercle de barrique ou non, nous observons avec un mélange d’admiration et d’envie cette bête de compétition. L’heureux possesseur de ce trésor souhaite nous prouver la puissance de son bolide. Il se propose de partir en bas des marches, de remonter la rue Jean-Jaurès jusqu'à l’angle en face de chez Coco et Riri, de tourner sur la droite, de suivre le trottoir pour rejoindre l’ouverture donnant sur la placette, de traverser cette dernière et de finir son circuit en dévalant les escaliers afin de rallier son point de départ. La dernière portion de course est particulièrement délicate. Descendre des marches exige une rare maîtrise de l’art du cerceau. Voilà notre champion parti. Il remonte la rue à bonne allure, poussant sa roue devant lui. La négociation du virage à droite est parfaitement maîtrisée. L’entrée sur la placette est royale et la traversée de l’esplanade de jeu un sans faute. Nous sommes tous debout et en retrait afin de ne pas gêner le compétiteur qui arrive et se prépare à dévaler les marches. Il se décale un peu sur la droite de son appareil pour mieux contrôler la descente. Le cercle de barrique mord sur la première marche. Parfaitement domestiqué par son conducteur il ignore les difficultés causées par le franchissement des angles successifs. Après une dizaine de rebonds c’est de nouveau le trottoir. Le circuit est achevé. L’heureux propriétaire de ce cerceau de luxe stoppe sa course et se retourne vers nous. Sa démonstration concluante l’autorise à un regard triomphant. Demain, tout le monde se consacrera à la chasse au cercle de barrique pour lutter à armes égales avec lui …
http://www.sbeo.blogspot.com/
A Bab-El-Oued, le jeu du cerceau ne se calque pas sur les images d’Epinal qui le représente comme une sage activité, pratiquée par des enfants modèles, vêtus comme des mannequins, dans des jardins publiques et des squares tirés au cordeau sous la vigilance d’une bonne d’enfant. Pour nous, enfants de ce quartier, c’est un amusement de la rue. Il consiste, à diriger un cerceau l’aide d’une fine tige de fer dont l’une des extrémités est tordue à angle droit. Voilà un plaisir totalement gratuit car, nos bolides sont, généralement, de vieilles jantes de vélo auxquelles nous supprimons les rayons afin de ne conserver que le cercle d’acier. A l’aide d’un caillou ou d’un marteau emprunté dans quelque caisse à outils familiale nous redressons l’épave tant bien que mal. Nous connaissons et apprécions l’inestimable plaisir de concevoir nos jouets. De générations en générations la technique se transmet, la pratique se perpétue, les règles évoluent et l’activité prend, peu à peu, le profil d’une tradition.
Notre divertissement a plusieurs variantes, mais principalement nous nous livrons à une course poursuite. L’un de nous prend la tête du groupe et le défi consiste à le suivre en passant exactement là ou il est passé. Si le cerceau perd son équilibre ou si l’obstacle n’est pas vaincu, il faut se placer à la fin de la file. La compétition peut se concevoir avec ou sans dépassement des autres concurrents. Il faut simplement que ce point de règlement soit précisé au départ. Les voies en pente qui filent vers la mer offrent des circuits de course particulièrement adaptés.
Par groupe de quatre ou cinq nous nous affrontons dans des parcours que nous décorons d’effets particulièrement sonores. Au bruit de ferraille aigrelette de nos roues nous ajoutons nos propres bruitages qui plantent le décor où notre imagination évolue. A pleins poumons nous sommes, suivant notre envie, une voiture de course ou bien « une moto de police » avec toute la gamme des accélérations et des freins. S’ajoutent à cette pluie de décibels les chamailleries, les explications et les réclamations dues aux chutes du cerceau ou à la place à intégrer dans la file. Nous essuyons souvent les remontrances des adultes qui s’exaspèrent de nos fréquents passages sous leurs fenêtres ou leurs balcons. Les terrasses des cafés où nos anciens savourent leurs parties de cartes, demeurent les étapes les plus délicates à franchir. Là, notre vacarme perturbe le calme indispensable à la concentration des joueurs et nous récoltons quelques noms d’oiseaux couplés à des menaces de châtiments soulignés par des simulacres de gifles, des moulinets de bras et des agitations de cannes. C’est par pure bravade mais sans méchanceté aucune que nous traversons ces « zones dangereuses ». Nous sommes mus par l’éternel besoin qu’ont tous les enfants de ressentir le voluptueux frisson du risque.
Aujourd’hui, comme à notre habitude, nous sommes dispersés sur les marches de la placette Lelièvre qui font face à la rue de Chateaudun. Un de nous arrive avec une « roue » particulière. Elle diffère considérablement de nos pauvres et ridicules débris de bicyclette. C’est un cercle d’acier bien plus grand, plus large, plus lourd et rigoureusement plus plat que les nôtres. Il possède une stabilité sans comparaison avec nos jantes plus ou moins voilées. D’après notre copain, c’est un cercle récupéré sur le couvercle d’une barrique. Cercle de barrique ou non, nous observons avec un mélange d’admiration et d’envie cette bête de compétition. L’heureux possesseur de ce trésor souhaite nous prouver la puissance de son bolide. Il se propose de partir en bas des marches, de remonter la rue Jean-Jaurès jusqu'à l’angle en face de chez Coco et Riri, de tourner sur la droite, de suivre le trottoir pour rejoindre l’ouverture donnant sur la placette, de traverser cette dernière et de finir son circuit en dévalant les escaliers afin de rallier son point de départ. La dernière portion de course est particulièrement délicate. Descendre des marches exige une rare maîtrise de l’art du cerceau. Voilà notre champion parti. Il remonte la rue à bonne allure, poussant sa roue devant lui. La négociation du virage à droite est parfaitement maîtrisée. L’entrée sur la placette est royale et la traversée de l’esplanade de jeu un sans faute. Nous sommes tous debout et en retrait afin de ne pas gêner le compétiteur qui arrive et se prépare à dévaler les marches. Il se décale un peu sur la droite de son appareil pour mieux contrôler la descente. Le cercle de barrique mord sur la première marche. Parfaitement domestiqué par son conducteur il ignore les difficultés causées par le franchissement des angles successifs. Après une dizaine de rebonds c’est de nouveau le trottoir. Le circuit est achevé. L’heureux propriétaire de ce cerceau de luxe stoppe sa course et se retourne vers nous. Sa démonstration concluante l’autorise à un regard triomphant. Demain, tout le monde se consacrera à la chasse au cercle de barrique pour lutter à armes égales avec lui …
http://www.sbeo.blogspot.com/
Le : 23/12/2007 11:02
Bonjour à toutes et à tous !
Je vous souhaite de passer de bonnes fetes de fin d'année !
Que vos reves et souhaits les plus chers se realisent en 2008 et que la Paix regne enfin sur cette terre !
Mon reve a moi serait qu'en 2008 nous n'entendions plus parler de guerre et d'homicide de pauvres gens qui n'aspirent qu'a une chose : VIVRE VIVRE mais surtout VIVRE EN PAIX.
Que nous soyons Catholiques, Musulmans, Juifs ou d'une autre religion : Donnons nous tous la main et Prions ensemble et demandons à Dieu de nous écouter !
Que nos anciens vivent jusqu'a 120 ans et que nos chers disparus reposent en paix et veillent toujours sur nous !
Je tiens à remercier comme à chaque fois : Toute la famille TIMONER pour leur sympathie et leur gentillesse.
Toutes les personnes avec qui je parle ici et qui m'ont aidées à retrouver des amis d'enfance de mon pere et quelquefois meme de la famille !
Je voudrais aussi marquer une minute de silence pour le départ de nos Amis nos Freres qui sont partis beaucoup trop vite mais dont nous garderons le souvenir gravés dans nos coeurs !
Bonnes fetes a tous : Joyeux Noel , Aid Moubarek , et Bon Bout d'an !
David MEDIONI
Je vous souhaite de passer de bonnes fetes de fin d'année !
Que vos reves et souhaits les plus chers se realisent en 2008 et que la Paix regne enfin sur cette terre !
Mon reve a moi serait qu'en 2008 nous n'entendions plus parler de guerre et d'homicide de pauvres gens qui n'aspirent qu'a une chose : VIVRE VIVRE mais surtout VIVRE EN PAIX.
Que nous soyons Catholiques, Musulmans, Juifs ou d'une autre religion : Donnons nous tous la main et Prions ensemble et demandons à Dieu de nous écouter !
Que nos anciens vivent jusqu'a 120 ans et que nos chers disparus reposent en paix et veillent toujours sur nous !
Je tiens à remercier comme à chaque fois : Toute la famille TIMONER pour leur sympathie et leur gentillesse.
Toutes les personnes avec qui je parle ici et qui m'ont aidées à retrouver des amis d'enfance de mon pere et quelquefois meme de la famille !
Je voudrais aussi marquer une minute de silence pour le départ de nos Amis nos Freres qui sont partis beaucoup trop vite mais dont nous garderons le souvenir gravés dans nos coeurs !
Bonnes fetes a tous : Joyeux Noel , Aid Moubarek , et Bon Bout d'an !
David MEDIONI
Le : 23/12/2007 11:01
Bien que traversant qqs "turbulances", je souhaite à chacun (e) d'entre vous une jolie fête de Noël pleine d'amour.Plein de gros bisous. M@rie
Le : 23/12/2007 08:56
Bonjour à Tous
A l'occasion des fêtes de fin d'année,je vous souhaite de les passer dans la santé,la bonne humeur et la paix
A nos amis de confession musulmane,je leur souhaite une excellente fête de l'Aïd
A l'Année prochaine!!!!
Le : 23/12/2007 08:11
BONJOUR A TOUS
JE VOUS SOUHAITE A TOUS UN JOYEUX NOEL QUE CE JOUR SOIT UNE JOURNEE DE PARTAGE D'AMOUR ET DE TOLERANCE BONNE JOURNEE A TOUS ANDREE
JE VOUS SOUHAITE A TOUS UN JOYEUX NOEL QUE CE JOUR SOIT UNE JOURNEE DE PARTAGE D'AMOUR ET DE TOLERANCE BONNE JOURNEE A TOUS ANDREE