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Le : 12/01/2008 00:33
salut Henry
etait tu a ll ecole Rochambeau , Mon mari etait aussi de 1939 tu as du le connaitre peut etre
France
etait tu a ll ecole Rochambeau , Mon mari etait aussi de 1939 tu as du le connaitre peut etre
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Le : 11/01/2008 22:44
très ému à la lecture de ces noms de lieux Guillemin Rochambeau,de prof et de condisciples
un peu de spleen et d'excitation
ou sont-ils quatreveaux ,ayache, zouaî notre érudit 1° prix dans toutes les matières, aîssi le taciturne,et ceux dont j'ai oublié le nom? ( je suis de 1939)
De la sixième 2 à la terminale math-elem en 1954 au Collège GUILLEMIN
je reviendrai souvent sur ce site
c'est quoi ROGNES?
bonne année à tous ceux de GUILLEMIN!!!!!
qui était notre prof de français en sixième ? me souviens plus du nom.
un peu de spleen et d'excitation
ou sont-ils quatreveaux ,ayache, zouaî notre érudit 1° prix dans toutes les matières, aîssi le taciturne,et ceux dont j'ai oublié le nom? ( je suis de 1939)
De la sixième 2 à la terminale math-elem en 1954 au Collège GUILLEMIN
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c'est quoi ROGNES?
bonne année à tous ceux de GUILLEMIN!!!!!
qui était notre prof de français en sixième ? me souviens plus du nom.
Le : 11/01/2008 22:17
Rentrer à la nuit
Avec mes parents, ils nous arrivent de rentrer un peu tard de chez mes grands-parents paternels. Ils habitent au 5 rue Jean-Jaures à coté de la placette Lelièvre et il nous faut aller au 51 avenue de la Bouzaréah. Le plus terrible c’est de traverser la rue du marché toute vide et toute sombre. Le dernier brin de lumière c’est souvent le magasin de Khader. Deux ou trois personnes préparent les volailles qui seront vendues demain. Ils sont assis sur de hauts tabourets avec des grands tabliers. Ils plument les poules et les poulets et du duvet vole tout autour d’eux. Parfois on fait une halte pour passer une commande. Khader note ce qu’il nous faut dans un petit carnet qu’il range dans la poche de poitrine de sa salopette bleue. Je repars toujours avec une ou deux grandes plumes soyeuses.
Apres c’est la nuit, ou presque. Je tiens bien fermement la main de mon père et celle de ma mère. Quand il fait encore jour, il faut me rappeler à l’ordre car je cours devant essayant de trouver quelque chose afin de shooter dedans. Parfois, quand j’ai de la chance, le bâtiment de la pêcherie est ouvert. Je le traverse en courant pour le seul plaisir d’entendre raisonner mes pas sous la voûte. Mais le soir, très tard, je m’abstiens de divaguer. Je suis bien encadré par mes parents. C’est comme un rempart. Je surveille quand même les alentours. Les pistoleros mexicains, les tuniques rouges, les outlaws, tous ces bandits qui compliquent à plaisir la vie de mes héros de bandes dessinées. A l’époque on ne disait pas bandes dessinées mais « un petit livre ». Ces petits formats, en noir et blanc, imprimés sur un mauvais papier devenaient les passagers clandestins de nos cartables car nous nous les échangions dans la cour de récréation ou sur la placette après l’heure de la sortie. Pendant les vacances, quand il pleuvait ou quand la chaleur nous détournait du foot ou des interminables parties de « délivrance », on s’installait sous le kiosque, chacun apportait deux ou trois de ces modestes ouvrages et on se délectait des aventures de nos héros: Blek le Roc – Trappeur luttant contre les anglais avec l’aide du professeur Occultis et de Roddy ou Miki le Ranger du Texas avec ses compagnons : -Double-Rhum et le docteur Saignée.
Les bandits peuvent, à tout instant, déboucher de la pêcherie ou surgir de derrière les étals démontés et plaqués contre les murs. Dans l’ombre, ces armatures de bois ressemblent à de sinistres potences. Tout est bien trop calme. C’est un marché fantôme. Autour de nous le silence est percé par le bruit des talons de maman sur les pavés. Mes parents ne sont pas conscients du danger. Ils discutent comme si de rien n’était. La petite construction où l’on vend les beignets italiens est déjà visible dans la clarté des Trois Horloges. C’est comme un fortin dans la grande plaine du Far West. Nous y sommes. Une fois de plus les Apaches renégats, les pilleurs de banques et autres déserteurs de la cavalerie se sont tenus tranquilles. Ils n’ont pas osé affronter mon père qui est grand. Ils ont du se douter que, malgré sa taille légèrement plus petite, ma mère avait son caractère et que le combat serait rude. Ma fidèle escorte a dissuadé toute velléité d’une lâche embuscade. Nous sommes aux trois horloges. Je peux galoper devant. Je dépasse le poste de secours (la pharmacie) et le saloon où les cow-boys, après une dure journée à rassembler les troupeaux, boivent leurs anisettes du soir. Je fais quand même une halte devant l’entrée de notre immeuble. Courageux, mais pas téméraire, j’attends que mes parents me rejoignent. Notre petite entrée s’est métamorphosée en un énorme gouffre noir et je ne serai pas étonné que quelques desperados soient tapis dans l’ombre à mijoter un mauvais coup. Mes parents me précèdent, trouvent l’interrupteur. La minuterie se déclenche, la lumière jaillit mais ça ne va pas durer éternellement. Je m’élance dans la cage d’escalier au triple galop en frappant ma hanche pour stimuler mon cheval imaginaire. Pour bien souligner le suspens qui s’installe je chantonne un air de circonstance. Je débouche sur le pallier du quatrième étage. « Ho ! » dis-je en tirant les rennes de mon pur-sang. Je frappe. Ma grand-mère ouvre. Je lui demande de laisser les portes du fort ouvertes pour mon escorte. Plus exactement je lui dis que papa et maman sont dans les escaliers. Encore une mission réussie ! C’est bon de se faire un peu peur.
http://www.sbeo.blogspot.com/
Avec mes parents, ils nous arrivent de rentrer un peu tard de chez mes grands-parents paternels. Ils habitent au 5 rue Jean-Jaures à coté de la placette Lelièvre et il nous faut aller au 51 avenue de la Bouzaréah. Le plus terrible c’est de traverser la rue du marché toute vide et toute sombre. Le dernier brin de lumière c’est souvent le magasin de Khader. Deux ou trois personnes préparent les volailles qui seront vendues demain. Ils sont assis sur de hauts tabourets avec des grands tabliers. Ils plument les poules et les poulets et du duvet vole tout autour d’eux. Parfois on fait une halte pour passer une commande. Khader note ce qu’il nous faut dans un petit carnet qu’il range dans la poche de poitrine de sa salopette bleue. Je repars toujours avec une ou deux grandes plumes soyeuses.
Apres c’est la nuit, ou presque. Je tiens bien fermement la main de mon père et celle de ma mère. Quand il fait encore jour, il faut me rappeler à l’ordre car je cours devant essayant de trouver quelque chose afin de shooter dedans. Parfois, quand j’ai de la chance, le bâtiment de la pêcherie est ouvert. Je le traverse en courant pour le seul plaisir d’entendre raisonner mes pas sous la voûte. Mais le soir, très tard, je m’abstiens de divaguer. Je suis bien encadré par mes parents. C’est comme un rempart. Je surveille quand même les alentours. Les pistoleros mexicains, les tuniques rouges, les outlaws, tous ces bandits qui compliquent à plaisir la vie de mes héros de bandes dessinées. A l’époque on ne disait pas bandes dessinées mais « un petit livre ». Ces petits formats, en noir et blanc, imprimés sur un mauvais papier devenaient les passagers clandestins de nos cartables car nous nous les échangions dans la cour de récréation ou sur la placette après l’heure de la sortie. Pendant les vacances, quand il pleuvait ou quand la chaleur nous détournait du foot ou des interminables parties de « délivrance », on s’installait sous le kiosque, chacun apportait deux ou trois de ces modestes ouvrages et on se délectait des aventures de nos héros: Blek le Roc – Trappeur luttant contre les anglais avec l’aide du professeur Occultis et de Roddy ou Miki le Ranger du Texas avec ses compagnons : -Double-Rhum et le docteur Saignée.
Les bandits peuvent, à tout instant, déboucher de la pêcherie ou surgir de derrière les étals démontés et plaqués contre les murs. Dans l’ombre, ces armatures de bois ressemblent à de sinistres potences. Tout est bien trop calme. C’est un marché fantôme. Autour de nous le silence est percé par le bruit des talons de maman sur les pavés. Mes parents ne sont pas conscients du danger. Ils discutent comme si de rien n’était. La petite construction où l’on vend les beignets italiens est déjà visible dans la clarté des Trois Horloges. C’est comme un fortin dans la grande plaine du Far West. Nous y sommes. Une fois de plus les Apaches renégats, les pilleurs de banques et autres déserteurs de la cavalerie se sont tenus tranquilles. Ils n’ont pas osé affronter mon père qui est grand. Ils ont du se douter que, malgré sa taille légèrement plus petite, ma mère avait son caractère et que le combat serait rude. Ma fidèle escorte a dissuadé toute velléité d’une lâche embuscade. Nous sommes aux trois horloges. Je peux galoper devant. Je dépasse le poste de secours (la pharmacie) et le saloon où les cow-boys, après une dure journée à rassembler les troupeaux, boivent leurs anisettes du soir. Je fais quand même une halte devant l’entrée de notre immeuble. Courageux, mais pas téméraire, j’attends que mes parents me rejoignent. Notre petite entrée s’est métamorphosée en un énorme gouffre noir et je ne serai pas étonné que quelques desperados soient tapis dans l’ombre à mijoter un mauvais coup. Mes parents me précèdent, trouvent l’interrupteur. La minuterie se déclenche, la lumière jaillit mais ça ne va pas durer éternellement. Je m’élance dans la cage d’escalier au triple galop en frappant ma hanche pour stimuler mon cheval imaginaire. Pour bien souligner le suspens qui s’installe je chantonne un air de circonstance. Je débouche sur le pallier du quatrième étage. « Ho ! » dis-je en tirant les rennes de mon pur-sang. Je frappe. Ma grand-mère ouvre. Je lui demande de laisser les portes du fort ouvertes pour mon escorte. Plus exactement je lui dis que papa et maman sont dans les escaliers. Encore une mission réussie ! C’est bon de se faire un peu peur.
http://www.sbeo.blogspot.com/
Le : 11/01/2008 20:43
bonjour, a tous les gens qui me reconnaitrons, je suis d'alger de bab-el-oued , la rue charles le bar, et j'aimerais retrouver des anciens camarades de mon epoque, la famille SCOTTO D'APOLLONIA
Le : 11/01/2008 16:51
À l'occasion du quarantième jour du décès de notre cher et regretté Momo, je demanderai à tous ce qui l'on connu d'avoir une pensée pour cet homme qui fut l'un des architectes du rapprochement des pieds noirs avec leur pays natal. L'homme est mort mais son oeuvre restera debout.
Le : 11/01/2008 13:27
Salut Samy,Salut Mathieu
Sauf erreur de ma part SEBAOUN Claude a ete mon moniteur de colo a Teniet el Haad en 51. Je l'ai retrouvé lors de ma rentrée scolaire en 6°.
Samy parmi nos collegues il y avait DAOUD dont le pere etait president du Mouloudia, vous avez omis de citer Sidi ben Ali et ceux de l'equipe de volley.......mais nous etions si nombreux à Guillemin, autant d'âmes que de babelouediens ( boutade)
Il serait peut etre interessant d'adjoindre à cet ouvrage les noms ,adresses, mails enfin un repertoire nominatif.
Qu'en pensez vous ?
Au plaisir de vous lire et si tout va bien le 1°Juin à Rognes en esperant que d'autres Anciens viennent non seulement grossir les rangs mais etoffer l'ouvrage par les souvenirs et anecdotes.
Bien à vous les Amis
Norbert
Sauf erreur de ma part SEBAOUN Claude a ete mon moniteur de colo a Teniet el Haad en 51. Je l'ai retrouvé lors de ma rentrée scolaire en 6°.
Samy parmi nos collegues il y avait DAOUD dont le pere etait president du Mouloudia, vous avez omis de citer Sidi ben Ali et ceux de l'equipe de volley.......mais nous etions si nombreux à Guillemin, autant d'âmes que de babelouediens ( boutade)
Il serait peut etre interessant d'adjoindre à cet ouvrage les noms ,adresses, mails enfin un repertoire nominatif.
Qu'en pensez vous ?
Au plaisir de vous lire et si tout va bien le 1°Juin à Rognes en esperant que d'autres Anciens viennent non seulement grossir les rangs mais etoffer l'ouvrage par les souvenirs et anecdotes.
Bien à vous les Amis
Norbert
Le : 11/01/2008 12:19
Bonjour à toutes et à toutes et merci/s pour ce feu (ça réchauffe en cette saison) d'artifices de voeux babelouediens, adjectif plus que qualificatif qui devrait entrer dans les dictionnaires...toujours en retard d'une ou plusieurs guerres, la nôtre remontant au ...millénaire dernier...; c'est dire que nombre d'entre nous ont disparu, disparaissent chaque jour, connu-e-s ou inconnu-e-s, ces humbles lumières qui font briller le monde jusqu'à le rendre aveuglant, oubliant par là-même qu'elles ne "réfléchissent" plus si , à moins que...., nous, enfants de la mer, profitions de ce site fabuleux pour que les vagues incessantes de nos souvenirs viennent inlassablement le caresser, le cajoler, le gronder, le fouetter, l'animer, le tonifier, le vivifier, lui faire garder cette ambiance colorée, maritime, populaire, faubourienne, à nulle autre pareille.....
Alors, oui , merci/s à vous toutes et tous de continuer à écrire notre histoire .....Merci/s aux anciens de Guillemin de retrousser les manches et de suivre nos plus anciens. Etant de Bugeaud mais avant tout de Babeloued-Sigwalt, je pense profitable de vous citer une phrase d'un de mes profs de lettres classiques qui nous disait " Souvenez-vous, jeunes gens que nous ne sommes que des nains hissés sur des épaules de géants" : ceci, pour rendre hommage à toutes Celles et Ceux qui nous ont précédé et donné vie....
P.....! ! !, quand je pense que je suis venu sur le site, juste pour donner un renseignement et que j'ai déliré, eh ben je me dis que je dois quand même vous aimer un peu?... certainement! beaucoup?... c'est sûr! à la folie?...c'est presque inte(r)nable ! ! !
Allez, n'oubliez pas : en 2008, déli(v)rez(-vous) sans modération et pour vous aider, -(re)P.......! ! ! j'arrive enfin à vous le faire connaître- allez le consulter:
"chritophe.certain@cuisine-pied-noir.com"
@ très bientôt
Alors, oui , merci/s à vous toutes et tous de continuer à écrire notre histoire .....Merci/s aux anciens de Guillemin de retrousser les manches et de suivre nos plus anciens. Etant de Bugeaud mais avant tout de Babeloued-Sigwalt, je pense profitable de vous citer une phrase d'un de mes profs de lettres classiques qui nous disait " Souvenez-vous, jeunes gens que nous ne sommes que des nains hissés sur des épaules de géants" : ceci, pour rendre hommage à toutes Celles et Ceux qui nous ont précédé et donné vie....
P.....! ! !, quand je pense que je suis venu sur le site, juste pour donner un renseignement et que j'ai déliré, eh ben je me dis que je dois quand même vous aimer un peu?... certainement! beaucoup?... c'est sûr! à la folie?...c'est presque inte(r)nable ! ! !
Allez, n'oubliez pas : en 2008, déli(v)rez(-vous) sans modération et pour vous aider, -(re)P.......! ! ! j'arrive enfin à vous le faire connaître- allez le consulter:
"chritophe.certain@cuisine-pied-noir.com"
@ très bientôt
Le : 11/01/2008 12:19
A LIGUORI Mathieu et à tous les anciens de GUILLEMIN.
Ne prenez pas ma petite phrase pour un reproche ou une offense, c'et simplement une boutade.
Je ne serai pas "pata négra" , et, en plus de BAB EL OUED, si je n'étais pas un "peu taquin", c'est mon coté "petit ouillone" de la rue Léon Roches, qui ressort.
En plus c'est pour faire avancer le "schmilblic" et "étoffer" un peu le site de Christian (merci encore à lui).
Salut à Guy de la rue Taine, mon condisciple à Franklin et copain de jeunesse.
BONNE ANNEE A TOUS
@+
Freddy
Ne prenez pas ma petite phrase pour un reproche ou une offense, c'et simplement une boutade.
Je ne serai pas "pata négra" , et, en plus de BAB EL OUED, si je n'étais pas un "peu taquin", c'est mon coté "petit ouillone" de la rue Léon Roches, qui ressort.
En plus c'est pour faire avancer le "schmilblic" et "étoffer" un peu le site de Christian (merci encore à lui).
Salut à Guy de la rue Taine, mon condisciple à Franklin et copain de jeunesse.
BONNE ANNEE A TOUS
@+
Freddy
Le : 11/01/2008 12:07
Bonjour tous
pour Grim
j'ai mis Guy de la rue taine , mon nom de famille Pons , un nom très commun a BabEl Oued , ce n'est pas volontairement que je n'ai pas mis mon nom , un petit oubli , mais il y a un autre Guy Pons , de la rue Mizon , et comme il y avait confusion , lors d'une entrevue , nous nous sommes mis d'accord , pour nous différencier , de mettre le nom de notre rue , voila pourquoi je mets toujours Guy de la rue Taine, désolé , je ne suis pas Coisman , que je ne connais pas non plus .
salut , Grim , a un de ces jours , peut être
Pour Liguori Mathieu ,
tu as raison , il faudrait que " les vieux " se manifestent un peu plus , mais il y en a beaucoup qui ne veulent pas entendre parler d'ordinateur , j'ai placé mon message , a tout hasard , voir si ..... des fois ..... mais ça ne fait rien car depuis mars 2004 que je consulte les messages sur " timoner " , et je profite de l ' occasion pour le remercier encore , j ' ai retrouvé beaucoup de copains et copines de Bab El Oued , quartier , foot , école Franklin , et d'autres de Bainem , Bains Romains ,
Voila , j'éspere que le 1er juin nous pourrons nous rencontrer a Rognes , si tout se passe bien
amitiés a vous tous
Guy Pons de la rue taine
pour Grim
j'ai mis Guy de la rue taine , mon nom de famille Pons , un nom très commun a BabEl Oued , ce n'est pas volontairement que je n'ai pas mis mon nom , un petit oubli , mais il y a un autre Guy Pons , de la rue Mizon , et comme il y avait confusion , lors d'une entrevue , nous nous sommes mis d'accord , pour nous différencier , de mettre le nom de notre rue , voila pourquoi je mets toujours Guy de la rue Taine, désolé , je ne suis pas Coisman , que je ne connais pas non plus .
salut , Grim , a un de ces jours , peut être
Pour Liguori Mathieu ,
tu as raison , il faudrait que " les vieux " se manifestent un peu plus , mais il y en a beaucoup qui ne veulent pas entendre parler d'ordinateur , j'ai placé mon message , a tout hasard , voir si ..... des fois ..... mais ça ne fait rien car depuis mars 2004 que je consulte les messages sur " timoner " , et je profite de l ' occasion pour le remercier encore , j ' ai retrouvé beaucoup de copains et copines de Bab El Oued , quartier , foot , école Franklin , et d'autres de Bainem , Bains Romains ,
Voila , j'éspere que le 1er juin nous pourrons nous rencontrer a Rognes , si tout se passe bien
amitiés a vous tous
Guy Pons de la rue taine