pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : rachelEnvoyer un mail

Le : 18/12/2007 18:00

Le Michel Portelli en question, celui que j'ai contacté n'est pas de Bab el Oued mais de Philippeville alors Guy, il te reste à rayer et à chercher ailleurs qu'à Marseille

 

De : RachelEnvoyer un mail

Le : 18/12/2007 16:31


Tu cherches des amis d'enfance de Bab El Oued !
une solution facile :
tu cliques sur le joint ci dessous :
http://www.pagesjaunes.fr/trouverlesprofessionnels/index.do

tu notes le nom et en dessous le prénom et tu cherches
en faisant le 01, puis le 02 etc etc jusqu'au 95 et tu auras cherché dans toute la france
En ce qui concerne Marc Hazan et Portelli MIchel
j'ai trouvé
1/ Hazan Marc, Marseille 0965037563
2/ Portelli Michel , Marwseille 04.91.92.06.85

Sont-ils les bons ?
A toi de jouer

 

De : Guy SOLTANAEnvoyer un mail

Le : 18/12/2007 11:29

Qui me fera ce beau cadeau de Noël ? Les 3 et 4 décembre derniers j'ai laissé un message sur ce site avec beaucoup d'espoir. Malheureusement, jusqu'à ce jour, je n'ai pas eu de nouvelles des personnes que je recherche. Il s'agit de :
- Michel Portelli
- Marc Hazan
- Norbert Rosello (ou Roselo) tous les trois du quartier de la rue Mizon (ou tout près).
Qui les connait ? Qui peut me donner de leurs nouvelles ?
Qui connait Francette ESTEVE, rue Vasco de Gama ? Elle était ma première amourette lorsque j'étais enfant. Qu'est-elle devenue ?
Je suis toujours à la recherche de photos de classe, école de la rue Franklin, années 1945 à 1950. Je suis né en 1941.
Merci pour la moindre petite info.

 

De : Chantal TEnvoyer un mail

Le : 17/12/2007 22:10

Bravo Pierre Emile pour cette loubia.J'en ai eu l'eau à la bouche.
Continue de nous offrir tes récits qui nous plongent dans ce monde merveilleux et perdu.Amicalement.

 

De : Pierre-Emile BisbalEnvoyer un mail

Le : 17/12/2007 18:34

La Loubia

Mes parents sont partis à une répétition de la chorale Jean-Claude. Ce soir je mange seul avec ma grand-mère Ascencion. Depuis le début de l’après-midi elle s’affaire dans sa cuisine, mais j’ai déjà deviné ce que nous allons manger car, hier je l’ai vu mettre les gros haricots blancs à tremper. En plus, tout à l’heure, j’ai entendu le bruit du pilon dans le mortier de bois pour écraser l’ail, le kemoun, le poivre rouge et le clou de girofle. Les odeurs de cuisson qui filtrent sous la porte fermée du royaume de ma grand-mère confirment mon pronostic. Elle fait de la Loubia. Je me régale par avance et, pour oublier le temps, je me plonge dans les aventures dessinées de Miki le Ranger du Texas.
-« C’est prêt, mets la table ! » a dit mémé à travers la porte. J’ai lâchement abandonné Miki et j’ai mis le couvert. Hypocritement, j’ai demandé : « qu’est-ce qu’il y à manger ? » Elle allait me répondre quand on a sonné à la porte. C’est mon oncle, son fils, le frère de ma mère. Au dessus de tous ces titres c’est surtout mon complice. Il me ballade sur sa vespa, il m’emmène pécher au port, sur les blocs, il me traîne chez Quesada le garagiste et parfois on va voir ses copines, mais ça je ne dois pas en parler. Avec lui je n’ai pas neuf ans : je suis un grand. Il travaille de nuit à l’Echo d’Alger, à l’imprimerie de journal. Il est linotypiste
-« Maman, ça sent bon ! Tu as fait de la loubia ? Je m’invite ! » Il passe ses bras autour des épaules de ma grand-mère et l’embrasse doucement. Bien sûr qu’il peut s’inviter, mémé cuisine toujours pour cinquante. Alors que j’allais prendre une troisième assiette, mon oncle m’a stoppé. –«Pierre-Emile, Mets des bols ! la loubia ça ce mange dans des bols, comme chez Maklouf. » C’est mon oncle tout craché il met de la fantaisie partout. Le faitout fumant est posé sur grosse assiette renversée qui sert de dessous de plat. Ma grand-mère nous sert pendant que mon oncle m’explique que Maklouf c’est un restaurant ou plutôt une gargote, ou l’on sert la meilleure loubia d’Alger. Il promet de m’y emmener un jour. Je ne comprends pas très bien ce qu’est une gargote, mais je lâche un « oui » enthousiaste. Je déguste ma loubia dans mon bol. C’est vrai que c’est meilleur, différent et plus pratique. La couleur est plus rouge. On peut bien caler les gros haricots contre la paroi du bol et les faire basculer dans la cuillère. Je trouve que le fumet du plat est plus concentré. La bonne odeur du kemoun monte comme d’une cheminée. En douce, quand ma grand-mère part dans la cuisine, mon oncle parsème ma ration de quelques gouttes d’huile « felfel ». C’est un délice supplémentaire de sentir sur ma langue et contre le palais les attaques rugueuses du piment. Je m’étouffe un peu, mon oncle rit et me fait un « tape cinq ». Je suis heureux devant mon bol, avec mes yeux qui pleurent, la bouche en feu et ce fou rire qui nous secoue. Mémé revient et devine ce qui se passe. « Qui c’est le plus petit des deux ? » demande-t-elle à mon oncle en essayant de faire celle qui est en colère. On rit tous les trois.
Le repas fini, mon oncle s’est levé, ma grand-mère l’a imité. – « elle était "taïba" ta loubia » a-t-il dit à mémé. Elle a un peu baissé la tête, elle a fait sa modeste, mais moi je sais qu’elle adore qu’on la complimente sur sa cuisine. Mon oncle nous a dit au revoir et s’est engouffré dans l’escalier. Je suis vite allé au balcon de la salle de séjour qui donne sur l’avenue de la Bouzaréah. Je crie « Tonton ! » et j’agite le bras. Il monte sur son scooter. Il me rend mon salut et part à son travail.
Je ne suis jamais allé manger la loubia chez Maklouf, la vie (et ce que les hommes en font) en a décidé autrement. Cinquante ans après, quand je repense à cette soirée, je me dis que c’est tous ces instants de bonheur simple qui m’ont construit. J’en suis redevable à tous ceux qui les ont mis en 1/2 uvre. Leur souvenir est tatoué dans mon c 1/2 ur et dans mon âme.

 

De : Françoise PEREREnvoyer un mail

Le : 17/12/2007 17:43

je m'aperçois que je me suis trompée, il s'agit bien de la photo proposée par Monique GINER, classe de CM2 mais l'année scolaire est 1958-1959

 

De : Françoise PEREREnvoyer un mail

Le : 17/12/2007 17:39

Voilà des années que je cherche à retrouver mes camarades de classe et les lieux que j'ai fréquentés, enfant, à Alger. Et hier soir, quelle joie de voir plusieurs photos sur lesquelles apparaissent des personnes que j'ai bien connues.
En entre autre la photo de classe CM2 1957-1958 proposée par Monique Giner. Si cette dernière ou d'autres veulent me contacter, c'est avec plaisir que je répondrai, d'autant plus que d'autres noms des élèves figurant sur la photo me sont revenus.
A bientôt j'espère (vivement!)

 

De : BORRAS andreEnvoyer un mail

Le : 16/12/2007 18:58

Moi Andre Borras et toute ma famille nous vous remercions pour tous vos messages de sympathie pour le deces de mon papa Jacques borras

 

De : SauveurEnvoyer un mail

Le : 16/12/2007 07:39

A FASANO

Le COZZOLINO dont tu parles habitait-il rue Richard LEBAHR,balcon rue des Lavandières dernier étage
Un copain des Messageries qui n'a pas d'ordi,demande que signifiaient les affiches parues sur les murs d'Alger durant la 2e guerre mondiale (à mon avis après le débarquement américain)ayant pour titre ZULU & TORTOISE
Le pilote hollandais du remorqueur qui a sorti en Août 1943 le WATSON enflammé,proche d'autres navires renfermant des munitions,hors du port pour l'echouer sur la plage d'Hussein Dey,vient d'être décoré(60 ans apres) pour son acte de courage

 

De : VivienEnvoyer un mail

Le : 16/12/2007 07:29

A FATIHA

Il y a un site dedié spécialement au quartier de la rue Camille DOULS> le Parasol

La lettre du Docteur SAVELLI circule sur des foras

 

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