Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

pour GRIM
merci pour ton acceuil
collège GUILLEMIN:
un prof d'anglais Monsieur Elmalih très rigoureux
monsieur julia faisait la chasse( en pantalons de golf ) à tous ceux qui chahutaient monsieur Dourson ou ses jeunes collegues
dans sa classe les murs étaient tapissés de bandeaux chacun portant le nom d'un auteur
;la longueur du bandeau visualisait la durée de vie de l'auteur depuis je sais que Fontenelle a vécu 100 ans ! on n'oublie pas !
l'herbier commencé avec Monsieur FLET n'a jamais connu l''embonpoint!

pour claude-france
tu vas sur photos de la rue Rochambeau tu déroules jusqu'à la 17° photo1943-1944
au 2° rang à partir de ta gauche jesuis en N° 5!!peux-tu me dire qui est ton frère ," je suis sur le site depuis seulement 2 jours! désolé;
pour didine
quand on sortait les mots de l'armoire souvent" ils sentaient la naphtaline"
j'ai retrouvé quatrevaux merci à vous les internautes

A LIGUORI,merci pour ton information au sujet de SIDIBENALI,car on n'a jamais su ou il avait émigré.
A DOTTORE GRIM,tes écrits me rappellent M.FLET et ses cours de sciences -nat.Ainsi,un certain été ALGER a été envahie par les sauterelles,c'était quelque chose d'extraordinaire,on ne voyait plus le ciel.A la rentrée scolaire,M.FLET nous avait fait un cours sur ces fameux acridiens(sistocerca grégaria),on aimait bien les noms scientifiques des plantes ou des animaux,et comme à BABELOUED la plaisanterie est d'usage,les copains se moquaient de nous en disant: vous sortez les mots de l'armoire,expression typiquement babelouedienne.
Ce langage me manque énormément,il était imagé,gavé de soleil.Heureusement que les souvenirs sont là,prions dieu afin que HALZEIMER ne nous atteigne pas

CIAO les amis

rectification : il faut lire : 'je suis un peu moins agé' au lieu de 'plus agé'

jardin saint louis :
il n'y avait pas d'arbres dans les espaces emménagés autour de l'église et qui étaient délimités par des murets en ciment.Par contre au jardin derrière l'église il y avait des arbres sur les cotés (peut être 4 ou 5 de chaque côté) entre lesquels des bancs en ciment étaient installés.
J'habitais au 8 bis rue Léon Roches, il y avait ensuite le 10 et plus loin le jardin - en remontant vers l'église - qui a toujours été le quartier général de notre bande.
Je suis un peu plus agé que certains d'entre vous et on a du se croiser, sans se fréquenter.
Amicalement

Pour DBJAY Henry et les autres ,anciens de Rochambeau .....le directeur à l'époque était Mr LUCAS les instits :Mme OLIVES ,Mr RUIZ ,Mr AYACHE etc ....Nous avons réussi àfaire se retrouver une bonne vingtaine d'une seule classe (CM1 de Mme OLIVES )ceux nés en 1941 ....Il faudrait maintenant que les^plus jeunes et les plus anciens se bougent aussi et que nous puissions nous revoir le 1er Juin à ROGNES (BDR)près d'Aix-en-Provence ......

Pour Didinne .

Yves ICARD ,qui était de la promo suivante m'a dit ,au tel,avoir rencontré SIDI BEN ALI à Clermond-Ferrand mais cela fait déjà pas mal d'années .....

pour Henry

Oui surement Norbert IZZO , Marcel LEON, Jean Pierre JAMMY, tous de la meme année et malheureusement disparus As tu des photos d ecole de leurs années a Rochambeau
Oui c etait Monsieur LUCA
France

Sauveur, je ne me souviens pas d'arbres qui auraient flanqué l'église St-Louis... Dans le jardin, derrière, je dis pas, mais sur les côtés... Pourtant j'y passais deux fois par jour et, en plus, pendant deux ans, j'ai garé ma moto au garage situé juste à côté. Je me souviens du jour des rameaux où je vendais, sur le parvis de l'église et avec l'un de mes fangins, du buis cueilli tout exprès du côté de la carrière Jaubert : là non plus, pas d'arbres... Mais une raclée en rentrant à la maison pour cause de conduite digne des marchands du temple! Fi donc, quelle horreur, faire du commerce un jour pareil! Pourtant, on en avait bavé pour aller le trouver d'abord, puis pour le couper - c'est un arbuste très résistant! - et en faire de jolis bouquets noués avec du fil à coudre noir... La raclée, c'était peut-être à cause du fil "emprunté"?

Puisqu'on est dans les arbres, qui se souvient de ceux plantés dans la partie moyenne du square Guillemin, en bordure de la rue Livingstone, et qui possédaients d'étanges feuilles constituées d'un coeur très dur et de courtes aiguilles vertes sur toute la longueur et le pourtour - comme l'araucaria - mais d'un diamètre d'environ 8 à 10 mm : une traction brusque, en tenant les deux bouts fermement, permettait d'extraire la partie centrale dure qu'on utilisait ensuite pour fabriquer des tables et des chaises en utilisant des petits fruits - rouges justement - qu'on cueillait sur des arbres voisins : quatre pour l'assise avec ses quatre pieds et ses quatre liaisons plantés dedans, et deux de plus pour le dossier avec ses deux montants et sa liaison...

Pendant que j'y suis, je ne trouve pas malin de se retirer de l'annuaire sans laisser du temps au temps... Je ne sais pas faire de miracles mais je sais comment faire pour aider la chance et je l'ai même fait. Le tout est d'avoir un peu de patience. Ou beaucoup : tout dépend de son degré d'impatience. Personne ne m'a encore retrouvé grâce à lui mais je ne désespère pas... D'autres ont eu ce bonheur mais n'ont pas quitté le navire pour autant. En revanche, j'en ai retrouvé ici quelques uns et grâce à qui? Et merci à qui? Poser la question, c'est y répondre.

Pour Sauveur - Il existe de fortes chances qu'il s'agisse effectivement d'un micocoulier ( Celtis australis L.). Contrairement à ce que pourrait laisser croire son nom commun: micocoulier de Provence, l'espèce existe également à l'état spontané en Algérie. L'ingénieur général des eaux et forêts Alexis Monjauze a consacré à cet arbre un opuscule connu des botanistes de la région méditerranenne. Je n'aimerais pas paraître plus savant que je suis et te communiquer des informations recueillies d'ouvrages ou lues sur internet. Les personnes intéréssées par ces questions de botanique doivent d'ailleurs savoir qu'elles n'ont pas à connaitre le nom scientifique des plantes pour se retrouver. Dans le cas que nous évoquons par exemple, il leur suffit de cliquer sur micocoulier pour avoir à sa disposition un considérable volume d'informations. Cette dernière mention ne s'adresse pas évidemment à la majorité d'entre vous qui êtes des virtuoses d'internet mais à des boudjadis comme moi qui avons encore beaucoup de chemin à parcourir.
Langlois cite le jujubier -dont le genre est représenté également en Algérie. L'arbuste porte des ''épines''; en outre, sa feuille est lancéolée (allongée). Une indication supplémentaire pour Sauveur: le bord de la feuille de micocoulier est dentelé. Autre précision: lorsqu'il n'a pas été abimé - par la dent du bétail par exemple, l'arbre possède un fût bien vertical, de couleur grise, presque lisse, légèrement cannelé avec l'âge. Il est très utilisé comme arbre d'ornement dans le pourtour méditerranéen.

A SAUVEUR
Sans garantie DPLG : ces arbres étaient, peut-etre, des JUJUBIERS.
Le fruit est vert au départ, puis il devient rouge à maturité et tourne à la couleur chocolat en fin "de carrière"; sa forme "et son volume" s'apparentent aux olives.
Amitiés d''un de la rue Léon Roches (Eglise St Louis : sans arbre mais avec un petit jardin).
Freddy